Vente plus régulière

Mauvais commerce

Les places dans les ateliers sont accaparés…

La baisse persiste

La baisse s’atténue

Poursuite de la baisse

Les acheteurs maintiennent la pression

La baisse se poursuit

Commerce plus difficile

L’offre progresse, mais elle n’encombre pas les intégrateurs. Ces derniers pratiquent néanmoins un tri…

Commerce plus sélectif

L’activité commerciale se montre un peu…

Vente calme

Les apports sont toujours réduits par les travaux ces champs. L’activité…

Vente plus calme

Vente normale

Cours reconduits

Cours stables

Commerce fluide

Cours en hausse.

Les cours sont soutenus

Bonne demande

Commerce très fluide

Vente rapide

Vente fluide

Cours facilement reconduits

Veaux

Agneaux &ndash; Les Fran&ccedil;ais auront-ils les moyens de s&rsquo;offrir de la viande ovine &agrave; P&acirc;ques&nbsp;? Les prix sont repartis &agrave; la hausse, face &agrave; un d&eacute;ficit d&rsquo;offre accentu&eacute;e par les cons&eacute;quences des crises sanitaires. L&rsquo;ambiance commerciale est bonne sur les march&eacute;s, avec des tarifs soutenus dans les bons agneaux laitons de pays ou sous signe de qualit&eacute;. Le niveau de l&rsquo;import reste fort pour des tarifs qui tendent &eacute;galement &agrave; se renforcer.&nbsp; 
<div class=" ez-embed-type-image">
 
 
 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/reference/9/0/4/9/6929409-1-fre-FR/fc053d1d3d75-4-agneaux.jpg" alt="" height="288" width="600" /></figure>

</div>
Brebis &ndash; La demande est suivie et les tarifs fermes dans les bonnes brebis &agrave; la veille de la fin du ramadan A&iuml;d-el-Fitr.Avis d&rsquo;expert&nbsp;: La modestie de l&rsquo;offre restera favorable &agrave; une meilleure tenue des prix, avec des &eacute;leveurs qui ont P&acirc;ques en ligne de mire. Le commerce sera actif dans les bonnes brebis.<a href="https://www.pleinchamp.com/les-cours/betail-vif" target="_blank">Cliquer ici pour retrouver tous vos cours sur le b&eacute;tail vif </a>

Ovins – La faiblesse de l’offre raffermit les prix.

Conjoncture &ndash; Depuis le d&eacute;but de l&rsquo;ann&eacute;e, l&rsquo;envol&eacute;e des prix en Allemagne, en Belgique, aux Pays-Bas ou en Italie est hallucinante. Nos voisins du nord de l&rsquo;Europe font face &agrave; une tr&egrave;s forte d&eacute;croissance de la production laiti&egrave;re sous l&rsquo;&eacute;gide de politique tr&egrave;s environnementale comme en Hollande, ou de rupture g&eacute;n&eacute;rationnelle outre-Rhin (comme en France). En quelques semaines, les tarifs ont atteint des sommets qui posent beaucoup de questions. Face &agrave; une d&eacute;croissance massive de la production, les industriels allemands peinent &agrave; couvrir une demande croissante &agrave; quelques semaines de P&acirc;ques. Avec des vaches O entre 5,30 et 5,35&euro; voir plus en Belgique. Le&nbsp;march&eacute; fran&ccedil;ais est sur la m&ecirc;me dynamique, m&ecirc;me si les tarifs sont un peu en retrait avec des laiti&egrave;res O &agrave; 4,91&euro; (sem 10) et des mixtes &agrave; 5,20&euro; (prix en entr&eacute;e d&rsquo;abattoir). Les disponibilit&eacute;s en r&eacute;formes laiti&egrave;res sont un peu plus &eacute;toff&eacute;es sur ce d&eacute;but avril, avec un effet comptable pour une nouvelle campagne laiti&egrave;re. Le renforcement du prix du lait n&rsquo;est pas un &eacute;l&eacute;ment &agrave; lib&eacute;rer plus de vaches, avec la mise &agrave; l&rsquo;herbe qui se rapproche. L&rsquo;engraissement des vaches, souvent en manque de finition en fin de carri&egrave;re, est une source de profit ind&eacute;niable pour les &eacute;leveurs au regard des tarifs pratiqu&eacute;s dans la viande<aside class="read-also">
 &Agrave; voir aussi
 <a href="https://www.pleinchamp.com/les-cours/betail-vif" target="_blank">Les march&eacute;s du b&eacute;tail vif : prix et analyses - Pleinchamp</a>
</aside>
Cette envol&eacute;e des prix de la viande d&rsquo;entr&eacute;e de gamme se ressent &eacute;galement dans les animaux de races &agrave; viande, avec un d&eacute;ficit de production &eacute;galement tr&egrave;s marqu&eacute;.A trois semaines de P&acirc;ques, de nombreux animaux de haute qualit&eacute; vont se retrouver sur les concours d&rsquo;animaux de boucherie, avec des op&eacute;rateurs passionn&eacute;s de bonne viande, mais qui souffrent du niveau &eacute;lev&eacute; des prix dans le conventionnel. Les GMS sont plus frileuses, et les bouchers sont inquiets, face &agrave; des marges qui se r&eacute;duisent et une main-d&rsquo;&oelig;uvre plus compliqu&eacute;e &agrave; trouver.La ferme France maigrit avec une pyramide des &acirc;ges tr&egrave;s d&eacute;favorable. Alors, que les &eacute;leveurs se battent tous les jours pour fournir une viande de qualit&eacute;, et de plus en plus respectueuse de l&rsquo;environnement et du bien-&ecirc;tre animal, le report de la hausse dans le secteur aval, posent beaucoup de questions, que ce soit en France comme chez nos voisins europ&eacute;ens. Elle est d&eacute;sormais source d&rsquo;inqui&eacute;tude et d&rsquo;&eacute;puisement pour toute la fili&egrave;re de la transformation. Certains pays du pourtour m&eacute;diterran&eacute;en se retournent vers des animaux plus abordables en provenance du Br&eacute;sil, ce qui tend &agrave; modifier les &eacute;quilibres en cours (notamment du c&ocirc;t&eacute; espagnol).Selon le troisi&egrave;me barom&egrave;tre sur la consommation de viande &eacute;tablit par le R&eacute;seau Action Climat avec Toluna &ndash; Harris Interactive, <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/vers-moins-et-mieux-de-viande" target="_blank" title="">la moiti&eacute; des Fran&ccedil;ais a r&eacute;duit sa consommation de viande</a> sur ces trois derni&egrave;res ann&eacute;es, notamment pour des raisons &eacute;conomiques. 79&nbsp;% des sond&eacute;s, disent qu&rsquo;ils sont pr&ecirc;ts &agrave; r&eacute;duire leur consommation de viande pour mieux r&eacute;mun&eacute;rer les &eacute;leveurs. N&eacute;anmoins, cette &eacute;tude fait &eacute;galement ressortir que 30&nbsp;% des Fran&ccedil;ais mangent de la viande tous les jours notamment par le biais de la restauration collective ou de la RHF, avec des op&eacute;rateurs qui se rapprochent de plus en plus de la production nationale.

Depuis le début d’année et face à la forte chute des disponibilités, l’envolée des prix de la viande, des broutards ou des veaux est hallucinante. Elle est désormais source d’inquiétude pour les secteurs intermédiaires.

Conjoncture - Une envolée des prix hallucinante

Race	Conformation	Sexe	Poids	Prix min	Prix max	Prix moyen	Variation
Croisés laitiers (mère laitière x mâle viande OU mère laitière x père mixte)	R	M	-	180 €	260 €	200 €	+10,00 €
Croisés laitiers (mère laitière x mâle viande OU mère laitière x père mixte)	O	M	-	120 €	170 €	150 €	+10,00 €
Croisés laitiers (mère laitière x mâle viande OU mère laitière x père mixte)	O	F	-	90 €	130 €	100 €	+10,00 €
Races laitières (Prim'Holstein)	+ 55 kg	M	-	95 €	110 €	100 €	+10,00 €
Races laitières (Prim'Holstein)	40-45 kg	M	-	20 €	40 €	30 €	+10,00 €
Races laitières (Prim'Holstein)	45-50 kg	M	-	60 €	70 €	65 €	+10,00 €
Races laitières (Prim'Holstein)	50-55 kg	M	-	75 €	95 €	85 €	+10,00 €

Marché de RETHEL - Veaux

Veaux de 10 js à 4 sem (maj 2021)

Analyse de nos experts

Vente plus régulière

Vous êtes agriculteur titulaire d'un Compte Service Agri ou d'un Compte à Composer Agri ?