<figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/7/2/7/9/2839727-1-fre-FR/3642feccc4d7-606436d0-4074-48d4-b6fc-13dc90f33df2-jpeg" alt="" height="1202" width="577" /><figcaption>&Eacute;tape 1</figcaption></figure>




 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/0/3/7/9/2839730-1-fre-FR/635181b7d8c4-ff7af756-ed69-4ac4-9821-a4ce6acf75e8-jpeg" alt="" height="1200" width="588" /><figcaption>&Eacute;tape 2</figcaption></figure>




 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/3/3/7/9/2839733-1-fre-FR/c9bfac33be79-96839574-b534-4948-bc80-81775fbf325e-jpeg" alt="" height="856" width="589" /><figcaption>&Eacute;tape 3</figcaption></figure>

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[Tuto] Sur Pleinchamp, vous pouvez personnaliser votre fil d'actualités en fonction de vos centres d'intérêts et de vos activités. Suivez notre tuto, on vous explique le pas à pas en images.

Sur Pleinchamp, personnalisez votre journal !

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&laquo;&nbsp;Les d&eacute;g&acirc;ts de sangliers augmentent d&rsquo;ann&eacute;e en ann&eacute;e sur les cultures de ma&iuml;s, de bl&eacute; et de colza. &Agrave; deux personnes, nous avons mis une journ&eacute;e pour poser 2,5 kilom&egrave;tres de cl&ocirc;tures qui nous permettent de prot&eacute;ger 30 hectares. Je les laisse en place toute l&rsquo;ann&eacute;e car les dommages peuvent survenir du semis &agrave; la r&eacute;colte.

<div class="sequence">Lire aussi : <a href="https://www.reussir.fr/grandes-cultures/degats-de-sanglier-un-fleau-croissant-difficile-endiguer-en-grandes-cultures">les sangliers, un fl&eacute;au croissant difficile &agrave; endiguer en grandes cultures</a></div>

J&rsquo;ai sign&eacute; une convention avec la FDC du Loiret, qui me pr&ecirc;te le mat&eacute;riel et m&rsquo;indemnise &agrave; hauteur de 0,25&nbsp;euro par m&egrave;tre lin&eacute;aire. Les sangliers sont des animaux tr&egrave;s rus&eacute;s qui s&rsquo;acclimatent rapidement &agrave; leur environnement.

<h3>Pas de solution alternative face aux sangliers</h3>

Pour que les cl&ocirc;tures soient le plus efficaces possibles, il faut effectuer un suivi et un entretien r&eacute;gulier, ce qui me prend en moyenne une heure par semaine. Je m&rsquo;interroge sur la gestion de l&rsquo;enherbement sous les cl&ocirc;tures avec l&rsquo;arr&ecirc;t programm&eacute; de glyphosate.

Nous n&rsquo;avons pas de solution alternative. Sur la campagne 2019, les dommages caus&eacute;s par le sanglier ont repr&eacute;sent&eacute; 8&nbsp;% de ma sole en ma&iuml;s, 12&nbsp;% en bl&eacute; et 10&nbsp;% en colza&thinsp;!&nbsp;&raquo;

<div class="note">165 hectares de grandes cultures et &eacute;levage avicole.</div>
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Cyrille Pressoir est agriculteur à Langesse, dans le Loiret. Il a mis en place des clôture pour protéger les cultures des sangliers. Une précaution coûteuse en temps, au moment de l'implantation puis en raison de l'entretien régulier indispensable.

« Contre les sangliers, 2,5 km de clôtures protègent 30 hectares de cultures »

Apr&egrave;s les V6000, capables de r&eacute;aliser des balles d&rsquo;un diam&egrave;tre maxi de 1,68 m, McHale repousse les limites avec les V8, dont le diam&egrave;tre peut atteindre 1,90 m. La s&eacute;rie compte deux machines, &agrave; savoir la V8940 exempte de couteaux, et la V8950 comptant 15 couteaux (25 en option). La nouvelle gamme reprend l&rsquo;ensemble des composants qui caract&eacute;risent les presses McHale, &agrave; savoir le bo&icirc;tier renvoi d&rsquo;angle &agrave; double sortie, la cha&icirc;ne haute r&eacute;sistance, le rotor h&eacute;lico&iuml;dal &agrave; double doigt et 4 pointes pour assurer un flux de fourrage r&eacute;gulier et enfin la trappe de d&eacute;bourrage escamotable.<h1 class="MsoBodyText" style="text-align:left;">Nouveau syst&egrave;me de liage</h1>Les V8 sont dot&eacute;es d&rsquo;un pick-up d&rsquo;une largeur de 2,10 m, muni de 5 rang&eacute;es de dents avec 2 renforts interm&eacute;diaires. L&rsquo;alimentation de la chambre de pressage est assur&eacute;e par un rotor de 540 mm de diam&egrave;tre, combin&eacute; &agrave; un fond de canal &eacute;quip&eacute; d&rsquo;une suspension active (fond du canal mont&eacute; sur silentbloc) permettant d&rsquo;absorber les &agrave;-coups de mati&egrave;re.Entre le pick-up et le rotor, les machines sont &eacute;galement &eacute;quip&eacute;es d&rsquo;une plaque de t&eacute;flon mont&eacute;e sur suspension qui s&rsquo;ajuste automatiquement au volume de fourrage pour assurer un acheminement optimal dans toutes les conditions.Les V8 inaugurent un nouveau syst&egrave;me de liage permettant d&rsquo;&eacute;tirer le filet gr&acirc;ce &agrave; un frein hydraulique r&eacute;glable &agrave; partir du bo&icirc;tier en cabine, sans recourir &agrave; une barre de pr&eacute;-tension. Il est possible d&rsquo;utiliser du filet jusqu&rsquo;&agrave; 1300 mm de large et 4500 mm de longueur et de stocker 2 rouleaux de filet en r&eacute;serve sur la plateforme.<h1 class="MsoBodyText" style="text-align:left;">Boitier Expert Plus</h1>Les V8 se pilotent au moyen du boitier de commande Expert Plus permettant de r&eacute;gler la taille du noyau et de la balle, la densit&eacute; du noyau et de la balle, le nombre de tours de filet, le taux d&rsquo;&eacute;tirement du filet, l&rsquo;activation des couteaux, l&rsquo;abaissement de la trappe de d&eacute;bourrage si besoin. Son compteur de balles offre 10 comptages temporaires auxquels s&rsquo;ajoutent un permanent.Elles sont &eacute;quip&eacute;es de s&eacute;rie du graissage centralis&eacute; de tous les roulements&nbsp;(graissage automatique en option sur la V8950) et du freinage hydraulique en standard. Parmi les options figurent un kit sp&eacute;cial chanvre du liage ficelle, le freinage pneumatique ou encore un capteur d&rsquo;humidit&eacute;.

Les nouvelles presses à chambre variable sont proposées en deux versions, avec ou sans couteaux. Elles acceptent un filet jusqu’à 1300 mm de large et 4500 mm de longueur.

Une chambre de 0,70 m à 1,90 m pour les V8 de McHale

Les d&eacute;fenseurs de la viande ont perdu leur bataille face au v&eacute;g&eacute;tal. La Commission Europ&eacute;enne a statu&eacute; sur le fait que le burger v&eacute;g&eacute;tal n&rsquo;induit pas le consommateur &agrave; la confusion et permet donc l&rsquo;utilisation des d&eacute;nominations utilis&eacute;es pour la viande dans le secteur v&eacute;g&eacute;tal. Ce coup dur n&rsquo;aura pas d&rsquo;impact imm&eacute;diat dans le comportement des m&eacute;nages, mais l&rsquo;encrage se fera sur le long terme.Le climat commercial se durcit au rythme des restrictions Covid. Les industriels ont peu de besoins et se retrouvent avec de gros stocks d&rsquo;aloyaux. Le reconfinement impacte tr&egrave;s fortement la restauration qu&rsquo;elle soit traditionnelle, sp&eacute;cialis&eacute;e viande ou dans les fast-foods. De grosses op&eacute;rations sont effectu&eacute;es dans les GMS, mais cela reste insuffisant pour d&eacute;sengorger les frigos. Une partie de ces stocks passe au hachoir pour la fabrication de minerai, y compris pour les faux-filets d&rsquo;entr&eacute;e de gamme qui ne trouvent pas preneur &agrave; cette saison. Cette crise laisse encore la part belle aux distributeurs qui ont &eacute;t&eacute; d&eacute;valis&eacute;s les magasins, comme en mars. Des stocks de p&acirc;tes, farines, PQ, mais de steak hach&eacute; ont &eacute;t&eacute; reconstitu&eacute;s. Ce mouvement est &eacute;galement observ&eacute; dans la viande Bio qui enregistre &eacute;galement un recul des ventes sur les parties nobles au profit de la viande hach&eacute;e.

Le reconfinement bouleverse le commerce.

Bovin : conjoncture sem 44-2020

En broutards&nbsp;et taurillons 12-18 mois&nbsp;: Le commerce reste sous une tr&egrave;s forte tension sur le march&eacute; du broutard avec une offre plus importante apr&egrave;s une semaine d&eacute;di&eacute;e aux semis de bl&eacute; et &agrave; la r&eacute;tention d&rsquo;animaux chez certains &eacute;leveurs. La demande italienne se tasse face &agrave; un nombre de places moins important en raison du recul des abattages (couvre-feux, confinement et fermeture des restaurants).&nbsp; L&rsquo;absence de relais sur les autres destinations limite la concurrence sur les march&eacute;s Les transactions sont tendues avec des tarifs revus &agrave; la baisse dans les Charolais et les crois&eacute;s. De nombreux invendus ont &eacute;t&eacute; observ&eacute;s, avec des &eacute;leveurs qui ne veulent plus brader leurs animaux, mais qui se trouvent pris en &eacute;taux entre les co&ucirc;ts plus &eacute;lev&eacute;s de production (paille, c&eacute;r&eacute;ales&hellip;) et des places qu&rsquo;il va falloir lib&eacute;rer pour rentrer les m&egrave;res &agrave; l&rsquo;entr&eacute;e de l&rsquo;hiver.&nbsp; Dans les femelles, si les bonnes vaccin&eacute;es restent recherch&eacute;es et correctement valoris&eacute;es, la situation est plus compliqu&eacute;e dans les ordinaires ou l&eacute;g&egrave;res.En bovins maigres + 18 mois&nbsp;: L&rsquo;offre saisonni&egrave;re reste &eacute;toff&eacute;e, mais la qualit&eacute; tend en revanche &agrave; baisser. L&rsquo;animation commerciale reste correcte sur les march&eacute;s ou les cadrans pour le bon maigre d&rsquo;embouche qui se valorise encore tr&egrave;s correctement au regard de l&rsquo;ambiance qui r&egrave;gne dans la viande. La qualit&eacute; de l&rsquo;offre reste en revanche amoindrie par la s&eacute;cheresse dans le milieu de gamme. La demande saisonni&egrave;re se r&eacute;tracte dans le b&eacute;tail &agrave; finir tardivement sur l&rsquo;hiver, car les frais de nourriture sont plus importants.Avis d&rsquo;expert&nbsp;: Broutards&nbsp;: Le commerce restera li&eacute; au niveau d&rsquo;activit&eacute; dans le jeune bovin, or celui-ci reste p&eacute;nalis&eacute;e par le covid.Bovins maigres +18 mois&nbsp;: Les bonnes femelles resteront correctement valoris&eacute;es. La vente restera s&eacute;lective dans les animaux l&eacute;gers ou trop maigres.

Mauvais commerce dans les mâles

Bovins maigres : analyse commerciale sem 44-2020

Veaux&nbsp;: Pas de grand changement d&rsquo;orientation commerciale, avec une offre qui reste largement suffisante pour la couverture des besoins des int&eacute;grateurs, m&ecirc;me si ces derniers ont quelque peu relev&eacute; leurs mises en place depuis 15 jours. Le march&eacute; espagnol reste le seul exutoire de nos exc&eacute;dents, mais avec des contraintes PCR. L&rsquo;accroissement du nombre de cas positif est un casse-t&ecirc;te pour les exportateurs et devient inqui&eacute;tant pour les semaines &agrave; venir. Les tarifs des veaux Holsteins, Normands ou Montb&eacute;liards sont stables y compris dans les veaux lourds pour l&rsquo;Espagne. Les veaux l&eacute;gers restent invendables. Le commerce demeure s&eacute;lectif dans les crois&eacute;s laitiers, jaunes ou blanc bleus de moyenne conformation, mais pour des tarifs &eacute;galement sans changement. Les crois&eacute;s/Montb&eacute;liards ou Blanc bleus viand&eacute;s (U) sont peu offerts et se maintiennent. Dans les Limousins, l&rsquo;offre saisonni&egrave;re est plus &eacute;toff&eacute;e ce qui permet une pression sur les prix de la part des acheteurs. &nbsp;Veaux de boucherie&nbsp;: Alors que la viande de veau souffre comme toutes les viandes de la restriction de la RHF et du couvre-feu, les campagnes de communication sont les bienvenues et participent &agrave; mettre en avant ces produits dans les magasins &agrave; destination de la consommation familiale. Quand le veau est mis en avant, les m&eacute;nag&egrave;res ach&egrave;tent. La maitrise des volumes de sortie (apr&egrave;s le marasme du d&eacute;but d&rsquo;ann&eacute;e) participe &agrave; une meilleure tenue des cours que ce soit dans les veaux standards&nbsp; ou dans les veaux sous la m&egrave;re.Avis d&rsquo;expert&nbsp;: Veaux d&rsquo;engraissement&nbsp;: Le march&eacute; sera &agrave; l&rsquo;&eacute;quilibre avec des tarifs stables &nbsp;&nbsp;&nbsp;Veaux de race &agrave; viande&nbsp;: Les acheteurs vont maintenir la pression sur les Limousins. &nbsp;Veaux de boucherie&nbsp;: Le reconfinement va compliquer le commerce vers la RHF, mais la modestie de l&rsquo;offre devrait permettre de mieux r&eacute;sister qu&rsquo;au printemps &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;

Stabilisation des prix

Veau : analyse commerciale sem 44-2020

Bovins races allaitantes&nbsp;: Sur les march&eacute;s, les transactions sont tr&egrave;s calmes avec une demande de plus en plus cibl&eacute;e. L&rsquo;activit&eacute; reste convenable de la part de la boucherie traditionnelle, mais le recul des ventes dans les pi&egrave;ces nobles est tr&egrave;s marqu&eacute; en direction de la restauration, avec de gros reports de stock sur Rungis. La r&eacute;mun&eacute;ration des viandes haut de gamme ou label reste relativement stable avec souvent des partenariats de longue date avec les &eacute;leveurs, mais les volumes commercialis&eacute;s sont &agrave; la baisse. Les tarifs se maintiennent, mais dans un commerce sans entrain dans les femelles Blondes d&rsquo;Aquitaine, Parthenaises, Limousines, Aubracs ou Charolaises de qualit&eacute; bouch&egrave;re. Les semis de bl&eacute;s ont peu d&rsquo;impact sur le commerce au regard des faibles besoins. La politique commerciale des grands groupes permet d&rsquo;&eacute;viter un effondrement du march&eacute; m&ecirc;me si toutes les Charolaises R= commercialis&eacute;es sont loin d&rsquo;&ecirc;tre r&eacute;mun&eacute;r&eacute;es &agrave; 4&euro; dans les campagnes. Les animaux de moindre conformation, maigres ou trop &acirc;g&eacute;s sont entra&icirc;n&eacute;s &agrave; la baisse. R&eacute;formes laiti&egrave;res &ndash; Le march&eacute; est &agrave; l&rsquo;&eacute;quilibre avec des op&eacute;rateurs rassur&eacute;s par le maintien de la restauration scolaire. Les ventes en direction des m&eacute;nages se sont renforc&eacute;es depuis l&rsquo;annonce du reconfinement. On retrouve un peu le sc&eacute;nario du confinement de mars. Les tarifs se maintiennent dans les bonnes vaches Prim&rsquo;Holsteins, Normandes ou Montb&eacute;liardes viand&eacute;es. Les tarifs ont en revanche perdu de 0,25 &agrave; 0,50&euro;/kg de carcasse en un mois dans l&rsquo;entr&eacute;e de gamme avec de nombreuses vaches en manque de viande et de finition. Les taureaux de r&eacute;formes sont stables.Jeunes bovins &ndash; Le reconfinement des populations en Italie a de nouveau un impact sur nos exp&eacute;ditions. Les abatteurs ont r&eacute;duit leur activit&eacute; JB. Le climat commercial reste tendu avec une concurrence espagnole tr&egrave;s forte avec co&ucirc;ts de revient moins &eacute;lev&eacute;s qu&rsquo;en France. Les cours sont stables dans les Charolais ou Limousins de poids convenables. Les tr&egrave;s lourds restent p&eacute;nalis&eacute;s. Les JB R travaill&eacute;s pour le march&eacute; int&eacute;rieur demeurent faiblement valoris&eacute;s. Dans les Blonds d&rsquo;Aquitaine rajeunis, les tarifs se tiennent, mais le placement est plus compliqu&eacute; dans les lourds.Avis d&rsquo;expert&nbsp;: Bovins races allaitantes&nbsp;: La demande va se tasser dans les allaitantes. &nbsp;Bovins races laiti&egrave;res&nbsp;: Le commerce devrait se tenir dans les r&eacute;formes laiti&egrave;res.Jeunes bovins&nbsp;: Les industriels sont r&eacute;duire leur niveau d&rsquo;abattage, mais les tarifs devraient se tenir.

Les aloyaux de nouveau en stock

Bovin de boucherie : analyse commerciale sem 44-2020

L&rsquo;activit&eacute; commerciale reste tendue dans le secteur aval avec une demande en repli dans la RHF et la restauration. La modestie saisonni&egrave;re de l&rsquo;offre dans les agneaux bien conform&eacute;s et surtout bien finis permet de tenir les prix. Les agneaux l&eacute;gers ou le second choix restent p&eacute;nalis&eacute;s. Les bonnes brebis demeurent demand&eacute;es.&nbsp;Avis d&rsquo;expert&nbsp;: Le recul des ventes dans le secteur aval risque d&rsquo;impacter le march&eacute; du vif. &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;

Les tarifs restent attractifs malgré le recul de la demande

Ovin : analyse commerciale sem 44-2020

La vie des pucerons est tr&egrave;s conditionn&eacute;e par la m&eacute;t&eacute;o. Les temp&eacute;ratures journali&egrave;res notamment peuvent exercer une influence importante sur leur activit&eacute;. Par exemple, la multiplication des individus est d&rsquo;autant plus importante que les temp&eacute;ratures sont &eacute;lev&eacute;es. Avoir en t&ecirc;te certains seuils, bien qu&rsquo;indicatifs, peut &ecirc;tre utile pour identifier les p&eacute;riodes propices &agrave; l&rsquo;observation des pucerons et estimer l&rsquo;&eacute;volution des populations. - A partir de 12&deg;C environ, les individus ail&eacute;s peuvent reprendre le vol. Une migration vers des parcelles indemnes de colonies est ainsi possible. L&rsquo;absence de pluie est d&rsquo;autant plus favorable aux vols. - Avec des temp&eacute;ratures inf&eacute;rieures &agrave; 3&deg;C, les pucerons ne sont pas actifs mais ils peuvent survivre&nbsp;! Au laboratoire, le seuil de mortalit&eacute; significative est bien plus bas : entre -5 et -12&deg;C en fonction des esp&egrave;ces. Si les pr&eacute;cipitations peuvent limiter les nouvelles arriv&eacute;es d&rsquo;ail&eacute;s dans la parcelle, elles affectent peu la prolif&eacute;ration et la diss&eacute;mination des pucerons apt&egrave;res d&egrave;s lors que les temp&eacute;ratures restent douces.<h2>Douceur et peu de pluies : des conditions favorables aux pucerons</h2>Depuis le 21 octobre, et au moins jusqu&rsquo;au 2 novembre, la douceur qui s&rsquo;est install&eacute;e sur la r&eacute;gion est id&eacute;ale pour l&rsquo;arriv&eacute;e des ail&eacute;s dans les parcelles et la multiplication des apt&egrave;res d&eacute;j&agrave; en place sur les plantes. Les quelques cr&eacute;neaux ensoleill&eacute;s annonc&eacute;s pour ce week-end de la Toussaint faciliteront leur observation. Il faudra donc saisir cette opportunit&eacute; pour faire le point !L&rsquo;observation des pucerons dans les parcelles est primordiale pour &eacute;valuer le risque. La fr&eacute;quence de plantes habit&eacute;es dans la parcelle reste le seul indicateur pertinent. Sur jeune plante, les pucerons sont assez facilement visibles sur les feuilles &agrave; condition de respecter quelques r&egrave;gles pour l&rsquo;observation : - O&ugrave; ? Privil&eacute;gier les zones &agrave; risque de vos parcelles : proches des haies ou de r&eacute;servoirs potentiels tels que des bandes enherb&eacute;es, jach&egrave;res, ma&iuml;s&hellip; - Comment ? Rechercher la pr&eacute;sence de pucerons sur des s&eacute;ries de 10 plantes (plusieurs lignes de semis). - Quand ? Privil&eacute;gier si possible les conditions ensoleill&eacute;es, durant les heures les plus chaudes de la journ&eacute;e (fin de matin&eacute;e et d&eacute;but d&rsquo;apr&egrave;s-midi). T&ocirc;t le matin ou en conditions froides et pluvieuses, les pucerons sont beaucoup plus difficiles &agrave; voir car ils sont souvent positionn&eacute;s &agrave; l&rsquo;insertion des feuilles ou au pied des plantules.Il est recommand&eacute; d&rsquo;intervenir quand la pr&eacute;sence de puceron(s) est observ&eacute;e dans la parcelle pendant plus de 10 jours ou d&egrave;s lors que 10&nbsp;% des plantes sont porteuses de pucerons.[Messagerie Centre/Ile-de-France/Auvergne]Arvalis - Institut du v&eacute;g&eacute;tal

Une baisse des températures moyenne a marqué le début du mois d’octobre. Depuis, les précipitations et le thermomètre font le yoyo. Quel impact peuvent avoir ces conditions climatiques changeantes sur l’activité des pucerons ?

Céréales : la météo actuelle est-elle favorable aux pucerons ?

2019-2020 a vu en Creuse une nouvelle baisse du nombre de cheptels IBR positifs et l&rsquo;absence de nouveau foyer de contamination.Une situation creusoise favorable avec 98 % de cheptels &laquo;&nbsp;indemne d&rsquo;IBR&nbsp;&raquo;, facilitant les &eacute;changes pour la France ou l&rsquo;international<a id="_Hlk524016028"></a>puisque des d&eacute;rogations au contr&ocirc;le IBR &agrave; l&rsquo;introduction sont alors possibles mais &eacute;galement &agrave; l&rsquo;export, certains pays exigeants des animaux issus de cheptels indemnes d&rsquo;IBR.Pas de contamination de cheptel sur la campagneDepuis octobre 2016, le Laboratoire D&eacute;partemental d&rsquo;Analyses d&rsquo;Ajain dispose d&rsquo;un outil de confirmation sur sang, le test gE. Un bovin est d&eacute;sormais conclu positif s&rsquo;il r&eacute;agit &agrave; 3 tests diff&eacute;rents cons&eacute;cutivement. Cette am&eacute;lioration technique a permis de limiter les r&eacute;sultats positifs isol&eacute;s dans les cheptels mais comme pour toute analyse, il peut y avoir des positivit&eacute;s li&eacute;es &agrave; des r&eacute;actions crois&eacute;es avec d&rsquo;autres herpes virus. C&rsquo;est ce qui explique la d&eacute;couverte d&rsquo;un bovin positif dans 3 cheptels indemnes cette ann&eacute;e. Nous n&rsquo;avons pas observ&eacute; de contamination de cheptel indemne, en revanche, nous enregistrons, dans 20 % des &eacute;levages avec des positifs connus, l&rsquo;apparition de nouveaux animaux contamin&eacute;s. Cela vient rappeler que la vaccination est un outil int&eacute;ressant pour limiter les r&eacute;excr&eacute;tions mais la seule solution fiable &agrave; long terme est la r&eacute;forme de tous les animaux positifs d&rsquo;un cheptel.&nbsp; 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/gallery/4/2/6/9/3539624-1-fre-FR/14311f512d2f-2020-09-30-evolution-nombre-cheptels-ibr-positifs-jpg" alt="" height="344" width="641" /><figcaption>.</figcaption></figure>

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Des &eacute;levages statu&eacute;s non conformes pour d&eacute;faut de r&eacute;alisation de prophylaxieDans le cadre du contexte covid, de la souplesse avait &eacute;t&eacute; accord&eacute;e aux &eacute;leveurs et aux v&eacute;t&eacute;rinaires pour la p&eacute;riode de r&eacute;alisation de la prophylaxie. Cependant, tous les cheptels doivent &ecirc;tre d&eacute;pist&eacute;s sur la campagne et les 13 &eacute;levages n&rsquo;ayant pas fini leur prophylaxie au 30 septembre ont &eacute;t&eacute; d&eacute;qualifi&eacute;s avec le statut &laquo;&nbsp;non conforme&nbsp;&raquo;. Leurs ASDA portent la mention &laquo;&nbsp;positif IBR&nbsp;&raquo; et ils devront r&eacute;aliser une campagne de prophylaxie sur les animaux de plus de 12 mois pour lever cette non-conformit&eacute;.Une vigilance lors de tous les mouvements d&rsquo;animaux avec un isolement imp&eacute;ratifLors des mouvements, le stress occasionn&eacute; sur les animaux entra&icirc;ne une baisse des d&eacute;fenses immunitaires qui favorise l&rsquo;excr&eacute;tion du virus par les bovins infect&eacute;s. C&rsquo;est le principal facteur de risque de contamination de votre troupeau. Si un bovin introduit a &eacute;t&eacute; en contact avec des animaux sans garantie IBR (passage par un centre de rassemblement, livraison group&eacute;e, retour de march&eacute; au cadran&hellip;), l&rsquo;animal est &agrave; isoler et &agrave; contr&ocirc;ler par une prise de sang pour analyse IBR entre 15 et 30 jours. Une r&eacute;flexion est en cours avec les op&eacute;rateurs commerciaux afin de leur rappeler la n&eacute;cessaire s&eacute;paration des circuits et de d&eacute;finir les modalit&eacute;s pratiques de mise en place. Pour les rassemblements avec garantie (concours, comices&hellip;), le risque IBR est alors maitris&eacute; mais l&rsquo;isolement reste l&agrave; aussi n&eacute;cessaire pour les autres maladies (BVD, grippe).Une premi&egrave;re &eacute;tape avec l&rsquo;arr&ecirc;t&eacute; minist&eacute;riel IBR de mai 2016Cet arr&ecirc;t&eacute; visait l&rsquo;&eacute;radication de l&rsquo;IBR avec l&rsquo;attribution d&rsquo;un statut IBR &agrave; chaque &eacute;levage, le renforcement de la surveillance et de l&rsquo;assainissement avec des restrictions &agrave; la circulation des bovins issus de cheptels non-indemnes d&rsquo;IBR.&nbsp;Cela a permis de faire passer le nombre de cheptels d&eacute;tenant des animaux positifs de 50 en 2016 &agrave; 12 en 2020 ! Des d&eacute;rogations au contr&ocirc;le IBR &agrave; l&rsquo;introduction peuvent intervenir si les bovins sont issus de troupeaux indemnes d&rsquo;IBR avec un transport direct. Sur un an, en Creuse, plus de 8.000 bovins ont pu en b&eacute;n&eacute;ficier. Rappelons que la d&eacute;rogation ne concerne que l&rsquo;IBR et qu&rsquo;il est n&eacute;cessaire de rester vigilant vis &agrave; vis d&rsquo;autres maladies (BVD, paratuberculose, n&eacute;osporose, besnoitiose&hellip;) avec une prise en charge de 50 % des frais d&rsquo;analyses dans le cadre du billet de garantie conventionnelle.De nouvelles r&egrave;gles dans le cadre de la Loi de Sant&eacute; Animale europ&eacute;ennePour rappel, ce texte qui vise &agrave; harmoniser les r&egrave;gles sanitaires animales dans les pays de l&rsquo;union europ&eacute;enne devrait &ecirc;tre promulgu&eacute; en avril 2021. Son p&eacute;rim&egrave;tre est tr&egrave;s vaste car il concerne toutes les esp&egrave;ces et la plupart des maladies. Les grands objectifs sont&nbsp;:<ul><li>Fixer les grands principes de pr&eacute;vention et d&rsquo;&eacute;radication contre les maladies animales, </li><li>Renforcer la pr&eacute;vention et la bios&eacute;curit&eacute;</li><li>Viser une meilleure d&eacute;tection et un meilleur contr&ocirc;le des maladies animales, y compris des maladies &eacute;mergentes li&eacute;es au changement climatique, </li><li>Permettre une utilisation renforc&eacute;e des nouvelles technologies pour les activit&eacute;s de sant&eacute; animale (surveillance des pathog&egrave;nes ou identification &eacute;lectronique)</li><li>Clarifier les responsabilit&eacute;s des op&eacute;rateurs, des v&eacute;t&eacute;rinaires, des laboratoires, des autorit&eacute;s comp&eacute;tentes. </li><li>Viser &agrave; faciliter le commerce tout en prot&eacute;geant la sant&eacute; du cheptel et la s&eacute;curit&eacute; sanitaire. </li></ul>Des all&egrave;gements pour les cheptels indemnes, plus de contraintes pour les autresLes grandes lignes de la r&eacute;glementation ont &eacute;t&eacute; communiqu&eacute;es et le programme fran&ccedil;ais de gestion de l&rsquo;IBR a &eacute;t&eacute; reconnu au niveau europ&eacute;en. Cela va permettre aux &eacute;levages &laquo;&nbsp;indemne d&rsquo;IBR&nbsp;&raquo; de b&eacute;n&eacute;ficier directement d&rsquo;un all&egrave;gement de prophylaxie. Si le calendrier est respect&eacute;, d&egrave;s le 01 octobre 2021, un tiers des animaux seulement seront d&eacute;sign&eacute;s pour &ecirc;tre analys&eacute;s en s&eacute;rologie de m&eacute;lange, avec des &eacute;conomies importantes &agrave; la cl&eacute;. Pour les &eacute;levages en assainissement, le d&eacute;pistage concernera toujours tous les animaux de plus de 12 mois, mais les analyses seront faites en individuel avec un surco&ucirc;t important. D&rsquo;autres &eacute;volutions sont &eacute;galement &agrave; pr&eacute;voir, comme l&rsquo;obligation d&rsquo;&eacute;liminer les animaux positifs dans les cheptels &agrave; faible pr&eacute;valence ou la qualification &laquo;&nbsp;indemne d&rsquo;IBR&nbsp;&raquo; d&rsquo;ateliers d&rsquo;engraissement d&eacute;rogataires.Concernant les mouvements, pour les animaux issus de cheptels indemnes en transport direct et maitris&eacute;, la d&eacute;rogation sera toujours possible. En revanche, les animaux des cheptels en assainissement ne pourront &ecirc;tre vendus pour l&rsquo;&eacute;levage qu&rsquo;apr&egrave;s une mise en quarantaine agr&eacute;&eacute;e et contr&ocirc;le au moins 21 j apr&egrave;s le d&eacute;but de la quarantaine.&nbsp; 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/gallery/7/2/6/9/3539627-1-fre-FR/0f015c2b73f1-transport-circuits-ibr-jpg" alt="" height="2688" width="6585" /><figcaption>.</figcaption></figure>

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Un d&eacute;partement &laquo;&nbsp;indemne d&rsquo;IBR&nbsp;&raquo;, pour un b&eacute;n&eacute;fice individuel et collectifAu niveau individuel, un cheptel &laquo;&nbsp;indemne d&rsquo;IBR&nbsp;&raquo; vous permet de b&eacute;n&eacute;ficier d&rsquo;avantages pour la commercialisation et, au niveau collectif, notre situation creusoise laisse entrevoir un all&egrave;gement de la prophylaxie. Pour finaliser cette &eacute;radication, nous sensibilisons chaque &eacute;leveur d&eacute;tenant des bovins positifs et restons tr&egrave;s attentifs aux bovins ayant transit&eacute; par des rassemblements ou allotements. &nbsp;Nous mettons &agrave; disposition des outils&nbsp;: formulaire de demande de d&eacute;rogation, billet de garantie conventionnelle, &eacute;tiquettes &laquo;&nbsp;Bovin non d&eacute;pist&eacute; IBR&nbsp;&raquo; et &laquo;&nbsp;Bovin positif IBR&nbsp;&raquo; &agrave; coller sur les ASDA, marquage &laquo;&nbsp;Positif IBR&nbsp;&raquo; des ASDA. Notre engagement est &eacute;galement financier (mutualisation des co&ucirc;ts d&rsquo;analyses, aide &agrave; la vaccination&hellip;). Le &laquo;&nbsp;J&rsquo;apporte des garanties&nbsp;&raquo; reste un point majeur de notre concept &laquo;&nbsp;Le sanitaire&hellip; j&rsquo;adh&egrave;re&nbsp;!&nbsp;&raquo;.&nbsp;Pour tout renseignement compl&eacute;mentaire, contactez votre v&eacute;t&eacute;rinaire sanitaire, la DDCSPP ou nous-m&ecirc;mes.Dr Boris BOUBET &ndash; Christophe LE MAUX &ndash; GDS Creuse

La situation de l’IBR en Creuse continue à évoluer favorablement mais il convient de rester vigilant. Avec la promulgation de la Loi de Santé Animale européenne au printemps 2021, les modalités de dépistage en élevage devraient être modifiées, avec un allègement pour les élevages indemnes

L’IBR en Creuse, bilan et perspectives La Loi de Santé Animale européenne et ses impacts sur la prophylaxie

Pour l'ann&eacute;e 2020, l'OIV, bas&eacute;e &agrave; Paris, estime la production mondiale de vin &agrave; 258 millions d'hectolitres (Mhl), apr&egrave;s 256 Mhl en 2019. "Pour la deuxi&egrave;me ann&eacute;e cons&eacute;cutive, le volume de production peut &ecirc;tre d&eacute;fini comme "sous la moyenne", ce qui n'est pas n&eacute;cessairement une mauvaise nouvelle pour le secteur viticole &eacute;tant donn&eacute; le contexte actuel o&ugrave; les tensions g&eacute;opolitiques, l'&eacute;pid&eacute;mie de Covid-19 et le changement climatique ont g&eacute;n&eacute;r&eacute; un tr&egrave;s haut niveau de volatilit&eacute; et d'incertitude sur le march&eacute; mondial du vin" a d&eacute;clar&eacute; l'Espagnol Pau Roca, directeur g&eacute;n&eacute;ral de l'OIV, lors d'une pr&eacute;sentation des chiffres annuels le 27 octobre.L'OIV anticipe en effet une baisse des ventes de vin de quelque 10% sur la plan&egrave;te cette ann&eacute;e, marqu&eacute;e par les circonstances exceptionnelles de la pand&eacute;mie et du confinement qui ont ferm&eacute; tous les restaurants du monde quasiment en m&ecirc;me temps, et des taxes am&eacute;ricaines sur plusieurs vins europ&eacute;ens.Dans l'Union europ&eacute;enne, la r&eacute;colte est estim&eacute;e &agrave; 159 Mhl, soit 5% de plus qu'en 2019, avec un recul de 1% du premier producteur mondial, l'Italie, &agrave; 47,2 Mhl, une tr&egrave;s l&eacute;g&egrave;re progression de 4% en France (43,9 Mhl), le deuxi&egrave;me mondial, et un bond de 11% en Espagne (37,5 Mhl), le troisi&egrave;me.<aside class="read-also">
 &Agrave; voir aussi
 <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/une-production-viticole-en-hausse-mais-des-nuages-qui-s-amoncellent" target="_blank" title="">Une production viticole en hausse mais des nuages qui s'amoncellent</a>
</aside>
La production de chacun de ces pays - qui repr&eacute;sentent &agrave; eux trois 49% de la production mondiale de vin - est en dessous de leur moyenne quinquennale respective 2015-2020, souligne l'OIV. Ceci r&eacute;sulte aussi bien de conditions m&eacute;t&eacute;orologiques que de mesures de r&eacute;gulation du march&eacute; en amont, certains vignobles ayant volontairement r&eacute;duit leurs volumes pour ne pas trop affecter les prix d&eacute;j&agrave; tir&eacute;s vers le bas par la crise du Covid-19.<h2 class="MsoPlainText">Ouragans, s&eacute;cheresse et feux de for&ecirc;ts</h2>L'OIV souligne aussi l'impact des ouragans, s&eacute;cheresses et feux de for&ecirc;ts dans plusieurs r&eacute;gions du monde, qui ont affect&eacute; beaucoup de domaines viticoles. Principale victime des al&eacute;as climatiques cette ann&eacute;e, l'Argentine qui a vu sa production baisser de 17% par rapport &agrave; 2019 et de 13% par rapport &agrave; la moyenne quinquennale, &agrave; 10,8 M hl, en raison du ph&eacute;nom&egrave;ne El Nino. En Am&eacute;rique du Sud, le Chili qui accuse un recul de 13% de sa production 2020, &agrave; 10,3 Mhl, a lui aussi souffert de la s&eacute;cheresse.Quant &agrave; l'Australie, elle a subi un fort d&eacute;clin de sa production viticole, &agrave; 10,6 M hl (-11% par rapport &agrave; 2019 et -16% par rapport &agrave; sa moyenne quinquennale) : "Les s&eacute;cheresses ont r&eacute;duit les rendements, et durant les incendies qui ont eu lieu &agrave; la saison des vendanges, les fum&eacute;es ont souill&eacute; les grappes", explique l'OIV.Idem aux &Eacute;tats-Unis : si les premi&egrave;res estimations de l'OIV, bas&eacute;es sur celles du minist&egrave;re am&eacute;ricain de l'agriculture (USDA), tablent sur une production am&eacute;ricaine de vin de 24,7 Mhl en 2020, soit une hausse de 1% par rapport &agrave; celle de 2019, l'OIV pr&eacute;vient que ce chiffre pourrait &ecirc;tre "revu significativement dans les mois &agrave; venir" lorsque "les effets r&eacute;els des feux dans les vall&eacute;es viticoles de Napa et Sonoma seront &eacute;valu&eacute;s".<aside class="read-also">
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 <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/vigne-vin~des-arbres-entre-les-vignes-pour-s-adapter-au-rechauffement-climatique" target="_blank" title="">Des arbres entre les vignes pour s'adapter au r&eacute;chauffement climatique</a>
</aside>
En revanche, l'Afrique du Sud, qui avait beaucoup souffert de la s&eacute;cheresse et du manque d'eau les deux ann&eacute;es pass&eacute;es, a vu sa production "revenir &agrave; la normale", &agrave; 10,4 Mhl, une hausse de 7% par rapport &agrave; 2019.M. Roca ne "pense pas" qu'&agrave; long terme le changement climatique "affectera" les volumes mondiaux de production de vin, car "une r&eacute;gion en compensera une autre", a-t-il dit lors de son intervention.La hausse de 2% de la production de vin en Russie, a &eacute;t&eacute; soulign&eacute;e par l'OIV, le Russe devenant une de ses langues officielles. "C'est bien qu'ils deviennent producteurs, ils entrent au club des producteurs et consommateurs !" a lanc&eacute; M. Roca.

La production mondiale de vin devrait être globalement stable en 2020, selon l'Organisation internationale de la vigne et du vin (OIV) qui s'inquiète de l'impact du changement climatique sur la vigne, les vendanges 2020 s'inscrivant "sous la moyenne" des cinq dernières années.

Une vendange mondiale stable en 2020, mais "sous la moyenne"

L'agron&eacute;goce &eacute;tats-unien Bunge, membre des quatre plus gros n&eacute;gociants mondiaux de mati&egrave;res premi&egrave;res agricoles ABCD, a annonc&eacute;, dans un communiqu&eacute; en date du 28 octobre, des r&eacute;sultats positifs sur janvier-septembre 2020, en raison notamment des importantes ventes de soja en provenance du Br&eacute;sil. Rappelons que ces derni&egrave;res ont &eacute;t&eacute; tr&egrave;s nombreuses, boost&eacute;es par l'app&eacute;tit chinois, mais aussi par la faiblesse du r&eacute;al br&eacute;silien par rapport au dollar &eacute;tats-unien, permettant aux agriculteurs br&eacute;siliens une entr&eacute;e massive de devise.

<div class="sequence"><a href="https://www.reussir.fr/ladepeche/multiplication-par-cinq-des-importations-chinoises-de-mais-entre-20192020-et-20202021-selon-agritel">Lire aussi : "Multiplication par cinq des importations chinoises de ma&iuml;s en 2020/2021 par rapport &agrave; la moyenne des cinq derni&egrave;res ann&eacute;es, selon Agritel !"</a></div>

Les ventes de grains en g&eacute;n&eacute;ral depuis l'Am&eacute;rique latine (on pense notamment au ma&iuml;s br&eacute;silien) ont, entre autres, permis &agrave; l'agron&eacute;goce de renouer avec les profits. Le revenu net attribuable &agrave; Bunge s'&eacute;l&egrave;ve &agrave; 594 millions de dollars (M$) sur janvier-septembre 2020, contre une perte de 1,229 milliard de dollars (Md$) l'an dernier sur la m&ecirc;me p&eacute;riode. En 2019, Bunge avait d&ucirc; passer une importante provision exceptionnelle sur ses activit&eacute;s br&eacute;siliennes.

Les marges de trituration de soja sont bonnes actuellement, cons&eacute;quence de la bonne dynamique de la demande en graines ol&eacute;agineuses, en huiles et en tourteaux en Europe, en Am&eacute;rique latine et en Asie. La pand&eacute;mie de Covid-19 n'a pas perturb&eacute; de mani&egrave;re significative la cha&icirc;ne d'approvisionnement, selon Bunge. Ainsi, les sites industriels et logistiques du n&eacute;goce ont fonctionn&eacute; &laquo; &agrave; des niveaux normaux ou presque &raquo;, explique le communiqu&eacute;.

<h3 class="MsoPlainText">Bunge pr&eacute;voit une hausse de son b&eacute;n&eacute;fice net par action sur le quatri&egrave;me trimestre 2020</h3>

Bunge se montre optimiste quant &agrave; l'avenir gr&acirc;ce &agrave; ces bons r&eacute;sultats, malgr&eacute; la nouvelle vague de pand&eacute;mie de Covid-19. Alors que le b&eacute;n&eacute;fice net par action s'&eacute;l&egrave;ve lors du troisi&egrave;me trimestre 2020 &agrave; 1,84 $, et &agrave; 3,98 $ sur la p&eacute;riode janvier-juin 2020, le groupe table sur un chiffre pour l'ann&eacute;e 2020 entre 6,25 et 6,75 $.

L'agronégoce états-unien renoue avec les profits. Le revenu net attribuable à Bunge s'élève à 594 millions de dollars lors des neuf premiers mois de l'année 2020, après une année 2019 dans le rouge.

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