Quelles sont les prévisions pour septembre 2025 ?

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Saint-Barthélemy-d'Anjou

Dans cette affaire dite &laquo;&nbsp;Justice pour le vivant&nbsp;&raquo;, les associations de d&eacute;fense de l'environnement ont obtenu gain de cause. L'une d'elle, Pollinis, a salu&eacute; dans un communiqu&eacute; une &laquo;&nbsp;victoire historique&nbsp;&raquo; et appel&eacute; le gouvernement &agrave; se plier &agrave; cette d&eacute;cision, sans saisir la juridiction supr&ecirc;me, le Conseil d'&Eacute;tat.&nbsp;La cour administrative d'appel de Paris a ordonn&eacute; le 3 septembre de proc&eacute;der &laquo;&nbsp;dans un d&eacute;lai de 24 mois&nbsp;&raquo; &agrave; &laquo;&nbsp;un r&eacute;examen des autorisations de mise sur le march&eacute; d&eacute;j&agrave; d&eacute;livr&eacute;es, pour r&eacute;parer un &laquo;&nbsp;pr&eacute;judice &eacute;cologique r&eacute;sultant de l'usage des produits phytopharmaceutiques&nbsp;&raquo;, notamment envers &laquo;&nbsp;la sant&eacute; humaine&nbsp;&raquo;, a-t-elle r&eacute;sum&eacute; dans un communiqu&eacute; accompagnant la d&eacute;cision. &laquo;&nbsp;Il est enjoint &agrave; l'&Eacute;tat de mettre en &oelig;uvre une &eacute;valuation des risques pr&eacute;sent&eacute;s par les produits phytopharmaceutiques &agrave; la lumi&egrave;re du dernier &eacute;tat des connaissances scientifiques, notamment en ce qui concerne les esp&egrave;ces non cibl&eacute;es&nbsp;&raquo;, indique l'arr&ecirc;t.<aside class="read-also">
 &Agrave; voir aussi
 <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/blocage-de-l-acetamipride-la-cgb-et-l-anpn-demandent-des-comptes-et-un-nouveau-texte-legislatif" target="_blank" title="">Blocage de l&rsquo;ac&eacute;tamipride : la CGB et l&rsquo;ANPN demandent des comptes et un nouveau texte l&eacute;gislatif</a>
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Les services de l'&Eacute;tat se voient reprocher d'avoir m&eacute;connu les exigences du r&egrave;glement europ&eacute;en qui encadre la commercialisation des pesticides, &eacute;dict&eacute; en 2009. Ce texte oblige les pesticides &agrave; ne pas avoir &laquo;&nbsp;d'effet nocif imm&eacute;diat ou diff&eacute;r&eacute; sur la sant&eacute; humaine ou animale&nbsp;&raquo; ni &laquo;&nbsp;d'effets inacceptables sur les v&eacute;g&eacute;taux ou sur l'environnement&nbsp;&raquo;.&nbsp;L'Agence nationale de s&eacute;curit&eacute; sanitaire (Anses), charg&eacute;e d'&eacute;valuer et d'autoriser la mise sur le march&eacute; des pesticides, &laquo;&nbsp;a commis une faute en ne proc&eacute;dant pas &agrave; l'&eacute;valuation des produits phytopharmaceutiques au vu du dernier &eacute;tat des connaissances scientifiques&nbsp;&raquo;, souligne la cour administrative d'appel dans son communiqu&eacute;.<h2>Une liste sous les 6 mois</h2>Cette juridiction ordonne donc &laquo;&nbsp;de proc&eacute;der, le cas &eacute;ch&eacute;ant, au r&eacute;examen des autorisations de mises sur le march&eacute; d&eacute;j&agrave; d&eacute;livr&eacute;es et pour lesquelles la m&eacute;thodologie d'&eacute;valuation n'aurait pas &eacute;t&eacute; conforme &agrave; ces exigences, dans un d&eacute;lai de vingt-quatre mois&nbsp;&raquo;.&nbsp;Le nombre de produits concern&eacute;s reste &agrave; d&eacute;terminer. L'&Eacute;tat a six mois pour communiquer une liste &agrave; la cour administrative d'appel. Celle-ci va plus loin que le tribunal administratif qui, en premi&egrave;re instance, en juin 2023, avait &laquo;&nbsp;enjoint au gouvernement de prendre toutes les mesures utiles de nature &agrave; r&eacute;parer le pr&eacute;judice &eacute;cologique&nbsp;&raquo;.&nbsp;Les associations, partiellement satisfaites, avaient alors fait appel en esp&eacute;rant &laquo;&nbsp;obliger l'&Eacute;tat &agrave; combler les failles des m&eacute;thodes d'&eacute;valuation des risques des pesticides&nbsp;&raquo;. C'est ce qu'elles ont obtenu mercredi.Le succ&egrave;s en juillet <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/loi-duplomb-vers-un-debat-a-l-assemblee-nationale-mais-pas-d-abrogation-en-vue" target="_blank">d'une p&eacute;tition contre la loi Duplomb</a>, sign&eacute;e par plus de 2,1 millions de personnes, avait montr&eacute; l'hostilit&eacute; aux pesticides d'une bonne partie de l'opinion publique fran&ccedil;aise.&nbsp;Le 7 ao&ucirc;t, <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/promulgation-de-la-loi-duplomb-l-essentiel-du-texte" target="_blank">le Conseil constitutionnel a censur&eacute; la disposition la plus contest&eacute;e</a> de cette loi qui all&egrave;ge certaines contraintes pour les agriculteurs : la r&eacute;introduction sous conditions d'un pesticide interdit de la famille des n&eacute;onicotino&iuml;des.L'organisation professionnelle Phyteis plaidait dans le dossier &laquo;&nbsp;Justice pour le vivant&nbsp;&raquo; l'absence de &laquo;&nbsp;faute&nbsp;&raquo; de l'&Eacute;tat. Ce dernier devra verser 3.000 euros au titre des frais de justice, &agrave; r&eacute;partir entre six associations.

L'Etat a été condamné à revoir ses procédures d'autorisation des pesticides, jugées par la cour administrative d'appel de Paris insuffisantes pour garantir le maintien de la biodiversité et la protection de la santé.

Santé et biodiversité : l’Etat devra revoir des autorisations de pesticides

Agneaux &ndash; Les op&eacute;rations commerciales de rentr&eacute;e dans les magasins engag&eacute;s dans des d&eacute;marches &laquo;&nbsp;qualit&eacute;&nbsp;&raquo; ne donnent pas enti&egrave;rement de satisfaction m&ecirc;me si les prix sont plus abordables. Il est difficile de reconqu&eacute;rir des consommateurs qui gardent un produit on&eacute;reux dans leur esprit. Le commerce est calme avec des abatteurs qui ont toujours des stocks malgr&eacute; la forte d&eacute;capitalisation dans les &eacute;levages. La vaccination contre la FCO, reste une priorit&eacute; pour les &eacute;leveurs, qui ne veulent pas subir les m&ecirc;mes pertes que l&rsquo;an pass&eacute;.&nbsp; 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/reference/8/8/7/0/7860788-1-fre-FR/f0a289f1725a-4-agneaux.jpg" alt="" height="301" width="600" /></figure>

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Brebis &ndash; La demande se replie sur l&rsquo;Italie, mais elle se renforce sur la France, ce qui permet une bonne tenue des prix sur l&rsquo;ensemble des cat&eacute;gories.Avis d&rsquo;expert&nbsp;: Agneaux&nbsp;: Les gros op&eacute;rateurs craignent une baisse d&rsquo;activit&eacute; dans leurs outils avec le mouvement &laquo;&nbsp;Bloquons tout&nbsp;&raquo;&nbsp;&nbsp;<a href="https://www.pleinchamp.com/les-cours/betail-vif" target="_blank">Cliquer ici pour retrouver tous vos cours sur le b&eacute;tail vif </a>

Ovins – Le commerce reste calme

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