<p>Acteur majeur au <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/agriculteurs-au-caeur-du-salon-fini-les-discours-politiques" target="_blank" title="">Salon International de l&rsquo;Agriculture</a>, la Ferme digitale c&eacute;l&egrave;bre sa 9&egrave;me &eacute;dition. Au d&eacute;part, elle comptait 5 start-up, elle rassemble aujourd&rsquo;hui 44 innovantes au Hall 4 animant un programme de 80 conf&eacute;rences. L&rsquo;association se donne pour objectif de &ldquo;promouvoir l&rsquo;innovation et le num&eacute;rique pour une agriculture performante, durable et citoyenne&rdquo; guid&eacute;e par un cr&eacute;do : l&rsquo;innovation, la transparence et le pragmatisme.<a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/experience-la-ferme-du-vivant-une-ferme-agroecologique-dans-le-var" target="_blank" title=""> La Ferme Digitale couvre un large &eacute;ventail d&rsquo;activit&eacute;s, allant de la donn&eacute;e, au carbone ou encore&nbsp; en passant par les biosolutions</a>.&nbsp;</p><h2>La biosolution et l'intelligence artificielle, moteurs de l'innovation agricole&nbsp;</h2><p>Les cr&eacute;ations d&rsquo;entreprise se concentrent d&eacute;sormais massivement autour de ces deux domaines porteurs. &ldquo;<em>Apr&egrave;s les plateformes, les capteurs, les donn&eacute;es satellites et le carbone, l&rsquo;heure est aux biosolutions, des alternatives aux produits phytosanitaires,&nbsp;associ&eacute;es &agrave; l&rsquo;intelligence artificielle</em>&rdquo; constate Justine Lipuma. L'<a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/l-elevage-francais-se-renforce-avec-la-naissance-de-connexyon-coop" target="_blank" title="">IA est d&eacute;j&agrave; discr&egrave;tement int&eacute;gr&eacute;e &agrave; de nombreuses applications</a> et service. Pour l&rsquo;ensemble des acteurs de la Ferme digitale, cette technologie permet &ldquo;<em>d'acc&eacute;l&eacute;rer la capacit&eacute; des innovateurs en biosolutions,&nbsp;&agrave; trouver d<a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/3-bonnes-raisons-d-optimiser-votre-irrigation-avec-des-sondes-d-humidite-du-sol-connectees" target="_blank" title="">es solutions pour&nbsp;la r&eacute;sistance au stress hydrique</a>. Surtout, elle am&eacute;liore consid&eacute;rablement la prise de d&eacute;cision pour les agriculteurs (...) c&rsquo;est pouvoir fournir aux agriculteurs, en leur fournissant des outils plus intelligents sur leur t&eacute;l&eacute;phone pour gagner du temps</em>&rdquo;, pr&eacute;cise&nbsp;Justine Lipuma. S'il existe aujourd'hui&nbsp;des soci&eacute;t&eacute;s connues du grand public : Mistral, ChatGPT, mais aussi l&rsquo;algorithme de Google par exemple, leurs fonctionnalit&eacute;s ne sont pas toujours adapt&eacute;es au monde agricole. &ldquo;<em>N</em><em>otre ambition est d&rsquo;offrir une intelligence artificielle bas&eacute;e sur des donn&eacute;es locales, issues des&nbsp;laboratoires et m&ecirc;me de la propre ferme de l'agriculteur</em>&rdquo;, ajoute David Joulin.&nbsp;</p><h2>Investissements priv&eacute;s : un besoin crucial&nbsp;</h2><p>L&rsquo;&eacute;cosyst&egrave;me Agritech fran&ccedil;ais a lev&eacute; 315 millions d&rsquo;euros cette ann&eacute;e. Cependanr,&nbsp;pour assurer la p&eacute;rennit&eacute; des entreprises, de la recherche, et acc&eacute;l&eacute;rer la mise sur le march&eacute; des solutions innovantes, le financement des investisseurs priv&eacute;s reste insuffisant.&nbsp;<br>Selon David Joulin, &ldquo;<em>les investisseurs sont toujours pr&eacute;sents, mais ils se focalisent sur des entreprises d&eacute;j&agrave; reconnues et non sur celles en devenir</em>&rdquo;. J&eacute;r&ocirc;me le Roy constate une r&eacute;gression des lev&eacute;es de fonds sur&nbsp;l'amor&ccedil;age.&nbsp;&ldquo;<em>Si nous ne sommes pas l&agrave; pour accompagner et financer une entreprise dans ses cinq premi&egrave;res ann&eacute;es, il sera difficile&nbsp;d'exploiter ses capacit&eacute;s &agrave; l&rsquo;exp&eacute;rimentation et son d&eacute;ploiement au sein du march&eacute;</em>&rdquo;.<br>La Ferme Digitale a donc fait appel &agrave; la profession agricole, &agrave; la BPI, &agrave; Aide France 2030, aux investissements directs et aux&nbsp;fonds d&rsquo;investissement sp&eacute;cialis&eacute;s en Agritech , afin de lever davantage de fonds l&rsquo;ann&eacute;e prochaine. Bruno Bonnel secr&eacute;taire g&eacute;n&eacute;ral pour l&rsquo;investissement &agrave; la Ferme digitale comprend la frilosit&eacute; des investisseurs car &ldquo;<em>ils essayent d&rsquo;avoir des r&eacute;sultats &agrave; tr&egrave;s court terme, or dans le monde agricole, le r&eacute;sultat prend forc&eacute;ment plusieurs cycles et donc plusieurs ann&eacute;es. C'est pourtant un enjeu majeur : l&rsquo;assiette des Fran&ccedil;ais &eacute;volue tous les jours et les exigences de qualit&eacute; sont de plus en plus importantes".&nbsp;</em><a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/la-loi-d-orientation-agricole-un-double-defi-productif-et-inclusif" target="_blank" title="">En somme, c'est aussi r&eacute;pondre aux enjeux de la souverainet&eacute; alimentaire</a>.&nbsp;</p><aside class="read-also">
    <p class="typography menu-link dark ">&Agrave; voir aussi</p>
    <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/offre-pleinchamp-pro-10-sur-les-capteurs-weenat" target="_blank" title="">Offre Pleinchamp Pro : -10 % sur les capteurs Weenat !</a>
</aside>
<h2>Les objectifs de la Ferme digitale&nbsp;</h2><p>J&eacute;r&ocirc;me Le Roy rappelle l'ambition de la Ferme Digitale : "<em>Aujourd'hui, nos &eacute;tudes montrent qu'environ la moiti&eacute; des agriculteurs fran&ccedil;ais utilisent au moins une des solutions de la Ferme Digitale. Notre objectif est que 100% des agriculteurs fran&ccedil;ais utilisent en routine, d'ici dix ans, cinq solutions &eacute;dit&eacute;es par des acteurs de la Ferme Digitale. C'est vraiment notre motivation, sans oublier que notre enjeu in fine est d'offrir des innovations fiables, &eacute;conomiquement viables et facilement utilisables, qui puissent &ecirc;tre concr&egrave;tement mises dans les mains des agriculteurs, pour leur permettre de r&eacute;pondre aux d&eacute;fis de l'agriculture, aux d&eacute;fis de la productivit&eacute; et d'adaptation au changement climatique. Permettre une agriculture plus durable, plus productive et citoyenne</em>."</p>


Justine Lipuma (Vice-Présidente de la Ferme Digitale et CEO de Mycophyto), David Joulin (Membre du bureau de la Ferme Digitale et responsable du hackathon Gaia au Salon International de l'Agriculture) et Jérôme le Roy (fondateur de la start-up Weenat) ont lancé un appel aux investisseurs pour financer la technologie au sein de l'agriculture.

La Ferme Digitale met l'accent sur le financement pour une IA Accessible à Tous les agriculteurs

<p>&laquo;&nbsp;<em>Toute personne ayant pour projet d&rsquo;exercer une activit&eacute; agricole ou de c&eacute;der une exploitation agricole peut prendre contact avec le point d&rsquo;accueil d&eacute;partemental unique. Le point d&rsquo;accueil oriente la personne ayant un projet vers des structures de conseil et d&rsquo;accompagnement agr&eacute;&eacute;es par l&rsquo;&Eacute;tat. Il pr&eacute;sente de mani&egrave;re exhaustive les structures de conseil et d&rsquo;accompagnement aux personnes qu&rsquo;il oriente. Il veille &agrave; l&rsquo;&eacute;quit&eacute; entre ces derni&egrave;res et au respect du pluralisme. Il satisfait &agrave; une obligation de neutralit&eacute; dans la pr&eacute;sentation de l&rsquo;offre de ces structures</em>&nbsp;&raquo;. C&rsquo;est ce qu&rsquo;on peut lire dans le texte de <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/l-assemblee-adopte-le-projet-de-loi-d-orientation-agricole-avant-le-vote-du-senat" target="_blank">la loi d&rsquo;orientation agricole, adopt&eacute;e par le Parlement le 20 f&eacute;vrier dernier</a>, mais qui doit encore &ecirc;tre soumise au Conseil constitutionnel avant sa promulgation par le pr&eacute;sident de la R&eacute;publique.</p><aside class="read-also">
    <p class="typography menu-link dark ">&Agrave; voir aussi</p>
    <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/la-loi-d-orientation-agricole-un-double-defi-productif-et-inclusif" target="_blank" title="">La loi d&rsquo;orientation agricole, un double d&eacute;fi productif et inclusif</a>
</aside>
<p>La loi enterre les Points d&rsquo;accueil installation (PAI) au profit de guichets uniques d&eacute;partementaux &laquo; France Services Agriculture &raquo;, sous la gouverne des Chambres d&rsquo;agriculture. &laquo;&nbsp;<em>On a vocation &agrave; faire partie des structures d&rsquo;accompagnement et Eloi doit &ecirc;tre pr&eacute;sent dans chaque guichet unique de France et de Navarre&nbsp;</em>&nbsp;&raquo;, revendique Fran&ccedil;ois Moret, directeur g&eacute;n&eacute;ral d&rsquo;Eloi, courroie de transmission entre c&eacute;dants et porteurs de projet. &laquo;&nbsp;<em>Nous garantissons aux premiers la mise en relation avec des candidats tri&eacute;s sur le volet, c&rsquo;est-&agrave;-dire form&eacute;s, exp&eacute;riment&eacute;s, porteurs d&rsquo;un projet viable et potentiellement finan&ccedil;able</em>&nbsp;&raquo;, poursuit le co-fondateur de l&rsquo;entreprise &agrave; mission, qui met en avant un vivier et une plateforme de 6000 porteurs de projet ainsi arm&eacute;s, dans les starting-blocks.</p><div class="citation">
    <span>"Chez Eloi, les exploitations de bovins lait sont les plus repr&eacute;sentatives des projets que nous nous avons finalis&eacute;s&nbsp;"</span>
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<p>Tout sauf la caricature des doux r&ecirc;veurs fantasmant l&rsquo;agriculture sur 5000m2 de maraichage bio diversifi&eacute; avec abri froid de 400m2, au demeurant tr&egrave;s respectables, mais o&ugrave; certains se complaisent &agrave; enfermer les entremetteurs &laquo;&nbsp;alternatifs&nbsp;&raquo; &laquo;&nbsp;<em>Chez Eloi, les exploitations de bovins lait sont les plus repr&eacute;sentatives des projets que nous avons finalis&eacute;s</em>&nbsp;&raquo;, indique Fran&ccedil;ois Moret. Dans ses statuts et sa &laquo;&nbsp;mission&nbsp;&raquo;, Eloi a tout de m&ecirc;me un penchant pour les projets porteurs de transition tout en se disant apte &agrave; temporiser sinon &agrave; transiger au cas par cas, pragmatisme oblige. Si l&rsquo;entreprise loue certaines dispositions &laquo;&nbsp;anti-agrandissement&nbsp;&raquo; de la LOA, elle regrette les reculades sur le plan environnemental.</p><aside class="read-also">
    <p class="typography menu-link dark ">&Agrave; voir aussi</p>
    <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/le-cantal-terre-de-re-conversion-a-l-agriculture-societaire" target="_blank" title="">Le Cantal, terre de (re)conversion &agrave; l&rsquo;agriculture (soci&eacute;taire)</a>
</aside>
<h2>Au soutien des petites coops</h2><p>En 2025, l&rsquo;entreprise devrait passer le cap des 100 installations accompagn&eacute;es, dans toutes les fili&egrave;res et dans tous les mod&egrave;les, y compris l&rsquo;int&eacute;gration dans un Gaec, moule et nid ti&egrave;des et douillets pour non issus du milieu agricole. Et s&rsquo;appr&ecirc;te &agrave; lancer un programme baptis&eacute; &laquo;&nbsp;Coop d&rsquo;avenir&nbsp;&raquo;, consistant &agrave; mettre &agrave; disposition sa plateforme et son &laquo;&nbsp;savoir-transmettre&nbsp;&raquo; aux coop&eacute;ratives de moins de 300 adh&eacute;rents, particuli&egrave;rement sensibles &agrave; l&rsquo;&eacute;rosion d&eacute;mographique, et partageant son approche durable. Les coop&eacute;ratives ont jusqu&rsquo;au 4 avril pour se porter candidates sur <a href="https://eloi.eu/les-fiches-pratiques-eloi/eloi-lance-le-programme-coop-d-avenir/">le site de l&rsquo;entreprise</a>.</p>


L’entreprise à mission, qui œuvre depuis 2020 à la transmission d’exploitation, escompte bien faire partie des structures agréées dans les guichets uniques France Services Installation, instaurés par la loi d’orientation agricole.

Installation : « Eloi doit être présent dans chaque guichet unique de France et de Navarre »

<p>Le changement climatique s&rsquo;emballe-t-il au point d&rsquo;envisager la production de vanille du c&ocirc;t&eacute; de Lamballe, dans les C&ocirc;tes d&rsquo;Armor&nbsp;? &laquo;&nbsp;<em>La v&eacute;rit&eacute;, c&rsquo;est que le d&eacute;r&egrave;glement climatique affecte gravement la production de vanille &agrave; la R&eacute;union, pass&eacute;e de 80 tonnes &agrave; 10 tonnes en dix ans</em>&nbsp;&raquo;, r&eacute;pond Herv&eacute; Gorieu. L&rsquo;homme n&rsquo;est pas R&eacute;unionnais mais Pampolais. Il est, avec Pierre Guyomar et Simon&nbsp;Le Coz, l&rsquo;un des trois aventuriers de la vanille &laquo;&nbsp;Made in Breizh&nbsp;&raquo;.</p><h2>La ma&icirc;trise expresse de l&rsquo;itin&eacute;raire technique</h2><p>La petite graine de vanille, ou plus exactement les plants in vitro, ont &eacute;t&eacute; import&eacute;s, de La R&eacute;union, en 2020, sous l&rsquo;&eacute;gide de l&rsquo;AOP Cerafel, qui f&eacute;d&egrave;re trois coop&eacute;ratives des C&ocirc;tes d&rsquo;Armor &nbsp;sous la marque collective Prince de Bretagne, dont les Maraichers d&rsquo;Armor, &agrave; laquelle adh&egrave;rent les trois pionniers. Sa station exp&eacute;rimentale Terres d&rsquo;essais lui r&eacute;serve alors 200m2 mais les trois producteurs n&rsquo;attendent pas les r&eacute;sultats et engagent chacun environ 5000m2. &laquo;&nbsp;<em>A l&rsquo;&eacute;poque, j&rsquo;avais 55 ans et je ne voyais pas attendre 4 ou 5 ans avant de me lancer</em>&nbsp;&raquo;, d&eacute;clare Herv&eacute; Gorieu, pas (compl&egrave;tement) lass&eacute; de produire depuis quelques d&eacute;cennies des tomates sous serre mais galvanis&eacute; &agrave; l&rsquo;id&eacute;e de sortir des sentiers battus.</p>        
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        <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/gallery/0/1/0/7/6817010-1-fre-FR/33f78d45bc1c-legumes.jpg" alt="La vanille ne cache pas la for&ecirc;t de l&eacute;gumes mais s&rsquo;inscrit dans une logique de diversification et de segmentation de la marque Prince de Bretagne" height="1396" width="2188" /><figcaption>La vanille ne cache pas la for&ecirc;t de l&eacute;gumes mais s&rsquo;inscrit dans une logique de diversification et de segmentation de la marque Prince de Bretagne</figcaption></figure>

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<p>&laquo;&nbsp;<em>Et surtout de continuer &agrave; exploiter des serres vieillissantes&nbsp;</em>&raquo;, pr&eacute;cise-t-il. La vanille permet en effet de perp&eacute;tuer des outils rendus moins performants par le temps pour rivaliser techniquement et &eacute;conomiquement avec les serres &laquo;&nbsp;cath&eacute;drale&nbsp;&raquo; actuelles. Pour autant, la prise de risque n&rsquo;est pas n&eacute;gligeable. &laquo;&nbsp;<em>Nulle part au monde on n&rsquo;avait produit de vanille hors-sol sous abri</em>, indique Pierre Guyomar, pr&eacute;sident de la section vanille de l&rsquo;AOP. <em>Quand on sait en prime que les Hollandais s&rsquo;y &eacute;taient cass&eacute;s les dents</em>&nbsp;&raquo;. Impossible n'est pas breton.</p><h2>Un partenariat &laquo;&nbsp;gagnant-gagnant&nbsp;&raquo; avec Pro Vanille &agrave; La R&eacute;union</h2><p>Le plant de vanille r&eacute;clame 3 ans de croissance avant la premi&egrave;re floraison et 18 mois suppl&eacute;mentaires avant la r&eacute;colte, dont deux mois de pollinisation 100% manuelle et 9 mois de maturation des gousses sur pied. En 2023, les touffes sont magnifiques, le pari est en passe d&rsquo;&ecirc;tre gagn&eacute;. Sauf que. &laquo;&nbsp;<em>Pendant cette derni&egrave;re phase, on a vu des pieds d&eacute;cliner&nbsp;</em>&raquo;, se rappelle Herv&eacute; Gorieu.</p>        
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        <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/gallery/1/2/9/6/6816921-1-fre-FR/21885dc1c730-Duo.jpg" alt="Willy Boyer (&agrave; gauche), pr&eacute;sident de la coop&eacute;rative r&eacute;unionnaise Pro Vanille et Marc Kerangueven, pr&eacute;sident du Cerafel" height="1400" width="2312" /><figcaption>Willy Boyer (&agrave; gauche), pr&eacute;sident de la coop&eacute;rative r&eacute;unionnaise Pro Vanille et de Marc Kerangueven, pr&eacute;sident du Cerafel</figcaption></figure>

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<p>C&rsquo;est l&agrave; que la coop&eacute;rative de Bras-Panon, &agrave; la R&eacute;union, &agrave; 9000km de la C&ocirc;te de Granit Rose, entre en jeu, par photos interpos&eacute;es. &laquo;&nbsp;<em>On avait mis en garde nos amis Bretons qui avaient f&eacute;cond&eacute; un nombre trop important de gousses par pied, au risque de les &eacute;puiser</em>, explique Willy Boyer, pr&eacute;sident de la coop&eacute;rative Pro Vanille, pr&eacute;sent au SIA avec une dizaine de producteurs r&eacute;unionnais. <em>Les Bretons ont d&ucirc; se dir</em>e&nbsp;: "<em>&ccedil;a c&rsquo;est des histoires cr&eacute;oles, on va passer outre</em>" &raquo; . Outre-mer m&ecirc;me. Les &laquo;&nbsp;princes&nbsp;&raquo; de Bretagne feront vite amende honorable et machine arri&egrave;re et limiterons la casse.</p>        
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        <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/gallery/1/8/9/6/6816981-1-fre-FR/2f7adfa2f78b-vente.jpg" alt="Prince de Bretagne dispose de quelques centaines de kilos de vanille. Les n&eacute;o-producteurs sont d&eacute;j&agrave; &agrave; la man&oelig;uvre pour en faire la promotion" height="1474" width="2368" /><figcaption>Prince de Bretagne dispose de quelques centaines de kilos de vanille. Les n&eacute;o-producteurs sont d&eacute;j&agrave; &agrave; la man&oelig;uvre pour en faire la promotion</figcaption></figure>

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<p>Quelque temps auparavant, les trois n&eacute;o-producteurs bretons s&rsquo;&eacute;taient rendus &agrave; La R&eacute;union pour apprendre de leurs conf&egrave;res cr&eacute;oles rompus &agrave; la production en sous-bois depuis bient&ocirc;t deux si&egrave;cles, gr&acirc;ce &agrave; la d&eacute;couverte par un certain Edmond Albius, esclave de son &eacute;tat, au mitan du 19<sup>&egrave;me</sup> si&egrave;cle, du processus de pollinisation de l&rsquo;orchid&eacute;e. La science des Bretons int&eacute;resse en retour fortement les R&eacute;unionnais, confront&eacute;s au d&eacute;r&egrave;glement climatique et qui se traduit l&agrave;-bas par des saisons moins marqu&eacute;es, modifiant les courbes de temp&eacute;rature et de pluviom&eacute;trie. &laquo;&nbsp;<em>Or la vanille a besoin de stress pour venir &agrave; fleur</em>, explique Willy Boyer. <em>Depuis une dizaine d&rsquo;ann&eacute;es, nous d&eacute;veloppons des ombri&egrave;res mais on n'a pas les manettes pour piloter</em>&nbsp;&raquo;. A l&rsquo;inverse des Bretons. Un &eacute;change de bons proc&eacute;d&eacute;s qui va d&eacute;boucher sur la cr&eacute;ation, sur l&rsquo;Ile de l&rsquo;Oc&eacute;an Indien, d&rsquo;un centre technique d&eacute;di&eacute; &agrave; la vanille. Un partenariat qualifi&eacute; de &laquo;&nbsp;<em>gagnant-gagnant&nbsp;</em>&raquo; par les deux parties.</p><h2>Un seul gagnant en perspective : la vanille, naturelle, et fran&ccedil;aise!</h2><p>Partenaires, les deux coop&eacute;ratives vont n&eacute;anmoins se retrouver en comp&eacute;tition au Concours g&eacute;n&eacute;ral agricole &agrave; Paris. Comp&eacute;tition n&rsquo;est pas concurrence. &laquo;&nbsp;Nous ne sommes pas en situation de concurrence&nbsp;&raquo; &eacute;noncent en c&oelig;ur les pr&eacute;sidents des deux structures coop&eacute;ratives. &laquo;&nbsp;On ne trouve pas de vanille r&eacute;unionnaise en m&eacute;tropole pour la simple et bonne raison que l&rsquo;on commercialise l&rsquo;int&eacute;gralit&eacute; de la production sur l&rsquo;Ile&nbsp;&raquo;, indique Willy Boyer. Un seul gagnant en perspective donc : la vanille, naturelle, et fran&ccedil;aise!</p><p>De son c&ocirc;t&eacute;, Prince de Bretagne fait dans l&rsquo;humilit&eacute;, avan&ccedil;ant &agrave; pas compt&eacute;s. L&rsquo;orchid&eacute;e se caract&eacute;rise par son caract&egrave;re p&eacute;renne et un tant soit peu disruptif avec la tomate, le chou-fleur ou l&rsquo;artichaut. &laquo;&nbsp;<em>La vanille s&rsquo;inscrit dans une logique de diversification et de segmentation de notre offre et qui voit Principe de Bretagne sorti un nouveau produit ou une innovation tous les deux mois</em>&nbsp;&raquo;, affirme Marc Kerangueven, pr&eacute;sident du Cerafel. <em>Commen&ccedil;ons par vendre les quelques centaines de kilos que nous avons produites pour cette premi&egrave;re r&eacute;colte&nbsp;</em>&raquo;. Il est vrai que l&rsquo;accolage &laquo;&nbsp;vanille&nbsp;&raquo; et &laquo; Bretagne&nbsp;&raquo; ne tombe pas spontan&eacute;ment sous le sens.&nbsp;&laquo;&nbsp;<em>Ici, au Salon de l&rsquo;agriculture, l&rsquo;int&eacute;r&ecirc;t des visiteurs est manifeste&nbsp;</em>&raquo;, se rassure Herv&eacute; Gorieu. Autre bon pr&eacute;sage : parmi d&rsquo;autres artisans p&acirc;tissier et glaciers,&nbsp;le p&acirc;tissier et collectionneur de vanille Paul Galand a adoub&eacute; la vanille &laquo;&nbsp;Made in Breizh&nbsp;&raquo;. &laquo;&nbsp;<em>On est de b&eacute;b&eacute;s de la vanille</em>&nbsp;&raquo;, conclut Pierre Guyomar, qui rappelle que la vanille n&rsquo;aime pas le soleil. Il ne faudrait pas non plus que le changement climatique coupe l&rsquo;herbe sous le pied &agrave; l&rsquo;orchid&eacute;e de Paimpol.</p>


[SIA 2025] Prince de Bretagne présente ses premières gousses de vanille produites sous serre par trois maraichers des Côtes d’Armor. Pâtissiers et glaciers ont déjà fondu pour la gousse de Paimpol, moins exotique que les gousses réunionnaises par exemple mais pas moins savoureuses. Et en aucun cas rivales, bien au contraire.

Au Concours général, de la vanille « Made in Breizh » digne des Outre-Mer

<p>Un salon dans un salon&nbsp;: c&rsquo;est en quelque sorte ce que proposent les organisateurs du Salon international de l&rsquo;agriculture (SIA) avec le SIA&rsquo;PRO, le Salon des technologies et solutions agricoles. Inaugur&eacute; et couronn&eacute; de succ&egrave;s l&rsquo;an pass&eacute;, l&rsquo;&eacute;v&egrave;nement prend de la hauteur (Pavillon 7.2) et de l&rsquo;envergure avec un programme et un nombre d&rsquo;exposants significativement relev&eacute;s. Objectif&nbsp;: aider les agriculteurs et les fili&egrave;res &agrave; optimiser au quotidien et au long cours leur(s) performance(s) et &agrave; relever les d&eacute;fis &eacute;conomiques, environnementaux, climatiques et soci&eacute;taux.</p><h2>Plus de 60 exposants et un hub de l&rsquo;innovation</h2><p>SIA&rsquo;PRO se fait fort de rassembler des solutions concr&egrave;tes. Les agriculteurs pourront notamment d&eacute;couvrir des solutions et services visant &agrave; am&eacute;liorer la productivit&eacute; et la rentabilit&eacute;&nbsp;: autoguidage (Allynav), collier de tracking pour animaux (Nix Air), solutions de t&eacute;l&eacute;d&eacute;tection du datura par drone (Telespazio), casiers en distributeurs automatiques (Les Modulables), etc.&nbsp;Certaines solutions visent plus sp&eacute;cifiquement la probl&eacute;matique de la durabilit&eacute; des syst&egrave;mes&nbsp;: &eacute;pandage par drone de biostimulants&nbsp;(Agrodrone), capteurs connect&eacute;s d&rsquo;insectes (Cap 2020), couverture de fosse &agrave; lisier (N&eacute;nufar), pilotage de l&rsquo;irrigation (Terranis), etc. En partenariat avec Agri Sud-Ouest Innovation, le SIA&rsquo;PRO accueille le <a href="https://www.sia-pro.com/fr-FR/temps-forts/hub-europeen-innovation-agricole" target="_blank">Hub de l'Innovation Agricole</a>, un concentr&eacute; de l&rsquo;innovation dans des domaines tels que le biocontr&ocirc;le et les biosolutions, les syst&egrave;mes alimentaires s&ucirc;rs et durables, l&rsquo;agriculture num&eacute;rique et robotique ou encore la gestion de la qualit&eacute; de l&rsquo;eau.</p><h2>Des temps de rencontres avec des conf&eacute;rences cibl&eacute;es</h2><p>Tout au long du salon, <a href="https://www.sia-pro.com/fr-FR/temps-forts" target="_blank">de nombreux rendez-vous et temps forts</a> seront propos&eacute;s aux visiteurs professionnels sur deux espaces d&eacute;di&eacute;s : le Forum et le Caf&eacute; des Agris. Chacun sera le th&eacute;&acirc;tre de plusieurs conf&eacute;rences, tables rondes, partages de contenus et d&rsquo;id&eacute;es ou autres prises de paroles. Parmi les rendez-vous (liste non exhaustive)&nbsp;:</p><p>- <u>dimanche 23 f&eacute;vrier de 12h &agrave; 12h30</u>&nbsp;: &laquo; Je veux d&eacute;l&eacute;guer des chantiers : tout faire ou faire faire, quelle bonne strat&eacute;gie pour mon exploitation ? La sous-traitance : abandon ou choix assum&eacute; ?&nbsp;&raquo; (avec Genevi&egrave;ve Nguyen, &eacute;conomiste &agrave; l&rsquo;AgroToulouse et Etienne De La Grandiere, cofondateur de Milpa)</p><p>- <u>dimanche 23 f&eacute;vrier de 16h &agrave; 16h45</u>&nbsp;: &laquo; J&rsquo;ai besoin d&rsquo;irriguer : va-t-on conditionner mon acc&egrave;s &agrave; l&rsquo;eau &agrave; la mise en &oelig;uvre d&rsquo;outils de pilotage et de pratiques agro&eacute;cologiques ? &raquo; (avec &Eacute;ric Fr&eacute;till&egrave;re, pr&eacute;sident d&rsquo;Irrigants de France, Martin Gutton, d&eacute;l&eacute;gu&eacute; interminist&eacute;riel &agrave; l&rsquo;eau agricole et Carole Zakine, juriste sp&eacute;cialiste des questions agricoles)</p><p>- <u>lundi 24 f&eacute;vrier de 10h &agrave; 10h45</u>&nbsp;: &laquo;&nbsp;Je souhaite me diversifier : nouvelles productions, nouvelles fili&egrave;res contractualis&eacute;es, quels potentiels dans un contexte d&rsquo;adaptation au changement climatique ?&nbsp;&raquo; (avec Vincent Marchal, d&rsquo;Axa Climate et Arnaud Montebourg, entrepreneur, ex-ministre de l&rsquo;Economie)</p><p>- <u>lundi 24 f&eacute;vrier de 14h &agrave; 14h45</u>&nbsp;: &laquo;&nbsp;Je veux r&eacute;duire les intrants conventionnels dans mon syst&egrave;me : les biostimulants et produits de biocontr&ocirc;le repr&eacute;sentent-ils de vraies alternatives ? (avec Marie-Emmanuelle Saint-Macary, sp&eacute;cialiste de la biostimulation des plantes et Franck Baechler, agriculteur et formateur en agriculture r&eacute;g&eacute;n&eacute;rative</p><p>- <u>mardi 25 f&eacute;vrier de 10h &agrave; 10h45</u>&nbsp;: &laquo; J&rsquo;innove sur le terrain, je participe &agrave; des projets de R&amp;D : ai-je droit &agrave; des aides ?&nbsp;&raquo; (avec &nbsp;C&eacute;line Casali, Layton, sp&eacute;cialiste des aides publiques, Priscilla Roze-Pages, Agrilife Studio, cr&eacute;ation d&rsquo;entreprises innovantes pour l&rsquo;agriculture et des enseignants-chercheurs d&rsquo;UniLassalle)</p>


[SIA 2025] Du 23 au 25 février, dans l’enceinte du Salon de l’agriculture, le Salon des technologies et solutions agricoles propose à travers une soixantaine d’exposants, et autant de conférences, des solutions et ressources pour optimiser la gestion d’exploitation, avec en son cœur un hub européen de l’innovation agricole.

SIA’PRO : un pavillon et trois jours dédiés aux agriculteurs

<p>&laquo;&nbsp;<em>L'innovation est au c&oelig;ur de notre mission. En nous associant &agrave; Terapolis, nous mettons notre expertise au service d'une agriculture respectueuse de l'environnement, tout en am&eacute;liorant la productivit&eacute; et la rentabilit&eacute; des agriculteurs. Nos tracteurs autonomes de petites largeurs, parfaitement adapt&eacute;s &agrave; l'agrivolta&iuml;sme, illustrent concr&egrave;tement la synergie entre nos technologies et les solutions &eacute;nerg&eacute;tiques de Terapolis, offrant ainsi une solution compl&egrave;te aux enjeux agricoles et environnementaux&nbsp;</em>&raquo;, explique Laurent M&eacute;ron, directeur des ventes tracteurs et outils chez Claas France, &agrave; l&rsquo;annonce de la signature du partenariat avec Terapolis. Cr&eacute;&eacute;e en 2022 et bas&eacute;e &agrave; Bordeaux, Terapolis est sp&eacute;cialis&eacute;e dans les &eacute;nergies renouvelables et se positionne comme un soutien &agrave; l&rsquo;autonomie &eacute;nerg&eacute;tique des territoires ruraux. Elle a d&eacute;j&agrave; nou&eacute; une centaine de partenariats aupr&egrave;s d'exploitants et propri&eacute;taires terriens.</p><h2>Actionnaire d&rsquo;AgXeed</h2><p>De son c&ocirc;t&eacute;, Claas mise sur l&rsquo;ad&eacute;quation entre certaines de ses machines et les contraintes impos&eacute;es par les infrastructures agrivolta&iuml;ques. L&rsquo;entreprise met notamment en exergue&nbsp;<a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/agxeed-annonce-une-centaine-de-robots-en-service">les robots AgBots con&ccedil;us et produits par AgXeed</a>, une entreprise n&eacute;erlandaise dont Claas est actionnaire. D&eacute;pourvus de cabine, les AgBots peuvent notamment se d&eacute;ployer sous les ombri&egrave;res photovolta&iuml;ques, pr&eacute;sentes en grandes cultures, en arboriculture et en vigne, les AgBots &eacute;tant propos&eacute;s en trois variantes pour ces trois usages.</p>


L’accord conclu avec la société française spécialisée dans les énergies renouvelables est destiné à répondre aux besoins spécifiques des exploitations développant des projets agrivoltaïques.

Claas France signe un partenariat stratégique avec Terapolis

<p>Programme : concours des animaux, exposition de mat&eacute;riels agricoles, forum de l&rsquo;installation des Jeunes agriculteurs, conf&eacute;rences, etc.</p><p>DATES A CONFIRMER</p>


Tech'Elevage à La Roche-sur-Yon

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        <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/gallery/6/9/7/9/6789796-1-fre-FR/1e1b45a39651-ST-POL-DE-LEON.JPG" alt="" height="646" width="432" /></figure>

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<p>Apr&egrave;s une premi&egrave;re &eacute;dition 2023 r&eacute;ussie, le salon de l&rsquo;innovation agricole revient en terre finist&eacute;rienne !</p><p>Le Village by CA Finist&egrave;re, en partenariat avec la SICA de St Pol de L&eacute;on, Sofimat et le Cr&eacute;dit Agricole du Finist&egrave;re,&nbsp; organisent&nbsp; pour la 2&egrave; fois le salon d&eacute;di&eacute; &agrave; l&rsquo;innovation agricole multi-fili&egrave;res dans le Finist&egrave;re. Le Customer Agricultural Show de St-Pol-de-L&eacute;on, destin&eacute; aux professionnels de l&rsquo;agriculture</p><p>Au programme : des rencontres entre jeunes entreprises innovantes et acteurs du monde agricole (exploitants, dirigeants, techniciens)&hellip;. Mais aussi des d&eacute;monstrations de mat&eacute;riels innovants sur une parcelle d&eacute;di&eacute;e.</p><p>&#128640; Startup : venez exposer et connectez-vous &agrave; l&rsquo;&eacute;cosyst&egrave;me agricole breton.</p><p>&#128668; Acteurs du monde agricole : profitez d&rsquo;une journ&eacute;e unique &agrave; la d&eacute;couverte des innovations qui dessinent l&rsquo;agriculture de demain.</p><p><strong>Voir la vid&eacute;o 2023 du salon customer agricultural show&nbsp;</strong></p><figure  style="text-align: left;">
    <iframe type="text/html" width="640" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/x6WaU1n4Tnk?autoplay=0"
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    <figcaption>Customer Agricultural showsalon 2023</figcaption>
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Customer Agricultural Show (C.A.S)

<p>Un 4 cylindres 4,5 litres bi-turbo d&rsquo;une puissance et d&rsquo;un couple maxi 180ch et 730 Nm, la transmission &agrave; variation continue CMatic, un d&eacute;bit hydraulique de 150l/min et quatre distributeurs double effet &eacute;lectrohydrauliques de s&eacute;rie, le pont avant Proactiv suspendu et frein&eacute; de s&eacute;rie, un relevage avant avec amortisseur d'oscillations actif de s&eacute;rie, des Trelleborg VF 710/60 R38 &agrave; l'arri&egrave;re et VF 600/60 R28 &agrave; l'avant, la cabine insonoris&eacute;e suspendue en quatre points et pack de phares &agrave; LED complet de s&eacute;rie et syst&egrave;me d&rsquo;assistance &agrave; la conduite Cemos et de Coonectivit&eacute; Claas Connect&nbsp;: tel est le p&eacute;digr&eacute;e de l&rsquo;Arion 570 CMatic, nouvelle t&ecirc;te de pont de la s&eacute;rie Arion 500, comptant d&eacute;sormais 7 mod&egrave;les de 125ch &agrave; 180ch. Avec son empattement de 2,56 m et son &eacute;gale r&eacute;partition des masses entre l&rsquo;avant et l&rsquo;arri&egrave;re, Claas garantit un spectre tr&egrave;s large d&rsquo;usages, au champ, sur la route et dans la cour de ferme au chargeur.</p><h2>Assistance &eacute;lectronique et connectivit&eacute;</h2><p>Le dernier mod&egrave;le de la s&eacute;rie 500 peut recevoir, de s&eacute;rie ou en option selon les sp&eacute;cificit&eacute;s, de nombreuses les fonctionnalit&eacute;s en mati&egrave;re de guidage, d&rsquo;agriculture de pr&eacute;cision (via le terminal Cemis 1200 en option) et de connectivit&eacute; &agrave; la plateforme Claas Connect. L&rsquo;Arion 570 CMatic b&eacute;n&eacute;ficie pendant 5 ans et gratuitement de la licence Machine connect. Cette derni&egrave;re renferme la notice d'utilisation num&eacute;rique du tracteur, les lubrifiants pr&eacute;conis&eacute;s, les pi&egrave;ces d'usure et de rechange sp&eacute;cifiques ainsi que l'historique de son entretien et les &eacute;ch&eacute;ances &agrave; venir. L&rsquo;utilisateur peut &agrave; tout moment souscrire les licences Farm connect (documentation des chantiers), Fleet connect (gestion du parc) et Field connect (gestion parcellaire).</p><aside class="factbox">
    <h2>BON &Agrave; SAVOIR</h2>
    <p>Au chargeur, le logiciel de gestion de la transmission CMatic pr&eacute;vient, comme sur les chargeuses &agrave; pneus, tout patinage des roues en pouss&eacute;e, notamment lors des travaux de chargement de terre ou de fumier par exemple. Cette fonctionnalit&eacute; est rendue possible gr&acirc;ce &agrave; un syst&egrave;me de surveillance utilisant des capteurs de couple et de r&eacute;gime. De plus, la gestion exacte de la vitesse en mode hydrostatique permet de travailler avec plus de pr&eacute;cision et facilite ainsi la t&acirc;che du conducteur lors de l&#039;empilage de balles de paille ou de palettes. </p>
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<p class="MsoBodyText" style="text-align:left;">L&rsquo;Arion 570 CMatic est par ailleurs dot&eacute; syst&egrave;me d&rsquo;assistance Cemos, permettant d&rsquo;optimiser l&rsquo;ensemble tracteur-outil en minimisant la consommation et en maximisant le rendement horaire. Sous forme de dialogue interactif, le syst&egrave;me sugg&egrave;re au chauffeur des r&eacute;glages relatifs au moteur, &agrave; la transmission, au lestage ou encore &agrave; la pression de gonflage des pneumatiques. L&rsquo;acheteur du tracteur b&eacute;n&eacute;ficie gratuitement du service pendant 400 heures avant de se voir proposer l&rsquo;achat d&rsquo;une licence &agrave; vie.</p><h2 class="MsoBodyText" style="text-align:left;">Version Night Edition</h2><p class="MsoBodyText" style="text-align:left;">D&egrave;s son lancement, l&rsquo;Arion 570 CMatic est propos&eacute; en s&eacute;rie sp&eacute;cialise baptis&eacute;e &laquo;&nbsp;Night Edition&nbsp;&raquo;, s&rsquo;ajoutant au choix de trois teintes m&eacute;tallis&eacute;es (noir, gris ou vert). La s&eacute;rie sp&eacute;ciale se caract&eacute;rise ext&eacute;rieurement par des jantes, un toit de cabine et des carters moteur lat&eacute;raux de couleur gris. Le monogramme &laquo;&nbsp;Night Edition&nbsp;&raquo; figure &agrave; diff&eacute;rents endroits de la carrosserie ainsi que sur le moyeu du volant et le tapis de sol en cabine. Les conducteurs b&eacute;n&eacute;ficient &eacute;galement d'une exp&eacute;rience multim&eacute;dia haut de gamme gr&acirc;ce &agrave; un autoradio &agrave; &eacute;cran tactile et compatible Apple CarPlay.</p>


Le 4 cylindres à transmission à variation continue, essieu avant et cabine suspendus, développe 180ch. Il est doté du système d’assistance à la conduite Cemos et décliné en série spéciale Night Edition.

Claas complète sa série Arion 500 avec le 570 CMatic culminant à 180 ch

<p>Lorsque l&rsquo;incertitude r&egrave;gne, la tendance est d&rsquo;arroser &laquo; par pr&eacute;caution &raquo;. Pourtant, cette m&eacute;thode, bien qu&rsquo;elle puisse prot&eacute;ger contre une &eacute;ventuelle carence en eau, risque de conduire &agrave; des apports excessifs et co&ucirc;teux. Pour &eacute;viter ces d&eacute;rives, il est conseill&eacute; d&rsquo;adopter une strat&eacute;gie de pilotage de l&rsquo;irrigation fond&eacute;e sur des donn&eacute;es pr&eacute;cises. Voici quatre approches, chacune &eacute;valu&eacute;e sur 5 points, pour vous aider &agrave; choisir la m&eacute;thode la mieux adapt&eacute;e &agrave; votre exploitation.</p><h2>M&eacute;thode #1 : les observations directes sur le terrain</h2><p>&nbsp;</p><p>De nombreux agriculteurs se fient encore &agrave; l&rsquo;intuition et &agrave; l&rsquo;exp&eacute;rience en inspectant manuellement l&rsquo;&eacute;tat de leurs sols. &Agrave; l&rsquo;aide d&rsquo;outils simples &ndash; souvent une tari&egrave;re ou un autre instrument de forage &ndash;, ou parfois m&ecirc;me au &ldquo;doigt mouill&eacute;&rdquo;, ils &eacute;valuent l&rsquo;humidit&eacute; autour des racines.</p><p><br><em>Points forts :</em> un contact direct avec le terrain, qui valorise le savoir-faire local.<br><em>Limites :</em> cette m&eacute;thode demande beaucoup de temps et ne fournit qu&rsquo;une information ponctuelle, difficile &agrave; g&eacute;n&eacute;raliser sur l&rsquo;ensemble de la parcelle.</p><p><br><strong>Note : 3/5</strong></p><h2>M&eacute;thode #2 : les conseils des bulletins techniques</h2><p>&nbsp;</p><p>Institutions agricoles, chambres d&rsquo;agriculteurs et coop&eacute;ratives diffusent r&eacute;guli&egrave;rement des recommandations g&eacute;n&eacute;rales et des pr&eacute;visions m&eacute;t&eacute;orologiques. Ces bulletins offrent des rep&egrave;res simples, tels que retarder l&rsquo;irrigation apr&egrave;s une pluie importante.</p><p><br><em>Points forts :</em> une approche facile &agrave; suivre et applicable imm&eacute;diatement.<br><em>Limites :</em> ces conseils, souvent &eacute;tablis &agrave; l&rsquo;&eacute;chelle r&eacute;gionale, manquent de pr&eacute;cision pour s&rsquo;adapter aux sp&eacute;cificit&eacute;s de chaque sol et culture.</p><p><br><strong>Note : 2/5</strong></p><h2>M&eacute;thode #3 : les bilans hydriques</h2><p>&nbsp;</p><p>Le <strong><a href="https://weenat.com/nos-capteurs/sonde-capacitive-irrigation/?utm_source=pleinchamp&amp;utm_medium=netlinking&amp;utm_campaign=4-approches-irrigation" title="">bilan hydrique</a></strong> repose sur un calcul qui int&egrave;gre l&rsquo;humidit&eacute; r&eacute;siduelle du sol, les pr&eacute;cipitations, l&rsquo;irrigation, l&rsquo;&eacute;vapotranspiration et le drainage. Ce mod&egrave;le permet d&rsquo;estimer l&rsquo;&eacute;tat hydrique de l&rsquo;ensemble de la parcelle sur une base quotidienne.</p><p><br><em>Points forts :</em> une approche quantitative qui peut couvrir l&rsquo;ensemble de l&rsquo;exploitation.<br><em>Limites :</em> la pr&eacute;cision du calcul d&eacute;pend de la qualit&eacute; des donn&eacute;es utilis&eacute;es &ndash; un d&eacute;faut de mesure peut entra&icirc;ner des estimations erron&eacute;es, surtout dans les situations complexes.</p><p><br><strong>Note : 4/5</strong></p><h2>M&eacute;thode #4 : la mesure directe par des capteurs connect&eacute;s</h2><p>&nbsp;</p><p>La solution la plus fiable consiste &agrave; installer des capteurs directement dans le sol pour suivre en continu son &eacute;tat hydrique. Ces appareils, une fois d&eacute;ploy&eacute;s, fonctionnent de mani&egrave;re autonome et transmettent en temps r&eacute;el des informations pr&eacute;cises sur la disponibilit&eacute; en eau.<br>Cette technologie &eacute;limine les approximations et permet de savoir exactement quand ajuster l&rsquo;irrigation. De plus, gr&acirc;ce aux donn&eacute;es recueillies, vous pouvez d&eacute;montrer la qualit&eacute; de votre gestion aux autorit&eacute;s et aux observateurs ext&eacute;rieurs.</p><p><br>Points forts : une pr&eacute;cision in&eacute;gal&eacute;e, une automatisation compl&egrave;te et une tranquillit&eacute; d&rsquo;esprit pour l&rsquo;agriculteur. Les donn&eacute;es sont accessibles via une app disponible sur smartphone, ce qui r&eacute;duit les d&eacute;placements sur les parcelles.</p><p><br><strong>Note : 5/5</strong></p>        
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        <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/main_image/5/2/4/2/6762425-1-fre-FR/de94e6701d54-Tensiometre-pomme-de-terre.jpg" alt="Tensiom&egrave;tre - pilotage de l&#039;irrigation" height="391" width="586" /></figure>

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<p>Pour un suivi complet, divers types de capteurs peuvent &ecirc;tre mobilis&eacute;s :</p><ul><li>La <u><strong><a href="https://weenat.com/nos-capteurs/sonde-tensiometrique/?utm_source=pleinchamp&amp;utm_medium=netlinking&amp;utm_campaign=4-approches-irrigation">sonde tensiom&eacute;trique</a></strong></u> mesure la force n&eacute;cessaire pour que les racines extraient l&rsquo;eau du sol.</li><li>La <u><strong><a href="https://weenat.com/nos-capteurs/sonde-capacitive-irrigation/?utm_source=pleinchamp&amp;utm_medium=netlinking&amp;utm_campaign=4-approches-irrigation">sonde capacitive</a></strong></u> fournit une lecture directe de l&rsquo;humidit&eacute; et de la temp&eacute;rature.</li><li>La <u><strong><a href="https://weenat.com/nos-capteurs/sonde-capacitive-irrigation/?utm_source=pleinchamp&amp;utm_medium=netlinking&amp;utm_campaign=4-approches-irrigation">sonde de fertirrigation</a></strong></u> fournit les donn&eacute;es n&eacute;cessaires pour apporter le bon taux de nutriments et d&rsquo;eau &agrave; la plante.int&egrave;gre l&rsquo;analyse de l&rsquo;apport en nutriments avec le suivi de l&rsquo;eau, pour une gestion encore plus fine de la culture.</li></ul><h2>En r&eacute;sum&eacute;</h2><p>&nbsp;</p><p>Adopter une gestion de l&rsquo;irrigation bas&eacute;e sur des mesures pr&eacute;cises transforme l&rsquo;approche traditionnelle de l&rsquo;arrosage. En &eacute;vitant les d&eacute;cisions prises &laquo; au doigt mouill&eacute; &raquo;, vous optimisez vos ressources, am&eacute;liorez vos rendements et r&eacute;duisez les co&ucirc;ts. L&rsquo;investissement dans des technologies de mesure directe repr&eacute;sente ainsi un atout majeur pour une agriculture durable et performante.</p>


En agriculture, savoir quand arroser représente un véritable casse-tête. Trop souvent, les décisions d’irrigation reposent sur des estimations ou des impressions – une approche qui peut engendrer soit un stress hydrique pour les plantes, soit un gaspillage d’eau. Les conséquences se répercutent directement sur les rendements et, à terme, sur la rentabilité de l’exploitation.

"Irrigation : 4 approches pour déterminer le moment idéal

<p>Avec 100 millions de visiteurs internationaux en 2024, nouveau record, la France est la premi&egrave;re destination touristique mondiale. Avec <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/a-14-3-milliards-d-euros-en-2024-l-excedent-commercial-des-vins-et-spiritueux-s-erode-de-4" target="_blank">un chiffre d&rsquo;affaires de 15,6 milliards d&rsquo;euros en 2024</a>, elle est aussi le premier exportateur mondial de vins et spiritueux. C&rsquo;est donc tout &agrave; fait logiquement que l&rsquo;Hexagone se place en t&ecirc;te du march&eacute; de l&rsquo;&oelig;notourisme.</p><aside class="read-also">
    <p class="typography menu-link dark ">&Agrave; voir aussi</p>
    <a href="https://www.pleinchamp.com/les-guides/agritourisme-le-guide-pratique-pour-diversifier-ses-revenus~bienvenue-sur-ce-guide-consacre-a-l-agritourisme" target="_blank" title="">Agritourisme : le guide pratique pour diversifier ses revenus</a>
</aside>
<p>C'est ce que confirme&nbsp;la derni&egrave;re enqu&ecirc;te d&rsquo;Atout France, l&rsquo;Agence de d&eacute;veloppement touristique de la France, sous la tutelle du minist&egrave;re des Affaires &eacute;trang&egrave;res. Elle fait &eacute;tat d&rsquo;une hausse de la fr&eacute;quentation de 20%, comparativement &agrave; la derni&egrave;re enqu&ecirc;te datant de 2016. En 2023, ce sont ainsi 12 millions d&rsquo;&oelig;notouristes qui ont explor&eacute; les vignobles et plantations de canne &agrave; sucre, dont 6,6 millions de Fran&ccedil;ais et 5,4 millions d&rsquo;&eacute;trangers. L&rsquo;essor des client&egrave;les &eacute;trang&egrave;res est particuli&egrave;rement marqu&eacute;, avec une progression de +29%, contre +14% pour la client&egrave;le fran&ccedil;aise. Les visiteurs internationaux repr&eacute;sentent ainsi 45% des d&rsquo;&oelig;notouristes, avec en t&ecirc;te les Britanniques, devant les Belges et les Am&eacute;ricains.</p><p>La Nouvelle-Aquitaine capte un quart des &oelig;notouristes (soit 2,5 millions), talonn&eacute;e par l&rsquo;Occitanie et la r&eacute;gion Sud &agrave; 2,3 millions chacune. Suivent le Grand-Est (2 millions), la Bourgogne-Franche-Comt&eacute; (1 million), Auvergne Rh&ocirc;ne-Alpes (0,8 million), les Pays de la Loire et le Centre Val de Loire fermant la marche avec 0,5 million chacune. Les caves particuli&egrave;res concentrent 82% visites, devant les caves coop&eacute;ratives (12%), les mus&eacute;es et &eacute;v&egrave;nements (5%) et les Maisons des vins (1%).</p><h2>Les gages du succ&egrave;s</h2><p>Pour expliquer la croissance de l'&oelig;notourisme, dont l&rsquo;enqu&ecirc;te ne mentionne le chiffre d&rsquo;affaires induit,&nbsp;Atout France met en avant les effets de structuration de la fili&egrave;re, qui prennent notamment la forme des destinations labellis&eacute;es &laquo;&nbsp;Vignobles &amp; D&eacute;couvertes&nbsp;&raquo;, au nombre de 75 (+12% depuis 2016) et des prestations labellis&eacute;es, au nombre de 8.704 (+117%). L&rsquo;essor de la fili&egrave;re s&rsquo;explique aussi par la vari&eacute;t&eacute; d&rsquo;exp&eacute;riences qu&rsquo;elle propose (visites immersives, h&eacute;bergements en nature, exp&eacute;riences bien-&ecirc;tre et &eacute;v&eacute;nements culturels) avec une offre qui ne cesse de se renouveler gr&acirc;ce &agrave; des investissements r&eacute;guliers. Ils se mat&eacute;rialisent par exemple avec des &eacute;quipements uniques au monde (Cit&eacute; du vin &agrave; Bordeaux, Cit&eacute;s des climats et vins de Bourgogne), le classement au Patrimoine mondial de l'Unesco des vignobles de Champagne et de Bourgogne (2015), s&rsquo;ajoutant aux classements plus anciens de Saint-&Eacute;milion (1999) et du Val de Loire (2000), l&rsquo;organisation de spectacles dans les caves ou encore des projets d'h&eacute;bergements et de restauration au c&oelig;ur des vignobles. L&rsquo;existence d&rsquo;un p&ocirc;le d&eacute;di&eacute; &agrave; l&rsquo;&oelig;notourisme, regroupant les acteurs&nbsp;du tourisme et de la viticulture de l&rsquo;ensemble des r&eacute;gions viticoles de France est aussi pour beaucoup dans le succ&egrave;s de l&rsquo;&oelig;notourisme tricolore.</p>


C’est 20% de plus qu’en 2016, date de la dernière enquête d’Atout France. Avec une progression de 29%, l’essor est particulièrement marqué chez les visiteurs étrangers qui représentent quasiment un œnotouriste sur deux. Un succès qui s’explique par la structuration de l'offre,  sa diversité et ses innovations.