Horsch mise sur le désherbage mécanique et chimique

Historiquement, Horsch, c’est le travail du sol et le semis. Aujourd’hui, c’est aussi le désherbage mécanique et chimique. Questions à Ludovic Denize, responsable commercial Horsch Normandie Bretagne.  

>> Quel est le réseau de distribution Horsch dans notre région ?


Concernant la Normandie, nous nous appuyons sur plusieurs concessionnaires de renoms comme la Sama dans le Calvados et une partie de l’Orne et de la Manche, Douillet et Duret dans le sud de l’Orne et Josse dans l’Eure.

>> C’est quoi l’origine de Horsch ?


Notre ADN, c’est le travail du sol et le semis mais, depuis quelques années, nous proposons une gamme complète de pulvérisateurs portés, trainés et automoteurs, segment sur lequel nous sommes leaders. Parallèlement, nous sommes très présents sur le marché de la herse étrille et de la bineuse qui s’imposent de plus en plus dans les campagnes.

>> Quels sont aujourd’hui les grands fondamentaux en termes d’exigences de la clientèle ?


Fiabilité, simplicité et adaptabilité. Les agriculteurs travaillent parfois de nuit parce que les conditions météo sont optimums. Pas question dans ces moments-là de sortir le mode d’emploi pour comprendre comment ça marche ou de tomber en panne. Adaptabilité avec des changements de buse selon les conditions d’utilisation.

>> Cela suppose de bien connaître  les besoins ?


En amont des ventes, nous partageons notre approche pulvérisation en faisant beaucoup de préformation et de formation comme dernièrement à la Sama. Cela évite de mal utiliser le matériel par méconnaissance.
>> Entre le désherbage mécanique et le désherbage chimique, vous faites le grand écart ?
Nous sommes convaincus, chez Horsch, que l’avenir est entre les deux. Notre stratégie est de combiner le meilleur de l’AB et de l’agriculture conventionnelles pour concevoir le meilleur dans un contexte d’agriculture de précision qui s’impose de jour en jour. GPS, cartographie, caméra de guidage (...) sont incontournables.