L’activité commerciale reste animée par la faiblesse de l’offre dans les abattoirs. Les transactions sont actives dans les campagnes avec une tendance qui restent positives dans l’ensemble des femelles de race à viande, les réformes laitières et les Normandes. Les tarifs se stabilisent dans les jeunes bovins.

M.O.L. Lamballe

Boucherie

La tendance reste positive

Les apports sont importants et correspondent sensiblement aux besoins exprimés. Les transactions sont fluides avec des tarifs qui se maintiennent sans difficulté dans l’ensemble des veaux Prim’Holsteins, Normands et dans croisés, taupes, gris ou croisés multiraces ordinaires. Les bons croisés Limousins, Blanc Bleu ou jaunes viandés sont recherchés et très bien valorisés.

CADRAN D'ARMOR - BELLE ISLE/BEGARD

Veaux

Commerce fluide

Broutards : La vente est facile avec une offre qui reste insuffisante pour la demande. Les tarifs restent très fermes dans l’ensemble des bons broutards (mâles et femelles). 
 
Bovins maigres : La vente est plus active avec un marché porté par la revalorisation des prix de la viande.

BARAQUEVILLE CADRAN SEGALI

Maigre

La demande reste soutenue

Alors que la fin des récoltes au Canada et dans le bassin de la mer Noire continue de peser sur les prix, le blé Euronext sur l’échéance Décembre 2025 se stabilise à 190,5 €/t, en léger gain de +0,5 €/t sur la séance d'hier. 
L’offre mondiale se confirme comme record, avec des disponibilités importantes chez les principaux exportateurs, combinées à des récoltes annoncées comme excellentes dans l’hémisphère Sud. Dans ce contexte, il reste difficile d’envisager un resserrement du bilan sans un retour marqué de la demande internationale. 
Un léger retour de la demande se fait toutefois sentir, permettant de maintenir les prix autour de 220 $/t en Europe sur le rapproché, sans pour autant atteindre de nouveaux plus bas. Après l’Iran, c’est au tour de l’Algérie de revenir aux achats de blé tendre, avec un achat cette semaine de 600 000 t, principalement en provenance de mer Noire. La France reste absente de ces marchés, en raison de relations diplomatiques inchangées avec le pays d’Afrique du Nord. Pourtant, le blé français reste positionné face aux origines russe et ukrainienne. Il est crucial pour la France d’atteindre un objectif de 8 Mt d’exports sur la campagne, afin d’éviter un alourdissement significatif des stocks de fin de campagne, lesquels pourraient revenir à leurs plus hauts niveaux depuis 2015.

Blé tendre

Pression persistante sur le blé

Au programme de &rdquo; Bouge ta ferme &rdquo; : des activit&eacute;s sportives et gourmandes le matin, suivi d&rsquo;activit&eacute;s ludiques &agrave; la ferme pour petits et grands l&rsquo;apr&egrave;s-midi ! L&rsquo;occasion de se d&eacute;penser, de se r&eacute;galer et d&rsquo;apprendre &agrave; mieux conna&icirc;tre l&rsquo;agriculture biologique.&nbsp;<aside class="factbox">
 <h2>BON &Agrave; SAVOIR</h2>
 &bull; 9h-12h : rallye p&eacute;destre 6 ou 11 km &bull; 11h30 &ndash; 13h : visite de la ferme de Kernino &bull; 13h &ndash; 14h : concert de percussions et tombola 14h &ndash; 16h : visite de la ferme de Kernino; Inscription payante sur le site internet.
</aside>

Bouge ta ferme

SAFEPORK &Agrave; RENNES (6-8 OCTOBRE 2025) : SYMPOSIUMINTERNATIONAL D&rsquo;&Eacute;PID&Eacute;MIOLOGIE ET DE MA&Icirc;TRISE DES RISQUESBIOLOGIQUES, CHIMIQUES ET PHYSIQUES DU PORCApr&egrave;s le Br&eacute;sil en 2017, Berlin en 2019 et la Nouvelle Orl&eacute;ans en 2023, la France accueillera &agrave; Rennes les chercheurs notamment am&eacute;ricains et europ&eacute;ens travaillant &agrave; un seul objectif : la s&eacute;curit&eacute; sanitaire en fili&egrave;reporcine.Qu&rsquo;est-ce que Safepork ? Safepork a vu le jour d&egrave;s 1996 au sein de l&rsquo;Universit&eacute; de l&rsquo;Iowa avec pour but de r&eacute;unirles chercheurs internationaux, industriels et Agences gouvernementales, travaillant sur la probl&eacute;matique des salmonelles en &eacute;levage et dans la viande de porc. Depuis, cette conf&eacute;rence, organis&eacute;e partout dans le monde, aint&eacute;gr&eacute; d&rsquo;autres enjeux, en particulier les risques biologiques, chimiques, et physiques de la production de porc.Pour qui ? Chercheurs et organismes impliqu&eacute;s dans la ma&icirc;trise et la pr&eacute;vention des zoonoses d&rsquo;origine porcine, et plus largement la qualit&eacute; sanitaire de la viande de porc.Safeporc 2025 &hellip; en France : Ce sera l&rsquo;opportunit&eacute; pour les &eacute;quipes de recherche internationales, et sp&eacute;cialement fran&ccedil;aises, de pr&eacute;senter leurs r&eacute;sultats devant un public d&rsquo;experts.Safepork 2025 &hellip; en Bretagne : Mobilisons-nous pour soutenir cette &eacute;dition rennaise afin d&rsquo;accueillir dans les meilleures conditions environ 200 congressistes internationaux, et contribuer au rayonnement de la fili&egrave;re porcine fran&ccedil;aise : sa recherche publique et priv&eacute;e, ses entreprises et tous les acteurs &oelig;uvrant &agrave; la haute qualit&eacute; hygi&eacute;nique et nutritionnelle des produits porcins fran&ccedil;ais.<a href="https://safepork.ifip.asso.fr" target="_blank" title="Pour en savoir + : consulter le site SAFEPORK">Pour en savoir + : consulter le site SAFEPORK</a>Pour &ecirc;tre inform&eacute; de l&rsquo;appel &agrave; communications, sponsoriser cet &eacute;v&egrave;nement ou nous soutenir dans l&rsquo;organisation de Safepork 2025 en France,&nbsp;contactez-nous :<a href="https://ifip.asso.fr/actualites/symposium-international-depidemiologie-et-de-maitrise-des-risques-biologiques-chimiques-et-physiques-du-porc-safepork-a-rennes-6-8-octobre-2025/martine.denis@anses.fr">&nbsp;</a><a href="mailto:safepork@ifip.asso.fr" target="_blank" title="safepork@ifip.asso.fr">safepork@ifip.asso.fr</a><a href="https://ifip.asso.fr/app/uploads/2024/07/dossier_sponsor_safepork-1.pdf" target="_blank" id="wp-block-file--media-4cd5702f-ef10-424e-a8fa-8ec7601dc54e" title="Devenez partenaire de SAFEPORK">Devenez partenaire de SAFEPORK</a><a href="https://ifip.asso.fr/app/uploads/2024/02/safepork_info_2024.pdf" target="_blank" title="T&eacute;l&eacute;chargez le Flyer &lsquo;Save The Date">T&eacute;l&eacute;chargez le Flyer &lsquo;Save The Date</a>

SAFEPORK à Rennes (6-8 Octobre 2025) : Symposium international d’épidémiologie et de maîtrise des risques biologiques, chimiques et physiques du porc

La FRCUMA GRAND EST s&rsquo;associe &agrave; la Chambre d&rsquo;Agriculture d&rsquo;Alsace et au Syndicat des Eaux et de l&rsquo;Assainissement Alsace-Moselle pour une journ&eacute;e technique sur le tassement du sol, les pneumatiques et la gestion de l&rsquo;eau.La CUMA de la Zorn nous ouvre ses portes pour une journ&eacute;e riche avec&nbsp;des ateliers en continu et libre acc&egrave;s de 9h30 &agrave; 15h30&nbsp; 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/main_image/3/9/1/5/7885193-1-fre-FR/7ea4340c3664-affiche-demo-67-10-07.jpg" alt="" height="446" width="357" /></figure>

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AU PROGRAMMEAteliers th&eacute;matiques anim&eacute;s par les expert.e.s de la Chambre d&rsquo;Agriculture d&rsquo;Alsace : |&nbsp;L&rsquo;impact du mat&eacute;riel sur le tassement des sols &ndash; L&rsquo;impact de la pression des pneumatiques &ndash; Pr&eacute;sentation d&rsquo;un outil de simulation de l&rsquo;impact du mat&eacute;riel sur le tassement &ndash; Illustration de l&rsquo;impact de l&rsquo;&eacute;pandage de digestat au printemps sur c&eacute;r&eacute;ales d&rsquo;hiver |&nbsp;Observer son sol pour agir sur le tassement &ndash; Pr&eacute;sentation des r&eacute;sultats de 2 ans d&rsquo;essais sur 40 parcelles avec tests au p&eacute;n&eacute;trom&egrave;tre &ndash; Diagnostiquer son sol : test &agrave; la b&ecirc;che et profil 3DAtelier anim&eacute; par Baptiste Vasseur (PTG) et Laurent BOIME (CUMA des Champs, Administrateur FRCUMA Grand Est) : |&nbsp;T&eacute;l&eacute;gonflage : Les avantages d&rsquo;une pression adapt&eacute;e &ndash; D&eacute;couvrez le syst&egrave;me de t&eacute;l&eacute;gonflage PTG et le retour d&rsquo;exp&eacute;riences utilisateurIntervention sur la Pr&eacute;servation des ressources en eau&nbsp;par David KRAEMER (Chambre d&rsquo;Agriculture Alsace) et Magali KRAEMER (SDEA)T&eacute;moignage du GIEE de la CUMA de la Zorn&nbsp;par L&eacute;na SCHWARTZ (Charg&eacute;e de mission innovation FRCUMA GRAND EST) &amp; Nicolas RUSCH (Pr&eacute;sident de la CUMA de la Zorn) Pr&eacute;sentation des actions du GIEEBuvette et restauration par les Jeunes Agriculteurs de Saverne&eacute;v&egrave;nement ouvert &agrave; toutes et &agrave; tous,&nbsp;<a href="https://cutt.ly/journee-cuma-zorn" target="_blank">sur inscription</a>

[Journée technique] Mon sol sous pression

<section><h2>SAVE THE DATE&nbsp;:&nbsp;Mardi 21 octobre, de 11h30 &agrave; 12h30 &agrave; distance</h2></section><section>Face au d&eacute;fi du maintien des &eacute;levages et notamment des ateliers porcins associ&eacute;s &agrave; un atelier bovin dans le Massif central, les acteurs de la fili&egrave;re porcine et de la recherche ont analys&eacute;, dans le cadre du projet Aporthe, les formes et conditions de&nbsp;transmission&nbsp;et d&rsquo;installation&nbsp;en syst&egrave;mes d&rsquo;&eacute;levages mixtes et l&rsquo;attractivit&eacute;&nbsp;de ces syst&egrave;mes aupr&egrave;s des jeunes dans le Massif. Au total, une vingtaine d&rsquo;&eacute;leveurs, 282 apprenants et 16 enseignants de lyc&eacute;es agricoles ont &eacute;t&eacute; enqu&ecirc;t&eacute;s cette ann&eacute;e dans le Massif.</section><section>Nous vous invitons &agrave; assister &agrave; la pr&eacute;sentation des enseignements tir&eacute;s de ces enqu&ecirc;tes. Vous disposerez ainsi d&rsquo;un &eacute;tat des lieux pr&eacute;cis de la situation dans le Massif central. Ceci permet d&rsquo;interroger&nbsp;les perspectives&nbsp;et d&rsquo;ouvrir la r&eacute;flexion sur les points d&rsquo;attention&nbsp;pour soutenir ces formes d&rsquo;installation dans les ann&eacute;es &agrave; venir.</section><h1>Pour vous inscrire (gratuit), compl&eacute;tez le formulaire (cliquez sur un lien suivant :&nbsp;<a href="https://ifip.asso.fr/actualites/quoi-de-neuf-sur-les-conditions-et-perspectives-dinstallationen-elevage-mixte-porcin-bovin/" target="_blank" title="Pour vous inscrire (gratuit), compl&eacute;tez le formulaire">https://ifip.asso.fr/actualites/quoi-de-neuf-sur-les-conditions-et-perspectives-dinstallationen-elevage-mixte-porcin-bovin/</a>)</h1>

Quoi de neuf sur les conditions et perspectives d’installation en élevage mixte porcin-bovin ? (webinaire 21/10/25)

Evolution et prix des terres agricoles par région et département

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Prix des terres

Le Crédit Agricole annonce une solution de quasi-fonds propres pour les exploitations agricoles

Dans le rouge depuis 3 ans, les céréaliers réclament l’activation de la réserve de crise européenne

J-100 pour le passage obligatoire au numérique du registre phytosanitaire

L’excédent agroalimentaire français s'effondre, plombé par les céréales

&ldquo;Macron, c&rsquo;est la fille de Hollande&rdquo;. Il n&rsquo;y aurait pas un petit probl&egrave;me de g&eacute;n&eacute;alogie ? &ldquo;Nous avons toute une lign&eacute;e de pr&eacute;sidents ici !&rdquo;, plaisante Elodie. Elle le sait : la blague marche &agrave; tous les coups. Des noms de dirigeants pour des vaches, c&rsquo;est os&eacute;, mais dans les pr&eacute;s mayennais du GAEC du Saint-&Eacute;loi, cela fonctionne &agrave; merveille. Sarkozy, Thatcher, Jacques (Chirac)&hellip; tous ruminent c&ocirc;te &agrave; c&ocirc;te. &laquo; Macron, c&rsquo;&eacute;tait l&rsquo;une de nos deux meilleures vaches, elle a fait six filles ! Mais elle a eu un accident et nous avons d&ucirc; l&rsquo;euthanasier &raquo;, explique &Eacute;lodie. Derri&egrave;re l&rsquo;humour, le couple a trouv&eacute; un moyen de rendre chaque bovin unique. Cette saga pr&eacute;sidentielle a conquis leurs abonn&eacute;s sur YouTube. La famille Bahuon partage son quotidien avec une authenticit&eacute; qui s&eacute;duit autant les passionn&eacute;s d&rsquo;&eacute;levage que le grand public. 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/gallery/4/5/4/0/7890454-1-fre-FR/22e3808730ae-Capture-d-e-cran-2025-09-25-a-14.05.09.png" alt="Elodie et Julien Bahuons &copy;Louise Delaroa" height="1564" width="1980" /></figure>

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<h2>La vie &agrave; la ferme, la vraie</h2>Julien se fait charger par une truie protectrice, Elodie envoie &agrave; la traite Choupette alors qu&rsquo;elle est encore sous antibiotique, <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/oupette-une-limousine-vachement-mignonne" target="_blank" title="">des Limousines s&rsquo;&eacute;chappent</a>&hellip; &ldquo;Ce sont souvent ces vid&eacute;os-l&agrave; qui marchent le mieux. Les gens veulent voir le vrai quotidien, avec ses hauts et ses bas&rdquo; sourit Julien. Sa femme h&eacute;site parfois &agrave; publier certaines s&eacute;quences &ldquo;comme ma vache couch&eacute;e et qui a d&ucirc; &ecirc;tre relev&eacute;e par un tracteur. Mais je me suis dit : c&rsquo;est aussi &ccedil;a notre m&eacute;tier. On doit le montrer !&rdquo; Et les retours sont pour la plupart bienveillants. "Les spectateurs comprennent mieux la r&eacute;alit&eacute; du m&eacute;tier&rdquo;, ajoute Elodie.<h2>De Facebook &agrave; Youtube : l&rsquo;agriculture connect&eacute;e</h2>Julien et Elodie n&rsquo;avaient pas pr&eacute;vu de se retrouver sous les projecteurs. Tout d&eacute;marre en 2016 avec un simple compte Facebook. &ldquo;On avait lanc&eacute; un financement participatif priv&eacute;, se souvient Elodie. En &eacute;change, on donnait des nouvelles de la ferme et les proches pouvaient m&ecirc;me choisir le pr&eacute;nom des animaux&rdquo;. Tr&egrave;s vite, la communaut&eacute; d&eacute;passe le cercle familial. &ldquo;Au moins, notre famille a enfin compris pourquoi nous n&rsquo;&eacute;tions pas toujours en forme !&rdquo;, sourit Julien. Les abonn&eacute;s affluent et le couple comprend qu&rsquo;il y a une v&eacute;ritable attente : faire <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/je-veux-depoussierer-l-image-du-metier-d-agriculteur-louis-debard-l-auvergnat-63" target="_blank" title="">d&eacute;couvrir le m&eacute;tier d&rsquo;agriculteur de l&rsquo;int&eacute;rieur,</a> sans filtre ni mise en sc&egrave;ne. En 2021, le couple franchit un cap en basculant sur Youtube. Elodie suit une formation de montage vid&eacute;o, ouvre la cha&icirc;ne "<a href="https://www.youtube.com/@sainteloipassionelevage" target="_blank" title="">Saint-&Eacute;loi Passion &Eacute;levage</a>" et le succ&egrave;s est imm&eacute;diat. Aujourd&rsquo;hui, la cha&icirc;ne compte plus de 33 000 abonn&eacute;s. &ldquo;Au d&eacute;but, je ne savais m&ecirc;me pas qu&rsquo;il y avait des commentaires. Mon fr&egrave;re m&rsquo;a dit :&ldquo;tu sais que tu as une centaine de messages en attente ?&rdquo;, raconte-t-elle, amus&eacute;e. Puis vient la mon&eacute;tisation : un revenu compl&eacute;mentaire de 800 &agrave; 1000 euros par mois, qui demande un &eacute;norme travail mais qui paye : &ldquo;je gagne presque autant avec YouTube qu&rsquo;avec la ferme&rdquo;, reconna&icirc;t Elodie. 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/gallery/4/2/4/0/7890424-1-fre-FR/2c69aa81c05a-Capture-d-e-cran-2025-09-25-a-14.47.51.png" alt="Cha&icirc;ne Youtube d&#039;&Eacute;lodie et Julien" height="1294" width="2246" /></figure>

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<h2>Un d&eacute;m&eacute;nagement sur des roulettes et derri&egrave;re les manettes</h2>Sans leur visibilit&eacute; en ligne, le couple n&rsquo;aurait peut-&ecirc;tre jamais trouv&eacute; leur ferme actuelle. &ldquo;Nous n&rsquo;&eacute;tions pas propri&eacute;taires en Bretagne. Ce sont nos abonn&eacute;s qui nous ont partag&eacute; l&rsquo;annonce de notre future exploitation&rdquo;. Sans aucune attache locale, la famille prend leur ferme sous le bras, direction la Mayenne. Oui, toute leur ferme : troupeau, cochons, ch&egrave;vres, mat&eacute;riel, mobil-home pour les saisonniers, la nourriture des animaux &hellip; D&eacute;cid&eacute;ment, les Bahuon ne font pas dans la demi-mesure. &ldquo;On a tout film&eacute;. Nous-m&ecirc;mes, nous n&rsquo;y croyions pas ! Mais on voulait montrer que c&rsquo;&eacute;tait possible et peut-&ecirc;tre inspirer d&rsquo;autres &eacute;leveurs&rdquo;. La famille a pos&eacute; ses valises, ses bottes et ses sabots dans une exploitation qui compte aujourd&rsquo;hui 200 bovins, 150 hectares de prairies et 10 hectares de ma&iuml;s.<h2>Une communaut&eacute; qui soutient et inspire</h2><a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/agri-influenceurs-quand-les-fermes-se-racontent-sur-les-reseaux" target="_blank" title="">Les r&eacute;seaux sociaux sont aussi une fen&ecirc;tre vers l&rsquo;ext&eacute;rieur</a> : &ldquo;on ne se sent pas isol&eacute;s. On &eacute;change constamment, on d&eacute;couvre des techniques et des id&eacute;es ; on voit ce qui se fait chez les autres&rdquo;, d&eacute;taille Julien. Ces &eacute;changes permettent aussi de vendre certains animaux et de cr&eacute;er un r&eacute;seau professionnel. A leur grande surprise, leurs vid&eacute;os touchent aussi une large base d&rsquo;agriculteurs. &ldquo;On se demandait pourquoi ils nous suivaient alors qu&rsquo;ils font le m&ecirc;me m&eacute;tier. En r&eacute;alit&eacute;, &ccedil;a les rassure de voir qu&rsquo;on est tous dans la m&ecirc;me gal&egrave;re&rdquo;, constate Elodie. La cha&icirc;ne a aussi une vocation p&eacute;dagogique : &ldquo;quand on s&rsquo;est install&eacute;s, on n&rsquo;y connaissait pas grand-chose en bovins. On aurait bien aim&eacute; trouver des tutos pour traire en toute s&eacute;curit&eacute; par exemple. Beaucoup de jeunes nous &eacute;crivent que nos vid&eacute;os leur servent. Si les jeunes ont retenu que ce sont les vaches qui paient ton tracteur, alors on a gagn&eacute;&rdquo;.<h2>Une ferme &agrave; vivre, pas juste &agrave; regarder</h2>Entre deux tournages, vie de famille et soins aux animaux, le couple souhaite d&eacute;sormais d&eacute;velopper l&rsquo;accueil du public. &ldquo;On a d&eacute;j&agrave; organis&eacute; trois visites avec des abonn&eacute;s. On aimerait aller plus loin : proposer des nuits &agrave; la ferme&rdquo;, explique Elodie. Pas de ferme p&eacute;dagogique ni d&rsquo;images d&rsquo;Epinal, mais une immersion totale dans le quotidien d&rsquo;une exploitation bio. Comme sur les images, mais cette fois-ci en vrai !

Dans le paysage agricole français, Elodie et Julien Bahuon du GAEC du Saint-Éloi, ont pris une place à part. Leur ferme est autant connue dans les champs que sur les écrans. Un succès bâti sur une transparence totale de leur quotidien, de leur métier et de leur vie de famille avec son lot d’imprévus !

GAEC du Saint-Éloi : la chaîne YouTube des éleveurs où les vaches font campagne !

Moins d&rsquo;une semaine apr&egrave;s <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/dnc-un-foyer-dans-le-rhone-une-nouvelle-zone-reglementee-l-eradication-s-eloigne" target="_blank">la d&eacute;tection d&rsquo;un foyer de dermatose nodulaire contagieuse (DNC) dans le d&eacute;partement du Rh&ocirc;ne</a>, une campagne de vaccination &laquo;&nbsp;massive et obligatoire&nbsp;&raquo;&nbsp;est lanc&eacute;e ce jeudi dans la zone r&eacute;glement&eacute;e, annonce le minist&egrave;re de l&rsquo;Agriculture dans un communiqu&eacute;. &laquo;&nbsp;Cette r&eacute;activit&eacute;, &agrave; l&rsquo;image de celle appliqu&eacute;e dans la premi&egrave;re zone r&egrave;glement&eacute;e, est rendue possible gr&acirc;ce &agrave; l&rsquo;anticipation par l&rsquo;&Eacute;tat pour la commande de vaccins. Les doses de vaccins sont suffisantes en nombre pour couvrir toute la nouvelle zone r&egrave;glement&eacute;e. Les premi&egrave;res doses ont d&eacute;j&agrave; &eacute;t&eacute; livr&eacute;es sur le terrain et le lancement de la compagne de vaccination dans la nouvelle zone r&egrave;glement&eacute;e est possible d&egrave;s ce jour gr&acirc;ce &agrave; la disponibilit&eacute; des v&eacute;t&eacute;rinaires, des GDS et de tous les acteurs de terrains&nbsp;&raquo;.<h2>350.000 bovins</h2>L&rsquo;ensemble des bovins, quel que soit leur &acirc;ge, situ&eacute;s dans la nouvelle zone r&eacute;glement&eacute;e (zone de protection et zone de surveillance) sont concern&eacute;s par la vaccination obligatoire, soit pr&egrave;s de 350.000 bovins. Le vaccin est inject&eacute; en une seule dose et assure la protection compl&egrave;te de l&rsquo;animal 21 jours apr&egrave;s l&rsquo;injection. La vaccination est int&eacute;gralement prise en charge par l&rsquo;&Eacute;tat. 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/gallery/0/2/7/1/7881720-1-fre-FR/2ef166ff8769-ZR69.jpg" alt="Zones r&eacute;glement&eacute;es vis-&agrave;-vis de la DNC en date du 19 septembre (Source : minist&egrave;re de l&rsquo;Agriculture)" height="1066" width="1586" /><figcaption>Zones r&eacute;glement&eacute;es vis-&agrave;-vis de la DNC en date du 19 septembre (Source : minist&egrave;re de l&rsquo;Agriculture)</figcaption></figure>

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La vaccination constitue, avec le d&eacute;peuplement total des foyers et les restrictions des mouvements, l&rsquo;un des trois piliers de <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/dnc-demarrage-de-la-campagne-de-vaccination" target="_blank">la strat&eacute;gie de lutte &eacute;tablie &agrave; la mi-juillet</a>, deux semaines apr&egrave;s la d&eacute;couverte en Savoie <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/un-premier-cas-de-dermatose-nodulaire-detecte-dans-un-elevage-bovin-en-savoie" target="_blank">d&rsquo;un premier foyer de DNC</a>. Au sein de cette zone r&eacute;glement&eacute;e, couvrant une partie de la Savoie et de la Haute-Savoie et &agrave; la marge les d&eacute;partements de l&rsquo;Ain et de l&rsquo;Is&egrave;re, 90% des 270.000 bovins concern&eacute;s ont &eacute;t&eacute; vaccin&eacute;s. La d&eacute;tection du dernier foyer remonte au 6 septembre (dans l&rsquo;Ain).Au total, 79 foyers ont &eacute;t&eacute; d&eacute;tect&eacute;s depuis le d&eacute;but de l&rsquo;&eacute;pid&eacute;mie g&eacute;n&eacute;rant l&rsquo;abattage de 1700 bovins, non compt&eacute; le dernier d&eacute;peuplement concernant le foyer du Rh&ocirc;ne. 47 &eacute;levages sont directement impact&eacute;s mais l&rsquo;ensemble des &eacute;leveurs des zones r&eacute;glement&eacute;es subissent les effets des restrictions de mouvement d&rsquo;animaux, perturbant notamment les retours d&rsquo;estive.

Après la découverte, le 18, septembre d’un foyer dans le Rhône, la campagne de vaccination, prise en en charge par l’Etat, est lancée jeudi dans la zone réglementée où 350.000 bovins sont recensés.

DNC : la vaccination lancée dans la nouvelle zone réglementée Rhône-Loire

&laquo;&nbsp;Grosso modo, c&rsquo;est le r&eacute;sultat d&rsquo;un glyphosate en quatre jours&nbsp;&raquo;. Tel est l&rsquo;argument choc, pour ne pas dire l&rsquo;&eacute;lectrochoc &eacute;nonc&eacute; par Richard Dumbrill, g&eacute;rant de Novaxi, pour d&eacute;crire la bineuse Garford Electric Weeder. Il s&rsquo;agit de la derni&egrave;re-n&eacute;e du constructeur britannique, qui se distingue depuis de nombreuses ann&eacute;es par ses solutions de binage ultra-localis&eacute;, combinant guidage de pr&eacute;cision et &eacute;l&eacute;ments bineurs capables de s&rsquo;enrouler autour des pieds de salade par exemple pour assurer un d&eacute;sherbage int&eacute;gral inter-rang et inter-plant. 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/gallery/1/1/2/0/7890211-1-fre-FR/c8eb7bec794a-Couv2.jpg" alt="Bard&eacute;e de s&eacute;curit&eacute;s et d&rsquo;isolateurs pour &eacute;viter tout risque de contact avec l&rsquo;op&eacute;rateur, la technologie produit une d&eacute;charge de 60kW &agrave; 18.000 Hz transf&eacute;r&eacute;e jusqu&rsquo;au racines" height="1664" width="2396" /><figcaption>Bard&eacute;e de s&eacute;curit&eacute;s et d&rsquo;isolateurs pour &eacute;viter tout risque de contact avec l&rsquo;op&eacute;rateur, la technologie produit une d&eacute;charge de 60kW &agrave; 18.000 Hz transf&eacute;r&eacute;e jusqu&rsquo;au racines</figcaption></figure>

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<h2>&laquo;&nbsp;Les racines bouillies&nbsp;&raquo;</h2>La Garford Electric Weeder est de son c&ocirc;t&eacute; capable de r&eacute;aliser du d&eacute;sherbage int&eacute;gral en planche avant semis et du binage inter-rang post-semis, &agrave; une vitesse comprise entre 2 et 4 km/h. Le courant, produit par une g&eacute;n&eacute;ratrice attel&eacute;e &agrave; l&rsquo;arri&egrave;re du tracteur, n&rsquo;est pas continu comme c&rsquo;est le cas sur d&rsquo;autres bineuses &eacute;lectriques mais alternatif. &laquo;&nbsp;C&rsquo;est beaucoup plus s&eacute;curisant pour l&rsquo;op&eacute;rateur&nbsp;&raquo;, affirme Richard Dumbrill.<div class="citation">
 "On parle d&rsquo;effet syst&eacute;mique car le courant fait v&eacute;ritablement bouillir les racines"
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Bard&eacute;e de s&eacute;curit&eacute;s et d&rsquo;isolateurs pour &eacute;viter tout risque de contact avec l&rsquo;op&eacute;rateur, la technologie, mise au point par la start-up RootWave, produit une d&eacute;charge de 60kW &agrave; 18.000 Hz. &laquo;&nbsp;On parle d&rsquo;effet syst&eacute;mique car le courant fait v&eacute;ritablement bouillir les racines&nbsp;&raquo;, poursuit le sp&eacute;cialiste du binage.&nbsp;Outre une efficacit&eacute; &agrave; toute &eacute;preuve sur toutes les adventices, y compris les plus coriaces comme l&rsquo;&eacute;rig&eacute;ron ou le chardon, le constructeur garantit z&eacute;ro effet non intentionnel sur la p&eacute;dofaune hors contact fortuit avec un ver de terre, et seulement un r&eacute;chauffement localis&eacute; du sol. 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/gallery/1/4/2/0/7890241-1-fre-FR/ead344277272-Couv3.jpg" alt="La Garford Electric Weeder est capable de r&eacute;aliser du d&eacute;sherbage int&eacute;gral en planche avant semis et du binage inter-rang post-semis, &agrave; une vitesse comprise entre 2 et 4 km/h" height="1462" width="2396" /><figcaption>La Garford Electric Weeder est capable de r&eacute;aliser du d&eacute;sherbage int&eacute;gral en planche avant semis et du binage inter-rang post-semis, &agrave; une vitesse comprise entre 2 et 4 km/h</figcaption></figure>

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Il faut compter plus de 200.000 euros pour une machine adapt&eacute;e &agrave; des planches de maraichage. Le constructeur songe a &eacute;toffer la gamme pour des applications en grande culture. L&rsquo;entretien des vergers est aussi abord&eacute; par le concepteur RootWave.

Le constructeur garantit une efficacité comparable à celle du glyphosate avec toutes les garanties de sécurité pour les utilisateurs, à destination des maraichers, en attendant des applications en grandes cultures.

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