Le mouvement baissier se poursuit sur le marché du blé sous la pression des importants stocks restant à commercialiser en Europe de l'Est. 
La forte concurrence des blés russes et des blés ukrainiens sur la scène internationale oblige les prix…

L'ambiance reste lourde

La panique s'empare du marché du blé avec des cours qui viennent de perdre une vingtaine d'euros la tonne depuis le début de la semaine sur le contrat blé Euronext. L'échéance Mai 2023 clôture ainsi à 248 €/t soit un plus bas depuis 18 mois. 
Le…

Panique vendeuse

La pression baissière persiste sur le marché des matières premières. Ceux des céréales et plus précisément celui du blé est l’un des principal concerné par la vente des fonds sur l’ensemble des places boursières. Sur…

Accélération baissière

Rien ne semble pouvoir stopper l’hémorragie qui touche actuellement l’ensemble des marchés. Pourtant, la clarté n’était pas au rendez-vous dans l’évènement de ces derniers jours, à savoir la reconduite du corridor. De 120 jours…

La baisse se poursuit

Le corridor était dans la tête de tous les opérateurs ce week-end et a une nouvelle fois démontré son importance. Toutefois, un point d’incertitude règne puisque si l’absence d’opposition officielle a prolongé par tacite reconduction…

Corridor : une reconduite qui fait parler

Le blé poursuit sa baisse en venant casser son support des 270 €/t sur le contrat Mai 23 d’Euronext, pénalisé par l’abondance de l’offre, à laquelle s’ajoute une très probable continuité du corridor, et le retour des…

Dans l'attente de l'accord sur le corridor 

Que d’incertitudes sur les marchés depuis quelques jours, entre nouvelles macroéconomiques faisant craindre une crise de confiance du système bancaire, et incertitudes concernant le corridor. En témoigne la forte…

Les incertitudes toujours de mise

Après une séance d'hésitation et de forte volatilité, le blé Euronext échéance Mai 2023 termine sa course en hausse de +2,25 à 269,25 €/t. 
Les principales informations, aussi…

Poursuite du rebond dans l'incertitude

La perspective de la poursuite du corridor a rassuré les marchés hier. Néanmoins, la proposition russe d'un renouvellement pour une durée de 60 jours et non 120 jours comme dans les précédents accords apporte un élément nouveau sur le…

Rebond

Pour la 4è semaine consécutive, le blé sur Euronext se replie et revient sous son niveau d’avant-guerre. Cela témoigne dans un premier temps de l’optimisme de l’ensemble des opérateurs quant au renouvellement du corridor alimentaire en mer…

Sous les niveaux d'avant-guerre

La correction se poursuit sur le marché du blé sur Euronext dans le sillage du blé à Chicago à désormais près de 260 €/t. Les ventes exports américaines demeurent sans surprise sur un niveau moyen à 267 Kt. Dans le…

Clôture proche des 260 €/t

Le marché du blé sur Euronext a connu une nouvelle séance de baisse hier en clôturant en baisse de – 3,25 €/t à 266,75 €/t. Le rapport USDA est venu rappeler la lourdeur de la situation chez les grands exportateurs…

Cassure des 270 €/t

La pression baissière ambiante reste d'actualité sur le marché du blé. Sur la scène internationale, les blés russes et australiens se livrent une très forte concurrence et entraînent les origines européennes dans leur spirale baissière. <br…

Test des 270 €/t sur Mai 2023

La situation européenne du blé continue d’être pénalisée par l’ importante disponibilité dans un contexte de faible demande, auquel s’ajoute la reconduction du corridor ukrainien, désormais presque acquise par les…

Un nouveau plus bas pour le blé Euronext

Les cours du blé restent dans une dynamique baissière et évoluent toujours autour des 275 €/t sur l’échéance Mai d’Euronext. Le manque de nouveaux éléments est toujours marquant et il faudra attendre…

Dans l'attente de nouveaux éléments

Apres la forte chute du début de semaine, le blé marque un rebond technique de +3€/t hier sur l’échéance Mai 23 d’Euronext à 275 ,50€/t. Depuis deux semaines, les cours des céréales marquent un net recul, entrainés par le manque de soutien à la fois du côté…

Rebond technique hier

Nouvelle séance de correction pour le blé sur Euronext qui est venu tester la zone de 270 €/t sur l’échéance Mai 2023, avant de clôturer en baisse de – 3,25 à 272,50 €/t. La demande portuaire demeure très discrète avec peu de…

Test des 270 €/t

En nouveau repli de -2,25 €/t, l'échéance Mai 23 se rapproche de nouvelles zones de support mais conserve sa dynamique baissière. Malgré un regain de demande sur le marché local, le blé français peine à trouver des éléments de soutien. En…

Poursuite du repli

Le marché du blé manque de soutien, et le blé poursuit sa baisse en cassant son support des 280 €/t hier sur le contrat blé Mai 23 d’Euronext. Au bilan confortable à court terme, s’ajoute maintenant la disparition de la prime de risque sur les…

Cassure du support 

La zone clé des 280 €/t pour le blé Euronext a une nouvelle fois été touchée la semaine passée mais ce support qui se fragilise tient encore. Un an après le début du conflit en Ukraine, tous les…

Retour sur le support

Les marchés céréaliers se sont affichés en hausse hier après avoir essuyé des pertes importantes sur le milieu de semaine. Bien aidées par le retour de la parité €/$ sous les 1.06, les origines européennes conservent…

Rebond technique

Les blés européens et surtout français gagnent en compétitivité face à l’origine russe à l’approche de la période de ralentissement des exportations. Cette dernière se dessine généralement entre avril, date de début des récoltes chez plusieurs importateurs, et juin, à l’aube de la…

Test des supports

Les discours de Vladimir Poutine et Joe Biden d’hier n’ont pas apporté de nouvel élément concret concernant l’évolution du conflit ou une issue non favorable au renouvellement du corridor. En raison d’un "grain deal" moins menacé qu’en début de semaine dernière,…

Apaisement des tensions 

Les marchés céréaliers ont peu évolué en ce début de semaine, alors que le marché américain était fermé ce lundi et dans l'attente de nouvelles informations en provenance de la région mer Noire. Si les conflits armés s'intensifient depuis quelques jours, le…

Regain de tension géopolitique

A l’image des derniers regains de tension de fin décembre en mer Noire, le marché des céréales s’accoutume toujours plus rapidement aux effets d’annonce de la Russie. Si le début de semaine dernier marquait un retour du blé sur Euronext proche de sa résistance des 300…

Un an de conflit en Ukraine

Le 20 mars, le prix du blé meunier rendu Rouen s’affichait à 253 €/t en base juillet. Depuis le 20 février le blé sur cette place s’est écroulé de 37 €/t ! La baisse des cours s’est accélérée depuis la mi-février et le blé a maintenant atteint son plus bas niveau depuis treize mois.

La chute des prix du blé est-elle terminée ?

Le 17 février dernier, le prix du blé meunier rendu Rouen atteignait 290 €/t (en base juillet). Depuis le 18 janvier dernier, le blé français s’est très légèrement renchéri de 1,5 €/t. Le marché du blé est nerveux à l’aube du printemps, alors que l’hiver est plutôt sec et que les tensions mondiales n’ont jamais été aussi fortes dans l’histoire récente.

Concurrence européenne croissante, mais vives inquiétudes géopolitiques

Au 18 janvier les prix du blé meunier rendu Rouen ont atteint 288,5 €/t (en base juillet), soit une baisse de 10,5 €/t par rapport au 15 décembre dernier. Les prix ont soudainement atteint un pic autour de Noël en raison de la vague de froid historique aux USA, avant de redescendre avec la même célérité. Le début du mois de janvier est marqué par une baisse régulière des prix des céréales.

Des stocks français bas, mais des prix en berne

Au 15 décembre, le blé meunier rendu Rouen a atteint 299 €/t (en base juillet), en net recul de 25 €/t par rapport au 2 décembre dernier. Les prix du blé français sont sous l’influence des fondamentaux du marché mondial.

Ambiance baissière confortée par un bilan mondial lourd

Au 2 décembre, le blé meunier rendu Rouen vaut près de 324 €/t (en base juillet), de nouveau en net recul— de 15 €/t —par rapport à son niveau du mois dernier. Les prix restent comprimés par la concurrence mondiale même si le blé français a bien tiré son épingle du jeu jusqu’à maintenant.

Stocks français attendus bas en fin de campagne mais prix comprimés par l’offre mondiale

Au 2 novembre, le blé meunier rendu Rouen s’affichait à 339 €/t (en base juillet), soit en recul de 9,5 €/t par rapport au 22 septembre dernier. Malgré l’inquiétude sur la non-reconduction du corridor d’exportation de grains au départ de l’Ukraine, les prix se sont contractés, notamment sous l’influence de la pléthorique récolte russe.

La volatilité bat son plein malgré des fondamentaux baissiers

Au 22 septembre, le blé meunier rendu Rouen était coté à 348,5 €/t (en base juillet), en hausse de 13,5 €/t par rapport au 11 août dernier. Au cours de la troisième semaine de septembre les cours des céréales ont fortement remonté, alors même qu’ils continuaient de suivre une tendance baissière jusque-là.

La géopolitique fait remonter les prix du blé

Au 11 août, le blé meunier rendu Rouen était coté à 335 €/t (en base juillet), en hausse de 3 €/t par rapport au 22 juillet dernier. Les prix du blé ont été soutenus par une forte activité à l’exportation dans les ports français depuis le début de la campagne.

La demande en blé est bien présente, mais jusqu’à quand ?

Au 22 juillet, le blé meunier rendu Rouen nouvelle récolte était coté à 332 €/t (en base juillet), et a chuté de 52,25 €/t par rapport au 9 juin dernier. Le fort recul des prix découle de la baisse sur la deuxième quinzaine de juin des prix du pétrole, puis du fragile accord signé entre l’Ukraine, la Russie et les Nations-Unies pour permettre la mise en place de corridors d’exportations sécurisés.

La géopolitique fait dégringoler les prix du blé tendre

Au 9 juin, le blé meunier rendu Rouen nouvelle récolte était coté à 384,25 €/t (en base juillet), et s’est nettement contacté de 37 €/t par rapport au 20 mai dernier. Les prix ont été projetés à de très hauts niveaux le mois dernier après la décision de l’Inde d’interdire les exportations de blé pour les contrats ne possédant pas de lettre de crédit. Depuis cette annonce, le marché a digéré l’information et les pluies en Europe de l’Ouest ont participé à la détente des prix observée d’un mois sur l’autre.

Inflexion des prix français

Le blé meunier rendu Rouen était coté à 420,25 €/t (en base juillet) le 19 mai, contre 396,5 €/t le 14 avril dernier. Les prix ont été propulsés à des niveaux bien supérieurs aux records antérieurs, à la suite de la mise en place de l’interdiction des exportations par le gouvernement indien, atteignant même 437 €/t le 16 mai dernier. Les prix se sont ensuite calmés au cours de la semaine écoulée. Entre la guerre et les sécheresses dans plusieurs zones de production, le marché est extrêmement nerveux.

Les précédents records ont été pulvérisés

Le blé meunier rendu Rouen était coté à 396,5 €/t (en base juillet) le 14 avril, contre 386 €/t le 21 mars dernier. Après avoir progressé de plus de 100 €/t entre le 21 février et le 21 mars, la hausse de ce mois-ci conduit à des niveaux de prix jamais atteints jusqu’à présent. Les prix du blé français ont reculé entre la mi-mars et le 9 avril, avant de rebondir fortement ces derniers jours.

Nouveau record de prix

Le blé meunier rendu Rouen était coté à 386 €/t (en base juillet) le 21 mars, contre 272 €/t le 21 février dernier. L’invasion de l’Ukraine par la Russie est responsable de la flambée des prix observée d’un mois sur l’autre, repoussant ainsi les prix à des niveaux tout simplement records.

La guerre en Ukraine conduit à une baisse du stock

Les prix ont continué leur déclin, mais la menace d’un conflit ouvert en Ukraine apporte de la fébrilité au marché.

Tendance baissière contrecarrée par le conflit en mer Noire

Blé tendre

Ovins &ndash; Avec le d&eacute;but du ramadan et l&rsquo;approche de P&acirc;ques, la demande tend &agrave; se renforcer sur un march&eacute; fran&ccedil;ais o&ugrave; les volumes restent toujours &eacute;triqu&eacute;s. L&rsquo;activit&eacute; commerciale dans le secteur aval p&acirc;tit pourtant de la baisse des ventes dans les magasins avec une fin de mois qui se montre tr&egrave;s tendue sur les budgets des m&eacute;nages. Les tarifs sont fermes que ce soit sur l&rsquo;ensemble des agneaux laitons. Les sujets lourds sont &eacute;galement bien valoris&eacute;s pour le ramadan. En brebis, la demande est soutenue avec le d&eacute;but du ramadan, mais les tarifs sont stables. Avis d&rsquo;expert&nbsp;: Le march&eacute; devrait de nouveau s&rsquo;animer &agrave; l&rsquo;approche de P&acirc;ques <a href="https://www.pleinchamp.com/les-cours/betail-vif">Cliquer ici pour retrouver tous vos cours sur le b&eacute;tail vif </a>

Ovins – Meilleure demande pour Pâques.

Veaux d&rsquo;&eacute;levage et d&rsquo;engraissement &ndash; Les int&eacute;grateurs, qui avaient anticip&eacute; la revalorisation des veaux laitiers en d&eacute;but d&rsquo;ann&eacute;e, confortent leurs positions face &agrave; une moindre pression&nbsp;&nbsp; de la demande espagnole. Les tarifs sont inchang&eacute;s depuis quelques semaines, avec un march&eacute; qui va devoir attendre le recul de l&rsquo;offre irlandaise pour retrouver des couleurs dans les veaux Holsteins, Normands. Le commerce reste fluide avec des tarifs stables, mais attractifs dans les Montb&eacute;liards&nbsp; et les Abondances. La tendance est au maintien des prix dans les veaux crois&eacute;s R lourds malgr&eacute; le repli du d&eacute;bouch&eacute; espagnol. Les mises en place sur la France pour la production de jeune bovin se renforcent avec en ligne de mire les JO 2024, mais &eacute;galement le remplacement des r&eacute;formes sur le march&eacute; de la viande. Les tarifs sont stables dans les crois&eacute;s, Charolais ou Limousins de bonne conformation. Veaux de boucherie &ndash;&nbsp;La viande de veau reste correctement valoris&eacute;e, face &agrave; une offre globale toujours modeste sur les march&eacute;s fran&ccedil;ais et hollandais. Le niveau de la demande est stable et assur&eacute; par la mont&eacute;e en puissance des k&eacute;babs dans l&rsquo;alimentation. &nbsp;Les op&eacute;rateurs qui font de la qualit&eacute; pour la boucherie et les rayons traditionnels p&acirc;tissent en revanche du recul de la demande en cette fin de mois. Avis d&rsquo;expert&nbsp;: Veaux&nbsp;: Le recul de l&rsquo;offre sera favorable &agrave; une meilleure tenue des prix. &nbsp;Veaux de boucherie&nbsp;: Le recul des ventes de cette fin de mois risque de peser sur les tarifs. &nbsp;&nbsp;<a href="https://www.pleinchamp.com/les-cours/betail-vif">Cliquer ici pour retrouver tous vos cours sur le b&eacute;tail vif </a>

Les marchés à terme

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