[Vidéo] Fermeté des cours des broutards

Les prix des bovins finis – veaux et gros bovins – sont stables à de hauts niveaux, en réponse au manque d’offre sur le marché français, selon l'Institut de l'élevage. Ils restent toutefois inférieurs à leur prix de revient étant donnée la forte hausse des charges.

[VIDÉO] FERMETÉ DES BROUTARDS

Interview d'Ilona Blanquet, agro-économiste - conjoncture broutards et veaux à IDELE

Les prix des bovins finis – veaux et gros bovins – sont stables à de hauts niveaux, en réponse au manque d’offre sur le marché français. Ils restent toutefois inférieurs à leur prix de revient étant donnée la forte hausse des charges. Seules les cours des vaches laitières ont perdu quelques centimes sur les premières semaines de l’année, dans le sillage des prix européens. La demande est ferme pour les veaux laitiers et broutards destinés à l’engraissement, que ce soit en France ou à l’export, alors que l’offre est en retrait. Les prix des bovins maigres progressent.

Sommaire du numéro 347

VIANDES BOVINES :

LE MANQUE D’OFFRE SOUTIENT LES COURS
Les prix des bovins finis – veaux et gros bovins – sont stables à de hauts niveaux, en réponse au manque d’offre sur le marché français. Ils restent toutefois inférieurs à leur prix de revient étant donnée la forte hausse des charges. Seules les cours des vaches laitières ont perdu quelques centimes sur les premières semaines de l’année, dans le sillage des prix européens. La demande est ferme pour les veaux laitiers et broutards destinés à l’engraissement, que ce soit en France ou à l’export, alors que l’offre est en retrait. Les prix des bovins maigres progressent.

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LAIT DE VACHE :

LE RETOURNEMENT DE CONJONCTURE SE PRÉCISE

La production de lait demeure en nette hausse chez les exportateurs de l’hémisphère Nord, ce qui compense les baisses de production de l’hémisphère Sud. La reprise de production accroît les disponibilités en ingrédients laitiers et met la pression sur des marchés confrontés à des acheteurs attentistes et à une demande plutôt molle.

Logiquement le prix du lait devrait se déprécier dans les prochains mois, plus ou moins rapidement selon les pays, en premier lieu en Europe du Nord où la production laitière a été relancée.
En France, les fondamentaux de l’économie laitière semble déréglée. D’un côté, la production de lait conventionnel recule malgré des prix historiquement élevés. De l’autre, celle de lait bio croît toujours, certes modérément, face une demande intérieure toujours déprimée, ce qui accentue la part de lait déclassé.

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VIANDE OVINE :

LA BAISSE DES ACHATS PÈSE SUR LES MARCHÉS
En France, la baisse des abattages permet le maintien d’une cotation historiquement élevée, face à une demande morose. En Irlande comme au Royaume-Uni, cette baisse de la demande encombre les marchés et pèse sur la cotation.

En Espagne, l’export d’ovins vifs, dynamique, permet d’alléger le marché et de maintenir, comme en France, la cotation de l’agneau au-dessus du niveau des années précédentes.

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 LAIT DE CHÈVRE ET VIANDE :

HAUSSE MOINS RAPIDE DU PRIX DU LAIT QUE DES CHARGES
La fin de l’année 2022 est marquée par la poursuite de la dynamique de production laitière et une revalorisation du prix du lait, qui reste néanmoins faible par rapport à la hausse des charges.

Cette situation entrainant une dégradation importante des marges des producteurs, n’a pu laisser indifférents les syndicats qui appellent à une nouvelle revalorisation du prix du lait.

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