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<p>Le quad utilitaire CForce 625 Touring est disponible en homologation T3 ouvrant le droit &agrave; la r&eacute;cup&eacute;ration de la TVA et &agrave; l&rsquo;obtention du certificat d&rsquo;immatriculation &agrave; tarif r&eacute;duit. Cet engin &agrave; deux places se distingue par l&rsquo;adoption d&rsquo;une selle particuli&egrave;rement travaill&eacute;e, dot&eacute;e d&rsquo;un grand dosseret passager. Anim&eacute; par un monocylindre 4 temps de 580&nbsp;cm<sup>3</sup>, il est &eacute;quip&eacute; d&rsquo;une transmission &agrave; quatre roues motrices et d&rsquo;un pont avant avec diff&eacute;rentiel blocable. Il p&egrave;se &agrave; vide 395&nbsp;kg et b&eacute;n&eacute;ficie de suspensions ind&eacute;pendantes &agrave; double triangulation &agrave; l&rsquo;avant et &agrave; l&rsquo;arri&egrave;re. Le freinage est confi&eacute; &agrave; deux disques &agrave; l&rsquo;avant et &agrave; un seul central &agrave; l&rsquo;arri&egrave;re. La dotation de s&eacute;rie du CForce 625 comprend un treuil frontal, une boule d&rsquo;attelage, une prise &eacute;lectrique pour la remorque et deux ports USB pour la recharge de t&eacute;l&eacute;phones.&nbsp;La garantie est de deux ans pour les pi&egrave;ces et d&rsquo;un an pour la&nbsp;main-d&rsquo;&oelig;uvre.</p>

<div class="note"><a href="http://www.cf-moto.fr" rel="nofollow noopener">www.cf-moto.fr</a></div>
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Le quad CForce 625 Touring de CF Moto bénéficie d’une finition haut de gamme et de l’homologation T3 permettant de récupérer la TVA.

CF Moto - Un quad utilitaire paré pour les longs parcours

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<p>Le dispositif de guidage Intelligente disponible sur les bineuses sans fertiliseur &agrave; ch&acirc;ssis repliable de la gamme HS (jusqu&rsquo;&agrave; 8 rangs &agrave; 75&nbsp;cm et 12 rangs &agrave; 45-50&nbsp;cm) se compose d&rsquo;une interface &agrave; pilotage hydraulique coupl&eacute;e &agrave; une cam&eacute;ra Culticam MK4HD. Fournie par Claas, cette derni&egrave;re se d&eacute;cline dans deux versions. En standard, elle ne d&eacute;tecte qu&rsquo;un seul rang, alors que la version "Professionnel" offre deux modes de fonctionnement 2D ou 3D discriminant la culture des adventices, selon leur couleur et leur taille. Dot&eacute;e d&rsquo;une meilleure r&eacute;solution, cette seconde version d&eacute;tecte plusieurs rangs et s&rsquo;accompagne de vannes &agrave; commande proportionnelle. Le pilotage du syst&egrave;me s&rsquo;effectue depuis un terminal tactile. Un kit d&rsquo;&eacute;clairage leds est propos&eacute; en option pour ne pas &ecirc;tre d&eacute;pendant des conditions de luminosit&eacute;. Le dispositif peut aussi &ecirc;tre compl&eacute;t&eacute; par des palpeurs m&eacute;caniques optimisant son fonctionnement avec des plantes d&eacute;velopp&eacute;es.</p>

<div class="note"><a href="http://www.maschio.com" target="_blank" rel="nofollow noopener">www.maschio.com</a></div>
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Les bineuses Maschio Gapardo HS peuvent recevoir une interface de guidage hydraulique couplée à une caméra Culticam.

Maschio Gaspardo - Des bineuses guidées par caméra

<p><strong>&nbsp;<em>&laquo;&nbsp;La gestion technico-&eacute;conomique est la colonne vert&eacute;brale de notre accompagnement</em></strong>, mart&egrave;le Hubert Deleon, directeur d&rsquo;Eilyps, entreprise de conseil en &eacute;levage en Ille-et-Vilaine. <em>L&rsquo;angle &eacute;conomique est notre porte d&rsquo;entr&eacute;e. L&rsquo;&eacute;leveur laitier est un entrepreneur. Il ne peut se contenter de piloter qu&rsquo;&agrave; partir du co&ucirc;t de concentr&eacute;s. Il requiert une approche plus globale et a <strong>besoin d&rsquo;outils dynamiques et agiles pour l&rsquo;aider &agrave; se projeter.</strong> &raquo; </em>C&rsquo;est dans cet objectif qu&rsquo;Eilyps vient de lancer l&rsquo;outil Breeder Eco en juin dernier.&nbsp;L&rsquo;id&eacute;e est de mettre en avant quelques donn&eacute;es phares de l&rsquo;&eacute;levage pour d&eacute;gager des marges de progr&egrave;s et &eacute;tablir un plan d&rsquo;actions mensuel ou trimestriel. <em>&laquo;&nbsp;<strong>En permettant une meilleure r&eacute;activit&eacute;, il est plus facile de conforter une d&eacute;cision et d&rsquo;approcher les gains potentiels</strong>&nbsp;&raquo;,</em> avance Constance Jubin, chef de projet num&eacute;rique chez Eilyps.</p>

<p>L&rsquo;outil se veut simple et facile d&rsquo;utilisation. Selon le rythme qu&rsquo;il aura choisi (mensuel, trimestriel) l&rsquo;&eacute;leveur aura &agrave; r&eacute;aliser quelques enregistrements dans l&rsquo;outil web,&nbsp;tels que l&rsquo;objectif de production, le nombre de vaches, les produits, les charges alimentaires&hellip; Cela lui permettra d&rsquo;approcher de premi&egrave;res tendances chiffr&eacute;es. Quand c&rsquo;est possible, certaines donn&eacute;es pourront aussi remonter des laiteries, centres de gestion&hellip;</p>

<h3>La marge sur co&ucirc;t alimentaire par vache</h3>

<p>Parmi les indicateurs calcul&eacute;s par l&rsquo;outil figure notamment la marge sur co&ucirc;t alimentaire ramen&eacute;e &agrave; la vache. <strong>Suivre ce crit&egrave;re est pertinent quelque soit le syst&egrave;me en place</strong>. Des graphiques et des tableaux de synth&egrave;se (au mois, au trimestre ou &agrave; l&lsquo;ann&eacute;e) facilitent l&rsquo;interpr&eacute;tation visuelle. En parall&egrave;le, le travail avec le conseiller de l&rsquo;&eacute;levage s&rsquo;articulera davantage sur la valorisation de ces donn&eacute;es.</p>

<p>Le travail engag&eacute; va encore &eacute;voluer. <em>&laquo;&nbsp;A terme, nous souhaitons aller jusqu&rsquo;&agrave; la marge nette&nbsp;&raquo;, </em>signale Pierrick Cotto, pr&eacute;sident d&rsquo;Eilyps. L&rsquo;objectif est que 100 % des adh&eacute;rentes utilisent cette nouvelle approche dont le co&ucirc;t est inclus dans l&rsquo;offre de services. Ce service sera &eacute;galement disponible pour les &eacute;leveurs situ&eacute;s en dehors du d&eacute;partement, moyennant un abonnement.</p>



Eilyps propose une nouvelles approche de gestion technico-économique qui offre une photographie réelle du moment et permet plus de réactivité avec un suivi d'indicateurs en continu.

Breeder Eco propose un pilotage dynamique des données technico-économiques

<p>&Eacute;trange paysage que cette parcelle d'agroforesterie sur le domaine des Deux Moulins, &agrave; Juign&eacute; au Sud d'Angers (Maine-et-Loire). Toutes les sept rang&eacute;es de vignes se dresse une ligne de pommiers, poiriers, abricotiers ou encore cerisiers, accompagn&eacute;e de buissons de groseilles et cassis &agrave; leur base. Ou plut&ocirc;t &laquo;&nbsp;<em>se dressaient&nbsp;</em>&raquo;. &laquo;&nbsp;<em>Les chevreuils viennent manger l'&eacute;corce et au premier coup de chaud les arbres meurent. On s'emb&ecirc;te &agrave; leur faire un super environnement avec des arbres et ils n'ont aucune reconnaissance</em>&nbsp;&raquo; regrette, un sourire mi-figue mi-raisin aux l&egrave;vres, Daniel Macault, le viticulteur.</p><p>Cette pr&eacute;dation des fruitiers par les chevreuils est le premier constat d'une exp&eacute;rimentation d&eacute;but&eacute;e en 2018 avec l'Association technique viticole du 49 (ATV 49). "<em>Depuis un moment, je me dis que le prochain grand d&eacute;fi sera le r&eacute;chauffement climatique. Quand on voit des mod&egrave;les ou on gagne 2&deg;C &agrave; Saumur &ccedil;a fait forc&eacute;ment r&eacute;fl&eacute;chir",</em>&nbsp;explique l'angevin. Apr&egrave;s une discussion avec son conseiller technique de l'ATV 49, le sujet de l'agroforesterie arrive sur la table. Mais la technique n'en est qu'&agrave; ses d&eacute;buts. Aucune exp&eacute;rimentation n'a encore &eacute;t&eacute; lanc&eacute;e en Anjou. "<em>C'est le type d'exp&eacute;rience longue que l'on ne fait pas pour soi mais pour la prochaine g&eacute;n&eacute;ration. Je vois cette plantation comme une parcelle &eacute;cole. L'id&eacute;e n'est pas d'am&eacute;liorer le compte de r&eacute;sultat mais de cr&eacute;er du savoir"</em>&nbsp;souligne Daniel Macault.</p><h2>Trouver des essences d'arbres ad&eacute;quates</h2><p>Techniquement l'essai est men&eacute; sur 1 ha de vigne. L'id&eacute;e &eacute;tant de travailler sur l'adaptation au r&eacute;chauffement climatique, 4 c&eacute;pages originaires du grand Sud ont &eacute;t&eacute; plant&eacute;s. Il s'agit du Tempranillo, Sciaccarello, Syrah et Cot. Alors que les premi&egrave;res r&eacute;coltes &eacute;taient attendues pour cette ann&eacute;e, le gel de 2019 a retard&eacute; le d&eacute;veloppement des vignes et a allong&eacute; le calendrier. "<em>Il n'y a pas encore d'effets significatifs de l'agroforesterie sur la production car les arbres ne sont pas assez d&eacute;velopp&eacute;s",&nbsp;</em>explique le viticulteur. Le choix d'un &eacute;cartement de sept rangs de vigne entre chaque ligne d'arbres provient lui d'un aspect pratique. Il permet d'effectuer un aller-retour avec le pulv&eacute;risateur. "<em>Il faut que l'intervention dans les vignes reste standardis&eacute;e sinon &ccedil;a devient trop compliqu&eacute; &agrave; g&eacute;rer",</em>&nbsp;affirme-t-il.</p><p>Les fruitiers ont eux &eacute;t&eacute; choisis pour leurs productions qui pourraient &ecirc;tre vendues au caveau. Sur ce lieu de vente, sont d&eacute;j&agrave; commercialis&eacute;s les l&eacute;gumes de l'activit&eacute; mara&icirc;ch&egrave;re lanc&eacute;e il y a deux ans. Ces arbres devaient &ecirc;tre conduits en haute-tige pour offrir de l'ombre aux vignes alentours. Vu les d&eacute;g&acirc;ts occasionn&eacute;s par les chevreuils, Daniel Macault r&eacute;fl&eacute;chit d&eacute;j&agrave; aux nouvelles esp&egrave;ces qu'il r&eacute;implantera &agrave; l'automne. "<em>Nous avons laiss&eacute; pousser une haie naturelle en bord de parcelle. Les fr&ecirc;nes s'y plaisent beaucoup et ils ne subissent pas de d&eacute;g&acirc;ts de gibier", </em>analyse l'angevin. "<em>&Ccedil;a pourrait &ecirc;tre une option de plantation, mais j'ai peur qu'ils se d&eacute;veloppent trop"</em>. Il envisage &eacute;galement de mettre des protections autour des nouveaux arbres pour emp&ecirc;cher les chevreuils d'approcher.</p><h2>"Si je n'ai pas de projet, je m'ennuie"</h2><p>L'agroforesterie n'est que le dernier &eacute;pisode d'une longue liste d'exp&eacute;rimentations et de bouleversements men&eacute;es sur les 70 ha du Domaine des Deux moulins. "<em>Nous sommes en conversion bio depuis deux ans. Mais en r&eacute;alit&eacute;, cela fait sept ans que j'ai entam&eacute; l'&eacute;volution du vignoble"</em>&nbsp;retrace Daniel Macault. Il a notamment r&eacute;alis&eacute; un travail important sur la gestion de l'enherbement des vignes avec le groupe Dephy mont&eacute; par l'ATV 49. "<em>C'est vraiment une id&eacute;e magique de travailler en groupe pour comparer les erreurs que chacun a pu faire. Et les techniciens de l'ATV ont su nous accompagner sans jamais nous forcer la main"</em>&nbsp;se souvient-il. S'en suit l'installation de nichoirs pour les chauves-souris et les m&eacute;sanges, l'installation de haies ou plus r&eacute;cemment la plantation du c&eacute;page flor&eacute;al, r&eacute;sistant aux maladies.</p><p>Des initiatives que le viticulteur ne se prive pas de montrer aux touristes de passage via l'accueil de camping-car ou les chambres d'h&ocirc;tes. Le cr&eacute;do de Daniel Macault prend alors tout son sens&nbsp;: "s<em>i je n'ai pas de nouveaux projets, je m'ennuie.</em>.."</p>


En Anjou, Daniel Macault a planté une parcelle de vigne en agroforesterie. Cette expérimentation représente un pari sur l’avenir afin de créer des références techniques pour la génération suivante qui devra s’adapter au réchauffement climatique.

Des arbres entre les vignes pour s’adapter au réchauffement climatique

<p>Compos&eacute;e de quatre mod&egrave;les de 205 &agrave; 265 ch de puissance maximale, la nouvelle gamme de tracteurs 8S dispose d'un choix de trois transmissions : la nouvelle semi-powershift Dyna-7, la transmission &agrave; variation continue Dyna-VT (disponible fin 2021) ou encore l'in&eacute;dite transmission &agrave; double embrayage Dyna E-Power. Dot&eacute;e de quatre gammes et sept rapports sous charge, cette derni&egrave;re est annonc&eacute;e r&eacute;duire de 26 % les pertes de puissance &agrave; vitesse &eacute;lev&eacute;e, par rapport &agrave; la Dyna-6. Elle permet de rouler &agrave; 40 km/h au r&eacute;gime de 1 200 tr/min. Abritant 28 rapports, la Dyna-7 affiche une efficacit&eacute; accrue au champ de 10 % par rapport &agrave; la Dyna-6.</p>

<p>La motorisation AgcoPower 6 cylindres 7,4 litres r&eacute;ceptionn&eacute;e Stage V (SCR, FAP et catalyseur de suie) offre un pic de&nbsp;puissance et de couple &agrave; plus bas r&eacute;gime, permettant de travailler sur des plages de r&eacute;gimes r&eacute;duisant la consommation jusqu'&agrave; 10 %, mais aussi le bruit. Ce moteur est "encapsul&eacute;", ce qui permet de mieux g&eacute;rer le bruit, mais &eacute;galement le refroidissement.&nbsp;</p>

<p>Pour la traction, le pont arri&egrave;re est renforc&eacute; et accueille des pneumatiques jusqu'&agrave; 2,05 m de diam&egrave;tre (Trelleborg TM1000 PT VF 650/75R42). L'empattement de 3,05 m offre un compromis entre stabilit&eacute; &agrave; la traction et maniabilit&eacute; (5,70 m de rayon de braquage).&nbsp;&nbsp;</p>

<p>Le relevage gagne en capacit&eacute;, aussi bien &agrave; l'arri&egrave;re (+7%, 10 tonnes)&nbsp;qu'&agrave; l'avant (+20 %, 4,8 tonnes). Les performances hydrauliques sont &eacute;galement &agrave; la hausse avec une pompe LS d&eacute;bitant jusqu'&agrave; 150 l/min (jusqu'&agrave; 230 l/min en option) pour alimenter jusqu'&agrave; cinq distributeurs. Disposant d'un pont avant suspendu, ce tracteur b&eacute;n&eacute;ficie d'une nouvelle cabine spacieuse suspendue&nbsp;&agrave; quatre montants, enti&egrave;rement isol&eacute;e du bloc moteur (24 cm d'espacement) avec comme particularit&eacute; un pare-brise inclin&eacute; vers l'avant. Elle re&ccedil;oit un nouvel&nbsp;accoudoir avec son terminal Datatronic 5, mais aussi une cam&eacute;ra arri&egrave;re pour augmenter la visibilit&eacute; sans avoir &agrave; se retourner et un si&egrave;ge ventil&eacute; et chauffant.&nbsp;</p>

<p>La connectivit&eacute; est au rendez-vous, le MF Connect &eacute;quipant en standard pour les trois premi&egrave;res ann&eacute;es. Ces tracteurs peuvent b&eacute;n&eacute;ficier en option du logiciel de transfert de donn&eacute;es MF Task Doc Pro et &ecirc;tre connect&eacute;s &agrave; la plateforme Agrirouter, par exemple pour recevoir &agrave; la parcelle une carte de pr&eacute;conisation avant d'engager un travail.&nbsp;</p>

<p>Ces tracteurs sont d'ores et d&eacute;j&agrave; disponibles &agrave; la vente, en deux finitions :&nbsp;Exclusive et Efficient.</p>

<div alt="Massey Ferguson tracteur MF 8S R&eacute;ussir machinisme" data-embed-button="media_browser" data-entity-embed-display="media_image" data-entity-type="media" data-entity-uuid="1f373b11-f1f3-4770-84b7-94f5a16a6e48" title="Massey Ferguson tracteur MF 8S R&eacute;ussir machinisme" data-langcode="fr" class="embedded-entity">  <img src="https://www.reussir.fr/grandes-cultures/sites/grandes-cultures/files/machinisme-MF%208S%20gamme.JPG" alt="Massey Ferguson tracteur MF 8S R&eacute;ussir machinisme" typeof="foaf:Image" /></div>




Massey Ferguson lance une nouvelle gamme de tracteurs baptisée 8S, de 205 à 265 chevaux maximum. 

Massey Ferguson - Nouvelle gamme de tracteurs MF 8S


<p>Un d&eacute;cret paru au Journal officiel du 23 juillet 2020, rel&egrave;ve &agrave; 100 000 euros, contre 40 000 euros auparavant, le seuil en-de&ccedil;&agrave; duquel la passation d'un march&eacute; public pour la fourniture de denr&eacute;es alimentaires est dispens&eacute;e d'appel d'offre. La mesure concerne des denr&eacute;es alimentaires produites, transform&eacute;es et stock&eacute;es pendant l'&eacute;tat d'urgence sanitaire et qui seront livr&eacute;es avant le 10 d&eacute;cembre 2020.</p><h2>Volailles et formages AOP/IGP</h2><p>Selon le minist&egrave;re de l'Agriculture, cette mesure participera au soutien des producteurs agricoles dont l'activit&eacute; a &eacute;t&eacute; tr&egrave;s fortement impact&eacute;e par les mesures prises pour limiter l'&eacute;pid&eacute;mie et la sauvegarde des emplois. "<em>Cette simplification des proc&eacute;dures des march&eacute;s publics est un &eacute;l&eacute;ment important dans la relance de notre &eacute;conomie, en permettant d'&eacute;couler les stocks cr&eacute;&eacute;s lors de la crise COVID, par exemple de volailles et de fromages AOP/IGP, tout en facilitant le fonctionnement de la restauration collective publique"</em>, argumente Julien Denormandie, cit&eacute; dans un communiqu&eacute;. "<em>Mettre &agrave; disposition de nos concitoyens les produits locaux et de qualit&eacute; de nos producteurs &agrave; un juste prix est une priorit&eacute;"</em> .</p><p>Les entreprises du BTP b&eacute;n&eacute;ficient de la m&ecirc;me proc&eacute;dure, avec un seuil relev&eacute; &agrave; 70 000 euros.</p>



Le Gouvernement a relevé à 100 000 euros le seuil de dispense de procédure pour les marchés publics de restauration collective. Objectifs : soutenir les producteurs et lutter contre le gaspillage.


La relance passera aussi par les cantines

<p>Avec la CH 7.70, New Holland d&eacute;barque sur un segment de march&eacute; repr&eacute;sentant 8 &agrave; 10 % des volumes en France et sur laquelle la marque jaune n'&eacute;tait pas pr&eacute;sente, celui des non-conventionnelles de moins de 400 chevaux.</p>

<p>Dot&eacute;e d'une motorisation Cursor 9&nbsp;de 8,7 litres de 374 ch, la gamme CH (pour Crossover Harvesting) se d&eacute;cline en deux mod&egrave;les : CH 7.70 et CH 7.70 Lat&eacute;rale, capable de corriger les d&eacute;vers jusqu'&agrave; 18 %. Con&ccedil;ue sur la base d'une CX 6.90, la moissonneuse-batteuse CH dispose d'un batteur de 606 mm de diam&egrave;tre et 156 cm de large, recevant le syst&egrave;me Optitresh effa&ccedil;ant la derni&egrave;re partie du contre-batteur pour un meilleur respect de la&nbsp;paille. En option, le batteur peut &ecirc;tre remplac&eacute; par une version HD, quasiment deux fois plus lourd que le batteur standard, identique &agrave; celui d'une CX 6.90. Le variateur hydraulique du batteur est quant &agrave; lui issu d'une CX 8.&nbsp;Derri&egrave;re le batteur, le tire-paille de 395 mm de diam&egrave;tre&nbsp;alimente les deux rotors par le haut. D'une longueur de 3,45 m et d'un diam&egrave;tre de 541 mm, ces rotors offrent une surface de s&eacute;paration de 2,90 m&sup2; et&nbsp;b&eacute;n&eacute;ficient de deux vitesses de rotation, interchangeables en d&eacute;pla&ccedil;ant la courroie. Le r&eacute;gime de 700 tr/min est adapt&eacute; aux c&eacute;r&eacute;ales &agrave; pailles, tandis que celui de 400 tr/min se destine au colza, au tournesol, mais aussi aux conditions de paille brisante, quand on souhaite conserver la paille et &eacute;viter de surcharger&nbsp;la table de nettoyage. La r&eacute;colte est ensuite nettoy&eacute;e sur un caisson &agrave; triple chute, identique &agrave; celui des&nbsp;mod&egrave;les 6 secoueurs du constructeur. De s&eacute;rie sur&nbsp;les CH 7.70 et CH 7.70 Lat&eacute;rale, ce caisson Smart Sieve compense les effets du&nbsp;d&eacute;vers par des mouvements lat&eacute;raux et se combine &agrave; la compensation du&nbsp;mod&egrave;le&nbsp;Lat&eacute;rale pour les pentes importantes.&nbsp;Ces nouvelles moissonneuses-batteuses b&eacute;n&eacute;ficient&nbsp;de l'Opti-Fan, qui ajuste la vitesse des vents en mont&eacute;e et en descente. Le grain propre est conduit vers la tr&eacute;mie de 9 300 litres (vidange &agrave; 110 l/s), tandis que les &ocirc;tons sont renvoy&eacute;s sur le batteur. A l'arri&egrave;re, l'&eacute;parpilleur de menues pailles provient des CX 7 et 8. Le broyeur &agrave; quatre rang&eacute;es de couteaux coulisse &eacute;lectriquement, s'appuyant sur une glissi&egrave;re &agrave; l'avant et sur un balancier &agrave; l'arri&egrave;re. En position avant, la paille&nbsp;chute&nbsp;dans le broyeur. En position arri&egrave;re, la courroie n'entra&icirc;ne plus le broyeur et la paille&nbsp; est andain&eacute;e. Pour le ma&iuml;s, le broyeur est plac&eacute; &agrave; l'arri&egrave;re (d&eacute;sactiv&eacute;) et une t&ocirc;le d&eacute;flectrice conduit les rafles vers l'&eacute;parpilleur, afin de&nbsp;les &eacute;taler sans les broyer et ainsi &eacute;conomiser de la puissance et de la&nbsp;consommation.</p>

<p>En cabine, l'op&eacute;rateur retrouve le m&ecirc;me univers que les CX 7 et CX 8, avec l'&eacute;cran Intelliview&nbsp;IV, &agrave; la diff&eacute;rence de la couleur de l'accoudoir multifonction, noir au lieu de gris. Simples, les CH ne disposent pas de l'automatisme&nbsp;de r&eacute;glage Intellisense. En option, elles acc&egrave;dent &agrave; l'autoguidage et au repliage &eacute;lectrique du r&eacute;troviseur droit.</p>

<p>C&ocirc;t&eacute; entretien, les&nbsp;rotors s&eacute;parateurs ne disposent que trois points de graissage, accessibles par le dessus par une grande trappe, d'o&ugrave; l'op&eacute;rateur peut &eacute;galement d&eacute;monter les couvercles sup&eacute;rieurs des deux rotors (par coulissement).&nbsp;&nbsp;</p>

<p>C&ocirc;t&eacute; performances, <em>"la campagne d'essai des quelques machines en France ont montr&eacute; des d&eacute;bits de chantier de 350 &agrave; 400 qtx/h, des r&eacute;sultats se situant entre ceux d'une CX 8.70 de m&ecirc;me puissance&nbsp;et une petite CR</em>, informe Aur&eacute;lien Pichard, chef produit moissonneuse-batteuse New Holland. <em>La consommation se montre plus sobre, entre 10 et 15 l/ha, broyeur non engag&eacute;."</em></p>

<p>A l'avant, les CH re&ccedil;oivent une coupe Varifeed de 9,15 m, 7,60 m (pour les pailles vertes) ou encore le&nbsp;nouveau mod&egrave;le de 8,53 m.&nbsp;</p>

<p>Les CH 7.70 b&eacute;n&eacute;ficient d'une garantie de 3 ans (1 200 h) sur le moteur, le pont, la transmission, l'&eacute;lectrique et l'&eacute;lectronique.&nbsp;</p>

<p>C&ocirc;t&eacute; prix, elle est annonc&eacute;e au prix catalogue de 315 000 euros.&nbsp;&nbsp;</p>

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New Holland dévoile une nouvelle gamme de moissonneuses-batteuses non conventionnelles.

[VIDEO] - Découverte de la moissonneuse-batteuse hybride New Holland CH7.70 au champ

<div class="field_LQ3437168C"><strong>Ils ne sont plus que deux producteurs dans le canton. &laquo; <em>Tous ceux qui devaient arr&ecirc;ter l&rsquo;on fait,</em> explique Thierry Ciapa, &eacute;leveur de 80 Prim'Holstein &agrave; Castelnau d&rsquo;Arbieu, dans le Gers. <em>Aujourd&rsquo;hui, il ne reste que les producteurs qui ont envie de faire du lait.&nbsp;</em>&raquo;</strong> Mais&nbsp;comment rester &eacute;leveur dans un d&eacute;sert laitier&nbsp;? En 2011, le Gaec du Villge n&rsquo;avait plus de suivi technique. Le d&eacute;partement n&rsquo;assurait d&eacute;j&agrave; plus le service de contr&ocirc;le laitier et avait fait appel aux d&eacute;partements voisins. Aujourd&rsquo;hui, c&rsquo;est une technicienne des Hautes-Pyr&eacute;n&eacute;es qui visite l&rsquo;&eacute;levage tous les mois. Beaucoup d&rsquo;inqui&eacute;tude aussi pour le suivi v&eacute;t&eacute;rinaire, apr&egrave;s le d&eacute;part &agrave; 70 ans de l&rsquo;ancien praticien. La rurale fait peu d&rsquo;adepte chez les jeunes v&eacute;t&eacute;rinaires. <strong><em>&laquo;&nbsp;Dans notre zone, le suivi des ruminants va devenir probl&eacute;matique. Nous avons appris &agrave; faire beaucoup de choses. Nous avons encore besoin du v&eacute;t&eacute;rinaire pour les c&eacute;sariennes. Tout le reste, nous le faisons nous-m&ecirc;mes.&nbsp;&raquo;</em></strong> Il y a quelques ann&eacute;es, le Gaec achetait tout son renouvellement. Mais&nbsp;il devient de plus en plus difficile de trouver de bonnes g&eacute;nisses dans la r&eacute;gion. Ils en &eacute;l&egrave;vent donc de plus en plus.
<p class="field_LQ1068C">Le Gaec du Village est adh&eacute;rent d&rsquo;une Cuma, qui ne compte plus que quatre adh&eacute;rents pour l&rsquo;ensilage. L&rsquo;ensileuse est vieillissante et ne pourra pas &ecirc;tre remplac&eacute;e quand elle l&acirc;chera. Les ETA viennent de trop loin pour pouvoir assurer un ensilage de qualit&eacute; au moment optimal. <em>&laquo;&nbsp;Nous irons jusqu&rsquo;au bout puis il faudra peut-&ecirc;tre trouver une solution&nbsp;alternative &raquo;</em>, pr&eacute;voit Thierry Ciapa. Le s&eacute;chage en grange&nbsp;? Trop co&ucirc;teux certainement. L&rsquo;enrubannage&nbsp;?<em> &laquo;&nbsp;On n&rsquo;en a pas envie.&nbsp;&raquo;</em> Une ration tout foin&nbsp;? Ce sera peut-&ecirc;tre la solution. <strong>Autre difficult&eacute; qu&rsquo;on ne soup&ccedil;onne pas dans les grandes r&eacute;gions d&rsquo;&eacute;levage laitier&nbsp;: l&rsquo;impossibilit&eacute; d&rsquo;avoir des discussions professionnelles avec ses pairs. Hormis l&rsquo;&eacute;leveur du m&ecirc;me canton, le plus proche est &agrave; plus de 30 km. R&eacute;cemment Thierry Ciapa a accompagn&eacute; un ami transporteur, &agrave; 250 km, juste pour le plaisir d&rsquo;&eacute;changer avec un autre &eacute;leveur laitier bio&nbsp;!</strong></p>

<h3 class="sequence">Lire aussi un article plus complet sur le Gaec : <a href="https://www.reussir.fr/lait/il-nous-faut-des-vaches-pour-les-cultures" target="_blank">"Nous avons besoin des vaches pour les cultures"</a></h3>
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<strong>Être isolé dans une région de grandes cultures</strong> pose de nombreuses difficultés : suivis technique et vétérinaire, fonctionnement des Cuma, échanges avec ses pairs…

Être éleveur dans un désert laitier


<p>Destin&eacute; &agrave; remplacer les terminaux de commande Operator et Communicator II, le Cemis 700 est un &eacute;cran tactile de 7 pouces, &agrave; commutation jour/nuit automatique, &agrave; la luminosit&eacute; et au volume r&eacute;glables. Prot&eacute;g&eacute; contre la poussi&egrave;re et l'eau (classe IP 65), il arbore dix touches Isobus d'acc&egrave;s direct et r&eacute;tro&eacute;clair&eacute;es, auxquelles s'ajoute un s&eacute;lecteur rotatif. Il est conforme &agrave; la norme Isobus 11783 pour les fonctionnalit&eacute;s UT1 et UT2 (commande d'outils attel&eacute;s), Aux-O (ancienne norme commande auxiliaire type joystick) et Aux-N (nouvelle norme commande auxiliaire).</p><h2>Prise cam&eacute;ra</h2><p>Le Cemis 700 est par ailleurs dot&eacute; d'une prise cam&eacute;ra, qui lui permet d'afficher des images en temps r&eacute;el provenant de deux cam&eacute;ras diff&eacute;rentes, affichables en version manuelle ou automatique. le Cemis 700, qui sera disponible &agrave; partir du mois d'octobre, pourra &ecirc;tre associ&eacute; aux combinaisons de faucheuses avant/arri&egrave;re Disco, aux presses &agrave; balles rondes Rollant 540, aux presses &agrave; balles carr&eacute;es Quadrant et aux remorques autochargeuses Cargos.</p>



Doté d’un écran tactile de 7 pouces, le Cemis 700 peut être associé aux combinaisons de faucheuses avant/arrière Disco, aux presses à balles rondes Rollant 540, aux presses à balles carrées Quadrant et aux remorques autochargeuses Cargos.


Cemis 700, le nouveau terminal Isobus de Claas


<p>Le r&ocirc;le de ce secteur, qu'il s'agisse de produire de l'&eacute;lectricit&eacute;, du gaz ou des carburants, "<em>est un sujet majeur aux implications multiples pour l'environnement et le climat, pour ses cons&eacute;quences en mati&egrave;re d'am&eacute;nagement des territoires, d'organisation des fili&egrave;res et des exploitations agricoles</em>", rel&egrave;ve l'Office parlementaire d'&eacute;valuation des choix scientifiques et technologiques (OPECST). Parmi les propositions, destin&eacute;es &agrave; orienter le plan de relance &eacute;conomique du gouvernement attendu fin ao&ucirc;t, le rapport appelle &agrave; "<em>d&eacute;velopper de mani&egrave;re prioritaire la m&eacute;thanisation</em>" qui permet de produire du biogaz &agrave; partir de d&eacute;chets organiques.</p><h2>"Ambitions trop modestes"</h2><p>Les rapporteurs de la mission, le d&eacute;put&eacute; (LREM) Jean-Luc Fugit et le s&eacute;nateur (PS) Roland Courteau, "<em>d&eacute;plorent les ambitions trop modestes</em>" de la Programmation pluriannuelle de l'&eacute;nergie (PPE). Alors que la loi a fix&eacute; en 2015 "<em>un objectif ambitieux de 10%</em>" de biogaz dans la consommation de gaz en 2030 (soit 39 &agrave; 42 TWh), la PPE de 2016 visait 8 TWh inject&eacute;s dans le r&eacute;seau en 2023, ramen&eacute;s &agrave; 6 TWh en 2020, regrette le rapport, soulignant au passage que la d&eacute;finition de la feuille de route &eacute;nerg&eacute;tique de la France devrait incomber au Parlement, non au gouvernement.</p><p>Parmi leurs autres propositions: doter d'un volet agricole la recherche sur les &eacute;nergies, renforcer le conseil aupr&egrave;s du monde agricole et int&eacute;grer ces projets dans les politiques d'am&eacute;nagement des territoires.&nbsp;Les pouvoirs publics devraient "<em>encourager l'appropriation des infrastructures de production d'&eacute;nergie par les agriculteurs plut&ocirc;t que par les &eacute;nerg&eacute;ticiens seuls ou des op&eacute;rateurs tiers</em>", ajoutent les parlementaires. Dans l'&eacute;olien et le photovolta&iuml;que, "<em>les agriculteurs se contentent souvent de mettre &agrave; disposition des ressources fonci&egrave;res</em>", notent-ils, relevant que leur appropriation "<em>permettrait aussi de faire &eacute;voluer les regards sur ces fili&egrave;res</em>" parfois difficilement accept&eacute;es. Enfin il faudrait soutenir l'agrivolta&iuml;sme, des panneaux solaires mobiles qui, install&eacute;s au-dessus des plantations, &eacute;vitent d'utiliser du foncier suppl&eacute;mentaire, notent les auteurs.&nbsp; &nbsp;&nbsp;</p><h2>50.000 exploitations concern&eacute;es</h2><p>Selon le rapport, le secteur agricole, avec au moins 50.000 exploitations concern&eacute;es, assure d&eacute;j&agrave; 20% de la production d'&eacute;nergies renouvelables (soit 3,5% de la production nationale d'&eacute;nergie), dont 96% de la production nationale de biocarburants, 26% du biogaz, et via son foncier 83% de l'&eacute;olien, 13% du solaire photovolta&iuml;que.</p>



Le secteur agricole a un rôle important à jouer dans la production d'énergies renouvelables, souligne un rapport parlementaire qui appelle à une meilleure (in)formation des agriculteurs et à plus de soutien public au biogaz. 


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