Pour la validation et la v&eacute;rification des dur&eacute;es de vie microbiologiques des aliments*, la DGAL a mis en place une nouvelle organisation qui repose principalement sur les Instituts techniques agro-industriels experts, dont l'IFIP, membres du R&eacute;seau mixte technologique Actia Qualima (ma&icirc;trise de la qualit&eacute; microbiologique des aliments).Cette organisation pr&eacute;voit que&nbsp;:- Pour les dossiers de validation de dur&eacute;e de vie microbiologique (DVM)* individuels, ce groupe d'Instituts agro-industriels,&nbsp;dont l'IFIP, peut &ecirc;tre sollicit&eacute;&nbsp;par les exploitants spontan&eacute;ment ou sur recommandation de la DGAL pour un avis compl&eacute;mentaire. Son avis sera reconnu comme la position officielle de la DGAL&nbsp;;- Les dossiers de validation de DVM r&eacute;dig&eacute;s par l'IFIP sont de fait consid&eacute;r&eacute;s comme valid&eacute;s par l'administration.Contact&nbsp;:&nbsp;sabine.jeuge@ifip.asso.frInstruction technique DGAL/SDSSA/2018-82 du 30 janvier 2018* Dossiers de validation et de v&eacute;rification des dur&eacute;es de vie microbiologique&nbsp;: les exploitants du secteur alimentaire doivent s'assurer que les denr&eacute;es alimentaires qu'ils mettent sur le march&eacute; ne sont pas dangereuses. Pour cela, ils &eacute;laborent un plan de ma&icirc;trise sanitaire afin de d&eacute;finir des mesures de ma&icirc;trise des dangers identifi&eacute;s et v&eacute;rifient que ces mesures de ma&icirc;trise sont efficaces. La validation et la v&eacute;rification des dur&eacute;es de vie microbiologiques (DVM) des aliments font partie de ces mesures de ma&icirc;trise. Certains exploitants du secteur alimentaire ou interprofessions peuvent souhaiter b&eacute;n&eacute;ficier d'un avis compl&eacute;mentaire sur leurs dossiers de DVM. L'instruction de la DGAL ci-contre&nbsp;pr&eacute;sente les modalit&eacute;s d&eacute;finies pour la validation des dossiers de DVM dans ce contexte.&nbsp;

L’IFIP est reconnu par la DGAL pour la validation des dossiers de durée de vie microbiologique des aliments

La France est le deuxi&egrave;me pays collecteur de lait en Europe avec 24,3 milliards de litres pour l'ann&eacute;e 2017. Et pour cause, la consommation moyenne par habitant avoisine les 49 litres de lait liquide par an. Pourtant ce chiffre est en recul de 3,8% par rapport &agrave; 2016, en raison d'un changement d'habitude au petit d&eacute;jeuner. Cette baisse a &eacute;galement impact&eacute; la production qui a recul&eacute; de 2,6% par rapport &agrave; l'ann&eacute;e pr&eacute;c&eacute;dente. Le march&eacute; du lait liquide en grande distribution repr&eacute;sente 13,8% de l'ensemble des produits laitiers et en valeur, 2,2 milliards d'euros.&nbsp;Mais 2017 est surtout l'ann&eacute;e de la progression des&nbsp;laits sp&eacute;cifiques. En 2017, ils ont atteint 24% du total des ventes de lait de consommation vs 22,9% en 2016. En t&ecirc;te, le lait d&eacute;lactos&eacute; progresse de plus de 17%, suivi du lait de ch&egrave;vre (+9,5%), des laits aromatis&eacute;s (+8,6%) et des laits vitamin&eacute;s (+3,6%). En revanche, le lait bio enregistre une baisse de 6,4%, en raison du manque de disponibilit&eacute; de la mati&egrave;re premi&egrave;re.<h2>Qualit&eacute; &nbsp;</h2>Le &laquo;&nbsp;Made in France&nbsp;&raquo; un atout pour le lait liquide. Pour 8 fran&ccedil;ais sur 10, l'origine fran&ccedil;aise constitue une garantie de qualit&eacute; (source enqu&ecirc;te CNIEL/CSA 2017). Lanc&eacute; en 2014, le logo &laquo;&nbsp;lait collect&eacute; et conditionn&eacute; en France&nbsp;&raquo; a port&eacute; ses fruits puisque les importations ont chut&eacute; de 45% en 2 ans, de 2015 &agrave; 2017 analyse Yves Legros, pr&eacute;sident de Syndilait. Ce logo est pr&eacute;sent sur plus de 60% des bouteilles et des briques de lait propos&eacute;es dans le commerce. Avec le soutien de la F&eacute;d&eacute;ration nationale des Prodcteurs de Lait (FNPL), le logo est maintenant d&eacute;clin&eacute; pour les produits laitiers &laquo;&nbsp;lait collect&eacute; et transform&eacute; en France&nbsp;&raquo;.&nbsp;<h2>Journ&eacute;e mondiale du lait</h2>Chaque ann&eacute;e depuis 2001, pour valoriser le lait, la FAO (organisation des nations unies pour l'alimentation et l'agriculture) organise la Journ&eacute;e mondiale du lait, le 1erjuin. L'objectif&nbsp;&laquo; faire conna&icirc;tre toutes les facettes de cet "or blanc" : les produits et leurs qualit&eacute;s, les modes de production et de conservation, l'organisation de l'industrie et de la fili&egrave;re laiti&egrave;re, les atouts nutritionnels, l'importance dans l'&eacute;conomie locale, la consommation ...&nbsp;&raquo;&nbsp;En France, pour la 5&egrave;me&eacute;dition, 8 laiteries et environ 30 fermes laiti&egrave;res ouvriront leurs portes. L'occasion selon Emmanuel Vasseneix, vice-pr&eacute;sident de Syndilait de rencontrer &laquo;&nbsp;des gens de toute la fili&egrave;re, passionn&eacute;s, qui expliquent leur m&eacute;tier.&nbsp;&raquo; En 2017, cet &eacute;v&eacute;nement avait rassembl&eacute; plus de 20&nbsp;000 visiteurs. Ailleurs dans le monde, l'&eacute;dition 2018 du World Milk Day (Journ&eacute;e mondiale du lait) recense pr&egrave;s de 600 &eacute;v&eacute;nements dans 78 pays.&nbsp;Syndilait&nbsp;: syndicat regroupant les fabricants fran&ccedil;ais de lait de consommation.<aside class="factbox">
 <h2>BON &Agrave; SAVOIR</h2>
 24&nbsp;000 emplois dont 6&nbsp;000 emplois directs et 18&nbsp;000 indirects.12 soci&eacute;t&eacute;s conditionnent le lait de consommation dans 30 laiteries implant&eacute;es sur tout le territoire national.63&nbsp;000 &eacute;levages laitiers implant&eacute;s dans plus de 90% des d&eacute;partements.Les &eacute;levages fran&ccedil;ais comptent en moyenne un peu moins de 80 vaches par exploitation.96% des &eacute;leveurs fran&ccedil;ais engag&eacute;s dans la Charte de bonnes pratiques d&#039;&eacute;levage.&nbsp;
</aside>


"En favorisant l’origine France, les consommateurs ont fait diminuer les importations de 45% en 2 ans" a précisé Syndilait à l’occasion d’une conférence de presse. Le syndicat regroupant les fabricants de lait de consommation liquide ont également détaillé les temps forts de la journée mondiale du lait, le 1er juin. 


Lait liquide : l’origine France divise par deux les importations (Syndilait)

La d&eacute;cision du tribunal sera rendue vendredi &agrave; 16H30, ont indiqu&eacute; &agrave; l'AFP&nbsp;des salari&eacute;s de Doux. Les offres de reprises ont &eacute;t&eacute; pr&eacute;sent&eacute;s aux juges consulaires pendant une&nbsp;audience de plus de quatre heures, &agrave; laquelle quelque 600 personnes &eacute;taient&nbsp;convoqu&eacute;es (repreneurs, repr&eacute;sentants du personnel, &eacute;leveurs de volailles,&nbsp;etc.).&nbsp;&nbsp;Deux offres principales se font face: celle du volailler ukrainien MHP et&nbsp;celle du consortium r&eacute;unissant notamment le leader fran&ccedil;ais de la volaille&nbsp;LDC, l'actuel actionnaire Terrena et le groupe de distribution saoudien&nbsp;Al-Munajem. Les salari&eacute;s ont exprim&eacute; leur pr&eacute;f&eacute;rence pour l'offre du consortium, qui a&nbsp;promis de conserver 920 emplois sur 1.187 et propose 418 offres de&nbsp;reclassement aux autres salari&eacute;s.&nbsp;&nbsp;&nbsp;MHP entend lui garder environ 285 postes auxquels s'ajouteraient "environ&nbsp;430 postes" au d&eacute;marrage d'une nouvelle unit&eacute; de production "d'ici deux ans". "Rien n'est gagn&eacute;, &ccedil;a va &ecirc;tre dur", a cependant jug&eacute; Nadine Hourmant,&nbsp;d&eacute;l&eacute;gu&eacute;e syndicale FO, soulevant des&nbsp;"r&eacute;serves pour la p&eacute;rennit&eacute; de l'activit&eacute;&nbsp;de l'usine de Ch&acirc;teaulin" (Finist&egrave;re).&nbsp;&nbsp;<h2>"In&eacute;luctable"</h2>Le groupe Doux, qui exporte l'essentiel de ses poulets congel&eacute;s au&nbsp;Moyen-Orient, a accus&eacute; l'an dernier une perte de 36 millions d'euros pour un&nbsp;chiffre d'affaires de 290 millions d'euros.Le volailler breton, qui produit quatre poulets par seconde et 22.000 oeufs&nbsp;par heure, n'a quasiment jamais gagn&eacute; d'argent depuis sa cr&eacute;ation en 1955, si&nbsp;on exclut les subventions europ&eacute;ennes &agrave; l'exportation qu'il touchait jusqu'en&nbsp;2013, a d&eacute;crit l'administrateur judiciaire en d&eacute;but d'audience, selon des&nbsp;participants.&nbsp;&nbsp;Apr&egrave;s l'arr&ecirc;t des subventions, la faillite &eacute;tait "in&eacute;luctable", selon la&nbsp;m&ecirc;me source. Rachet&eacute; en 2016 par le groupe coop&eacute;ratif Terrena, Doux &eacute;tait en&nbsp;qu&ecirc;te de repreneur depuis l'an dernier.Sur les 130 repreneurs potentiels contact&eacute;s, 116 ont refus&eacute; imm&eacute;diatement,&nbsp;trois ont n&eacute;goci&eacute; et seul MHP a fait une offre. &nbsp;Craignant de voir l'Ukrainien lui faire concurrence sur le march&eacute; fran&ccedil;ais,&nbsp;le groupe LDC s'est finalement aussi lanc&eacute; dans le processus de reprise, de&nbsp;m&ecirc;me que le Saoudien Al-Munajem, le distributeur de Doux dans la p&eacute;ninsule&nbsp;arabique qui cherche ainsi &agrave; s&eacute;curiser son approvisionnement de volailles.&nbsp;&nbsp;&nbsp;Les deux candidats &agrave; la reprise veulent construire une nouvelle usine pour&nbsp;s'attaquer au march&eacute; fran&ccedil;ais et europ&eacute;en du frais. L'usine actuelle traite en&nbsp;effet des poulets de 1 kg pour le march&eacute; saoudien et n'est pas adapt&eacute;e pour&nbsp;les poulets de 2,8 kg du march&eacute; fran&ccedil;ais. Or, "45% des volailles vendues en France sont import&eacute;es", souligne Nadine&nbsp;Hourmant.


Le tribunal de commerce de Rennes a examiné mardi, à huis clos, les offres de reprise du volailler breton Doux, placé en liquidation judiciaire en raison de graves difficultés financières.


Doux: la justice examine les offres de reprise

Au sommaire du dernier num&eacute;ro des&nbsp;Cahiers de l'Ifip&nbsp;compos&eacute; de 3 articles en fran&ccedil;ais (28 pages) et de leur version en anglais (28 pages) :&nbsp;&bull; Les r&eacute;glementations pour la protection de l'environnement dans quelques pays de l'UE : &eacute;volutions r&eacute;centes The regulations for the protection of the environment in selected EU countries: recent evolution Boris DUFLOT et Elodie CAGNAT&bull; Evolution des exploitations porcines en France depuis 2008. Effets des contraintes &eacute;conomiques et r&eacute;glementaires et cons&eacute;quences sur le potentiel de production Changes in pig farms in France under the effect of economic and regulatory constraints since 2008 Christine ROGUET&bull; La r&eacute;duction de la teneur en prot&eacute;ines des aliments de sevrage en tant qu'alternative &agrave; l'usage des antibiotiques Reducing nursery-feed protein content as an alternative to using antibiotics Didier GAUDR&Eacute;Les&nbsp;num&eacute;ros ant&eacute;rieurs&nbsp;des&nbsp;Cahiers de l'Ifip&nbsp;sont &agrave; la disposition des abonn&eacute;s sur simple demande.Contact :&nbsp;claire.benes@ifip.asso.frCliquez ici pour vous abonnerPour feuilleter un num&eacute;ro de la revuePour consulter les num&eacute;ros accessibles &agrave; tous (version fran&ccedil;ais et anglais) 2014-2015


Les Cahiers de l'Ifip proposent des articles très complets rédigés à partir des études réalisées par les ingénieurs de l'Ifip. Tous les articles sont entièrement traduits en anglais et sont diffusés uniquement en format électronique. Il est possible de s'abonner à l'année pour 160 € ou de télécharger l'article qui vous intéresse pour un prix très attractif (35 €).


Le nouveau numéro des Cahiers de l'Ifip est paru

Utilisation des codes ad&eacute;quats en fonction des aides demand&eacute;es et des SIE 
Concernant l'activation des DPB, les cultures, prairies, surfaces fourrag&egrave;res, &acirc;&euro;&brvbar;. sont admissibles et activeront donc les DPB. Il est essentiel d'&ecirc;tre vigilent aux codes emply&eacute;s en fonction des aides coupl&eacute;es demand&eacute;es. Par exemple&nbsp;: les codes LU6, LU7 et LU8 permettront d'&ecirc;tre &eacute;ligible &agrave; l'aide aux l&eacute;gumineuses fourrag&egrave;res, mais pas le code LUZ (autres luzernes). En cas de doute, il est vivement conseill&eacute; de se r&eacute;f&eacute;rer au le suppl&eacute;ment PAC ou &agrave; la notice de la liste des cultures et pr&eacute;cisions dans la rubrique &laquo;&nbsp;formulaires&nbsp;&raquo; sur T&eacute;l&eacute;PAC.&nbsp; 
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[NEW_PARAGRAPHE][TITRE_TEXTE]Pour l'ICHN, il est important de d&eacute;clarer les c&eacute;r&eacute;ales autoconsomm&eacute;es (y compris le ma&Atilde;&macr;s) dans le descriptif de la parcelle. 
Concernant, les exploitations bio, la coche &laquo;&nbsp;parcelle conduite en bio&nbsp;&raquo; du descriptif parcelle permet uniquement le calcul de l'exemption au verdissement. Il ne faudra cependant pas oublier de cocher la demande d'aide et de d&eacute;clarer les parcelles bio avec le bon code mesure dans le RPG MAEC/Bio.
[TEXTE_PHOTO]bibliotheque_image/importation/agri85/Actualites/Pac/20180522_descriptif_parcelle.png[NEW_PARAGRAPHE][TITRE_TEXTE]Demande des aides d&eacute;coupl&eacute;es et coupl&eacute;es&nbsp; 
Pour pr&eacute;tendre aux aides PAC d&eacute;coupl&eacute;es et coupl&eacute;es, les d&eacute;clarants doivent en faire la demande. La case &agrave; cocher sans h&eacute;sitation est bien &eacute;videmment les aides d&eacute;coupl&eacute;es (DPB, verdissement et paiement redistributif). Les aides coupl&eacute;es peuvent &ecirc;tre demand&eacute;es, l'exploitation sera &eacute;ligible en fonction des codes cultures utilis&eacute;es, des documents fournis (factures, attestation d'assurance, &acirc;&euro;&brvbar;). Les aides JA, Bio, MAE, ICHN et assurances r&eacute;coltes sont aussi &agrave; demander &agrave; ce niveau. 
Il n'y a pas d'alerte bloquante &agrave; ce niveau, uniquement une alerte informative en cas de &laquo;&nbsp;non demande&nbsp;&raquo; des aides d&eacute;coupl&eacute;es. 
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[TEXTE_PHOTO]

TéléPAC a surtout évolué en termes de sécurisation avec un nombre important d'alertes permettant de mieux vérifier l'adéquation entre les aides demandées et les éléments déclarés. Voici quelques points à vérifier avant de refermer le dossier PAC 2018.

#PAC2018 - Relire et signer sa déclaration de surface

Utilisation des codes ad&eacute;quats en fonction des aides demand&eacute;es et des SIE Concernant l'activation des DPB, les cultures, prairies, surfaces fourrag&egrave;res, .... sont admissibles et activeront donc les DPB. Il est essentiel d'&ecirc;tre vigilent aux codes emply&eacute;s en fonction des aides coupl&eacute;es demand&eacute;es. Par exemple&nbsp;: les codes LU6, LU7 et LU8 permettront d'&ecirc;tre &eacute;ligible &agrave; l'aide aux l&eacute;gumineuses fourrag&egrave;res, mais pas le code LUZ (autres luzernes). En cas de doute, il est vivement conseill&eacute; de se r&eacute;f&eacute;rer au le suppl&eacute;ment PAC ou &agrave; la notice de la liste des cultures et pr&eacute;cisions dans la rubrique &laquo;&nbsp;formulaires&nbsp;&raquo; sur T&eacute;l&eacute;PAC.&nbsp; &nbsp;Pour l'ICHN, il est important de d&eacute;clarer les c&eacute;r&eacute;ales autoconsomm&eacute;es (y compris le ma&iuml;s) dans le descriptif de la parcelle. Concernant, les exploitations bio, la coche &laquo;&nbsp;parcelle conduite en bio&nbsp;&raquo; du descriptif parcelle permet uniquement le calcul de l'exemption au verdissement. Il ne faudra cependant pas oublier de cocher la demande d'aide et de d&eacute;clarer les parcelles bio avec le bon code mesure dans le RPG MAEC/Bio.Demande des aides d&eacute;coupl&eacute;es et coupl&eacute;es&nbsp; Pour pr&eacute;tendre aux aides PAC d&eacute;coupl&eacute;es et coupl&eacute;es, les d&eacute;clarants doivent en faire la demande. La case &agrave; cocher sans h&eacute;sitation est bien &eacute;videmment les aides d&eacute;coupl&eacute;es (DPB, verdissement et paiement redistributif). Les aides coupl&eacute;es peuvent &ecirc;tre demand&eacute;es, l'exploitation sera &eacute;ligible en fonction des codes cultures utilis&eacute;es, des documents fournis (factures, attestation d'assurance, ...). Les aides JA, Bio, MAE, ICHN et assurances r&eacute;coltes sont aussi &agrave; demander &agrave; ce niveau. Il n'y a pas d'alerte bloquante &agrave; ce niveau, uniquement une alerte informative en cas de &laquo;&nbsp;non demande&nbsp;&raquo; des aides d&eacute;coupl&eacute;es. &nbsp;


TéléPAC a surtout évolué en termes de sécurisation avec un nombre important d’alertes permettant de mieux vérifier l’adéquation entre les aides demandées et les éléments déclarés. Voici quelques points à vérifier avant de refermer le dossier PAC 2018.


Le projet ACCEPT interinstituts pilot&eacute; par l'IFIP&nbsp;a analys&eacute;&nbsp;la controverse sur l'&eacute;levage : ses acteurs, son audience et les m&eacute;canismes en oeuvre. A partir de ses r&eacute;sultats, il permet de mieux comprendre les points de vue de la soci&eacute;t&eacute; sur l'&eacute;levagede porcs,&nbsp;de ruminants&nbsp;et de volailles.&nbsp;Les conclusions&nbsp;et les &eacute;clairages qu'il apporte participent &agrave; outiller les acteurs de la controverse, et en particulier ceux de l'&eacute;levage, pour poser les bases d'un dialogue plus constructif et ainsi favoriser l'&eacute;mergence d'un &eacute;levage mieux accept&eacute;.Cliquez ici pour t&eacute;l&eacute;charger la plaquette de pr&eacute;sentation des principaux r&eacute;sultats du projet ACCEPT :&nbsp;iciContact fili&egrave;re porcine : Christine Roguet (IFIP) :&nbsp;christine.roguet@ifip.asso.fr&nbsp;- fili&egrave;res ruminants : Anne-Charlotte Dock&egrave;s (Institut de l'Elevage),&nbsp;fili&egrave;re avicole : Pascale Magdelaine (ITAVI),&nbsp;Elsa Delanoue (interinstituts fili&egrave;res animales)Lien pour t&eacute;l&eacute;charger les visuels des interventions du colloque du 5 avril 2018 :&nbsp;http://accept.ifip.asso.fr/colloque.phpLien vers le site du projet Accept :&nbsp;http://accept.ifip.asso.fr/


L'élevage français fait régulièrement l'objet d'interpellations de la part de la société. Impact environnemental, risques sanitaires ou traitement des animaux... Les questionnements interrogent sur la place de l'élevage dans une société de plus en plus concernée par son alimentation et la manière dont celle-ci est produite. Face à ces remises en cause, le monde de l'élevage se sent souvent démuni et peine à répondre.


La controverse sur l'élevage, mieux la comprendre pour agir en faveur d'un élevage bien accepté

"Avec 58 demandes, contre une moyenne de moins de 10 dans l'UE, la France&nbsp;est championne des d&eacute;rogations" accord&eacute;es en Europe!, a twitt&eacute; l'&eacute;lu&nbsp;socialiste, se basant sur des chiffres europ&eacute;ens de 2016, les derniers&nbsp;disponibles, communiqu&eacute;s selon lui par la Commission europ&eacute;enne.&nbsp;&nbsp; De passage &agrave; Paris, M. Andrieu a rencontr&eacute; le ministre de la Transition&nbsp;&eacute;cologique Nicolas Hulot, avec qui il a notamment &eacute;voqu&eacute; les travaux de la&nbsp;commission parlementaire qu'il pr&eacute;side ainsi que la r&eacute;forme de la PAC. "J'ai aussi voulu l'informer du niveau de d&eacute;rogation sur les pesticides (en&nbsp;France). Il faut que la France soit vigilante pour que les d&eacute;rogations ne&nbsp;soient pas la r&egrave;gle mais l'exception", a-t-il expliqu&eacute; &agrave; l'AFP. "La France&nbsp;doit donner l'exemple, pas seulement en parole".&nbsp;&nbsp; La r&eacute;glementation europ&eacute;enne permet des d&eacute;rogations &agrave; des interdictions de&nbsp;produits phytosanitaires, pour une p&eacute;riode maximum de 120 jours.&nbsp;&nbsp; L'Espagne, d&eacute;sormais premier consommateur de pesticides en Europe, &eacute;tait &agrave;&nbsp;30 d&eacute;rogations en 2016, l'Allemagne &agrave; 25, selon le tableau pr&eacute;sent&eacute; par M.&nbsp;Andrieu. "La diversit&eacute; agricole (fran&ccedil;aise) explique mais ne justifie pas" un tel&nbsp;niveau, selon lui.&nbsp;&nbsp; Le d&eacute;put&eacute; pr&eacute;side la commission sp&eacute;ciale "PEST" cr&eacute;&eacute;e par le Parlement&nbsp;europ&eacute;en en janvier &agrave; la suite de la saga de la r&eacute;autorisation du glyphosate.&nbsp;Forte de 30 membres, cette "commission sp&eacute;ciale sur la proc&eacute;dure&nbsp;d'autorisation des pesticides" dans l'Union doit d&eacute;terminer notamment s'il y a&nbsp;eu des failles dans le processus ayant conduit &agrave; r&eacute;autoriser pour cinq ans le&nbsp;c&eacute;l&egrave;bre herbicide. Son rapport est attendu en d&eacute;cembre. Elle doit notamment entendre ce mardi &agrave; Bruxelles les repr&eacute;sentants de&nbsp;l'industrie chimique.


La France dépasse les autres Etats de l'UE en matière de dérogations aux restrictions d'usage des pesticides, a critiqué lundi le député européen Eric Andrieu, président de la commission parlementaire spéciale sur la procédure d'autorisation des pesticides dans l'Union.


Pesticides : la France "championne des dérogations", critique un eurodéputé

Cette version pour le web&nbsp;est compl&egrave;tement adapt&eacute;e aux attentes des &eacute;leveurs&nbsp;de porcs et &agrave; leur&nbsp;contexte de production.&nbsp;Bas&eacute; sur un mod&egrave;le de repr&eacute;sentation des flux de produits et charges&nbsp;en lien avec les donn&eacute;es disponibles en &eacute;levage,&nbsp;Porsim de l'IFIP est un&nbsp;outil simple &agrave; utiliser qui&nbsp;apporte&nbsp;&agrave; l'&eacute;leveur les cl&eacute;s d'une analyse de projet op&eacute;rationnelle.&nbsp;Objectif: &eacute;clairer des choix d'investissement dans un &eacute;levage existant.En effet, les projets de cr&eacute;ation d'&eacute;levage sont devenus rares mais la d&eacute;cision d'investir reste une question r&eacute;currente en &eacute;levage porcin. Aujourd'hui, il s'agit plut&ocirc;t de restructurations ou d'extensions avec des objectifs divers&nbsp;: la volont&eacute; de d&eacute;veloppement mais le plus souvent la recherche de coh&eacute;rence technique, comme par exemple la relocalisation sur le site d'&eacute;levage principal, des porcs engraiss&eacute;s ailleurs... ou des d&eacute;penses &agrave; vocation technique s'accompagnant d'une modification des flux de production comme par exemple un &laquo;&nbsp;d&eacute;peuplement/repeuplement&nbsp;&raquo; pour raisons sanitaires. S'inscrivant sur le long terme, ces projets demandent une &eacute;valuation adapt&eacute;e.Pour quels sc&eacute;narios&nbsp;?PORSIM permet de g&eacute;rer des projets d'extension ou de changement d'orientation d'&eacute;levage mais aussi de restructuration de sites d'&eacute;levage existants, pouvant s'accompagner d'une &eacute;volution des performances techniques des porcs. Il rend &eacute;galement possible l'analyse de sc&eacute;narios avec une production interrompue par exemple par un &laquo;d&eacute;peuplement-repeuplement&raquo; partiel ou total, n&eacute;cessaire &agrave; la mise en place du projet.L'utilisateur pr&eacute;cise les caract&eacute;ristiques de l'atelier (taille, conduite), puis d&eacute;crit le sc&eacute;nario et sa mise en place, et renseigne enfin les donn&eacute;es techniques et &eacute;conomiques le concernant. Si l'&eacute;levage dispose d'un suivi GTE, une connexion avec la base de donn&eacute;es nationale propose ces donn&eacute;es par d&eacute;faut. Sinon, une valeur de r&eacute;f&eacute;rence est propos&eacute;e, toutes ces donn&eacute;es &eacute;tant modifiables par l'utilisateur. Cette nouvelle version propose une repr&eacute;sentation technique simplifi&eacute;e de deux situations, avant et apr&egrave;s mise en place du projet.Une p&eacute;riode de transition &agrave; prendre en compte...Les caract&eacute;ristiques du projet permettent d'&eacute;valuer les charges sp&eacute;cifiques &agrave; la p&eacute;riode de transition, lors du passage de l'&eacute;levage avant-projet &agrave; la situation apr&egrave;s-projet. Dans le cas d'un changement d'effectif de truies (extension, repeuplement), l'utilisateur choisit les modalit&eacute;s d'approvisionnement en truies&nbsp;: achat de jeunes truies &agrave; 8, 30, 110&nbsp;kg, ou d&eacute;j&agrave; en fin de gestation. En cas de d&eacute;peuplement partiel ou total de l'&eacute;levage, il pr&eacute;cise le devenir des animaux en stock au moment de cette op&eacute;ration&nbsp;: vente, fa&ccedil;onnage. Pour chaque poste de produit ou de charge ayant un impact sur le r&eacute;sultat &eacute;conomique, PORSIM repr&eacute;sente le changement de flux et la valeur de ce poste pour chaque p&eacute;riode.Quels indicateurs de r&eacute;sultats&nbsp;?<ol><li>Pour analyser la rentabilit&eacute; d'un projet</li></ol>La comparaison des performances avant et apr&egrave;s projet d&eacute;termine un diff&eacute;rentiel de marge calcul&eacute; par le simulateur, qui &eacute;value l'incidence &eacute;conomique des variations de performances techniques entre les deux situations d'&eacute;levage. L'incidence du projet sur la marge annuelle de l'atelier est compl&eacute;t&eacute;e par son impact sur les charges op&eacute;rationnelles non pr&eacute;sentes en GTE et sur les charges de structure. L'incidence globale obtenue, c'est &agrave; dire le diff&eacute;rentiel de flux financiers avec la situation de r&eacute;f&eacute;rence sans projet, est rapproch&eacute;e de la d&eacute;pense d'investissement pour analyser la rentabilit&eacute; du projet sur la base d'indicateurs sp&eacute;cifiques comme la Valeur Actuelle Nette (VAN) et le Taux de Rendement Interne (TRI).&nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp;&nbsp;2.&nbsp;Pour analyser sa tr&eacute;sorerie...S'il le souhaite, l'utilisateur peut compl&eacute;ter son analyse par les flux de tr&eacute;sorerie de l'exploitation. Il renseigne des &eacute;l&eacute;ments relatifs &agrave; l'exploitation : marges brutes des ateliers autres que le porc, charges de structure et annuit&eacute;s en cours avant la mise en place du projet... En rapprochant ces valeurs de l'analyse du projet, l'outil produit des indicateurs de gestion pr&eacute;visionnels : exc&eacute;dent brut d'exploitation (EBE), capacit&eacute; de remboursement de nouveaux emprunts (CREN)... En pr&eacute;cisant les nouveaux emprunts li&eacute;s au projet, le plan de financement et le profil de tr&eacute;sorerie global de l'exploitation peuvent &ecirc;tre &eacute;tablis.&nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; 3.&nbsp;Comparer diff&eacute;rents projets...Tous les projets analys&eacute;s par un m&ecirc;me utilisateur peuvent &ecirc;tre stock&eacute;s, consult&eacute;s, modifi&eacute;s. Un comparateur de projets permet d'en s&eacute;lectionner certains, de visualiser leurs indicateurs respectifs et de les classer les uns par rapport aux autres. Tout au long des calculs, des commentaires synth&eacute;tiques sont g&eacute;n&eacute;r&eacute;s automatiquement pour faciliter la lecture des r&eacute;sultats. Ils sont personnalisables par l'utilisateur.Pour en savoir + sur l'outil (fiche) :&nbsp;cliquez ici&nbsp;-&nbsp;Contact technique :&nbsp;alexia.aubry@ifip.asso.fr&nbsp;- contact commercial :&nbsp;pierre.frotin@ifip.asso.frcliquez sur un lien suivant : https://porsim.ifip.asso.fr<aside class="factbox">
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 PORSIM de l&#039;IFIP sera accessible sous forme d&#039;un acc&egrave;s par abonnement ... Vous b&eacute;n&eacute;ficiez d&#039;un mois &agrave; l&#039;essai gratuit pour en &eacute;valuer tout l&#039;int&eacute;r&ecirc;t dans le pilotage et la gestion de votre &eacute;levage.&nbsp;
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L'outil de simulation PORSIM créé par l’IFIP analyse les projets d'investissement en élevage porcin.


PORSIM, outil d’aide à la décision de l'IFIP indispensable avant d'investir en élevage de porcs

&laquo;&nbsp;Compte tenu de l'&eacute;volution des exploitations, de la pression &eacute;conomique, de la sp&eacute;cialisation grandissante des mat&eacute;riels, de la vitesse croissante de d&eacute;placement routier des tracteurs, s'associer avec un voisin de terre n'est pas toujours possible ou la solution optimale&nbsp;&raquo;, explique Laurent Bern&egrave;de, co-fondateur de WeFarmUp. &laquo;&nbsp;L'agriculture en r&eacute;seau ou CoFarming vient compl&eacute;ter l'agriculture de groupe qui a fait ses preuves depuis des d&eacute;cennies. Gr&acirc;ce aux nouvelles technologies, la proximit&eacute; n'est plus le crit&egrave;re essentiel de l'association. D'autres indicateurs objectifs comme la communaut&eacute; d'int&eacute;r&ecirc;ts peuvent &ecirc;tre tout aussi structurant pour rendre p&eacute;renne une association autour d'un projet commun. Nous avons acquis des comp&eacute;tences pour rationaliser cette mise en relation autour de projet d'acquisition de mat&eacute;riels neufs ou d'occasion&nbsp;&raquo;.<h2>Les principes de CoInvest</h2>Partager un mat&eacute;riel &agrave; l'usage compl&eacute;mentaire, acqu&eacute;rir un mat&eacute;riel performant mais sous-utilis&eacute;, acheter un mat&eacute;riel saisonnier utilisable dans d'autres r&eacute;gions &agrave; d'autres moments et au final optimiser sa tr&eacute;sorerie et ses charges de m&eacute;canisation&nbsp;: tels sont les sc&eacute;narios envisag&eacute;s par la plateforme pour convaincre les agriculteurs d'investir en copropri&eacute;t&eacute;. Comme pour la location, avec ou sans chauffeur, WeFarmUp se charge de la mise en relation entre les co-investisseurs potentiels sur la base des projets d&eacute;pos&eacute;s par les uns et les autres sur le site. Des services suppl&eacute;mentaires sont propos&eacute;s tels que l'accompagnement dans la structuration juridique du co-investissement ou la r&eacute;daction d'un code de bonne utilisation du mat&eacute;riel.


Après la location avec ou sans chauffeur, la plateforme de partage de matériel propose un nouvel outil de gestion de la mécanisation : la copropriété facilitée et élargie.


WeFarmUp facilite l’investissement en copropriété avec CoInvest

Au programme :

<ul>
	<li>visite d'une exploitation agricole,</li>
	<li>&eacute;change avec les d&eacute;l&eacute;gations pr&eacute;sentes</li>
	<li>et participation au Copil agricole, l'apr&egrave;s-midi, &agrave; la pr&eacute;fecture.</li>
</ul>

Selon le site du minist&egrave;re de l'Agriculture,&nbsp;lundi 14 mai, le ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation a assist&eacute;, &agrave; la pr&eacute;fecture de Nantes, &agrave; la r&eacute;union du comit&eacute; de pilotage des projets agricoles d&eacute;pos&eacute;s par les occupants de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes.

Souhaitant&nbsp;&laquo; &eacute;coute, compr&eacute;hension et travail pour ancrer la vocation du territoire dans les projets agricoles de la ZAD, dans le respect du droit &raquo;, St&eacute;phane Travert a annonc&eacute; que &laquo; 15 projets agricoles ont &eacute;t&eacute; examin&eacute;s et sont &eacute;ligibles &agrave; une convention d'occupation pr&eacute;caire &raquo;.&nbsp;&laquo; Pour les autres projets, un travail est encore n&eacute;cessaire dans le respect du droit &raquo;, a ajout&eacute; le ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation.

Un peu plus t&ocirc;t dans la journ&eacute;e, St&eacute;phane Travert avait commenc&eacute; son d&eacute;placement en Loire-Atlantique par une visite du Groupement agricole d'exploitation en commun (GAEC) de La Rochelle, &agrave; Rouans, sp&eacute;cialis&eacute; dans l'&eacute;levage de vaches laiti&egrave;res.&nbsp;&laquo; Je suis venu visiter une exploitation exemplaire qui illustre l'innovation et le dynamisme de l'agriculture dans le d&eacute;partement de Loire-Atlantique &raquo;, a-t-il d&eacute;clar&eacute;.

Plus de d&eacute;tails dans votre journal Loire-Atlantique agricole de ce vendredi.
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