Vivabilit&eacute;, viabilit&eacute;, durabilit&eacute;, comp&eacute;titivit&eacute;, adaptation a changement climatique&nbsp;: l&rsquo;agriculture ne fait pas dans la disette en mati&egrave;re de d&eacute;fis. Mais le premier d&rsquo;entre eux r&eacute;side peut-&ecirc;tre dans le facteur humain. Confront&eacute;e &agrave; une pyramide des &acirc;ges totalement retourn&eacute;e et &agrave; une attractivit&eacute; en berne, l&rsquo;agriculture est sous la menace d&rsquo;une p&eacute;nurie de forces vives. Et pas seulement dans les exploitations, qu&rsquo;il agisse des chefs d&rsquo;exploitation ou des salari&eacute;s, mais dans l&rsquo;ensemble de l&rsquo;&eacute;cosyst&egrave;me, de l&rsquo;amont &agrave; l&rsquo;aval.<h2>SIMA talent&nbsp;: attirer les forces vives et promouvoir la formation</h2>Avec son espace SIMA Talent, le SIMA compte bien prendre sa part &agrave; la mobilisation g&eacute;n&eacute;rale. Install&eacute; au sein du Hall 5A, cet espace alliera rencontres professionnelles et ateliers pratiques pour mieux appr&eacute;hender la vie professionnelle des jeunes dipl&ocirc;m&eacute;s.Des job datings seront organis&eacute;s pour faciliter la rencontre entre recruteurs et candidats pour des contrats tels que des emplois, des stages ou des contrats d&rsquo;apprentissage. Un mur de l&rsquo;emploi et de la formation permettra de s&rsquo;informer des postes ouverts. Des parcours de visite seront sp&eacute;cifiquement cr&eacute;&eacute;s pour promouvoir l&rsquo;emploi et la formation, afin de guider la jeune g&eacute;n&eacute;ration dans ses aspirations.Des remises de dipl&ocirc;mes et des t&eacute;moignages seront &eacute;galement organis&eacute;s autour des m&eacute;tiers et formations durant tout le salon, valorisant ainsi l&rsquo;attrait du secteur pour la nouvelle g&eacute;n&eacute;ration.&nbsp;Enfin, un espace sera &eacute;galement d&eacute;di&eacute; &agrave; l&rsquo;essai de simulateurs en r&eacute;alit&eacute; virtuelle.

Pour la première fois, le SIMA propose aux futurs talents de l’agriculture de s’informer sur les possibilités qui leur sont proposées, avec son espace dédié SIMA Talent.

[SIMA - 100 ans] J-2 : des machines, mais aussi des femmes et des hommes

Pendant la campagne 2021-2022, le cours de la tonne de bl&eacute; a ainsi fluctu&eacute; de pr&egrave;s de 180 &euro;, celui du ma&iuml;s de 130 &euro; et celui du colza de plus de 500 &euro;&nbsp;! Du c&ocirc;t&eacute; des intrants, m&ecirc;me constat&nbsp;: le cours de l&rsquo;ammonitrate a enregistr&eacute; une hausse de 440 &euro;/t sur l&rsquo;ann&eacute;e &eacute;coul&eacute;e et le prix du gaz a plus que doubl&eacute;.Ces derni&egrave;res semaines, le march&eacute; n&rsquo;a cess&eacute; de faire le yo-yo au gr&eacute; des volte-face de Vladimir Poutine concernant le maintien du corridor maritime permettant l&rsquo;exportation de grains et d&rsquo;engrais en provenance d&rsquo;Ukraine. Apr&egrave;s avoir provoqu&eacute; un effet d&rsquo;annonce le weekend dernier, en d&eacute;clarant se retirer de l&rsquo;accord, la Russie a finalement fait machine arri&egrave;re. Ce couloir s&eacute;curis&eacute; en mer Noire a permis &agrave; 10 millions de tonnes de c&eacute;r&eacute;ales et autres produits agricoles d&rsquo;&ecirc;tre export&eacute;s depuis l&rsquo;Ukraine, gr&acirc;ce &agrave; l&rsquo;accord sign&eacute; en juillet sous l&rsquo;&eacute;gide de la Turquie et de l&rsquo;ONU. Mais cet accord prend fin le 19 novembre, et la suite est encore incertaine.<a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/meteo-la-douceur-exceptionnelle-aggrave-la-secheresse" target="_blank" title="">Les temp&eacute;ratures exceptionnellement douces</a> que nous avons connues au mois d&rsquo;octobre ont contribu&eacute; &agrave; &eacute;viter la flamb&eacute;e des prix de l&rsquo;&eacute;nergie, et par ricochet ceux des engrais azot&eacute;s. Les prix du gaz se sont fortement d&eacute;tendus depuis les records atteints cet &eacute;t&eacute;, mais restent tout de m&ecirc;me deux fois plus &eacute;lev&eacute;s qu&rsquo;en d&eacute;but d&rsquo;ann&eacute;e. Or, le pic de la demande est &agrave; venir, avec l&rsquo;approche de l&rsquo;hiver.<aside class="read-also">
 &Agrave; voir aussi
 <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/le-repli-du-gaz-entraine-les-engrais-azotes" target="_blank" title="">Le repli du gaz entra&icirc;ne les engrais azot&eacute;s</a>
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La flamb&eacute;e des intrants au cours de l&rsquo;ann&eacute;e &eacute;coul&eacute;e a pos&eacute; une question r&eacute;currente&nbsp;: les agriculteurs modifieront-ils leurs assolements pour se d&eacute;tourner des cultures gourmandes en azote&nbsp;? Les semis de bl&eacute; et d&rsquo;orge &eacute;voluent actuellement dans de tr&egrave;s bonnes conditions, et les premi&egrave;res estimations des surfaces des cultures d&rsquo;hiver seront connues dans les prochains jours. Elles permettront d&rsquo;appr&eacute;hender les cons&eacute;quences de l&rsquo;envol&eacute;e des mati&egrave;res premi&egrave;res sur la ferme France, dans un contexte o&ugrave; les prix des grains demeurent sur des niveaux historiquement &eacute;lev&eacute;s.

[Edito] La crise du covid, et encore plus la guerre en Ukraine, ont fait réapparaître une volatilité exceptionnelle sur le marché des matières premières au cours de ces deux dernières années. Des variations de prix à la hausse ou à la baisse, pouvant atteindre plusieurs centaines d’euros par tonne au cours d’une même campagne de commercialisation, avaient quasiment disparu depuis de longues années.

Des semis d’hiver en pleine volatilité

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 <figcaption>G&eacute;rer la fertilit&eacute; de mon lin en limitant le tassement du sol - ARVALIS.fr</figcaption>
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 <figcaption>Les racines du Lin - ARVALIS.fr</figcaption>
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Retrouvez toutes les vid&eacute;os d&rsquo;ARVALIS-Institut du v&eacute;g&eacute;tal sur <a href="http://www.youtube.com/">http://www.youtube.com/</a>

La racine pivotante grêle du lin rend cette culture particulièrement sensible au tassement. Mieux prévenir ce risque passe par la compréhension des facteurs jouant sur l’équilibre entre résistance du sol et contrainte appliquée, mais également par la connaissance du système racinaire. Gros plan sur les dernières avancées dans ce domaine, notamment grâce au « mini-rhizotron », un outil développé par ARVALIS.

Les rendez-vous du lin en vidéos : le système racinaire à la loupe

Le 2 octobre dernier, &nbsp;<a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/influenza-aviaire-passage-a-risque-modere-assorti-d-autocontroles-obligatoires" target="_blank">le minist&egrave;re de l&rsquo;Agriculture relevait le niveau de risque de &laquo; n&eacute;gligeable &raquo; &agrave; mod&eacute;r&eacute; &raquo;</a> de l&rsquo;Influenza hautement pathog&egrave;ne (IAHP), impliquant le renforcement de la surveillance des&nbsp;&eacute;levages de volailles et des mesures de protection, telles que les mises de mises &agrave; l&rsquo;abri en Zones &agrave; risque particulier (ZRP) et en Zones de contr&ocirc;le temporaire (ZCT).Par la m&ecirc;me occasion, le minist&egrave;re indiquait qu&rsquo;une &laquo;&nbsp;r&eacute;duction des indemnisations&nbsp;&raquo; serait mise en &oelig;uvre &laquo;&nbsp;en cas de non-respect par les &eacute;leveurs des r&egrave;gles en vigueur&nbsp;&raquo;.Il faut dire que l&rsquo;&eacute;pizootie 2021-2022 va co&ucirc;ter cher aux finances de l&rsquo;Etat, qui a budg&eacute;t&eacute; la somme d&rsquo;1,1 milliard d&rsquo;euros, r&eacute;partie entre 300 millions d&rsquo;euros d&rsquo;aides sanitaires et 800 millions d&rsquo;euros d&rsquo;aides &eacute;conomiques. Et si <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/influenza-aviaire-les-enseignements-de-l-anses-apres-l-epizootie-record-de-2021-2022">l&rsquo;Anses a largement d&eacute;douan&eacute; des &eacute;leveurs de leur responsabilit&eacute; de la flamb&eacute;e &eacute;pid&eacute;mique record</a> (1378 foyers en &eacute;levages, 19,3 millions de volailles abattues), l&rsquo;agence sanitaire a tout de m&ecirc;me point&eacute; un certain nombre de failles en mati&egrave;re de bios&eacute;curit&eacute;, et pas seulement au sein des &eacute;levages du reste. &laquo;&nbsp;La contamination extr&ecirc;me de l&rsquo;environnement en p&eacute;riode &agrave; risque ne laisse aucune marge de man&oelig;uvre dans l&rsquo;observance stricte des mesures de bios&eacute;curit&eacute;, qui doit &ecirc;tre quotidienne et syst&eacute;matique dans tous les &eacute;levages avicoles&nbsp;&raquo;, &eacute;crivait l&rsquo;Anses dans son rapport publi&eacute; en juin dernier.<aside class="read-also">
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 <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/pour-le-foie-gras-il-va-falloir-faire-maigre" target="_blank" title="">Pour le foie gras, il va falloir faire maigre</a>
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<h2>Les modalit&eacute;s d&rsquo;application</h2>Dans une circulaire dat&eacute;e du 28 octobre, le minist&egrave;re de l&rsquo;Agriculture a d&eacute;taill&eacute; les r&eacute;factions applicables sur les indemnisations. Point important&nbsp;: cette circulaire s'applique a&#768; tous les dossiers &laquo; foyers &raquo;, c&rsquo;est &agrave; dire avec arr&ecirc;t&eacute; pr&eacute;fectoral portant d&eacute;claration d&rsquo;infection (APDI) ayant fait l'objet d'un abattage sur ordre de l'administration a&#768; compter de sa publication et non aux dossiers ayant fait l'objet d'un abattage pre&#769;ventif.&nbsp;A noter que les r&eacute;factions appliqu&eacute;es aux aides sanitaires s&rsquo;applique &eacute;galement au volet &eacute;conomique des indemnisations.<h2>Les quatre infractions sujettes &agrave; r&eacute;factions</h2>Quatre infractions, cumulatives, en mati&egrave;re de pr&eacute;vention et de gestion du risque sanitaire ont &eacute;t&eacute; identifi&eacute;es et peuvent faire l'objet de r&eacute;faction partielle sur le base de la Valeur marchande objective (VMO) :- le non-respect de l'obligation de d&eacute;claration de l'&eacute;tablissement&laquo;&nbsp;Cette infraction induit un manque de connaissance de la localisation des &eacute;levages sur le terrain. Cette absence de connaissance nuit &agrave; la mise en place des mesures de lutte et ainsi &agrave; leur efficacit&eacute; en cas de d&eacute;couverte de cas et emp&ecirc;che tout contr&ocirc;le par l'Etat du respect de la r&eacute;glementation, et entres autres, des conditions de bios&eacute;curit&eacute;&nbsp;&raquo;. La r&eacute;faction maximale est fix&eacute;e &agrave; 50% de l&rsquo;indemnisation sanitaire avec pour assiette la VMO du b&acirc;timent ou du site dans le cas du plein-air.- le non-respect des conditions de bios&eacute;curit&eacute; dont la mise &agrave; l'abri&laquo;&nbsp;Cette infraction augmente le risque de diffusion de la maladie via des contacts avec la faune sauvage mais &eacute;galement entre &eacute;levages&nbsp;&raquo;. Un taux de r&eacute;faction de 30% s&rsquo;applique &agrave; la VMO de toutes les bandes du site d&rsquo;exploitation.- le non-respect de d&eacute;claration des entr&eacute;es et sorties de lots de volailles&laquo;&nbsp;Cette infraction entraine une m&eacute;connaissance du nombre de volailles pr&eacute;sentes sur le terrain. Elle complexifie l'organisation de la gestion en cas de crise (difficult&eacute; &agrave; mettre en place des moyens proportionn&eacute;s aux nombres de volailles (mise &agrave; mort, &eacute;quarrissage...)&nbsp;et peut augmenter les d&eacute;lais d'intervention pouvant favoriser la diffusion de la maladie&nbsp;&raquo;. Un taux de r&eacute;faction de 20% s&rsquo;applique &agrave; la VMO du lot.- dans les zones r&eacute;glement&eacute;es, non-respect des obligations fix&eacute;es dans l'arr&ecirc;t&eacute; pr&eacute;fectoral de zoneUn taux de r&eacute;faction de 15% s&rsquo;applique &agrave; la VMO de l&rsquo;&eacute;levage entier.

Les indemnisations sanitaires et économiques versées au titre des abattages d’animaux abattus sur ordre de l'administration peuvent engendrer des réfactions comprises entre 15% et 100% de la valeur marchande objective des animaux. Elles s’appliquent dans le cas des foyers et non des abattages préventifs.

Influenza aviaire : quelles réfactions sur les indemnités en cas de manquement aux règles sanitaires ?

Crise conjoncturelle ou plafond de verre&nbsp;? La question ne figure pas au menu des dix conf&eacute;rences qui baliseront le Village Tech&amp;Bio durant toute la dur&eacute;e du SIMA. Mais elle devrait n&eacute;anmoins s&rsquo;inviter dans les d&eacute;bats, &agrave; l&rsquo;heure o&ugrave; l&rsquo;AB vit la premi&egrave;re crise de son histoire. Apr&egrave;s une croissance ininterrompue et tous azimuts (surfaces, producteurs, fili&egrave;res, march&eacute; agroalimentaire), l&rsquo;AB a &eacute;t&eacute; rattrap&eacute;e en 2021 par l&rsquo;apparition des premiers d&eacute;s&eacute;quilibres entre l&rsquo;offre et la demande, notamment dans le secteur du lait et des &oelig;ufs. La guerre en Ukraine et ses incidences sur l&rsquo;inflation ont amplifi&eacute; le ph&eacute;nom&egrave;ne et &eacute;largi le spectre des fili&egrave;res impact&eacute;es. La sortie de crise n&rsquo;est pas en vue alors que la dynamique et l&rsquo;effet de latence des conversions devraient peser durablement sur l&rsquo;offre, au moment o&ugrave; le rapport quantit&eacute; / prix du caddie prime sur le rapport qualit&eacute; / prix.&nbsp;<h2>Le Village Tech&amp;Bio</h2>Au SIMA, il sera avant tout question de technique, &eacute;tant entendu que les fondamentaux environnementaux de la bio (r&eacute;duction des impacts sur la qualit&eacute; des sols, de l&rsquo;eau et de l&rsquo;air, pr&eacute;servation de la biodiversit&eacute;...) ne sont pas remis en question. Le Village Tech&amp;Bio (hall 5A) h&eacute;bergera des exposants proposant une offre de produits et de services d&eacute;di&eacute;s &agrave; l&rsquo;AB mais un parcours permettra aussi de cheminer &agrave; travers tout le salon vers solutions adapt&eacute;es.Anim&eacute; par les conseillers du r&eacute;seau des Chambres d&rsquo;Agriculture de France, le stand &laquo; Osez la bio &raquo; r&eacute;pondra aux interrogations des candidats &agrave; la conversion. Les th&egrave;mes des conf&eacute;rences sont les suivants&nbsp;: s&rsquo;installer en mara&icirc;chage bio : les cl&eacute;s de la r&eacute;ussite, bien-&ecirc;tre animal&nbsp;: du concept au service de l&rsquo;&eacute;levage, itin&eacute;raire technique d&rsquo;un verger en AB, les vari&eacute;t&eacute;s de pomme-de-terre en AB, prairies temporaires et sorgho dans la ration : des leviers d&rsquo;adaptation au changement climatique, soigner naturellement : quelles solutions, suivis nitrates sous couverts de l&eacute;gumineuses.<h2>La remise des Troph&eacute;es de l&rsquo;Excellence Bio</h2>Le SIMA servira aussi de cadre &agrave; la remise des Troph&eacute;es de l&rsquo;Excellence Bio. Lanc&eacute;s en 2009 par l&rsquo;Agence bio avec le soutien du Cr&eacute;dit agricole, <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/trophees-de-l-excellence-bio-le-gaec-de-loran-et-graine-de-choc-laureats-2021" target="_blank">les Troph&eacute;es de l&rsquo;Excellence Bio r&eacute;compensent les actions innovantes et exemplaires dans deux cat&eacute;gories : producteurs et transformateurs</a>. Associations, soci&eacute;t&eacute;s coop&eacute;ratives et entreprises peuvent d&eacute;crocher le prix Producteur ou le Prix transformateur, auxquels s&rsquo;ajoutent un Prix coup de c&oelig;ur dans les deux cat&eacute;gories. Pr&eacute;sid&eacute; par Alexia Rey, co-fondatrice et dirigeante de NeoFarm, le jury a retenu 16 finalistes.

Les Chambres d’agriculture profitent du SIMA pour y organiser un rendez-vous Tech&Bio, avec des exposants dédiés, des sessions « Osez la bio », un parcours de visite à travers tout le salon ainsi qu’un cycle de 10 conférences.

[SIMA - 100 ans] J-3 : la bio a aussi rendez-vous au SIMA

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 <figcaption>Cliquez sur l&#039;image pour lancer la vid&eacute;o</figcaption>
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/gallery/5/1/7/4/5024715-1-fre-FR/755e5df9abbf-capture-d-ecran-2022-11-02-a-15-50-55-png" alt="" height="788" width="2214" /><figcaption>Evolution de la cotation du gaz naturel entre novembre 2021 et octobre 2022.</figcaption></figure>

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<aside class="read-also">
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 <a href="https://www.pleinchamp.com/les-cours/intrants" target="_blank" title="">Retrouvez les cours des intrants et les analyses de march&eacute; sur Pleinchamp</a>
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[Le point des marchés] VIDEO - Même s’il reste deux fois plus élevé qu’en début d’année, le prix du gaz naturel en Europe a fortement chuté depuis les records atteints cet été. Grâce à cette détente, certains pays commencent à rouvrir des lignes de production d’engrais azotés. Comment va évoluer le marché des engrais azotés ? Le point avec Alexandre Willekens, consultant chez Agritel.

Le repli du gaz entraîne les engrais azotés

Seuls les adh&eacute;rents de ces deux syndicats pourront acc&eacute;der &agrave; ces r&eacute;unions.&nbsp;Des permanences t&eacute;l&eacute;phoniques sont &eacute;galement pr&eacute;vues du 7 au 17 novembre en appelant le 05 65 73 77 95.&nbsp;Les adh&eacute;rents pourront &eacute;galement retrouver toutes les informations sur le site de la FDSEA :&nbsp;Mercredi 2 novembre &agrave; 10h &agrave; la salle de la Communaut&eacute; de communes &agrave; VilleneuveMercredi 2 novembre &agrave; 14h30 &agrave; la salle de Decazeville Communaut&eacute; &agrave; Decazeville Mercredi 2 novembre &agrave; 21h &agrave; la Maison pour tous &agrave; Rieupeyroux Jeudi 3 novembre &agrave; 10 H &agrave; la mairie de Montbazens Jeudi 3 novembre &agrave; 14h30 &agrave; la salle des f&ecirc;tes Arcanhac (La Fouillade) &agrave; Najac Vendredi 4 novembre &agrave; 14h00 &agrave; la salle des f&ecirc;tes de Graissac Lundi 7 novembre 10h &agrave; la salle Bruel &agrave; la mairie de Brommat Lundi 7 novembre &agrave; 10h &agrave; la Salle 1 de la Fodsa &agrave; Rodez Lundi 7 novembre &agrave;14h &agrave; la salle des f&ecirc;tes de Nau[1]viale Lundi 7 novembre &agrave; 14h &agrave; la salle polyvalente de Saint Amans des C&ocirc;tsLundi 7 novembre &agrave; 20h30 &agrave; la salle CDANA &agrave; EspalionLundi 7 novembre &agrave; 20h 45 &agrave; la salle des f&ecirc;tes de Curan Mardi 8 novembre &agrave; 10h &agrave; la salle des f&ecirc;tes de Golinhac Mardi 8 novembre &agrave; 10h &agrave; la mairie de Saint Ch&eacute;ly Mardi 8 novembre &agrave; 14h30 &agrave; la salle des gen&ecirc;ts - Centre social St Geniez d&rsquo;Olt Mardi 8 novembre &agrave; 14h &agrave; la grande salle Centre social de Laissac Mercredi 9 novembre &agrave; 10h &agrave; la salle de r&eacute;union Mairie de La Selve Mercredi 9 novembre &agrave; 10 h &agrave; la salle Ladoux &agrave; la salle des f&ecirc;tes de Cornus&nbsp;Mercredi 9 novembre &agrave; 14h &agrave; salle de r&eacute;union Cap du Cr&egrave;s &agrave; Millau Mercredi 9 novembre &agrave; 14h &agrave; la salle Denys Pech &agrave; Bozouls Mercredi 9 novembre &agrave; 14h30 &agrave; la Salle des f&ecirc;tes Camjac Mercredi 9 novembre &agrave; 20h45 &agrave; la salle des f&ecirc;tes de Vezins jeudi 10 novembre &agrave; 10h30 &agrave; la salle des f&ecirc;tes de Montlaur Jeudi 10 novembre &agrave; 10h30 &agrave; la salle de la mairie de Pont de Salars Jeudi 10 novembre &agrave; 14h &agrave; la salle du temps libre &agrave; S&eacute;v&eacute;rac le Ch&acirc;teau Jeudi 10 novembre &agrave; 14h30 &agrave; la salle du Cambon &agrave; Vabres l&rsquo;abbaye.&nbsp;

la FDSEA et les JA de l'Aveyron organisent des réunions pour accompagner leurs adhérents à remplir les demandes d’indemnisation via la plateforme Télécalam au titre de la calamité sécheresse 2022 et le paiement d’acompte d’ici la fin du mois de novembre

Sécheresse 2022 : dossiers de demande d’indemnisation : rdv d'accompagnement

Les taux de pertes provisoires propos&eacute;s pour ces zones ressortent &agrave; :&bull; 30 % pour les prairies permanentes, temporaires et artificielles, parcours, landes et estives,&nbsp;&bull; 20 % pour les fourrages annuels avec un d&eacute;ficit fourrager de 900 UF/EVL (Unit&eacute;s fourrag&egrave;res / Equivalent Vaches Laiti&egrave;res).<aside class="factbox">
 <h2>BON &Agrave; SAVOIR</h2>
 Cette acc&eacute;l&eacute;ration importante du calendrier pour les zones fourrag&egrave;res les plus touch&eacute;es par la s&eacute;cheresse 2022 permettra un premier apport de tr&eacute;sorerie crucial au b&eacute;n&eacute;fice des &eacute;leveurs les plus affect&eacute;s avec le versement d&rsquo;un acompte dans le prochain mois.
</aside>
Seules les demandes d&rsquo;indemnisation qui satisferont le taux de recevabilit&eacute; de 11 % sur la base des d&eacute;ficits fourragers provisoires pourront b&eacute;n&eacute;ficier du versement de cet acompte.<aside class="factbox">
 <h2>BON &Agrave; SAVOIR</h2>
 Par ailleurs, comme le pr&eacute;voit la r&eacute;glementation en vigueur, seuls les agriculteurs assur&eacute;s contre les risques incendie des b&acirc;timents ou contre la gr&ecirc;le au moment du sinistre peuvent pr&eacute;tendre &agrave; cette indemnisation.
</aside>
Concernant la demande d&rsquo;indemnisation &agrave; formuler, des documents sont adress&eacute;s directement aux exploitants afin de leur faciliter le remplissage du dossier de demande d&rsquo;indemnisation :- concernant les effectifs animaux bovins 2022 : un r&eacute;capitulatif des animaux &agrave; d&eacute;clarer, pr&eacute;sents sur l&rsquo;exploitation au 31/03/2022, sera directement transmis par l&rsquo;EDE/ GDS afin d&rsquo;aider &agrave; renseigner et/ou &agrave; t&eacute;l&eacute;d&eacute;clarer la demande d&rsquo;indemnisation&nbsp;(en cas de non r&eacute;ception de ce courrier, s&rsquo;adresser au service IPG Bovin de l&rsquo;EDE : ipg12@ aveyron.chambagri.fr ou &agrave; FOD[1]SA-GDS Aveyron : ipg.gds12@ reseaugds.com en pr&eacute;cisant le num&eacute;ro de cheptel).- concernant l&rsquo;utilisation des surfaces en 2022 : un document, reprenant la surface agricole utile totale d&eacute;clar&eacute;e &agrave; la PAC en 2022 par production v&eacute;g&eacute;tale, sera adress&eacute; par la DDT afin d&rsquo;aider &agrave; renseigner et/ou &agrave; t&eacute;l&eacute;d&eacute;clarer le dossier(en cas de non r&eacute;ception de ce courrier, s&rsquo;adresser &agrave; la DDT : ddt-criseagricole@aveyron.gouv.fr en pr&eacute;cisant les num&eacute;ros SIRET et PACAGE). La demande d&rsquo;indemnisation au titre de la s&eacute;cheresse 2022 pourra s&rsquo;effectuer :- Prioritairement, via la t&eacute;l&eacute;proc&eacute;dure ouverte du lundi 7 novembre au jeudi 17 novembre (documents et notices afin d&rsquo;aider &agrave; t&eacute;l&eacute;d&eacute;clarer via T&eacute;l&eacute;CALAM sur https://www.aveyron.gouv. fr/aides-conjoncturelles-et-calamites-agricoles-r50.html). T&eacute;l&eacute;CALAM est une t&eacute;l&eacute;proc&eacute;dure s&eacute;curis&eacute;e qui permet aux agriculteurs d&rsquo;effectuer leur demande d&rsquo;indemnisation dans le cadre de la proc&eacute;dure des calamit&eacute;s agricoles. L&rsquo;acc&egrave;s se fait avec internet :http:// www.mesdemarches.agriculture. gouv.fr rubrique &laquo;T&eacute;l&eacute;CALAM&raquo;.Les exploitants agricoles qui font le choix de t&eacute;l&eacute;d&eacute;clarer doivent &ecirc;tre en mesure de fournir &agrave; la DDT l&rsquo;attestation d&rsquo;assurance incendie temp&ecirc;te &eacute;tablie par leur assureur en cas de contr&ocirc;les. Aucun document ne peut &ecirc;tre communiqu&eacute; via l&rsquo;outil T&eacute;l&eacute;calam.&nbsp;- A titre d&eacute;rogatoire, via le dossier de demande d&rsquo;indemnisation format papier disponible dans les mairies concern&eacute;es &agrave; compter du lundi 7 novembre. Aucun accueil physique ne sera organis&eacute;. Renseignements &agrave; la DDT - 9, Rue de Bruxelles - BP 3370 - 12033 Rodez cedex 9 - 05 65 73 51 50.Source Pr&eacute;fecture Aveyron

Le comité national de gestion des risques en agriculture (CNGRA) réuni le 18 octobre a validé, pour les départements les plus touchés par la sécheresse dont l’Aveyron, le principe de reconnaissance en calamités agricoles au titre de la sécheresse 2022 sur la base de taux provisoires pour toutes les petites régions fourragères du département

Sécheresse 2022 - Calamités agricoles : demandes d’indemnisation à partir du 7 novembre

L&rsquo;&eacute;levage allaitant doit faire face depuis plusieurs ann&eacute;es &agrave; un manque de rentabilit&eacute; accru, &agrave; des revendications soci&eacute;tales fortes et &agrave; des mutations dans les habitudes de consommation.Face &agrave; ce constat, le projet EFFIVIANDE propose d&rsquo;accompagner le d&eacute;veloppement de nouveaux syst&egrave;mes de production dont les orientations de production r&eacute;pondent aux attentes des march&eacute;s, et qui mobilisent les ressources territoriales (et l&rsquo;herbe en particulier). Pilot&eacute;e par l&rsquo;Institut de l&rsquo;Elevage (IDELE), il regroupe des exploitations volontaires dans quatre bassins aux caract&eacute;ristiques sp&eacute;cifiques&nbsp;: Bassin Charolais, Bassin Nord-Est, Bassin Ouest et Bassin Rustique avec l&rsquo;ambition de co-construire avec les acteurs de la fili&egrave;re des syst&egrave;mes d&rsquo;avenir durablement comp&eacute;titifs.<aside class="factbox">
 <h2>BON &Agrave; SAVOIR</h2>
 Les diagnostics d&eacute;battus et partag&eacute;s aboutissent &agrave; un m&ecirc;me constat : le manque d&rsquo;outils g&eacute;n&eacute;tiques pour bien caract&eacute;riser l&rsquo;aptitude au rajeunissement des produits et la production de carcasses moins lourdes.
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La s&eacute;lection sur la pr&eacute;cocit&eacute; (aptitude &agrave; atteindre le poids adulte le plus vite possible) est une piste de travail d&eacute;velopp&eacute;e lors de cette conf&eacute;rence par M. Philippe Dimon et Mme Nathalie Malaval de l&rsquo;IDELE. Ceci dans un contexte de production &agrave; l&rsquo;herbe avec diminution de l&rsquo;empreinte carbone des exploitations par l&rsquo;augmentation de son stockage et la r&eacute;duction des temps improductifs des bovins. La r&eacute;flexion a &eacute;t&eacute; conduite avec Races de France et deux OS (Organismes de S&eacute;lection) : l&rsquo;OS Charolais France et l&rsquo;OS Salers pour un d&eacute;ploiement futur &agrave; l&rsquo;ensemble des races. Une mod&eacute;lisation de 2 syst&egrave;mes d&rsquo;&eacute;levage appuy&eacute;e par les r&eacute;sultats du r&eacute;seau OSIRIS et les Indexations permet d&rsquo;&eacute;tudier la construction d&rsquo;un index technique de pr&eacute;cocit&eacute; au but de rep&eacute;rer et s&eacute;lectionner les animaux &agrave; forte vitesse de d&eacute;veloppement.La pr&eacute;cocit&eacute; privil&eacute;gie les croissances rapides avec une surveillance du poids naissance qui ne doit pas augmenter afin d&rsquo;&eacute;viter les contraintes de v&ecirc;lage d&eacute;favorables &eacute;conomiquement. Chaque OS a puis&eacute; dans ses indicateurs g&eacute;n&eacute;tiques en leur appliquant le poids &eacute;conomique observ&eacute; dans OSIRIS. Les deux OS, pour ne pas multiplier le nombre d&rsquo;index, chercheraient &agrave; int&eacute;grer la pr&eacute;cocit&eacute; en r&eacute;visant l&rsquo;ISEVR.Le d&eacute;veloppement futur d&rsquo;une &eacute;valuation de la vitesse de d&eacute;veloppement (projet PRECOBEEF 2) permettra de s&eacute;lectionner encore plus efficacement les animaux sur la pr&eacute;cocit&eacute;.<aside class="factbox">
 <h2>BON &Agrave; SAVOIR</h2>
 Cette construction s&rsquo;inscrit dans le temps long. Elle priorise la valorisation optimale de l&rsquo;herbe, la r&eacute;duction de l&rsquo;empreinte carbone et la production d&rsquo;animaux r&eacute;pondant aux besoins des march&eacute;s, efficients et &eacute;conomiquement rentables.
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Cette construction s&rsquo;inscrit dans le temps long. Elle priorise la valorisation optimale de l&rsquo;herbe, la r&eacute;duction de l&rsquo;empreinte carbone et la production d&rsquo;animaux r&eacute;pondant aux besoins des march&eacute;s, efficients et &eacute;conomiquement rentables.

Une conférence lors du Sommet de l’élevage 2022 a fait le point sur le projet EFFIVIANDE et s’est focalisé sur sa composante génétique : les voies possibles d’introduction de la précocité dans les programmes de sélection.Projet EFFIVIANDE

Introduction de la précocité dans la sélection des races à viande

D&eacute;partement 11 - Exploitation de 100 ch&egrave;vres alpines cherche salari&eacute;(e) pour traite, soins, fabrication fromag&egrave;re et livraisons &eacute;ventuellement, &agrave; partir du 15/02/2023 pour 30 heures minimum par semaine, logement sur place possible.

Contact : 06 31 92 99 64

Dép 11 - Exploitation caprine cherche salarié(e)

L&rsquo;union mondiale des march&eacute;s de gros (WUWM) renforce son r&eacute;seau avec l&rsquo;adh&eacute;sion de 10 nouveaux march&eacute;s de gros indiens situ&eacute;s dans les grandes villes de l&rsquo;Inde. Il s&rsquo;agit des march&eacute;s d&rsquo;Hyderabad, Telangana, Himachal, Uttarakhand, Goa, Haryana, COSC et Panchkula.

WUWM explorera avec le bureau ICLEI-Asie du Sud (Local Governments for Sustainability) les mani&egrave;res de renforcer les capacit&eacute;s des gouvernements locaux indiens en termes de d&eacute;veloppement de politiques alimentaires urbaines et locales. La Banque asiatique de d&eacute;veloppement est partenaire concernant les investissements dans les infrastructures qui peuvent soutenir la s&eacute;curit&eacute; alimentaire.

  

L’union mondiale des marchés de gros se développe en Inde 

Selon l&rsquo;Agence nationale pour le d&eacute;veloppement des zones oasiennes et de l&rsquo;arganier (ANDZOA), la r&eacute;colte 2022 de dattes au Maroc ne devrait pas d&eacute;passer les 105&nbsp;000 tonnes. Cela repr&eacute;sente une chute de 30% par rapport &agrave; la saison pr&eacute;c&eacute;dente (150&nbsp;000 t).

La principale raison invoqu&eacute;e pour expliquer cette baisse se retrouve dans la s&eacute;cheresse qui a impact&eacute; l&rsquo;ensemble des productions agricoles du royaume ch&eacute;rifien. L&rsquo;ANDOZA pr&eacute;voit aussi que cette situation aura un impact sur la qualit&eacute; du fruit, cultive sur 63&nbsp;000 h dans le pays.

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