<p><strong>MARDI 13/09 : La fili&egrave;re porc en p&eacute;riode d'incertitudes : &eacute;volution des march&eacute;s et perspectives</strong></p><p><em>Pr&eacute;sidente de s&eacute;ance : Christiane Lambert, Pr&eacute;sidente de la FNSEA et productrice de porcs</em></p><ul><li><strong>Le march&eacute; du porc et ses perspectives,&nbsp;</strong>Elisa Husson, ing&eacute;nieure charg&eacute;e d&rsquo;&eacute;tudes &eacute;conomiques &agrave; l&rsquo;IFIP</li><li><strong>Les march&eacute;s des mati&egrave;res premi&egrave;res de l&rsquo;alimentation animale et de l&rsquo;&eacute;nergie et ses perspectives,&nbsp;</strong>Mathilde Le Boulch, ing&eacute;nieure charg&eacute;e d&rsquo;&eacute;tudes &eacute;conomiques &agrave; l&rsquo;IFIP</li><li><strong>T&eacute;moignage sur les march&eacute;s &agrave; termes et la situation agricole en Ukraine et ses perspectives,&nbsp;</strong>Michel Portier, Directeur G&eacute;n&eacute;ral de Agritel</li></ul><p><strong>La d&eacute;carbonation, facteur de comp&eacute;titivit&eacute; dans la fili&egrave;re porcine &hellip;</strong><br><strong>par les experts de l&rsquo;IFIP et t&eacute;moignages d&rsquo;acteurs&nbsp;</strong></p><p><strong>MERCREDI 14/09 : D&eacute;carbonation&nbsp;</strong><strong>au maillon Elevage</strong>&nbsp;</p><p><em>Pr&eacute;sident de s&eacute;ance : Gilles Fassot, &eacute;leveur de porcs dans le Morbihan, Administrateur Cooperl et R&eacute;f&eacute;rent Carbone &agrave; La Coop&eacute;ration Agricole</em></p><ul><li><strong>Rappel des chiffres cl&eacute;s du bilan Carbone d&rsquo;un kg de porc au portail de la ferme,&nbsp;</strong>Sandrine Espagnol, ing&eacute;nieure environnement &agrave; l&rsquo;IFIP</li><li><strong>Pr&eacute;sentation des politiques publiques autour du Carbone et focus sur la m&eacute;thode du Label Bas Carbone en porc,&nbsp;</strong>Annie Soulier, ing&eacute;nieure environnement &agrave; l&rsquo;IFIP</li><li><strong>Vid&eacute;o de t&eacute;moignage de la fili&egrave;re bovine sur la mise en &oelig;uvre du Label Bas Carbone Carbon&rsquo;Agri,&nbsp;</strong>Jean-Baptiste Doll&eacute;, Chef de service Environnement &agrave; l&rsquo;IDELE-Institut de l&rsquo;&eacute;levage</li><li><strong>Deux cas types d&rsquo;&eacute;levages porcins avant et apr&egrave;s mise en place de leviers Bas Carbone,&nbsp;</strong>Lo&iuml;c Dupont, conseiller Environnement et Valorisation au&nbsp;Groupement de producteurs de porcs, Evel&rsquo;Up</li></ul><p><strong>JEUDI 15/09 : d&eacute;carbonation a</strong><strong>u maillon Alimentation animale</strong>&nbsp;</p><p><em>Pr&eacute;sident de s&eacute;ance : Jean-Luc Cade, Vice-Pr&eacute;sident de La Coop&eacute;ration Agricole Nutrition Animale</em></p><ul><li><strong>Pr&eacute;sentation des impacts Carbone des aliments du b&eacute;tail</strong>, par Sandrine Espagnol, ing&eacute;nieure Environnement &agrave; l&rsquo;IFIP-Institut du porc</li><li><strong>Ressources en prot&eacute;ines et valorisation des coproduits</strong>, par Didier Gaudr&eacute;, ing&eacute;nieur Nutrition animale &agrave; l&rsquo;IFIP- Institut du porc</li><li><strong>Ressources en soja non d&eacute;forest&eacute;</strong>, par Vincent H&eacute;ral, Responsabilit&eacute; Soci&eacute;tale des Organisations au SNIA (Syndicat National de l&rsquo;Industrie de la Nutrition Animale)</li><li><strong>Evaluation des impacts des aliments du b&eacute;tail,</strong>&nbsp;Elo&iuml;se Mas, , Responsable Mati&egrave;res premi&egrave;res et durabilit&eacute;, La Coop&eacute;ration agricole Nutrition Animale</li><li><strong>T&eacute;moignage d&rsquo;un fabricant d&rsquo;aliment :&nbsp;</strong>par Herv&eacute; Vasseur, Directeur et sp&eacute;cialiste en Nutrition Animale, NUTREA</li><li><strong>Strat&eacute;gie d&rsquo;alimentation &agrave; basse teneur en prot&eacute;ines et incidences carbone,</strong>&nbsp;par &nbsp;Josselin Le Cour Grandmaison, Innovation &amp; Solution Manager, METEX NOOVISTAGO</li></ul><p><strong>VENDREDI 16/09</strong>&nbsp;<strong>EN WEBINAIRE</strong>&nbsp;:&nbsp;<strong>D&eacute;carbonation.. au maillon Aval (abattage-d&eacute;coupe et transformation) de la fili&egrave;re porcine.&nbsp;</strong></p><p><em>Pr&eacute;sident de s&eacute;ance, Christophe Lapasin, CELENE (Association en charge de l&rsquo;environnement pour le secteur des viandes)</em></p><ul><li><strong>Compl&eacute;mentarit&eacute; de l&rsquo;&eacute;levage et des cultures pour r&eacute;duire les impacts environnementaux de l&rsquo;agriculture,</strong><br>Jean-Louis Peyraud, charg&eacute; de mission en productions animales, INRAE</li><li><strong>D&eacute;marches de sobri&eacute;t&eacute; &eacute;nerg&eacute;tique et de d&eacute;carbonation de l&rsquo;industrie aval de la fili&egrave;re porcine</strong>&nbsp;: exemple d&rsquo;un syst&egrave;me optimis&eacute; pour l&rsquo;environnement, Cl&eacute;ment Mauboussin, coordinateur Responsabilit&eacute; environnementale, COOPERL</li><li><strong>D&eacute;marches d&rsquo;&eacute;conomies d&rsquo;&eacute;nergies fossiles et d&rsquo;optimisation des co-produits afin de r&eacute;duire les impacts Carbone&nbsp; des fili&egrave;res viandes,</strong>&nbsp;Christophe Lapasin, CELENE</li><li><strong>Pr&eacute;sentation des engagements de Responsabilit&eacute; Soci&eacute;tale des Entreprises fran&ccedil;aises de Charcuterie &ndash; Traiteur</strong>&nbsp;(Kit RSE de la FICT), Gilles Nassy, Directeur du P&ocirc;le Viandes et Charcuteries de l&rsquo;IFIP-Institut du porc</li></ul><p><em><strong>Rendez-vous quotidien du Space - Entr&eacute;e libre &ndash; Accueil caf&eacute; d&egrave;s 9H -&nbsp;</strong><strong>Sur inscription</strong></em></p>


Chaque matin, l’actualité technique et économique de la filière porcine sous forme d’interventions et débats pour s’informer et échanger de 9h15 à 10h30 à l’Espace Europe Salle A et à distance.

[Matinales de l'Ifip au Space 2022] actualités économiques, et décarbonation à l'élevage, de l'alimentation, et à l'aval de la filière porcine

<p>Les &eacute;l&egrave;ves des lyc&eacute;es agricoles ont fait leur rentr&eacute;e apr&egrave;s la traditionnelle pause estivale. Les &eacute;tablissements ont ferm&eacute; leurs portes durant ces deux mois d'&eacute;t&eacute; mais pas les exploitations agricoles qui y sont rattach&eacute;es. Bien qu'elles soient un support p&eacute;dagogique tout au long des 10 mois de l'ann&eacute;e scolaire, elles sont avant toute chose des entreprises &agrave; part enti&egrave;re, dont seul le r&eacute;sultat &eacute;conomique assure leur existence.<br><strong>Participer &agrave; la vie des territoires</strong><br>&Agrave; l'exploitation de Rochefort-Montagne, la rentr&eacute;e scolaire est pr&eacute;par&eacute;e d&egrave;s le mois de mai qui pr&eacute;c&egrave;de. Une anticipation n&eacute;cessaire pour permettre &agrave; l'&eacute;levage laitier et ovin de participer aux &eacute;v&egrave;nements phares de l'automne. "Nos &eacute;l&egrave;ves participent au Sommet de l'&Eacute;levage, au concours des Miss Laiti&egrave;res ainsi qu'au concours national de la race Abondance" pr&eacute;cise Alice Chazal. La directrice de l'exploitation organise &eacute;galement "les grands temps forts de l'exploitation tels que les &eacute;chographies ou l'am&eacute;nagement de la nurserie" suivant les jours de pr&eacute;sence des &eacute;l&egrave;ves. L'int&eacute;r&ecirc;t est de leur permettre d'observer et d'assister &agrave; ces moments cl&eacute;s de la vie quotidienne d'un &eacute;levage.<br>Un &eacute;levage loin d'&ecirc;tre exp&eacute;rimental puisqu'il compte 95 ha de prairies permanentes et deux ate-<br>liers : production laiti&egrave;re bovine (35 Prim'Holstein et Abondance) et production allaitante ovine (300 brebis Rava). Depuis janvier 2022, l'exploitation s'est m&ecirc;me enrichie d'un atelier de transformation fromag&egrave;re o&ugrave; il transforme<br>30 000 litres sur les 250 000 litres produits. Ce nouveau support est &agrave; la fois p&eacute;dagogique mais surtout &eacute;conomique. "&Agrave; l'image de toutes les fermes du Puy-de-D&ocirc;me, l'exploitation vit gr&acirc;ce &agrave; ses r&eacute;sultats &eacute;conomiques dont la vente de ses produits. L'atelier de transformation permet de valoriser davantage une partie de notre lait bio."<br><strong>De la ferme au self</strong><br>Les produits &eacute;labor&eacute;s par la ferme de Rochefort-Montagne sont commercialis&eacute;s dans les restaurants collectifs des environs y compris dans celui du lyc&eacute;e.<br>Ainsi, les yaourts, fromages blancs, fromages secs mais aussi de la viande et du lait cru servis au self proviennent de la ferme. "Le d&eacute;veloppement de la vente directe nous paraissait indispensable aujourd'hui o&ugrave; elle est de plus en plus courante. Beaucoup de nos &eacute;l&egrave;ves sont originaires de la zone AOP saint-nectaire o&ugrave; la pratique est tr&egrave;s r&eacute;pandue, nous nous devions de leur fournir des formations en ad&eacute;quation avec leurs besoins."<br>Les &eacute;l&egrave;ves des fili&egrave;res professionnels consacrent trois jours par semaine sur l'exploitation du lyc&eacute;e. Ils sont accompagn&eacute;s par certains de leurs professeurs ainsi que par les salari&eacute;s de la ferme. "Des moments tr&egrave;s enrichissants pour tout le monde" souligne Alice Chazal o&ugrave; chacun d&eacute;couvre d'autres fa&ccedil;ons de travailler.</p>


L'exploitation du lycée agricole de Rochefort-Montagne s'apprête à accueillir les élèves. Contrairement à l'établissement scolaire, elle ne connaît aucune pause estivale dans son activité.

C'est la rentrée à la ferme !

<p>Si le mois de juillet n&rsquo;avait pas apport&eacute; d&rsquo;&eacute;volutions notables sur les diff&eacute;rents march&eacute;s du porc en Europe malgr&eacute; un niveau d&rsquo;offres particuli&egrave;rement faibles, le regain de demande amorc&eacute; au mois d&rsquo;ao&ucirc;t, tant sur les march&eacute;s int&eacute;rieurs qu&rsquo;&agrave; l&rsquo;international, a permis une succession de hausses des cours du porc, les propulsant &agrave; des niveaux rarement &eacute;gal&eacute;s. N&eacute;anmoins, ces niveaux de prix peinent parfois encore &agrave; obtenir de la rentabilit&eacute; tant les co&ucirc;ts de production ont explos&eacute; depuis le d&eacute;but de l&rsquo;ann&eacute;e. Sur le march&eacute; de la viande, en raison de l&rsquo;inflation, les r&eacute;percussions sur les tarifs des pi&egrave;ces sont laborieuses bien que la viande de porc demeure toujours la prot&eacute;ine animale la plus accessible aux consommateurs.</p><p><strong>Au March&eacute; du Porc Breton, le cours du porc enregistre une hausse de 14,2 cents durant le mois d&rsquo;ao&ucirc;t et franchit pour la premi&egrave;re fois le seuil symbolique des 2 euros sans toutefois battre le record historique, &eacute;tabli en ao&ucirc;t 1989 &agrave; 13,66 Francs (2,082 euros).</strong> C&rsquo;est la faiblesse de l&rsquo;offre qui a principalement orient&eacute; le cours &agrave; la hausse puisque l&rsquo;activit&eacute; d&rsquo;abattage sur la zone Uniporc Ouest affiche une baisse de 2% en ao&ucirc;t par rapport &agrave; la m&ecirc;me p&eacute;riode 2021 (sur des bases comparables). De m&ecirc;me, les poids moyens &eacute;voluent toujours sous les poids des ann&eacute;es pr&eacute;c&eacute;dentes avec un plus bas depuis 4 ans &agrave; 93,35 kg en semaine 32.</p><p>A<strong>pr&egrave;s 6 semaines de stabilit&eacute;, le cours a rebondi de 20 cents en Allemagne en 3 semaines cons&eacute;cutives.</strong> Le point de rupture est apparu lorsque les premiers retours de cong&eacute;s ont quelque peu anim&eacute; la demande qui s&rsquo;est confirm&eacute;e avec la reprise du secteur de la transformation permettant, enfin, de valoriser l&rsquo;extr&ecirc;me faiblesse de l&rsquo;offre, illustr&eacute;e par un cheptel en baisse de 10% ! Au 31 ao&ucirc;t, le cours se stabilise &agrave; nouveau sous l&rsquo;effet d&rsquo;une inflation qui complique la r&eacute;percussion des hausses du vif sur le march&eacute; de la viande.</p><p><strong>En Espagne, le cours du porc &agrave; Mercolleida n&rsquo;a pas enregistr&eacute; une seule baisse depuis le d&eacute;but de l&rsquo;ann&eacute;e et depuis la mi-juillet, l&rsquo;&eacute;volution du prix se fait au rythme de quelques milli&egrave;mes</strong>. En effet, le prix espagnol est parmi les plus &eacute;lev&eacute;s en Europe (avec le cours fran&ccedil;ais) ce qui en p&eacute;riode de forte inflation ne facilite pas le commerce. Cependant, les offres sont tellement faibles au vu des poids qui &eacute;voluent 3 kilos sous les r&eacute;f&eacute;rences 2021, que le rapport offre/demande reste favorable &agrave; la production.</p><p><strong>Aux Etats-Unis, le prix du porc a atteint son sommet &agrave; la mi-ao&ucirc;t &agrave; un niveau proche des records de 2014.</strong> Le repli du prix est maintenant engag&eacute; dans un contexte de hausse saisonni&egrave;re de production, toujours inf&eacute;rieure &agrave; 2021.</p><p><strong>En Chine,</strong> Le prix est rest&eacute; relativement stable tout au long du mois d&rsquo;ao&ucirc;t, &eacute;voluant en grande partie sous les 22 CNY. Ce n&rsquo;est qu&rsquo;&agrave; la fin du mois qu&rsquo;une reprise s&rsquo;amorce en r&eacute;ponse &agrave; une demande en augmentation tandis que l&rsquo;offre s&rsquo;est r&eacute;duite cette ann&eacute;e. D&rsquo;autre part, <strong>la Chine a fait face pendant plus de 2 mois &agrave; une s&eacute;cheresse historique dans le sud-ouest du pays qui a impact&eacute; le b&eacute;tail et un tiers des r&eacute;coltes du pays</strong></p><p><a href="https://www.marche-porc-breton.com/extranet/extranetMPB/function/afficher_note.php?nom_fichier=ntm0822.pdf" target="_blank" title="note">LIRE LA SUITE DE LA NOTE DE CONJONCTURE</a></p>


[NOTE DE CONJONCTURE AOUT 2022]

Le cours du porc au MPB enregistre une hausse et franchit pour la première fois le seuil symbolique des 2 euros

<p>Depuis 1999, le Groupe de s&eacute;lection mol&eacute;culaire de l&rsquo;Universit&eacute; de Cordoba (UCO) et l&rsquo;Ifapa ont lanc&eacute; un projet dans le domaine de la s&eacute;lection de l&rsquo;asperge en travaillant avec une vari&eacute;t&eacute; locale de la r&eacute;gion de Grenade : Morado de Huetor. <em><strong>&laquo;&nbsp;C&rsquo;est une vari&eacute;t&eacute; pr&eacute;coce, de couleur variable verte &agrave; violet offrant une qualit&eacute; gustative tr&egrave;s appr&eacute;ci&eacute;e</strong>. Elle est cultiv&eacute;e sur de faibles surfaces par les producteurs de la coop&eacute;rative de Granada&nbsp;&raquo;</em>, explique Roberto Moreno-Pinel, responsable du programme de s&eacute;lection de l&rsquo;Universit&eacute;.</p>

<div class="lireaussi"><strong>A lire aussi :</strong> <a href="https://www.reussir.fr/fruits-legumes/l-asperge-a-la-pointe-de-la-recherche">La recherche dynamise la culture d'asperge</a></div>

<p><em>&laquo;&nbsp;En visant &agrave; &eacute;largir la variabilit&eacute; g&eacute;n&eacute;tique de l&rsquo;esp&egrave;ce, cela nous a prouv&eacute; que cette race locale t&eacute;traplo&iuml;de (4x) avait une origine diff&eacute;rente des cultivars actuels diplo&iuml;des car </em><em>Morado de Huetor</em><em> est un &laquo;&nbsp;hybride intersp&eacute;cifique naturel&nbsp;&raquo; entre l&rsquo;esp&egrave;ce cultiv&eacute;e et le parent sauvage A. maritimus Mill. Malgr&eacute; la barri&egrave;re de niveau de plo&iuml;die diff&eacute;rente (4x et 2x), nous avons &eacute;galement d&eacute;montr&eacute; qu&rsquo;il est <strong>possible de transf&eacute;rer des g&egrave;nes de cet &laquo;&nbsp;hybride naturel&nbsp;&raquo; vers des vari&eacute;t&eacute;s diplo&iuml;des et vice versa&nbsp;&raquo;</strong>,</em> pr&eacute;cise-t-il. Selon le groupe de recherche conduit par Juan Gil, la Morado de Huetor peut &eacute;galement &ecirc;tre utilis&eacute;e comme un pont pour le transfert de g&egrave;nes d&rsquo;esp&egrave;ces sauvages pr&eacute;sentant diff&eacute;rents niveaux de plo&iuml;die (4x, 6x, 12x).</p>

<div class="lireaussi"><strong>A lire aussi :</strong> <a href="https://www.reussir.fr/fruits-legumes/asperge-les-ambitions-de-l-origine-france">Asperge : les ambitions de l&rsquo;origine France</a></div>

<p>Car ces esp&egrave;ces sauvages repr&eacute;sentent une source pr&eacute;cieuse pour les programmes de s&eacute;lection. En effet, il est possible de trouver une r&eacute;sistance ou une tol&eacute;rance aux stress biotiques et abiotiques ainsi que des compos&eacute;s nutraceutiques qui sont en moindre quantit&eacute; ou absents chez les esp&egrave;ces cultiv&eacute;es. <em>&laquo;&nbsp;La disponibilit&eacute; de nouveaux marqueurs mol&eacute;culaires, de cartes g&eacute;n&eacute;tiques et physiques, combin&eacute;es &agrave; des <strong>technologies de g&eacute;notypage rentables et &agrave; haut d&eacute;bit</strong> et au d&eacute;veloppement d&rsquo;outils bioinformatiques am&eacute;lior&eacute;s, ouvrent de nouvelles perspectives pour la compr&eacute;hension biologique d&rsquo;un large &eacute;ventail de caract&egrave;res agronomiques&nbsp;&raquo;, </em>explique Jose Die, Universit&eacute; de Cordoba.</p>



Les travaux d’amélioration génétique menés autour de la variété d'asperge de la région de Grenade Morado de Huetor démontrent qu’il est possible de transférer des gènes entre parents sauvages et asperge cultivée.

Asperge : des transferts de gènes possibles entre variétés sauvages et cultivées

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<p><em>&laquo;&nbsp;Les premi&egrave;res pommes et poires cultiv&eacute;es en Suisse selon la solution sectorielle &laquo;&nbsp;Durabilit&eacute; des fruits&nbsp;&raquo; sont r&eacute;colt&eacute;es cette ann&eacute;e&nbsp;&raquo;</em>, pr&eacute;cise Fruit-Union Suisse (FUS). Cette solution sectorielle nationale comprend neuf objectifs de durabilit&eacute; et pr&egrave;s de <strong>90 mesures dans toutes les dimensions de la durabilit&eacute;</strong>. Elle permet ainsi de tenir compte des exigences accrues des consommateurs, de la soci&eacute;t&eacute;, du march&eacute; et de la politique. Les exigences envers la production sont communes &agrave; toute la Suisse. Les principaux distributeurs soutiennent le programme de mani&egrave;re &eacute;gale.</p>

<div class="lireaussi"><strong>A lire aussi :</strong> <a href="https://www.reussir.fr/fruits-legumes/suisse-les-alliances-legumieres-travaillant-avec-coop-fusionnent" target="_blank">Suisse : les alliances l&eacute;gumi&egrave;res travaillant avec Coop fusionnent</a></div>

<p><strong>Les producteurs re&ccedil;oivent un suppl&eacute;ment de prix de 6 centimes par kilo de fruits &agrave; p&eacute;pins comme indemnit&eacute; pour les charges suppl&eacute;mentaires.</strong> Les premi&egrave;res pommes et poires suisses ont &eacute;t&eacute; r&eacute;colt&eacute;es avec pr&egrave;s de six jours d&rsquo;avance d&egrave;s la mi-ao&ucirc;t. Les cueillettes atteindront leur pic mi-septembre. La FUS pr&eacute;voit 114 500 tonnes de pommes et 18 500 tonnes de poires. En Valais, le rendement par hectare de pommes devrait baisser de 54&nbsp;% par rapport &agrave; 2021 selon les estimations, en cause des conditions m&eacute;t&eacute;o extr&ecirc;mes pendant l&rsquo;&eacute;claircissage.</p>
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Les premiers fruits à pépins cultivés en Suisse selon la solution sectorielle « Durabilité des fruits » sont récoltées cette année.

Suisse : des pommes et poires plus « durables »

<p>En janvier dernier, dans le Jura, la Conf&eacute;d&eacute;ration paysanne, alli&eacute;e au mouvement Les soul&egrave;vements de la Terre, investissait une parcelle de 2 hectares&nbsp;de vigne, laiss&eacute;e &agrave; l&rsquo;abandon par son propri&eacute;taire non agricole et privant<em> &laquo;&nbsp;le retour de jeunes vignerons en devenir qui voudraient s'installer et y faire leur activit&eacute;</em>&nbsp;&raquo;.&nbsp;Le 28 ao&ucirc;t dernier, la brume jurassienne en moins, le soleil varois en plus, les deux organisations troquaient les tenailles pour des s&eacute;cateurs et menait <em>&laquo;&nbsp;une action de vendange militante&nbsp;&raquo;</em>, dans une parcelle du prestigieux Ch&acirc;teau d&rsquo;Esclans, propri&eacute;t&eacute; du groupe LVMH.</p><p>Selon la Conf&rsquo;, la prise du contr&ocirc;le du domaine, puis son agrandissement, se sont op&eacute;r&eacute;s respectivement par le rachat de parts sociales et d&rsquo;un groupement foncier rural, avec l&rsquo;intervention de la Safer par substitution. &laquo;<em>&nbsp;Cette proc&eacute;dure dans laquelle la Safer sert d&rsquo;interm&eacute;diaire entre le vendeur et l&rsquo;acqu&eacute;reur lui permet de pr&eacute;lever une commission importante. Son montant est plus ou moins &eacute;quivalent &agrave; celui des droits de mutation dont l&rsquo;acqu&eacute;reur est exon&eacute;r&eacute; et qui auraient d&ucirc; revenir aux collectivit&eacute;s</em>&nbsp;&raquo;, d&eacute;nonce le syndicat dans un communiqu&eacute;. &laquo;&nbsp;<em>La dynamique d'accaparement en cours dans le Var a des cons&eacute;quences sp&eacute;culatives sur le prix du foncier et sur la vie du territoire&nbsp;</em>&raquo;.</p><aside class="read-also">
    <p class="typography menu-link dark ">&Agrave; voir aussi</p>
    <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/60-ans-56-ha-sans-enfant-la-ferme-elle-n-ira-pas-a-un-agriculteur-qui-a-deja-200-ha" target="_blank" title="">60 ans, 56 ha, sans enfant&nbsp;: &laquo;&nbsp;La ferme, elle n&rsquo;ira pas &agrave; un agriculteur qui a d&eacute;j&agrave; 200 ha&nbsp;&raquo;</a>
</aside>
<h2>Les garde-fous de la loi Sempastous...</h2><p>Pour la Conf&rsquo;, les outils de r&eacute;gulation fonci&egrave;re encadrant le droit de proprie&#769;te&#769; et la liberte&#769; d&rsquo;entreprendre (statut du fermage protecteur pour le locataire, r&eacute;gulation de la proprie&#769;te&#769; par l&rsquo;action des Safer, contr&ocirc;le de la taille des fermes a&#768; travers la politique des structures qui soumet a&#768; autorisation certaines ope&#769;rations) sont en partie inop&eacute;rants.</p><p>Promulgu&eacute;e en dernier 2021, la loi &laquo;&nbsp;Sempastous&nbsp;&raquo; en a corrig&eacute; certaines faiblesses en introduisant deux garde-fous. Les Safer peuvent d&eacute;sormais faire jouer leur droit de pr&eacute;emption d&egrave;s lors qu&rsquo;une vente est sup&eacute;rieure &agrave; 40% des parts de la soci&eacute;t&eacute;. La loi a exempt&eacute; de ce contr&ocirc;le les cessions entre &eacute;poux, partenaires pacs&eacute;s et les cessions intrafamiliales jusqu&rsquo;au quatri&egrave;me degr&eacute; (cousins germains), d&egrave;s lors que ces membres de famille s&rsquo;engagent &agrave; poursuivre l&rsquo;exploitation. Ont aussi &eacute;t&eacute; exempt&eacute;es les transactions entre exploitants associ&eacute;s de longue date. Le second garde-fou r&eacute;side dans la possibilit&eacute; d&rsquo;exercer le droit de pr&eacute;emption lorsque la surface totale d&eacute;tenue apr&egrave;s l&rsquo;acquisition de la soci&eacute;t&eacute; d&eacute;passe un seuil &laquo;&nbsp;d&rsquo;agrandissement significatif&nbsp;&raquo;, fix&eacute; en hectares par le pr&eacute;fet de r&eacute;gion, et compris entre 1,5 fois et 3 fois la surface agricole utile moyenne r&eacute;gionale.</p><h2>... jug&eacute;s insuffisants par la Conf&rsquo;</h2><p>Pour la Conf&rsquo;, le compte n&rsquo;y est pas. En 2021, selon la FNSafer, le nombre de transactions sur le march&eacute; des parts sociales s&rsquo;est &eacute;tabli &agrave; 7 270 contre 103 500 pour le march&eacute; foncier classique. Mais les surfaces concern&eacute;es s&rsquo;&eacute;l&egrave;vent &agrave; 644 500 ha pour le premier march&eacute; contre 467 800 ha pour le second. En outre, les cessions totales de parts ne concernent que 3% du cumul des parts c&eacute;d&eacute;es en 2021 et 42% des transactions, correspondant &agrave; des cessions en faveur d&rsquo;un tiers, seraient tomb&eacute;es sous le coup de la loi &laquo;&nbsp;Sempastous&nbsp;&raquo;, 47% des transactions s&rsquo;op&eacute;rant en intra-familial et 11% entre associ&eacute;s.</p><p>La terre &eacute;tant &laquo;&nbsp;<em>un bien commun</em>&nbsp;&raquo;, la Conf&eacute;d&eacute;ration paysanne demande que lui soit conf&eacute;r&eacute; &laquo;&nbsp;<em>un statut juridique sup&eacute;rieur&nbsp;</em>&raquo;. La future loi d&rsquo;orientation et d&rsquo;avenir, promise par le pr&eacute;sident-candidat &agrave; sa r&eacute;&eacute;lection, confirm&eacute;e par la Premi&egrave;re Ministre &Eacute;lisabeth Borne le 6 juillet dernier dans sa d&eacute;claration de politique g&eacute;n&eacute;rale &agrave; l&rsquo;Assemble nationale, r&eacute;pondra-t-elle aux v&oelig;ux de la Conf&rsquo;&nbsp;? D&eacute;but de r&eacute;ponse dans quelques mois.</p>


Le syndicat use de la désobéissance civile pour dénoncer les phénomènes d’accaparement des terres, alors que les consultations autour du projet de Loi d’orientation et d’avenir agricole doivent démarrer cet automne.

Foncier : la Conf’ met la pression

<p>Geopost/DPDgroup, la branche colis express de La Poste, a acquis de la plateforme de livraison de courses en circuit court Pourdebon.com pour se renforcer dans le commerce en ligne alimentaire, ont annonc&eacute; les deux partenaires dans un communiqu&eacute; du 6 septembre. <em>&laquo;&nbsp;Apr&egrave;s avoir accompagn&eacute; le lancement de la soci&eacute;t&eacute; en 2016 avec une prise de participation minoritaire au capital au travers de Chronopost<strong>, GeoPost/DPDgroup</strong> prend d&eacute;sormais le contr&ocirc;le de Pourdebon.com et <strong>poursuit ainsi son d&eacute;veloppement dans le secteur alimentaire</strong>.&nbsp;&raquo;</em></p>

<p>&nbsp;</p>

<ul><li>Depuis le <strong>lancement de Pourdebon.com en 2016</strong>, GeoPost/DPDgroup d&eacute;tenait, via Chronopost, une participation minoritaire&nbsp;;</li>
	<li><strong>Le 19 juillet 2022, GeoPost/DPDgroup a rachet&eacute; 51,11% du capital de Pourdebon.com, d&eacute;tenus par Webedia</strong>, prenant ainsi le contr&ocirc;le de la startup. GeoPost/DPDgroup d&eacute;tient d&eacute;sormais 100% du capital.</li>
	<li>Nicolas Machard, co-fondateur, reste directeur g&eacute;n&eacute;ral de Pourdebon.com</li>
	<li>Le montant de l'op&eacute;ration n'a pas &eacute;t&eacute; communiqu&eacute;.</li>
</ul><p>&nbsp;</p>

<h2><strong>Un march&eacute; alimentaire en ligne en forte expansion </strong></h2>

<p><em>&laquo;&nbsp;La prise de contr&ocirc;le de Pourdebon.com par GeoPost/DPDgroup est une nouvelle &eacute;tape dans <strong>notre strat&eacute;gie de d&eacute;veloppement sur le march&eacute; du e-commerce alimentaire</strong>, un segment en forte croissance et avec un grand potentiel &raquo;, </em>commente Yves Delmas, directeur g&eacute;n&eacute;ral de GeoPost/DPDgroup.</p>

<p>Les achats alimentaires en ligne ont connu une croissance r&eacute;guli&egrave;re ces derni&egrave;res ann&eacute;es et ont fortement augment&eacute; avec l&rsquo;apparition de la pand&eacute;mie. C&rsquo;est la cat&eacute;gorie de biens dont <strong>la fr&eacute;quence d&rsquo;achat en ligne a le plus augment&eacute; en 2021&nbsp;: +11 points en Europe et +8 points en France par rapport &agrave; 2019</strong>, selon le barom&egrave;tre e-shopper 2021.</p>

<p>De nouvelles tendances et demandes ont &eacute;merg&eacute;&nbsp;: produits bio, plus de transparence, un commerce responsable, circuits courts&hellip;</p>

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<h2><strong>Un rapprochement permettant d&rsquo;accc&eacute;lerer les projets de Pourdebon.com</strong></h2>

<p>Nicolas Machard, directeur g&eacute;n&eacute;ral de Pourdebon.com, pr&eacute;cise : <em>&laquo; Ce rapprochement va permettre &agrave; <strong>Pourdebon.com d'am&eacute;liorer sa notori&eacute;t&eacute;</strong> et de soutenir toujours plus de producteurs. Cela va nous permettre &eacute;galement de d&eacute;velopper <strong>plein de nouvelles fonctionnalit&eacute;s, &agrave; commencer par une plateforme B2B d&eacute;di&eacute;e aux professionnels de la restauration et de l&rsquo;&eacute;picerie.</strong>&nbsp;&raquo;</em></p>

<p>Pourdebon.com est une plateforme qui met en relation les artisans et producteurs fran&ccedil;ais avec les consommateurs pour des produits frais et de proximit&eacute;. Aujourd&rsquo;hui, elle propose 17 000 produits frais de +550 producteurs et artisans fran&ccedil;ais.</p>

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<h2><strong>Pourdebon.com et epicery, &laquo;&nbsp;compl&eacute;mentaires&nbsp;&raquo; en offre</strong></h2>

<p>GeoPost/DPDgroup est l'un des principaux r&eacute;seaux internationaux de livraison de colis. Dans le domaine de la livraison alimentaire, il d&eacute;tient aussi les soci&eacute;t&eacute;s de livraison <strong>Stuart ainsi que SEUR Fr&iacute;o en Espagne, Chronofresh en France et DPD fresh en Belgique</strong>, et d&eacute;sormais la <strong>start-up epicery, depuis septembre 2021</strong>.</p>

<p><em>&laquo;&nbsp;Compl&eacute;mentaires, <strong>les offres propos&eacute;es par Pourdebon.com et epicery peuvent cohabiter</strong> : <strong>epicery permet de digitaliser les commer&ccedil;ants et artisans</strong> de produits alimentaires de centre-ville, et livrer les habitants, quand <strong>Pourdebon.com digitalise les agriculteurs et producteurs locaux</strong> et livre leurs produits frais partout en France&nbsp;&raquo;,</em> pr&eacute;cise GeoPost/DPDgroup.</p>



Statégique dans un contexte de marché de la livraison alimentaire en croissance et à fort potentiel, GeoPost/DPDgroup détient désormais 100% du capital du Pourdebon.com Les deux entreprises précisent également leurs ambitions et leurs projets suite à ce rapprochement.

Pourdebon.com, désormais à 100 % dans le giron de GeoPost

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<p>C&rsquo;est officiel, l&rsquo;index combin&eacute; caprin (ICC) inclura les caract&egrave;res cellules somatiques et fertilit&eacute; &agrave; l&rsquo;IA en 2023. Si le premier est calcul&eacute; et diffus&eacute; depuis 2016, le second est tout juste sorti de l&rsquo;&oelig;uf.<em> &laquo;&nbsp;Cette int&eacute;gration va dans le sens de l&rsquo;&eacute;volution de l&rsquo;ICC depuis sa premi&egrave;re diffusion en 1996, </em>expose Apolline Bailly-Salins de CapG&egrave;nes, l&rsquo;organisme de s&eacute;lection des races caprines en France. <em>Il comprenait au d&eacute;part des composantes sur la production&nbsp;laiti&egrave;re et les taux : dans un premier temps uniquement TP et MP, puis TB et MG. Depuis 10 ans, la morphologie est incluse. Aujourd&rsquo;hui, les &eacute;leveurs nous demandent de prendre en compte des caract&egrave;res plus fonctionnels et de travailler pour am&eacute;liorer la long&eacute;vit&eacute; des ch&egrave;vres. Si ce dernier point est compliqu&eacute; &agrave; s&eacute;lectionner directement, car peu h&eacute;ritable, on peut en revanche travailler plus ou moins facilement sur des caract&egrave;res qui y sont li&eacute;s.&nbsp;&raquo;</em> Et ils sont souvent la cause, directe ou indirecte, de r&eacute;formes telles que les cellules somatiques et la fertilit&eacute; &agrave; l&rsquo;IA.</p>

<div class="lireaussi">Lire aussi : <a href="https://www.reussir.fr/chevre/tous-gagnants-avec-le-progres-genetique" target="_blank">[DOSSIER] : Tous gagnants avec le progr&egrave;s g&eacute;n&eacute;tique en fili&egrave;re caprine</a></div>

<h3>Travailler sur la long&eacute;vit&eacute;</h3>

<p>Concr&egrave;tement, ces deux caract&egrave;res seront int&eacute;gr&eacute;s dans le calcul de l&rsquo;index combin&eacute; caprin, &agrave; c&ocirc;t&eacute; de l&rsquo;index de production (IPC) et de l&rsquo;index morphologique (IMC). <em>&laquo;&nbsp;L&rsquo;objectif &eacute;tait d&rsquo;adopter une formule qui permette de progresser sur les nouveaux crit&egrave;res tout en maintenant le progr&egrave;s sur ce qui se faisait auparavant. Le fait qu&rsquo;ils soient moins h&eacute;ritables que d&rsquo;autres caract&egrave;res, explique le poids relativement important qui leur est accord&eacute;.&nbsp;&raquo;</em></p>

<h3>Des caract&egrave;res peu h&eacute;ritables</h3>

<p>Pour les femelles, tous les index &eacute;l&eacute;mentaires sont diffus&eacute;s sur l&rsquo;inventaire g&eacute;n&eacute;tique en format informatique. Les &eacute;leveurs sauront ainsi si l&rsquo;ICC comprend les index cellules et fertilit&eacute; &agrave; l&rsquo;IA et auront leur valeur &agrave; part. <em>&laquo;&nbsp;Une femelle avec un ICC diffus&eacute; actuellement mais qui n&rsquo;a pas d&rsquo;index fertilit&eacute; propre, car elle n&rsquo;a encore jamais &eacute;t&eacute; ins&eacute;min&eacute;e, aura tout de m&ecirc;me toujours un ICC avec le passage &agrave; la nouvelle formule.&nbsp;&raquo;</em></p>

<p>Pour les m&acirc;les d&rsquo;IA, ils sont tous g&eacute;notyp&eacute;s, ce qui permet d&rsquo;avoir tous leurs index d&egrave;s leur entr&eacute;e au catalogue.<em> &laquo;&nbsp;L&rsquo;index fertilit&eacute; &agrave; l&rsquo;IA va permettre d&rsquo;orienter les accouplements programm&eacute;s et donc am&eacute;liorer &agrave; terme la r&eacute;ussite &agrave; l&rsquo;IA des femelles ins&eacute;min&eacute;es, </em>pr&eacute;cise Apolline Bailly-Salins.<em> Il sera calcul&eacute; uniquement pour les IA en semence congel&eacute;e.&nbsp;&raquo;</em></p>
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<h3>Virginie Cl&eacute;ment, responsable de l&rsquo;&eacute;valuation g&eacute;n&eacute;tique et g&eacute;nomique des caprins laitiers&nbsp;&agrave; l&rsquo;Institut de l&rsquo;&eacute;levage</h3>
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<h2>Progresser sur la long&eacute;vit&eacute; des animaux</h2>

<p>&laquo;&nbsp;L&rsquo;Institut de l&rsquo;&eacute;levage travaille avec CapG&egrave;nes&nbsp;sur l&rsquo;int&eacute;gration de nouveaux caract&egrave;res dans l&rsquo;objectif de s&eacute;lection. Nous simulons l&rsquo;effet sur le progr&egrave;s g&eacute;n&eacute;tique de diff&eacute;rentes pond&eacute;rations dans la formule de l&rsquo;ICC. L&rsquo;objectif est en quelque sorte de &laquo;&nbsp;faire un petit peu de place&nbsp;&raquo; pour de nouveaux caract&egrave;res, sans d&eacute;grader ceux d&eacute;j&agrave; en s&eacute;lection depuis plusieurs ann&eacute;es. C&rsquo;est parfois d&eacute;licat, parce que les caract&egrave;res peuvent &ecirc;tre n&eacute;gativement corr&eacute;l&eacute;s entre eux, comme la production et la morphologie en race Saanen. Tout est une question de r&eacute;glage et de choix pour aboutir &agrave; une formule satisfaisante par race. En d&eacute;cembre dernier, la Commission Innovation, Recherche et D&eacute;veloppement de CapG&egrave;nes&nbsp;s&rsquo;est orient&eacute;e vers un index combin&eacute; caprin qui va permettre de progresser un peu plus sur la long&eacute;vit&eacute;. Une d&eacute;cision importante.&nbsp;&raquo;</p>
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Afin de prendre en compte des critères contribuant à la longévité des carrières des chèvres, les cellules et la fertilité à l’IA feront partie de l’index combiné caprin à compter de début 2023 annonce CapGènes.

Fertilité à l’IA et cellules intégreront l’index combiné caprin début 2023

<p>Pos&eacute; de chaque c&ocirc;t&eacute; sur deux rang&eacute;es de gros roulements &agrave; rouleaux oscillants, le rotor utilise 88 couteaux pendulaires. Il est entra&icirc;n&eacute; par une courroie PowerBand du c&ocirc;t&eacute; gauche de la machine. La longueur de coupe peut modul&eacute;e en continu gr&acirc;ce &agrave; deux contre-couteaux r&eacute;glables dot&eacute;s chacun de 45 couteaux. Les couteaux du rotor et les contre-couteaux sont r&eacute;versibles, ce qui r&eacute;duit consid&eacute;rablement les frais de remplacement li&eacute;s &agrave; l'usure et la consommation de ressources naturelles. Lorsque le broyeur frontal est activ&eacute;, le flux de produit est canalis&eacute; directement vers le rotor via le tasseur d'andains &agrave; rouleaux du pick-up, puis centr&eacute; en direction du rotor de coupe &agrave; l'aide de d&eacute;flecteurs disponibles en deux tailles. Des volets pivotants vers l'avant garantissent une protection efficace contre les projections de pierres.</p><p>Des roues de transport sont disponibles en accessoires de s&eacute;rie. Elles permettent le montage et le d&eacute;montage du broyeur frontal en moins de 20 minutes. Autre avantage de la solution d&eacute;part usine : toutes les pi&egrave;ces d'usure et les pi&egrave;ces rapport&eacute;es du broyeur frontal peuvent &ecirc;tre command&eacute;es via la fili&egrave;re PDR Claas.</p><h2>Entra&icirc;nement hydraulique du rouleau d'alimentation du syst&egrave;me PFS</h2><p>Pr&eacute;sent&eacute;e en 2021, la gamme Quadrant Evolution comprend trois mod&egrave;les de base (4200, 5200 et 5300). &Agrave; compter de l'ann&eacute;e-mod&egrave;le 2023, les Quadrant 5200 et 5300 s'enrichissent d'un entra&icirc;nement hydraulique pour le syst&egrave;me d'alimentation Power Feeding System (PFS), en option. Alors que le r&eacute;gime du pick-up &agrave; 5 rang&eacute;es de dents entra&icirc;n&eacute; des deux c&ocirc;t&eacute;s est maintenu constamment &agrave; 135 tr/min, celui du rouleau d'alimentation du syst&egrave;me PFS peut &ecirc;tre modul&eacute; sur une plage de 200 &agrave; 250 tr/min en fonction des conditions d'utilisation (fourrage d&eacute;licat). Le syst&egrave;me d'entra&icirc;nement hydraulique d&eacute;veloppe un couple maxi. de 1 000 Nm. Il peut &ecirc;tre exploit&eacute; &agrave; r&eacute;gime r&eacute;duit pour l'inversion de mouvement du syst&egrave;me PFS, combin&eacute; au d&eacute;brayage du pick-up, pour faciliter la sortie du produit.</p><p>Les roues de jauge du pick-up &agrave; repliage tout automatique par commande hydraulique constituent une autre nouveaut&eacute;. Celles-ci se positionnent automatiquement &agrave; l'abaissement du pick-up, et s'effacent lorsque le pick-up est relev&eacute;. Avant de prendre la route, le conducteur n'a donc plus &agrave; descendre de son tracteur pour relever et verrouiller les roues de jauge manuellement.</p><h2>Une masse d'inertie sup&eacute;rieure et des pics de charge moins fr&eacute;quents</h2><p>Afin d'augmenter la pression sur le piston et de gommer les pics de charge, notamment dans le cas d'andains irr&eacute;guliers, et, ainsi, de prot&eacute;ger la presse et le tracteur de contraintes trop importantes, la masse du volant d'inertie des mod&egrave;les Quadrant 5200 et 5300 a &eacute;t&eacute; augment&eacute;e respectivement de 21 et 28 %. En raison de la nouvelle architecture &agrave; rayons du volant, la force d'inertie a pu &ecirc;tre suramplifi&eacute;e de 46 et 44 % respectivement. Pour prot&eacute;ger efficacement le syst&egrave;me d'entra&icirc;nement contre les pics de charge dans les situations extr&ecirc;mes, le client peut opter pour une protection contre les pics de charge automatique optimis&eacute;e sous forme de limiteurs de couple &agrave; cames en remplacement de la nouvelle protection &agrave; boulon de cisaillement.</p>


À compter de l'année-modèle 2023, les presses Quadrant 5200 et 5300 pourront être équipées en option départ usine d'un broyeur frontal de marque Müthing. L’entraînement hydraulique du système d'alimentation Power Feeding System (PFS) sera proposé en option.

Le broyeur frontal départ usine sur les Claas Quadrant

<h2>Il devient donc important de mettre en place des strat&eacute;gies d&rsquo;adaptation</h2><p>Plusieurs leviers devront&nbsp; &ecirc;tre actionn&eacute;s, tant&nbsp; au niveau de la gestion&nbsp; de la&nbsp; prairie,&nbsp; du&nbsp; choix des esp&egrave;ces, fertilit&eacute; du sol&hellip;</p><p><strong>1. Adopter une vraie conduite responsable des prairies</strong>&nbsp;pour permettre leur long&eacute;vit&eacute;. C&rsquo;est-&agrave;- dire respecter les hauteurs &laquo; entr&eacute;e-sortie &raquo;, le temps de repousse avant retour dans la parcelle,&hellip; afin de laisser le temps aux plantes de cr&eacute;er leur r&eacute;serve d&rsquo;&eacute;nergie pour mieux repartir (voir ci- dessous). Il est tr&egrave;s important de ne pas d&eacute;couvrir les sols durant la p&eacute;riode estivale pour ne pas d&eacute;truire &agrave; la fois les plantes elles-m&ecirc;mes mais aussi leur environnement. Il est &eacute;galement important de veiller &agrave; &eacute;viter la compaction de surface des sols g&eacute;n&eacute;r&eacute;e par des p&acirc;turages en conditions trop humides notamment sur les jeunes prairies. Ces points faciliteront la reprise et assureront un meilleur potentiel de long&eacute;vit&eacute;.</p><p><strong>2. Choisir des esp&egrave;ces prairiales avec un enracinement suffisamment important</strong>&nbsp;pour explorer le maximum de terre arable et donc une capacit&eacute; plus importante &agrave; absorber l&rsquo;eau du sol. On constate cette ann&eacute;e qu&rsquo;apr&egrave;s les premi&egrave;res pluies, les f&eacute;tuques &eacute;lev&eacute;es reverdissent rapidement, tandis que les RGA repoussent majoritairement gr&acirc;ce aux graines tomb&eacute;es au sol apr&egrave;s maturit&eacute; des &eacute;pis. Ces jeunes plantules vont mettre plus de temps avant d&rsquo;&ecirc;tre productifs et seront vuln&eacute;rables en cas de s&eacute;cheresse prolong&eacute;e en arri&egrave;re-saison (les derni&egrave;res pluies n&rsquo;ont pas &eacute;t&eacute; suffisantes pour r&eacute;humecter suffisamment les sols). Il est donc important d&rsquo;adapter les esp&egrave;ces prairiales au contexte p&eacute;doclimatique. La f&eacute;tuque &eacute;lev&eacute;e est l&rsquo;esp&egrave;ce la mieux adapt&eacute;e &agrave; la majorit&eacute; des conditions : elle est pr&eacute;coce, r&eacute;sistante, productive. Les ray grass devront &ecirc;tre r&eacute;serv&eacute;s pour des terres saines avec de bonnes r&eacute;serves utiles.</p><p><strong>3.&nbsp; Anticiper les p&eacute;riodes s&egrave;ches en conservant suffisamment de biomasse de prairie pour :</strong></p><ul><li>Prot&eacute;ger le sol des fortes chaleurs (pour limiter la temp&eacute;rature du sol, aussi bien en &eacute;t&eacute; qu&rsquo;au printemps, o&ugrave; on a pu assister cette ann&eacute;e &agrave; une s&eacute;cheresse de surface d&egrave;s le mois de mai). Une biomasse de couverture permet de conserver une temp&eacute;rature plus stable (20-24&deg;). Avec une faible biomasse de couverture la&nbsp; temp&eacute;rature&nbsp; peut monter &agrave;&nbsp; 27/28&deg;, donc&nbsp; le sol&nbsp; se d&eacute;shydrate et s&rsquo;en suit une modification physico-chimique du sol. Ceci aura des cons&eacute;quences sur la&nbsp; structuration&nbsp; humique du&nbsp; sol&nbsp; et&nbsp; sur la min&eacute;ralisation&nbsp; (r&eacute;seau de&nbsp; champignons,&nbsp; vie bact&eacute;rienne endommag&eacute;e, alt&eacute;r&eacute;e).</li><li>Limiter l&rsquo;&eacute;vaporation d&rsquo;eau du sol.</li><li>Permettre &agrave; la flore prairiale d&rsquo;&eacute;grainer pour se r&eacute;ensemencer naturellement (&agrave; condition de ne pas avoir de vivaces non d&eacute;sir&eacute;es). Quelques pieds de rumex ne m&eacute;riteront pas un broyage, quant au chardon des champs un broyage localis&eacute; sera n&eacute;cessaire. De plus, le r&eacute;glage des outils de broyage ou de fauche est important, il ne faudrait pas descendre en dessous de 7 cm, la pose d&rsquo;un sabot est utile.</li><li>Une bonne gestion des mati&egrave;res organiques pour favoriser l&rsquo;activit&eacute; biologique des sols et ainsi am&eacute;liorer la structure, ce qui permettra d&rsquo;augmenter la r&eacute;serve utile en eau du sol.</li></ul><p><strong>4. Favoriser le d&eacute;veloppement des mycorhizes</strong>&nbsp;qui en symbiose avec les plantes permettent d&rsquo;am&eacute;liorer la nutrition hydrique et azot&eacute;e. La surface absorbante des hyphes mycorhiziens est environ 10 fois plus efficace que celle des poils absorbants des racines et environ 100 fois plus efficace que celle des racines. Cependant, le labour fr&eacute;quent (m&ecirc;me tous les 4-5 ans) d&eacute;truit ce r&eacute;seau mycorhizien, ce qui nous am&egrave;ne &agrave; r&eacute;fl&eacute;chir aux int&eacute;r&ecirc;ts de faire vieillir ses prairies.</p><p><strong>5. L&rsquo;agroforesterie ou la plantation de haies</strong>&nbsp;apportent de nombreux services :</p><ul><li>Protection du vent qui favorise le dess&egrave;chement du sol et des plantes en cr&eacute;ant un microclimat.</li><li>R&ocirc;le d&rsquo;ascenseur hydrique par leur syst&egrave;me racinaire.</li><li>C&rsquo;est surtout une protection ombro-thermique qui r&eacute;gule la temp&eacute;rature et l&rsquo;hygrom&eacute;trie. Cela fonctionne si les parcelles sont &lt; 3 ha et avec un r&eacute;seau d&rsquo;arbres dense.</li></ul><p>En situation extr&ecirc;me les erreurs de gestion ne pardonnent pas. C&rsquo;est le moment apr&egrave;s un &eacute;t&eacute; comme celui-ci de faire le point sur les leviers que chacun doit actionner pour obtenir une prairie productive, r&eacute;sistante et p&eacute;renne, et permettra &eacute;galement de limiter les co&ucirc;ts de renouvellement. Avec le semis sous couvert il est possible d&rsquo;attendre pour mieux cerner l&rsquo;impact des d&eacute;g&acirc;ts et &agrave; minima travailler les sols dans des conditions plus favorables.</p><p>La valorisation des prairies est plus que d&rsquo;actualit&eacute; (recherche d&rsquo;autonomie prot&eacute;ique, diminution des co&ucirc;ts, &hellip;) mais pour cela il est indispensable d&rsquo;avoir des infrastructures toujours pr&ecirc;tes (chemins, cl&ocirc;tures, &hellip;) pour pouvoir saisir toutes les opportunit&eacute;s quelle que soit la saison.</p>


Un enjeu d'adaptation devient inévitable pour faire face aux aléas climatiques qui sont de plus en plus fréquents (épisodes de sécheresse, de chaleur, des pluies d'orage, des incendies,...)

Sécheresse 2022 : développer des prairies plus résilientes

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<h3>Agro 01</h3>
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<h2>Plus de persistance de ponte</h2>

<p>Partenaire des fafeurs, Agro 01 propose des&nbsp;solutions pour allonger&nbsp;les p&eacute;riodes de ponte, face au contexte de prix et de disponibilit&eacute; de poulettes. Cela passe par une attention particuli&egrave;re &agrave; la pr&eacute;paration des poulettes (optimisation de l&rsquo;itin&eacute;raire de croissance et de la min&eacute;ralisation) et l&rsquo;accompagnement des poules &acirc;g&eacute;es, notamment avec&nbsp;sa sp&eacute;cialit&eacute; naturelle Perfegg agissant sur le risque de diab&egrave;te.</p>

<div class="note">Hall 5, stand C61</div>

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<h3 class="note"><strong>Altilis Nutrition animale</strong></h3>
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<p><strong>Altilis Nutrition animale</strong> pr&eacute;sente de nouvelles solutions en alimentation bio et souligne l&rsquo;int&eacute;r&ecirc;t des enzymes Danisco sur la valorisation des mati&egrave;res premi&egrave;res, dont&nbsp;la phytase Axtra Phy Gold, bient&ocirc;t disponible en France.</p>

<div class="note">Hall 9, stand C57</div>

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<h2 class="note">Bioarmor</h2>
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<p><strong>Bioarmor, filiale du groupe Kersia,</strong> propose Vitazen plus, un aliment compl&eacute;mentaire liquide en formule concentr&eacute;e. Il est distribu&eacute; dans l&rsquo;eau de boisson en pr&eacute;ventif pour accompagner les volailles lors des p&eacute;riodes de stress (enl&egrave;vement, transfert, interventions) et de nervosit&eacute; (&eacute;pisode de picage).</p>

<div class="note">Hall 9, stands A 28 et B 32</div>

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<figure><img alt="" height="228" src="https://www.reussir.fr/volailles/sites/aviculture/files/_RAV276_SPACE_NUTRITION_BIODEVAS_NIV3.jpg" width="163" /><figcaption>Icen existe en deux pr&eacute;sentations pour une utilisation dans l&rsquo;eau de boisson ou l&rsquo;aliment. &copy; Biodevas</figcaption></figure><h2><strong>Biodevas</strong></h2>
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<h2>Icen contribue &agrave; la d&eacute;m&eacute;dication</h2>

<p>Produit &agrave; base de plantes, Icen a montr&eacute; lors d&rsquo;essais son efficacit&eacute;&nbsp;et son m&eacute;canisme d&rsquo;action unique sur la probl&eacute;matique de r&eacute;duction des traitements antibiotiques, associ&eacute;s &agrave; la bact&eacute;rie <em>Enterococcus cecorum</em>. Les premiers retours sur la pr&eacute;vention d&rsquo;<em>Escherichia coli</em> montrent aussi son int&eacute;r&ecirc;t en aliment de d&eacute;marrage.</p>

<div class="note">Hall 5, stand D93</div>

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<h3>CCPA</h3>
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<h2>Optimiser la croissance et la ponte</h2>

<p>Feedstim Poultry est une solution naturelle brevet&eacute;e pour soutenir les performances et le confort des animaux en conditions de stress. Elle induit une baisse de 0,04 de l&rsquo;indice de consommation du poulet et une hausse du taux de ponte (3,6&nbsp;%) et de l&rsquo;&eacute;closabilit&eacute; (2,5&nbsp;%) chez la pondeuse et les reproducteurs.</p>

<div class="note">Hall 9, stand A19</div>

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<figure><img alt="" height="364" src="https://www.reussir.fr/volailles/sites/aviculture/files/_RAV276_SPACE_NUTRITION_FEEDIA_B.jpg" width="251" /><figcaption>L&rsquo;outil Wefeed vise &agrave; valoriser les donn&eacute;es techniques et am&eacute;liorer la comp&eacute;titivit&eacute; des fili&egrave;res. &copy; Feedia by Techna</figcaption></figure><h2><strong>Feedia by Techna</strong></h2>

<p><strong>Feedia by Techna</strong> pr&eacute;sente son outil d&rsquo;aide &agrave; la d&eacute;cision Wefeed volaille, destin&eacute; aux organisations de production et fabricants d&rsquo;aliment. Visant &agrave; valoriser les donn&eacute;es techniques et am&eacute;liorer la comp&eacute;titivit&eacute; des fili&egrave;res, il&nbsp;s&rsquo;articule autour de quatre modules : &laquo;&nbsp;&Eacute;levage&nbsp;&raquo; (fiche lot num&eacute;rique), &laquo;&nbsp;Technicien&nbsp;&raquo; (compte rendu de visite et construction de plans d&rsquo;actions), &laquo;&nbsp;Pilotage&nbsp;&raquo; (&eacute;tude d&rsquo;un changement nutritionnel ou autre), &laquo;&nbsp;Strat&eacute;gie&nbsp;&raquo; pour simuler diff&eacute;rentes strat&eacute;gies.</p>

<p>Hall 5, stand A24</p>

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<h3>DSM</h3>
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<h2>Au c&oelig;ur de la durabilit&eacute;</h2>

<p>Pour soutenir les d&eacute;cisions d&rsquo;achat et &eacute;valuer la durabilit&eacute; des productions, DSM a d&eacute;velopp&eacute; 21 d&eacute;clarations environnementales produits, informant de mani&egrave;re transparente sur l&rsquo;empreinte environnementale (par exemple l&rsquo;impact des pigments Carophyll rouge et jaune sur l&rsquo;empreinte carbone,&nbsp;etc.). DSM lance aussi son service Systell de calcul de l&rsquo;empreinte environnementale des &eacute;levages, outil de diagnostic et de simulation de strat&eacute;gies.</p>

<div class="note">Hall 9, stand D79</div>

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<h3>MG<sub>2</sub>Mix</h3>
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<h2>Des solutions &eacute;prouv&eacute;es en &eacute;levage</h2>

<p>MG<sub>2</sub>Mix d&eacute;veloppe des solutions naturelles performantes en s&rsquo;appuyant&nbsp;sur ses 4 fermes de recherche, dont la nouvelle ferme volailles avec acc&egrave;s au parcours ext&eacute;rieur. Elle pr&eacute;sente trois solutions : H&eacute;patol pour am&eacute;liorer le statut h&eacute;patique de la poule, Optifresh pour l&rsquo;imiter l&rsquo;impact du stress thermique et Organicox, une solution naturelle pour g&eacute;rer le risque coccidiose, en poulet &agrave; croissance rapide et interm&eacute;diaire.</p>

<div class="note">Hall 9, stand A20</div>

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<h3>MiXscience</h3>
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<h2>Contre le risque coccidiose</h2>

<p>La&nbsp;nouvelle solution Coverost Switch contribue&nbsp;&agrave; lutter contre le risque coccidiose et a d&eacute;montr&eacute; son int&eacute;r&ecirc;t en poulet et en poulette. MiXscience&nbsp;pr&eacute;sente aussi Lumigard TCB, pour contr&ocirc;ler la flore intestinale, le programme Nolivol pour s&eacute;curiser le d&eacute;marrage, le bloc &agrave; picorer Picozen et ses balles de luzerne ultracompress&eacute;es longue dur&eacute;e (48 balles suffisent pour 6 000 poules).</p>

<div class="note">Hall 9, stand C60</div>

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<h2 class="note"><strong>Naturivia</strong></h2>
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<p><strong>Naturivia</strong> innove avec D3-Like, une solution naturelle analogue de la vitamine D3, 100&nbsp;% fabriqu&eacute;e en France. Issue du raisin blanc et bient&ocirc;t certifi&eacute;e bio, elle est totalement stable dans le temps et tol&egrave;re les m&eacute;langes d&rsquo;acides, liquides notamment, avec du calcium et du phosphore.</p>

<div class="note">Hall 4, stand A37</div>

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<figure><img alt="" height="318" src="https://www.reussir.fr/volailles/sites/aviculture/files/_RAV276_SPACE_NUTRITION_NATUAL_NIV3.jpg" width="318" /><figcaption>Stressitral est disponible en bidons de 5 ou 25 litres. &copy; Natual by Techna</figcaption></figure><h2>Natual by Techna</h2>
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<h2>Soutenir l&rsquo;efficacit&eacute; vaccinale</h2>

<p>Stressitral vise &agrave; soutenir les prises vaccinales et &agrave; mieux g&eacute;rer les p&eacute;riodes &agrave; risque des volailles. Cette solution liquide &agrave; base de vitamines, d&rsquo;acides amin&eacute;s et de plantes a montr&eacute; une am&eacute;lioration de l&rsquo;efficacit&eacute; vaccinale &agrave; travers la mesure des titres anticorps. Elle est distribu&eacute;e 3 &agrave; 5 jours &agrave; 1&nbsp;ml/l et existe en version bio.</p>

<div class="note">Hall 1, stand C19</div>

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<h3>Provimi</h3>
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<h2>Agir sur le microbiote</h2>

<p>Intella Dual est le seul produit combinant des huiles essentielles et des postbiotiques. Ces derniers acc&eacute;l&egrave;rent la maturation du microbiote et orientent de fa&ccedil;on b&eacute;n&eacute;fique la microflore intestinale. Sept essais en poulet ont montr&eacute; une am&eacute;lioration du poids vif (+3&nbsp;%), de l&rsquo;indice de consommation (- 2,5&nbsp;%) et du rendement filet (+&nbsp;6 points).</p>

<div class="note">Hall 8, stand B25</div>

<div class="note">&nbsp;</div>

<h2 class="note"><strong>Vetagri </strong></h2>
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<p><strong>Vetagri </strong>accompagne les &eacute;leveurs fafeurs en d&eacute;ployant les nouvelles gammes min&eacute;rales Zyme et Phyt, &agrave; base de phytases et de xylanases. Elle pr&eacute;sente aussi ses blocs &agrave; picorer Gallizen (poule et dinde) et Gallisweet (poulet et gibier) en conventionnel ou bio.</p>

<div class="note">Hall 9, stand A24</div>

<div class="note">&nbsp;</div>

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<div class="surtitre">
<h3>Wisium</h3>
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<h2>Contr&ocirc;le du co&ucirc;t de production</h2>

<p>La d&eacute;marche Eurotonne Control&nbsp;vise &agrave; aider les fabricants d&rsquo;aliment &agrave; conserver leur comp&eacute;titivit&eacute; tout en assurant les performances en &eacute;levage. Elle repose sur trois piliers : le contr&ocirc;le du co&ucirc;t de la formule aliment en ajustant l&rsquo;apport d&rsquo;&eacute;nergie et de prot&eacute;ine, l&rsquo;&eacute;pargne de mati&egrave;res premi&egrave;res en s&rsquo;appuyant sur la matrice Wisium et le soutien des performances zootechniques, via sa gamme de sp&eacute;cialit&eacute;s (dont Effi<sup> +</sup>&nbsp;sur l&rsquo;indice de consommation et le rendement, Perfegg sur la production d&rsquo;&oelig;ufs). Elle propose aussi les solutions naturelles Oilis et We-Mum pour accompagner la d&eacute;m&eacute;dication.</p>

<div class="note">Hall 5, stand C61</div>
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Pour les spécialistes de la nutrition, l’enjeu est de proposer des solutions répondant aux attentes sociétales de bien-être et de lutte contre l’antibiorésistance, tout en soutenant les performances technico-économiques dans un contexte inflationniste de coût des matières premières. Une sélection de nouveautés nutritionnelles proposées par les exposants du Space.

[Spécial SPACE] Des solutions nutritionnelles autour de la démédication

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<p>Un diagnostic pour &eacute;valuer la vuln&eacute;rabilit&eacute; de son exploitation face au changement climatique. C&rsquo;est ce que vont proposer les chambres d&rsquo;agriculture aux exploitations agricoles dans les ann&eacute;es &agrave; venir. <em>&laquo;&nbsp;Nous souhaitons mettre en &oelig;uvre un plan massif, mais individualis&eacute;, pour accompagner les exploitations dans leur transition&nbsp;&raquo;</em>, indique S&eacute;bastien Windsor, pr&eacute;sident de Chambres d&rsquo;agriculture de France lors de la conf&eacute;rence de presse de rentr&eacute;e de l&rsquo;institution le 8&nbsp;septembre &agrave; Paris. Ce projet intervient dans un contexte de <em>&laquo;&nbsp;s&eacute;cheresse d&rsquo;une intensit&eacute; historique&nbsp;&raquo;</em>, a-t-il &eacute;t&eacute; rappel&eacute; en pr&eacute;ambule de la conf&eacute;rence.</p>

<div class="lireaussi"><strong>Lire aussi&nbsp;|</strong> <a href="https://www.reussir.fr/grandes-cultures/changement-climatique-ce-que-les-grandes-cultures-devront-affronter-dici-30-ans" target="_blank">Changement climatique&nbsp;: ce que les grandes cultures devront affronter ces 30 prochaines ann&eacute;es</a></div>

<p>Le diagnostic sera pr&eacute;c&eacute;d&eacute; d&rsquo;une sensibilisation des agriculteurs sur les projections climatiques et ses cons&eacute;quences pour l&rsquo;agriculture &agrave; horizon 2030-2050. Pour ce faire, le r&eacute;seau des chambres s&rsquo;appuiera sur le travail men&eacute; en la mati&egrave;re depuis plusieurs ann&eacute;es. Notamment les diagnostics territoriaux r&eacute;alis&eacute;s dans le cadre du Varenne de l&rsquo;eau et qui ont permis d&rsquo;identifier les points de vuln&eacute;rabilit&eacute; et les opportunit&eacute;s pour les diff&eacute;rentes productions.</p>

<h3>Phase de test aupr&egrave;s de 1&nbsp;000 exploitations</h3>

<p>Les chambres souhaitent donc maintenant se pencher sur les exploitations agricoles en &eacute;valuant leur niveau de vuln&eacute;rabilit&eacute; face au changement climatique et les accompagner pour les rendre plus r&eacute;silientes. Une phase de test est pr&eacute;vue en 2023 avec la r&eacute;alisation de diagnostics aupr&egrave;s de 1&nbsp;000 exploitations. En 2024, l&rsquo;objectif est de monter en puissance avec 5&nbsp;000&nbsp;&agrave; 10&nbsp;000 exploitations diagnostiqu&eacute;es. <em>&laquo;&nbsp;D&rsquo;ici 2030, nous avons l&rsquo;ambition d&rsquo;accompagner 100&nbsp;000 exploitations&nbsp;&raquo;</em>, lance S&eacute;bastien Windsor.</p>

<p>Les chambres ne comptent pas s&rsquo;arr&ecirc;ter au diagnostic. <em>&laquo;&nbsp;Le troisi&egrave;me volet du plan consiste &agrave; apporter un panel de solutions adapt&eacute;es aux diff&eacute;rents territoires&nbsp;&raquo;</em>, pr&eacute;cise-t-il.</p>

<div class="lireaussi"><strong>Lire aussi |</strong> <a href="https://www.reussir.fr/grandes-cultures/grandes-cultures-votre-exploitation-est-elle-armee-face-au-changement-climatique" target="_blank">Grandes cultures&nbsp;: votre exploitation est-elle arm&eacute;e face au changement climatique&nbsp;?</a></div>

<p>La question du financement de ces diagnostics et des solutions &agrave; mettre en &oelig;uvre reste en suspens. Les chambres pr&eacute;cisent tout de m&ecirc;me qu&rsquo;elles accompagneront les agriculteurs pour mobiliser les aides existantes. <em>&laquo;&nbsp;Actuellement, ce sont surtout les aides aux investissements mat&eacute;riels qui sont propos&eacute;es</em>, indique S&eacute;bastien Windsor. <em>Les agriculteurs ont aussi besoin d&rsquo;aides financi&egrave;res sur des aspects plus immat&eacute;riels comme de la formation&nbsp;&raquo;</em>.</p>
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<h2>L&rsquo;att&eacute;nuation, l&rsquo;autre volet du changement climatique pour l&rsquo;agriculture</h2>

<p>Au-del&agrave; ce volet d&rsquo;adaptation, les chambres d&rsquo;agriculture r&eacute;affirment leur engagement dans l&rsquo;att&eacute;nuation du r&eacute;chauffement climatique. <em>&laquo;&nbsp;L&rsquo;agriculture est pourvoyeuse de solutions&nbsp;&raquo;</em>, mart&egrave;le Olivier Dauger, pr&eacute;sident de la chambre d&rsquo;agriculture des Hauts-de-France et membre du bureau national, en charge des questions de climat. Et de rappeler les atouts du secteur en mati&egrave;re de stockage du carbone ou de production d&rsquo;&eacute;nergies renouvelables. Il souligne aussi l&rsquo;importance <em>&laquo;&nbsp;de trouver un &eacute;quilibre entre ce qui est bon de mettre en &oelig;uvre pour la soci&eacute;t&eacute; et le co&ucirc;t pour l&rsquo;agriculteur.&nbsp;&raquo;</em></p>
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Chambres d’agriculture de France (ex-APCA) a présenté, ce 8 septembre à Paris, un plan d’accompagnement des agriculteurs pour s’adapter au changement climatique : sensibilisation, diagnostics et solutions sont au menu.

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