Quelles sont les prévisions météo pour mars 2025 ? Chronique de N. Le Friant

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Pont-à-Mousson

<h2><strong>Un b&acirc;tim</strong><strong>ent essentiel pour la Coop&eacute;ration</strong></h2><p>Avec une trentaine d&rsquo;adh&eacute;rents et une vingtaine d&rsquo;&eacute;quipements, la <a href="https://nouvelle-aquitaine.cuma.fr/decouvrir-la-federation/decouvrir-le-reseau-cuma/la-cuma-des-benefices-a-tous-les-niveaux-2/" title="">CUMA </a>loue actuellement un b&acirc;timent qui ne r&eacute;pond plus &agrave; ses besoins. L&rsquo;objectif est de centraliser le mat&eacute;riel, faciliter son entretien et renforcer l&rsquo;&eacute;change entre agriculteurs. En prot&eacute;geant les machines des intemp&eacute;ries et en int&eacute;grant une gestion responsable des d&eacute;chets (huiles usag&eacute;es, filtres...), ce projet devient un v&eacute;ritable levier de performance.</p><p>&nbsp;</p><figure  style="text-align: center;">
    <iframe type="text/html" width="640" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/kEPZvtGNdRQ?autoplay=0"
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    <figcaption>Un hangar en CUMA pour r&eacute;pondre aux enjeux environnementaux, &eacute;conomiques et sociaux</figcaption>
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<h2><strong>Une opportunit&eacute; &eacute;conomique et environnementale</strong></h2><p>L&rsquo;originalit&eacute; du projet r&eacute;side dans son toit &eacute;quip&eacute; de panneaux photovolta&iuml;ques. Deux options sont envisag&eacute;es :</p><ul><li>Un tiers investisseur, o&ugrave; la CUMA loue l&rsquo;espace sous le hangar sans investissement initial.</li><li>Un investissement propre, o&ugrave; la vente d&rsquo;&eacute;lectricit&eacute; finance le b&acirc;timent.</li></ul><p>Un accompagnement technique est mis en place par la F&eacute;d&eacute;ration des Cuma de Dordogne pour choisir la solution la plus adapt&eacute;e aux besoins de la coop&eacute;rative.</p><h2><strong>Un engagement structurant pour l&rsquo;avenir</strong></h2><p>Ce projet s&rsquo;inscrit dans une d&eacute;marche de <a href="https://nouvelle-aquitaine.cuma.fr/decouvrir-la-federation/la-responsabilite-societale/" title="">Responsabilit&eacute; Soci&eacute;tale des Organisations (RSO)</a>, permettant &agrave; la CUMA de valoriser son engagement en faveur d&rsquo;une agriculture durable et coop&eacute;rative.</p><p>En combinant efficacit&eacute; &eacute;conomique, respect de l&rsquo;environnement et dynamisme collectif, la CUMA de Beleymas prouve que l&rsquo;innovation et la solidarit&eacute; sont les cl&eacute;s de l&rsquo;agriculture de demain !&nbsp;</p>


Face aux défis économiques, environnementaux et logistiques, la CUMA de Beleymas lance un projet ambitieux : la construction d’un hangar photovoltaïque.

[Vidéo] Un Hangar Photovoltaïque en CUMA : Une Réponse durable aux défis Agricoles

<p>Il existe un risque de d&eacute;passement des valeurs toxicologiques chez les consommateurs d&rsquo;aliments &agrave; base de soja, &agrave; hauteur de 76% des enfants de 3 &agrave; 5 ans, de 53% chez les filles de 11 &agrave; 17 ans, de 47% chez hommes de 18 ans et chez femmes de 18 &agrave; 50 ans, de 75% chez les femmes de 51 ans et plus. Ces r&eacute;sultats conduisent l&rsquo;Anses &agrave; recommander de ne pas proposer ces aliments en restauration collective pour &eacute;viter que les repas pris dans ce cadre ne contribuent au risque de d&eacute;passement. Tel est l&rsquo;avis formul&eacute; lundi par l&rsquo;Agence nationale de s&eacute;curit&eacute; sanitaire de l&rsquo;alimentation, de l&rsquo;environnement et du travail (Anses).</p><h2>Perturbateurs endocriniens</h2><p>Les isoflavones sont une famille de phyto&oelig;strog&egrave;nes pr&eacute;sents dans les v&eacute;g&eacute;taux, principalement dans les l&eacute;gumineuses, et en particulier dans le soja est ses produits d&eacute;riv&eacute;s. Pour aboutir &agrave; sa recommandation, l&rsquo;Anses a d&rsquo;abord &eacute;tabli la valeur toxicologique de r&eacute;f&eacute;rence (VTR) long terme par voie orale en isoflavones, puis identifi&eacute; les aliments de consommation courante les plus fortement dot&eacute;s. Les donn&eacute;es d&rsquo;exposition montrent, chez les consommateurs de produits &agrave; base de soja, des d&eacute;passements de la VTR en isoflavones dans toutes les tranches d&rsquo;&acirc;ge de la population, et en particulier chez les enfants. Au plan &eacute;pid&eacute;miologique, la revue syst&eacute;mique de l&rsquo;Anses a &eacute;tabli plusieurs liens entre l&rsquo;exposition aux isoflavones et des perturbations endocriniennes, telles qu&rsquo;un risque plus &eacute;lev&eacute; de r&egrave;gles pr&eacute;coces (avant 12 ans) et une modification du d&eacute;veloppement de certains marqueurs sexuels dans l&rsquo;enfance (croissance et maturation des tissus et organes de l&rsquo;appareil reproducteur) dans l&rsquo;enfance.</p><aside class="read-also">
    <p class="typography menu-link dark ">&Agrave; voir aussi</p>
    <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/le-menu-vegetarien-a-la-cantine-une-experience-sans-lendemain" target="_blank" title="">R&eacute;gime v&eacute;g&eacute;tarien : quelles incidences sur la sant&eacute; ?</a>
</aside>
<p>Ainsi, en l&rsquo;&eacute;tat actuel de la VTR et des donn&eacute;es disponibles sur les teneurs en isoflavones dans les aliments pr&eacute;sents sur le march&eacute; fran&ccedil;ais, l&rsquo;Anses conclut &laquo; <em>qu&rsquo;il n&rsquo;est pas recommand&eacute; de proposer des aliments &agrave; base de soja en restauration collective et ce, quelle que soit la population&nbsp;</em>&raquo;. En outre, dans le cadre <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/regime-vegetarien-quelles-incidences-sur-la-sante" target="_blank">des menus v&eacute;g&eacute;tariens, exig&eacute;s par la loi Egalim en restauration collective</a>,&nbsp;&laquo;&nbsp;<em>il conviendrait donc de s&rsquo;orienter vers des menus ne contenant pas de soja</em>&nbsp;&raquo;, indique l&rsquo;agence sanitaire.</p><h2>Des teneurs tr&egrave;s variables&nbsp;au sein de m&ecirc;mes familles de produits</h2><p>Si les donn&eacute;es analys&eacute;es montrent que les isoflavones sont principalement contenues dans le soja et des plats ou aliments compos&eacute;s en contenant, avec des valeurs moyennes exposant &agrave; un risque toxicologique chez les consommateurs de soja, l&rsquo;&eacute;tude pointe une forte variabilit&eacute; des teneurs entre aliments, voire entre marques pour une m&ecirc;me cat&eacute;gorie d&rsquo;aliments. A titre d&rsquo;exemple, les teneurs en da&iuml;dz&eacute;ine (une des principales isoflavones avec la g&eacute;nist&eacute;ine) des desserts au soja aromatis&eacute;s sucr&eacute;s s'&eacute;chelonnent de 334 &agrave; 6320 &micro;g/100 g selon les marques &eacute;chantillonn&eacute;es ou sources de donn&eacute;es utilis&eacute;es, soit un facteur 19 entre ces extr&ecirc;mes. Selon l'Anses, la forte variabilit&eacute; a plusieurs origines possibles, relevant possiblement des vari&eacute;t&eacute;s de soja, des conditions de culture, du degr&eacute; de maturit&eacute; de la graine, des proc&eacute;d&eacute;s de fabrication ou encore des formulations des produits &eacute;labor&eacute;s. &nbsp;L&rsquo;Anses consid&egrave;re que &laquo;&nbsp;<em>des connaissances sur ces points devraient &ecirc;tre &eacute;tablies par les acteurs qui les produisent afin de d&eacute;velopper des moyens de r&eacute;duction et de ma&icirc;trise des teneurs en isoflavones</em>&nbsp;&raquo;.</p>


Pour éviter un risque de dépassement critique en isoflavones, perturbateurs endocriniens principalement contenus dans le soja et aliments dérivés, l’Agence de sécurité sanitaire recommande d’éviter leur consommation en restauration collective et invite les industriels à en réduire la teneur.

L’Anses recommande de bannir les aliments à base de soja dans la restauration collective

Consultez les informations de votre commune.

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