[Vidéo] L’autonomie des brebis grâce à la luzerne et aux féveroles

[Cap protéines] Dans le Tarn, Émile Fabries élève 600 brebis allaitantes sur 120 hectares. Il a augmenté la surface de luzerne jusqu’à une vingtaine d’hectares. Pour développer son autonomie protéique, il a aussi remplacé le tourteau de soja acheté par de la féverole qu’il cultive sur 5 à 7 hectares.

 

L’autonomie des brebis grâce à la luzerne et aux féveroles from Institut de l'Elevage - idele on Vimeo.

 « C’est une culture simple à conduire qui donne des rendements encore aléatoires mais compris entre 15 et 30 quintaux par hectare. Je me régale à entendre les brebis croquer les féveroles comme du gâteau ! » Les brebis profitent aussi de l’herbe dans les pâtures autour de l’exploitation. Le troupeau de brebis est autonome en protéines à 100 % et l’EARL Escarliot veut atteindre ce niveau pour l’élevage des agneaux.