Viande bovine – Les tarifs se maintiennent sans difficulté.

Bovins races allaitantes - Au niveau commercial, le marché reste sous tension avec des volumes qui permettent une bonne tenue des prix dans les femelles de qualité bouchère alors que les ventes se tassent dans la boucherie traditionnelle. Les tarifs se stabilisent dans les bonnes femelles Blondes d’Aquitaine, Parthenaises, Charolaises ou Limousines.  Le commerce reste fluide dans les Charolaises, Aubracs, Salers ou croisées de milieux de gamme dont les tarifs restent fermes.
Réformes laitières – Si la demande se rétracte à l’approche des vacances de la Toussaint et de la fermeture des cantines et restaurants scolaires, le recul de l’offre permet de tenir facilement les prix dans les bonnes vaches Prim’holsteins, Normandes ou Montbéliardes viandées ou de milieux de gamme.  Les industriels maintiennent la pression sur les animaux d’entrée de gamme P-1 et P-2 dont les références tarifaires sont absentes de l’ensemble des cotations, mais qui se valorisent ente 3,00 et 3,60€ en fonction du poids et des abattoirs.
Jeunes bovins – Les abatteurs ont beaucoup de mal à exporter les arrières sur des marchés exports très concurrentiels. Les avants restent en revanche sollicités pour faire face au manque de vaches.   Le commerce est plus calme, mais les tarifs résistent à la pression.

Avis d’expert :

Bovins races allaitantes : Les femelles bouchère vont plafonner alors que les Charolaises seront mieux valorisées.

Bovins races laitières : Le commerce restera très fluide malgré l’approche des vacances

Jeunes bovins : le commerce sera régulier pour des tarifs sans grand changement.

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