Cuma du Lot : quand le bâtiment va !

Quand le bâtiment va, tout va. L’adage pourrait bien s’appliquer aux Cuma, toujours plus nombreuses à investir dans des bâtiments. L’enjeu dépasse la simple mise à l’abri du matériel, qui sera au passage mieux exploité, mieux suivi, mieux entretenu et au final mieux revendu.  « Le Hangar, ce n’est pas seulement le toit du matériel », déclare Natalie Hugon, animatrice à la FDCuma du Lot. « C’est aussi le toit des adhérents et du personnel. C’est un marqueur de professionnalisation et de projection dans l’avenir ». Challenge Cuma du Lot 2017 Chaque année, dans le cadre du Challenge Cuma, soutenu et abondé soutenu par le Crédit Agricole Nord Midi-Pyrénées à hauteur de 6000 euros, la FDCuma du Lot distingue une dizaine de Cuma pour des investissements porteurs de nouvelles techniques, de nouvelles pratiques agroécologiques, de nouvelles organisations du travail. En 2017, trois des huit projets primés ont concerné les bâtiments. Que l’on se rassure : les Cuma n’ont pas abandonné leur mission première, consistant à mettre à disposition des adhérents le meilleur matériel au meilleur prix. La sophistication et le renchérissement du matériel conduisent de plus en plus souvent les Cuma à mettre les équipements entre les mains de salariés. Un gage de bonne conduite du matériel, mais pas seulement. « La présence d’un salarié est de nature à améliorer la qualité de service aux adhérents », analyse Natalie Hugon. « C’est un autre axe de professionnalisation des Cuma ».

L'enjeu dépasse la simple mise à l'abri du matériel, qui sera au passage mieux exploité, mieux suivi, mieux entretenu et au final mieux revendu.  « Le Hangar, ce n'est pas seulement le toit du matériel », déclare Natalie Hugon, animatrice à la FDCuma du Lot. « C'est aussi le toit des adhérents et du personnel. C'est un marqueur de professionnalisation et de projection dans l'avenir ».

Challenge Cuma du Lot 2017

Chaque année, dans le cadre du Challenge Cuma, soutenu et abondé soutenu par le Crédit Agricole Nord Midi-Pyrénées à hauteur de 6000 euros, la FDCuma du Lot distingue une dizaine de Cuma pour des investissements porteurs de nouvelles techniques, de nouvelles pratiques agroécologiques, de nouvelles organisations du travail. En 2017, trois des huit projets primés ont concerné les bâtiments. Que l'on se rassure : les Cuma n'ont pas abandonné leur mission première, consistant à mettre à disposition des adhérents le meilleur matériel au meilleur prix. La sophistication et le renchérissement du matériel conduisent de plus en plus souvent les Cuma à mettre les équipements entre les mains de salariés. Un gage de bonne conduite du matériel, mais pas seulement. « La présence d'un salarié est de nature à améliorer la qualité de service aux adhérents », analyse Natalie Hugon. « C'est un autre axe de professionnalisation des Cuma ».