Easyconnect est un syst&egrave;me de transfert ferm&eacute; (STF) qui facilite le remplissage du pulv&eacute;risateur tout en permettant de gagner en rapidit&eacute; et en s&eacute;curit&eacute; par rapport aux m&eacute;thodes traditionnelles. &laquo;&nbsp;En collaboration avec Adama, BASF, Belchim Crop Protection, Certis Europe, Corteva Agriscience, FMC Corporation, Nufarm, Rovensa Group et Syngenta, Bayer participera au lancement du syst&egrave;me easyconnect sur le march&eacute;, qui offrira une solution rapide, s&ucirc;re et pratique aux agriculteurs et op&eacute;rateurs europ&eacute;ens&nbsp;&raquo;, indique la firme dans un communiqu&eacute;.Le syst&egrave;me easyconnect se compose de deux &eacute;l&eacute;ments : un bouchon sp&eacute;cifique, d&eacute;j&agrave; install&eacute; sur les bidons, et un connecteur. Ensemble, ces &eacute;l&eacute;ments permettent de remplir le pulv&eacute;risateur rapidement et sans effort, tout en r&eacute;duisant de fa&ccedil;on significative l&rsquo;exposition de l&rsquo;op&eacute;rateur et le risque d&rsquo;&eacute;coulement et d&rsquo;&eacute;claboussure du produit.<aside class="read-also">
 &Agrave; voir aussi
 <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/easyconnect-ou-le-bidon-sans-contact" target="_blank" title="">[Vid&eacute;o] Easyconnect ou le bidon sans contact</a>
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Le lancement sur le march&eacute; d&rsquo;easyconnect est pr&eacute;vu en 2022 au Danemark et aux Pays-Bas, puis en 2023, en France, en Allemagne et au Royaume-Uni. D&rsquo;autres pays devraient suivre.

Bayer annonce rejoindre le groupe interprofessionnel engagé dans le développement du système de transfert fermé easyconnect permettant d’accélérer et de sécuriser le remplissage des pulvérisateurs.

Bayer rejoint l’initiative easyconnect du « bidon sans contact »

Ce rendez-vous r&eacute;unira pr&egrave;s de 400 animaux et marquera l&rsquo;ouverture de la nouvelle saison des concours reconnus par le HBC. Il accueillera, dans le respect des contraintes sanitaires, des &eacute;leveurs venus de toute la France pour exposer les plus beaux sp&eacute;cimens de la Race. Reconnu par les acteurs de l&rsquo;&eacute;levage Charolais comme une vitrine exceptionnelle de la Race Charolaise, ce rendez-vous est devenu incontournable pour l&rsquo;animation de toute une fili&egrave;re. C&rsquo;est &agrave; l&rsquo;occasion de ce grand rendez-vous, que le HBC lancera la modernisation des concours veaux m&acirc;les.Renforcer l&rsquo;attractivit&eacute; de ces temps forts pour la race charolaise et ses &eacute;leveursChaque ann&eacute;e, plus d&rsquo;une trentaine de concours charolais reconnus par le HBC sont organis&eacute;s dans toute la France. Avec la volont&eacute; de renforcer l&rsquo;attractivit&eacute; de ces temps forts, le Conseil d&rsquo;Administration HBC a souhait&eacute; poursuivre la modernisation sur cet outil racial et a cr&eacute;&eacute; d&eacute;but 2021 un groupe de travail.&laquo; Les concours sont une vitrine exceptionnelle pour la promotion du travail r&eacute;alis&eacute; par les s&eacute;lectionneurs pour r&eacute;pondre aux attentes des &eacute;leveurs et de la fili&egrave;re. Dans un contexte &eacute;conomique difficile, &agrave; travers cette modernisation, nous souhaitons apporter une nouvelle dynamique et renforcer l&rsquo;attractivit&eacute; de ces manifestations en d&eacute;montrant l&rsquo;&eacute;volution de la race charolaise en phase avec les attentes des march&eacute;s.&nbsp; Cette modernisation a pour objectif de valoriser toute la modernit&eacute; de notre race et de ses mod&egrave;les, dans lesquels tous les &eacute;leveurs peuvent se retrouver en tant qu&rsquo;exposants, acheteurs ou visiteurs de concours &raquo; souligne S&eacute;bastien Cluzel, pr&eacute;sident du HBC.Une modernisation en phase avec la strat&eacute;gie du Herd Book Charolais Florence Marquis, directrice du HBC revient sur les missions premi&egrave;res : &laquo; Le HBC est une association 100 % charolaise, au service de la g&eacute;n&eacute;tique de ses adh&eacute;rents. Nous permettons la valorisation d&rsquo;une charolaise rentable et facile &agrave; &eacute;lever au service des &eacute;leveurs et des territoires. Nous assurons la promotion de la modernit&eacute; et de la diversit&eacute; des mod&egrave;les charolais propos&eacute;s par nos adh&eacute;rents en phase avec les attentes des &eacute;leveurs et des march&eacute;s et, enfin, nous apportons de la valeur ajout&eacute;e aux adh&eacute;rents en renfor&ccedil;ant la visibilit&eacute; de leur g&eacute;n&eacute;tique &raquo;.Les concours, un outil de promotion essentiel Les concours sont une vitrine exceptionnelle du savoir-faire des adh&eacute;rents et de leur capacit&eacute; &agrave; r&eacute;pondre aux besoins des &eacute;leveurs, de la fili&egrave;re et des territoires. &Agrave; travers une communication sp&eacute;cifique sur l&rsquo;ensemble de ses outils, le HC offre une importante visibilit&eacute; au travail de s&eacute;lection r&eacute;alis&eacute; par ses adh&eacute;rents. &laquo; Notre site internet, charolaise.fr enregistre 60 000 visiteurs par an et 600 000 pages vues. La page Facebook compte 8 848 abonn&eacute;s et 175 000 utilisateurs atteints. Nous avons &eacute;galement une chaine Youtube &agrave; laquelle 442 personnes se sont abonn&eacute;es dont 203 rien qu&rsquo;au cours de l&rsquo;ann&eacute;e 2020. Au total, ce sont 20 367 vues qui ont &eacute;t&eacute; comptabilis&eacute;es &raquo;, pr&eacute;cise Catherine Locatelli, responsable de la communication du HBC.Les concours, v&eacute;ritable vitrine&nbsp;de la diversit&eacute; charolaise L&rsquo;&eacute;tude Normabev, qui a port&eacute; sur l&rsquo;analyse des donn&eacute;es d&rsquo;abattage d&rsquo;animaux charolais sur une p&eacute;riode de dix ann&eacute;es, a d&eacute;montr&eacute; que la race charolaise n&rsquo;est pas un mod&egrave;le unique comme l&rsquo;explique Florence Marquis : &laquo; elle s&rsquo;adapte selon les besoins des bassins de production et, selon les r&eacute;gions, elle se d&eacute;cline en plusieurs mod&egrave;les &raquo; et pr&eacute;cise que &laquo; 72 % des animaux abattus, dont le p&egrave;re &eacute;tait connu, &eacute;taient inscrits au livre g&eacute;n&eacute;alogique HBC/Charolais France &raquo;.Une r&eacute;flexion coll&eacute;giale et collaborativeAvec la volont&eacute; de renforcer le rayonnement de ces temps forts, le Conseil d&rsquo;administration HBC a souhait&eacute; poursuivre la modernisation sur cet outil racial et a cr&eacute;&eacute; d&eacute;but 2021 un groupe de travail. S&eacute;bastien Cluzel d&eacute;taille la d&eacute;marche : &laquo; Il est men&eacute; par Hugo Retailleau et Daniel Micaud afin d&rsquo;engager une r&eacute;flexion bas&eacute;e sur un travail collaboratif et coll&eacute;gial en impliquant tous les acteurs li&eacute;s &agrave; l&rsquo;organisation des concours. A savoir, le pr&eacute;sident de la f&eacute;d&eacute;ration des concours, les organisateurs du concours de Charolles ainsi qu&rsquo;une partie des membres d&rsquo;un Conseil d&rsquo;administration et de l&rsquo;&eacute;quipe administrative et technique du HBC &raquo;.Une nouvelle pr&eacute;sentation en 2021 &laquo; Nous voulons offrir aux acheteurs une lecture simplifi&eacute;e de l&rsquo;offre g&eacute;n&eacute;tique &raquo; : c&rsquo;est par ses mots que S&eacute;bastien Cluzel annonce cette nouvelle pr&eacute;sentation bas&eacute;e sur la segmentation.Plus qu&rsquo;une modernisation, cette nouvelle vitrine est avant tout un projet commercial et racial qui permettra commercialement d&rsquo;identifier plus facilement les reproducteurs afin de favoriser les ventes mais aussi, d&rsquo;un point de vue g&eacute;n&eacute;tique, de permettre une meilleure utilisation et une orientation en &eacute;levages des reproducteurs et ouvrir une voie de progression g&eacute;n&eacute;tique pour chaque utilisateur.La cr&eacute;ation de trois cat&eacute;gories Bas&eacute;e sur une segmentation in&eacute;dite, cette nouvelle pr&eacute;sentation s&rsquo;appuie sur la cr&eacute;ation de trois cat&eacute;gories mettant en avant les qualit&eacute;s recherch&eacute;es pour les &eacute;leveurs et la fili&egrave;re. La premi&egrave;re, historique, &laquo; Grands raceurs &raquo;, puis, la seconde &laquo; S&eacute;lection bien na&icirc;tre &raquo; avec des crit&egrave;res de s&eacute;lection Ifnais (p&egrave;re + m&egrave;re) / &ge; &agrave; 95 et un ISU &ge; &agrave; 100, et une troisi&egrave;me &laquo; troph&eacute;e viande &raquo;, en test pour la saison 2021 uniquement au concours de Charolles.S&eacute;bastien Cluzel insistant sur le fait que &laquo; la cr&eacute;ation de ces cat&eacute;gories permet de valoriser toute la modernit&eacute; de notre race et de ses mod&egrave;les, dans lesquels tous les &eacute;leveurs peuvent se retrouver en tant qu&rsquo;exposants, acheteurs ou visiteurs de concours &raquo;.La promotion de ces nouvelles cat&eacute;gories jusqu&rsquo;en super finale Afin d&rsquo;assurer la promotion de cette vitrine jusqu&rsquo;en finale, trois supers prix d&rsquo;honneur seront remis en 2021 &agrave; la finale de Moulins : &laquo; grand raceurs veaux de l&rsquo;ann&eacute;e &raquo;, &laquo; grands raceurs veaux d&rsquo;automne &raquo; et &laquo; s&eacute;lection bien na&icirc;tre veaux de l&rsquo;ann&eacute;e &raquo;.Une vente aux ench&egrave;res avec une offre g&eacute;n&eacute;tique diversifi&eacute;e, de qualit&eacute; et un mode de recrutement in&eacute;dit Les pr&eacute;cisions de Florence Marquis : &laquo; Trente veaux ont &eacute;t&eacute; s&eacute;lectionn&eacute;s dans toute la France sur les meilleurs crit&egrave;res de la voie maternelle. Avec un choix bas&eacute; &agrave; la fois sur les qualit&eacute;s maternelles, avec des m&egrave;res class&eacute;es parmi les meilleures vaches au classement Ecow de leur cheptel et avec des Isu sup&eacute;rieurs &agrave; la moyenne. C&ocirc;t&eacute; paternel, les veaux s&eacute;lectionn&eacute;s sont issus de taureaux &agrave; forts potentiels avec des productions remarquables &raquo;.Un nouveau mode de recrutement en ferme a &eacute;t&eacute; mis en place. Il est effectu&eacute; en deux &eacute;tapes avec une pr&eacute;s&eacute;lection r&eacute;alis&eacute;e par l&rsquo;ensemble des experts raciaux HBC avec plus de 80 veaux dans plus de 70 &eacute;levages de la France enti&egrave;re et, dans un second temps, un comit&eacute; de s&eacute;lection a op&eacute;r&eacute; un nouveau tri des veaux pour s&eacute;lectionner les trente meilleurs parmi tous les candidats. &laquo; Un niveau d&rsquo;exigence accru pour un cru 2021 plein de promesse &raquo; Souligne S&eacute;bastien Cluzel.Une vente accessible &agrave; distance dont Catherine Locatelli pr&eacute;cise les modalit&eacute;s d&rsquo;acc&egrave;s : &laquo; Fort du succ&egrave;s des pr&eacute;c&eacute;dentes &eacute;ditions de ventes en ligne, le dispositif Sicafome Live est &agrave; nouveau mis en place pour permettre aux acheteurs de miser en ligne depuis chez eux. Un syst&egrave;me s&eacute;curis&eacute; pour ench&eacute;rir en toute tranquillit&eacute;. Pour cela, il suffit de s&rsquo;inscrire au minimum 48 heures avant le d&eacute;but de la vente &raquo;.&nbsp;

Les 9 et 10 septembre prochains, c’est en Bourgogne-Franche-Comté, au cœur du berceau de la race charolaise, que le Herd Book Charolais organisera à Magny-Cours (58), les Concours Nationaux Adultes et Veaux et la Vente Nationale aux enchères.

Le  Herd Book Charolais engage la modernisation  des concours de veaux mâles

Jusque fin juin 2021, les cours du porc se sont redress&eacute;s fortement, atteignant 1,72&euro;/carcasse &agrave; leur plus haut niveau. &laquo;&nbsp;En juin, les exportations europ&eacute;ennes de viande, graisses et abats porcins vers la Chine ont recul&eacute; de 25,6% sur un an, accroissant les disponibilit&eacute;s sur le march&eacute; europ&eacute;en&nbsp;&raquo;, indique le service statistique du minist&egrave;re de l&rsquo;Agriculture (Agreste) dans une note le 30 ao&ucirc;t. L&rsquo;Espagne et les Pays-Bas ont &eacute;t&eacute; particuli&egrave;rement concern&eacute;es par ce repli (contrairement &agrave; la France et au Danemark). Toutefois, explique l&rsquo;Agreste, la pression sur les cours du porc s&rsquo;est &eacute;galement exerc&eacute;e en France en juillet (-15cts d&rsquo;&euro;/kg sur un mois), de mani&egrave;re inhabituelle compte tenu de la baisse saisonni&egrave;re de l&rsquo;offre porcine. Depuis, le prix du march&eacute; du porc breton demeure stable &agrave; 1,345 &euro;/kgc, et ce, pour la dixi&egrave;me semaine cons&eacute;cutive.<h2>Perte de 20 euros par porc</h2>Dans un communiqu&eacute; de presse, les FNSEA Bretagne et Pays de la Loire estiment que la chute des prix du porc et la hausse des cours des c&eacute;r&eacute;ales et prot&eacute;ines depuis la mi-juin engendrent une perte pour les &eacute;leveurs de 20 euros par porc sorti. &laquo;&nbsp;Comment, dans ces conditions tr&egrave;s d&eacute;grad&eacute;es, les &eacute;leveurs pourraient-ils envisager l&rsquo;avenir et continuer &agrave; monter en gamme pour r&eacute;pondre aux attentes soci&eacute;tales et r&eacute;glementaires ?&nbsp;&raquo;, se demandent les f&eacute;d&eacute;rations. Elles enjoignent tous les maillons de la fili&egrave;re &agrave; se servir des indicateurs de co&ucirc;t de production interprofessionnels et &agrave; privil&eacute;gier le porc fran&ccedil;ais au maximum.

Après avoir culminé au mois de juin, les prix moyens du porc français se sont repliés en juillet et s’établissent désormais sous la barre des 1,35€/kg. Des prix qui se situent en dessous des coûts de production pour la quasi-totalité des éleveurs, au regard de l’envolée des cours des matières premières.

Porc : des prix sous les coûts de production

Samedi 28 ao&ucirc;t au c&oelig;ur d&rsquo;Issoire, &agrave; deux pas du centre-ville, s&rsquo;est d&eacute;roul&eacute; le tout premier concours interd&eacute;partemental salers. Le complexe sportif du "&nbsp;Bout du monde " a servi d&rsquo;&eacute;crin pour accueillir pr&egrave;s de 240 animaux issus de 30 &eacute;levages des d&eacute;partements du Puy-de-D&ocirc;me, de la Haute-Loire, de l&rsquo;Ard&egrave;che et de l&rsquo;Allier.&nbsp;"&nbsp;Organiser cet &eacute;v&egrave;nement interd&eacute;partemental r&eacute;pond &agrave; la demande des trois autres syndicats salers qui souhaitaient participer &agrave; un concours dans le berceau de la race, explique Eric Dauphin, pr&eacute;sident du syndicat salers du Puy-de-D&ocirc;me. C&rsquo;est aussi l&rsquo;occasion de se confronter, de mieux se conna&icirc;tre et d&rsquo;avoir une meilleure connaissance des &eacute;levages voisins, ext&eacute;rieurs &agrave; notre territoire ". Cette belle initiative conduite par le syndicat salers 63, avec le soutien de l&rsquo;Union des supporters du club de foot d&rsquo;Issoire et de la ville, a accueilli plus de 7000 visiteurs dont une grande part de citadins, petits et grands, venus d&eacute;couvrir le monde agricole. Hormis la pr&eacute;sentation des animaux et les concours par section qui constituaient le clou de la manifestation, de nombreuses animations et d&eacute;couvertes ont &eacute;gren&eacute; la journ&eacute;e durant laquelle 800 repas &agrave; la broche (b&oelig;uf salers) ont &eacute;t&eacute; servis. Les march&eacute;s retrouvent des couleurs Apr&egrave;s l&rsquo;annulation du concours d&eacute;partemental en 2020 pour cause de crise sanitaire, cette initiative &agrave; Issoire redonne du baume au c&oelig;ur aux &eacute;leveurs. "&nbsp;Le march&eacute; &agrave; l&rsquo;export a &eacute;t&eacute; bloqu&eacute; pendant un an mais aujourd&rsquo;hui il red&eacute;marre et redonne de l&rsquo;espoir, reconna&icirc;t Eric Dauphin. Des pays comme le Portugal, la Croatie, la Bosnie ont rouvert leurs portes aux salers dont les valeurs maternelles et laiti&egrave;res, la rusticit&eacute; et la docilit&eacute; sont fortement sollicit&eacute;es par les &eacute;leveurs de ces territoires&nbsp;". Pour l&rsquo;anecdote,&nbsp;les bosniaques semblent appr&eacute;cier &eacute;galement la salers pour&nbsp;"&nbsp;ses cornes qui lui permettent de se d&eacute;fendre contre le loup&nbsp;! &hellip;&nbsp;" poursuit le pr&eacute;sident Dauphin. Sur le march&eacute; fran&ccedil;ais, la fili&egrave;re label rouge salers maintient le cap avec de plus en plus de producteurs qui adh&egrave;rent au cahier des charges, selon le pr&eacute;sident. "&nbsp;Ils sont &eacute;galement de plus en plus nombreux &agrave; s&rsquo;engager dans la vente directe de viande fra&icirc;che&nbsp;" confie-t-il. Enfin l'effectif salers reste stable dans le Puy-de-D&ocirc;me avec environ 18 000 vaches.

Les éleveurs salers reviennent en force en 2021, en organisant le premier concours interdépartemental de la race à Issoire, dans un contexte économique demeure tendu pour l’élevage.

Des retrouvailles tant attendues

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 <iframe type="text/html" width="640" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/CarUqXdsKlY?autoplay=0"
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 <figcaption>Comment g&eacute;rer l&#039;ergot en grandes cultures ? - ARVALIS-infos.fr</figcaption>
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Retrouvez toutes les vid&eacute;os d&rsquo;ARVALIS-Institut du v&eacute;g&eacute;tal sur <a href="http://www.youtube.com/">http://www.youtube.com/</a>

Des grains noirs dans une benne de blé fraîchement moissonné ! C’est peut-être des sclérotes d’ergot. Si oui, c’est un problème qu’il va falloir gérer.

Comment gérer l'ergot en grandes cultures ?

MECAELEVAGE LE 2 SEPTEMBRE EN NORMANDIE DANS LA MANCHE A VERGONCEYun &eacute;v&eacute;nement gratuit avec la billetterie en ligneDEUX moments forts que nous vous proposons lors des d&eacute;monstrations DANS UN PREMIER TEMPS la pr&eacute;sentation dynamique de mat&eacute;riels comment&eacute;e par un expert en agro&eacute;quipement. DANS UN DEUXI&Egrave;ME TEMPS d&eacute;couvrez en direct les d&eacute;monstrations sur parcelles expliqu&eacute;es par un expert sur le travail fait sous vos yeux. Mat&eacute;riels de d&eacute;monstrations pr&eacute;sent&eacute;s : &bull; Semoirs simplifi&eacute;s et semoirs de semis direct &bull; Tonnes &agrave; lisier avec &eacute;quipements / &eacute;pandage sans tonne et automoteurs d&rsquo;&eacute;pandage &bull; Epandeurs de fumier L'EMPLOI EN CUMA La prestation compl&egrave;te a l&rsquo;honneur Nous sommes mobilis&eacute;s pour vous accueillir autour des th&egrave;mes du d&eacute;veloppement de la prestation compl&egrave;te, de l&rsquo;accompagnement &agrave; l&rsquo;emploi partag&eacute; et sur l&rsquo;int&eacute;r&ecirc;t des projets collectifs. Avec 40 groupes d&eacute;silage en Normandie, le d&eacute;silage sera mis en avant avec la pr&eacute;sentation des chantiers complets des cuma locales. Les ateliers techniques Les forums d&eacute;bat et technique et le village exposants MECAELEVAGE : L'ACTUALIT&Eacute; retrouver ici l'&eacute;v&eacute;nement qui se d&eacute;roulera le 2 septembre en Normandie <a href="http://www.mecaelevage.cuma.fr/" target="_blank">&gt; je regarde</a> MECAELEVAGE : LES VID&Eacute;OS pour donner envie de venir, ils ont pris la parole pour vous <a href="http://www.mecaelevage.cuma.fr/videos/305" target="_blank">&gt; je visionne</a> MECAELEVAGE : MON ENTR&Eacute;E GRATUITE on passe &agrave; l'action, on prend son billet et on se retrouve &agrave; Vergoncey (50) <a href="https://www.weezevent.com/mecaelevage-2021" target="_blank">&gt; je m'inscris</a>

L'ÉVÉNEMENT DE LA RENTRÉE C'EST ÇA :

J-1 : billet d'entrée gratuit pour le MécaElevage

AgriCarb propose avec le SCU 9071 un soc double coeur universel, renforc&eacute; au carbure de tungst&egrave;ne. La sur&eacute;paisseur de cette pi&egrave;ce monobloc en acier tremp&eacute; favorise la protection des boulons et garantie une solidit&eacute; sans faille, m&ecirc;me dans les contextes les plus difficiles.Les stries positionn&eacute;es sur l&rsquo;angle d&rsquo;attaque de la pi&egrave;ce permettent la ma&icirc;trise du contr&ocirc;le de l&rsquo;usure et accompagne parfaitement le retournement de la terre. A son extr&eacute;mit&eacute;, la plaquette d&rsquo;attaque accentue la p&eacute;n&eacute;tration dans le sol et propose une envergure de travail de 160 mm. La protection de la dent est assur&eacute;e gr&acirc;ce gr&acirc;ce aux courbes g&eacute;n&eacute;reuses du soc.<h2>PME fran&ccedil;aise</h2>Bas&eacute;e &agrave; Meyzieu (Rh&ocirc;ne), AgriCarb con&ccedil;oit depuis plus de 35 ans des pi&egrave;ces d&rsquo;usure au carbure de tungst&egrave;ne. Le fabricant les cr&eacute;dite d&rsquo;une dur&eacute;e de vie entre trois fois et sept fois sup&eacute;rieure &agrave; celle des pi&egrave;ces standards. AgriCarb ma&icirc;trise l&rsquo;ensemble du process technologique, depuis l&rsquo;approvisionnement en poudre de carbure de tungst&egrave;ne jusqu&rsquo;au brasage des plaquettes sur les pi&egrave;ces, en passant par les process de compression, de chauffage et de soudage. Le fabricant dispose d&rsquo;un catalogue de 1600 r&eacute;f&eacute;rences, adapt&eacute;es &agrave; de nombreux outils de travail du sol.

Le fabricant a retravaillé les formes évasées de la pièce d’origine, afin d’accroître sa longévité et sa régularité de travail tout en diminuant l’effet de « tirage ». Et toujours au carbure de tungstène.

SCU 9071, le soc double cœur d’AgriCarb

Le Festival de la terre et de la ruralit&eacute; se tiendra bien le 5 septembre prochain. Il aura lieu dans le sud du d&eacute;partement, &agrave; Virey, sur les terres de Anthony Pautret, pr&eacute;sident des Jeunes agriculteurs des cantons de Saint-Hilaire-du-Harcou&euml;t et Isigny-le-Buat, et Guillaume Foug&egrave;res. Au total, 35 hectares sont mobilis&eacute;s pour accueillir &agrave; la fois les visiteurs, les cultures et les animations multiples. 
Depuis le 9 ao&ucirc;t, date du nouveau d&eacute;cret relatif aux mesures sanitaires, les organisateurs sont soulag&eacute;s. Il n&rsquo;y a plus de jauge maximale limit&eacute;e au d&eacute;part &agrave; 5 000 personnes. Seul le pass sanitaire* sera obligatoire pour les personnes de plus de 18 ans. Par cons&eacute;quent, les Jeunes agriculteurs ont mis en place un programme riche d&rsquo;animations pour accueillir autour de 10 000 personnes, restant la 3e manifestation du D&eacute;partement. &laquo; En 2020, nous avons &eacute;t&eacute; la seule manifestation agricole &agrave; s&rsquo;&ecirc;tre maintenue &raquo;, soulignent les responsables. Alors, l&rsquo;&eacute;dition de 2021 &eacute;tait une &eacute;vidence pour les JA du canton de Sainth-Hilaire et Isigny-le-Buat. Depuis un an, les b&eacute;n&eacute;voles s&rsquo;activent pour que le festival soit &agrave; nouveau une vitrine de l&rsquo;agriculture manchoise, tout en proposant des animations destin&eacute;es aux ruraux comme aux citadins, aux grands comme aux petits. &laquo; L&rsquo;agriculture est aujourd&rsquo;hui, moderne, connect&eacute;e, responsable &raquo;, assure J&eacute;r&ocirc;me Gibault, responsable d&eacute;partemental de l&rsquo;organisation. L&rsquo;essence m&ecirc;me du festival tourne autour de la promotion des m&eacute;tiers. &laquo; Tous les secteurs agricoles seront repr&eacute;sent&eacute;s&nbsp;&raquo;, assure J&eacute;r&ocirc;me Gibault, avec notamment la participation d&rsquo;OPA (organismes professionnels agricoles), et pourquoi susciter des vocations. &laquo;&nbsp;Pendant la crise sanitaire, l&rsquo;agriculture a jou&eacute; son r&ocirc;le. Elle a continu&eacute; de nourrir la population &raquo;, ajoute-t-il. Cela sera toujours possible demain si des jeunes se forment et s&rsquo;installent pour faire vivre la ruralit&eacute;. 
Pas moins de 150 b&eacute;n&eacute;voles seront mobilis&eacute;s tout au long de la journ&eacute;e. Parmi les animations, le bapt&ecirc;me d&rsquo;h&eacute;licopt&egrave;re permettra de prendre de la hauteur, et se rendre compte du bocage de la r&eacute;gion, du travail des terres r&eacute;alis&eacute; par les agriculteurs.

&nbsp;

<div class="encadre">Programme des animations 
L&rsquo;entr&eacute;e sur le site pourra se faire d&egrave;s 10 h. Au programme, messe en plein air (11 h), &eacute;preuve d&eacute;partementale du concours national de labours, d&eacute;monstration de 4L cross, de moiss&rsquo; batt&rsquo; cross&rsquo;, tracteur force, concours d&rsquo;arrondissement de bovins, pr&eacute;sentation d&rsquo;animaux, exposition avicole, march&eacute; du terroir, mini-ferme, bapt&ecirc;me &agrave; poney, p&ocirc;le enfant avec structures gonflables, exposition de mat&eacute;riels agricoles neufs et anciens, pr&eacute;sentation d&rsquo;une vitrine d&rsquo;essai ma&iuml;s et essais d&rsquo;herbe, chien de troupeau, danse country, parcours sensation pieds nus, d&eacute;monstration de pony games&hellip; Et pour la premi&egrave;re fois, bapt&ecirc;me d&rsquo;h&eacute;licopt&egrave;re. Pratique 
Dimanche 5 septembre &agrave; Virey, la Gresnonni&egrave;re. Entr&eacute;e libre jusqu&rsquo;&agrave; 11&nbsp;h. Entr&eacute;e : 6 &euro;/adulte, 3 &euro;/enfant de plus de 2 ans. Parking gratuit. 
Restauration sur place (sandwich, frites, cr&ecirc;pes, boissons). 
Renseignements : www.ja50.fr 
*Pass sanitaire obligatoire pour les plus de 18 ans (certificat de test (ou autotest) n&eacute;gatif de moins de 72 heures, certificat de vaccination ou certificat de test positif d&rsquo;au moins 11 jours et de moins de 6 mois valant comme preuve de r&eacute;tablissement).</div>

<div class="encadre">&nbsp;</div>

<h3 class="souspapier">Les agricultrices pr&ecirc;tent main forte</h3>

La section des agricultrices de la FDSEA de la Manche sera sur le pont lors du Festival de la terre et de la ruralit&eacute; &agrave; Virey le 5 septembre. Une section pr&eacute;sid&eacute;e par Florence Goron. A l&rsquo;initiative de l&rsquo;id&eacute;e, Sabrina Orain, vice-pr&eacute;sidente de la section, et pr&eacute;sidente cantonale d&rsquo;Isigny-le-Buat, et voisine du lieu du festival. Si les hommes du canton apportent de l&rsquo;aide en amont ou en aval, les femmes se relaieront au stand cr&ecirc;pes le jour J. Une douzaine au total tout au long de la journ&eacute;e. L&rsquo;occasion pour les femmes de la FD d&rsquo;&ecirc;tre aux c&ocirc;t&eacute;s des femmes JA. Deux syndicats qui participent &agrave; la promotion du m&eacute;tier. 
Dynamiser la section agricultrices, tel est l&rsquo;objectif de Florence Goron et son &eacute;quipe. &laquo;&nbsp;Nous sommes des femmes qui aimons notre m&eacute;tier, qui aimons partager et &eacute;changer&nbsp;&raquo;, assure-t-elle. Allier des rencontres professionnelles, des temps de formation sans oublier des moments conviviaux, c&rsquo;est l&rsquo;objectif d&eacute;fini par la commission. Alors, rendez-vous le 5 septembre.

Le Festival de la terre et de la ruralité, organisé par les Jeunes agriculteurs de la Manche, sous l’égide de l’association des producteurs d’avenir (APA), aura lieu le 5 septembre à Virey (sud Manche). Un programme dense d’animations a été concocté pour que les citadins comme les ruraux puissent y découvrir l’agriculture manchoise. 

Festival de la terre et de la ruralité : rendez-vous le 5 septembre à Virey

A quelques jours de la foire Sainte Croix, les premi&egrave;res tentes sont en cours de montage. Le champ de foire va connaitre une v&eacute;ritable transformation pour que les exposants puissent s&rsquo;installer. La dimension agricole de ce rendez-vous mill&eacute;naire reste de rigueur. Pr&egrave;s de 300 bovins prendront place dans les b&acirc;timents. S&rsquo;ajouteront pour la journ&eacute;e du 12 septembre le concours sp&eacute;cial ovins o&ugrave; sont attendus 200 animaux. Un concours orchestr&eacute; par Oscar (organisme de s&eacute;lection Cotentin, Avranchin et Roussin). Quatre jur&eacute;s se succ&eacute;deront jusqu&rsquo;&agrave; 16&nbsp;h&nbsp;30 pour &eacute;valuer les animaux sur des crit&egrave;res de standard de race mais aussi de conformation et de performance technique. &nbsp;

<h3>Bracelet coupe-file</h3>

Si au cours des ann&eacute;es pr&eacute;c&eacute;dentes, pas moins de 350 000 personnes sillonnaient les all&eacute;es pendant les trois jours, cette &eacute;dition sera marqu&eacute;e par la pr&eacute;sentation du pass sanitaire. Il faudra ainsi pr&eacute;senter soit le justificatif du sch&eacute;ma vaccinal complet, un test PCR ou antig&eacute;nique n&eacute;gatif de moins de 72 heures ou un certificat de r&eacute;tablissement de la Covid-19 datant d&rsquo;au moins 15&nbsp;jours et de moins de six mois. Pour fluidifier les files d&rsquo;attentes aux entr&eacute;es, la ville de Lessay propose aux visiteurs et exposants un &laquo;&nbsp;bracelet coupe-file&nbsp;&raquo;, &agrave; r&eacute;cup&eacute;rer les mercredi 8&nbsp;septembre et jeudi 9 septembre. Rendez-vous le matin (10h-12h) ou l&rsquo;apr&egrave;s-midi (14h-17h) &agrave; la mairie de Lessay ou au secr&eacute;tariat sur le champ de foire. Ces r&egrave;gles sont en vigueur pour toutes les personnes de 18 ans et plus.

<h3>A la rencontre de la FDSEA</h3>

La profession agricole sera bien pr&eacute;sente, notamment le syndicat majoritaire du d&eacute;partement. La nouvelle &eacute;quipe dirigeante mise en place au sein de la FDSEA de la Manche au cours de ces derniers mois sera bien l&agrave;, &agrave; commencer par Jean-Michel Hamel, pr&eacute;sident, Thierry Rouxel, directeur g&eacute;n&eacute;ral, Alain Lemauviel, directeur d&eacute;l&eacute;gu&eacute; de AS Normandie, Laurent Turmeau, directeur d&eacute;l&eacute;gu&eacute; Terres de m&eacute;tiers, et Nicolas Duret, directeur du service syndical. La foire de Lessay est aussi l&rsquo;occasion de rencontrer les conseillers sp&eacute;cialis&eacute;s (syndical, comptabilit&eacute;, conseil d&rsquo;entreprise). Rendez-vous au stand G304, all&eacute;e G.

<h3>Exposition</h3>

Lessay expose les portraits de quelques &laquo; gueules mythiques &raquo; de la Foire. Une vingtaine au total de grands formats, prises par Jean-Yves Desfoux, reporter photographe professionnel, au fil de ses d&eacute;ambulations sur le Foirail. Ces photos grand format racontent toute la tradition d&rsquo;un rendez-vous mill&eacute;naire. Cette exposition est gratuite et situ&eacute;e devant la c&eacute;l&egrave;bre Abbatiale de Lessay (qui se visite en journ&eacute;e) jusqu&rsquo;au 30 septembre.

Alors qu’elle avait été annulée l’année dernière, la mythique Foire Sainte-Croix de Lessay aura bien lieu les 10, 11 et 12 septembre 2021, comme en 2019, ou presque. Les règles sanitaires s’imposeront aux visiteurs comme aux éleveurs, notamment le pass sanitaire. 

Foire de Lessay : une édition sous « pass sanitaire »

En juillet, les prix des c&eacute;r&eacute;ales ont diminu&eacute; de 1,7 %, apr&egrave;s &ndash; 5,2 % en juin, selon le nouvel indice des prix des produits agricoles &agrave; la production* (Ippap) publi&eacute; par l&rsquo;Institut national de la statistique et des &eacute;tudes &eacute;conomiques (Insee) ce mardi 31 ao&ucirc;t 2021. La baisse est de 3,1 % sur trois mois mais les prix des c&eacute;r&eacute;ales sont en hausse de 17,2 % sur un an (+ 22,8 % pour l&rsquo;ann&eacute;e pr&eacute;c&eacute;dente).

Pour le ma&iuml;s, le recul est 8,2 % sur juillet, apr&egrave;s 11 % en juin, alors que pour le bl&eacute; tendre, les prix progressent de 0,6 % (apr&egrave;s &ndash; 4,1 % en juin, &laquo;&nbsp;en lien avec notamment le retard des r&eacute;coltes fran&ccedil;aises et les d&eacute;ficits hydriques aux &Eacute;tats-Unis et en Russie&nbsp;&raquo;. Sur trois mois, les prix du bl&eacute; ont recul&eacute; de 3,3 % mais ont progress&eacute; de 13,5 % sur un an. En ma&iuml;s, la baisse est de 5,2 % sur trois mois alors que l&rsquo;augmentation d&eacute;passe les 25 % (26,7 % exactement) sur un an.

C&ocirc;t&eacute; ol&eacute;agineux, les prix rebondissent en juillet 2021 (+ 2&nbsp;% apr&egrave;s &ndash; 2,5&nbsp;% en juin) &laquo;&nbsp;du fait notamment des s&eacute;cheresses en Am&eacute;rique du Nord&nbsp;&raquo;. Les prix du soja et du colza augmentent respectivement de 3,8&nbsp;% (apr&egrave;s + 0,5&nbsp;%) et de 2,6&nbsp;% (apr&egrave;s &ndash; 2,8&nbsp;%). Les prix du tournesol diminuent (&ndash; 1,2&nbsp;% apr&egrave;s &ndash; 2,1&nbsp;%). &laquo;&nbsp;Sur un an, les prix des ol&eacute;agineux demeurent en tr&egrave;s forte hausse (+ 43,7&nbsp;% apr&egrave;s + 44,8&nbsp;%)&nbsp;&raquo; pr&eacute;cise l&rsquo;Insee.

<h3>Prix d&rsquo;achat des moyens de production &agrave; nouveau en hausse</h3>

En juillet 2021, les prix d&rsquo;achat des consommations interm&eacute;diaires augmentent sur un mois (+ 1,1&nbsp;% apr&egrave;s + 0,8&nbsp;%) &laquo;&nbsp;en lien avec les hausses des prix des engrais et amendements&nbsp;&raquo; (+ 5,5&nbsp;% apr&egrave;s + 2,9&nbsp;%), des prix de l&rsquo;&eacute;nergie (+ 1,7&nbsp;% apr&egrave;s + 2,1&nbsp;%) et des prix des aliments pour animaux (+ 0,5&nbsp;% apr&egrave;s + 0,6&nbsp;%), alors que les prix des produits de protection des cultures sont quasiment stables (- 0,1&nbsp;% apr&egrave;s &ndash; 0,4&nbsp;%). Sur un an, les prix des consommations interm&eacute;diaires acc&eacute;l&egrave;rent de nouveau en juillet (+ 9,6&nbsp;% apr&egrave;s + 8,4&nbsp;% et + 7,9&nbsp;%).

Globalement, en juillet 2021, les prix agricoles &agrave; la production sont en hausse de 8,2&nbsp;% par rapport &agrave; juillet 2020.

* L&rsquo;indice des prix des produits agricoles &agrave; la production (IPPAP) mesure l&rsquo;&eacute;volution des prix des produits agricoles &agrave; la premi&egrave;re mise sur le march&eacute;

L’Insee vient de publier l’indice des prix des produits agricoles à la production pour le mois de juillet.

Les prix à la production des céréales ont reculé en juillet

&laquo; Enfin, nous nous retrouvons ! &raquo;, a d&eacute;but&eacute; Jean-Hugues Lorault, secr&eacute;taire g&eacute;n&eacute;ral de la FDSEA de la Manche. En effet, la crise sanitaire a r&eacute;duit les rencontres physiques pendant plusieurs mois. Pour autant, la FDSEA est &laquo; toujours rest&eacute;e active, m&ecirc;me dans la discr&eacute;tion &raquo;, pr&eacute;cise Jean-Michel Hamel, pr&eacute;sident de la FDSEA depuis le 27 mai, pour d&eacute;crocher des acquis syndicaux notamment l&rsquo;&eacute;talon unique pour les analyses de cellules en lait, le retrait de 9 communes dans la nouvelle r&eacute;vision des zones vuln&eacute;rables, l&rsquo;avanc&eacute;e sur les retraites. &laquo;&nbsp;Nous avons su nous adapter pour que la vie syndicale soit maintenue &raquo;, assure Jean-Hugues Lorault.

<h3>FNSEA 2025</h3>

&laquo; Nous allons favoriser la proximit&eacute; avec les adh&eacute;rents &raquo;, pr&eacute;vient Jean-Michel Hamel parce que &laquo;&nbsp;le c&oelig;ur de la FDSEA, c&rsquo;est son r&eacute;seau ! &raquo;, confie-t-il. Un message que d&eacute;fend &eacute;galement le syndicat &agrave; l&rsquo;&eacute;chelle nationale. J&eacute;r&ocirc;me Despey, secr&eacute;taire g&eacute;n&eacute;ral national, en charge du r&eacute;seau a &eacute;voqu&eacute; le projet appel&eacute; FNSEA 2025. &laquo; Une campagne de proximit&eacute; est attendue parce que notre r&ocirc;le est d&rsquo;&ecirc;tre aux c&ocirc;t&eacute;s des agriculteurs, de d&eacute;fendre le projet pour qu&rsquo;on puisse vivre dignement de notre m&eacute;tier, avec des agriculteurs sur nos territoires&nbsp;&raquo;, souligne-t-il. Apr&egrave;s des &eacute;tudes, aujourd&rsquo;hui, pr&egrave;s de 50 % des agriculteurs sont syndiqu&eacute;s, 6 agriculteurs sur 10 sont membres d&rsquo;un Ceta, GDA, Cuma et 4 agriculteurs ont un mandat &eacute;lectif. Des leviers vont &ecirc;tre &eacute;voqu&eacute;s lors du congr&egrave;s national des 21, 22 et 23 septembre prochain &agrave; Niort o&ugrave; la r&eacute;flexion et la mise en &oelig;uvre du chantier FNSEA 2025 seront partag&eacute;es.

<h3>Echanges et convivialit&eacute;</h3>

A l&rsquo;&eacute;chelle d&eacute;partementale, les attentes des adh&eacute;rents sont aussi des pr&eacute;occupations. Des collations syndicales sont organis&eacute;es sur les diff&eacute;rents secteurs de la Manche pour analyser les probl&eacute;matiques territoriales. &laquo; Ces collations syndicales sont des moments d&rsquo;&eacute;changes et de convivialit&eacute; qu&rsquo;il est facile &agrave; organiser &raquo;, note Jean-Michel Hamel. A l&rsquo;&eacute;chelle des arrondissements, quatre dans le d&eacute;partement, des rencontres seront &eacute;galement propos&eacute;es en d&eacute;but d&rsquo;hiver. &laquo; C&rsquo;est avec les secr&eacute;taires g&eacute;n&eacute;raux adjoints, les pr&eacute;sidents d&rsquo;unions syndicales, l&rsquo;ensemble du r&eacute;seau que le travail syndical se construit &raquo;, assure Jean-Hugues Lorault. &laquo; Quand toute la base se mobilise, on obtient des avanc&eacute;es. Il faut donc rester mobilis&eacute; pour d&eacute;fendre toutes les agricultrices et tous les agriculteurs du d&eacute;partement &raquo;, poursuit le pr&eacute;sident d&eacute;partemental. 
Alors, ce dernier conseil f&eacute;d&eacute;ral marque, &laquo; non pas le retour du monde d&rsquo;avant mais au contraire, une nouvelle &egrave;re pour notre syndicalisme, qui a toujours su se r&eacute;inventer pour &ecirc;tre au plus pr&egrave;s des pr&eacute;occupations de ses adh&eacute;rents &raquo;, conclut Jean-Michel Hamel.

&nbsp;

<div class="encadre">PAC 2023 : la Manche b&eacute;n&eacute;ficiaire 
C&rsquo;est Gilbert Michel, premier vice-pr&eacute;sident de la FDSEA qui a &eacute;voqu&eacute; en premier le sujet. La nouvelle Pac qui entrera en vigueur au 1er janvier 2023 pourrait &ecirc;tre globalement favorable au d&eacute;partement de la Manche, avec moins d&rsquo;in&eacute;galit&eacute;s de r&eacute;partition sur le territoire. &laquo; On est arriv&eacute; &agrave; ce r&eacute;sultat gr&acirc;ce &agrave; la mobilisation de chacun &raquo;, affirme le responsable syndical. Anne-Marie Denis, pr&eacute;sidente de la FRSEA Normandie, lui a emboit&eacute; le pas. &laquo; L&rsquo;agriculture dans la Manche est active. Si le d&eacute;partement est b&eacute;n&eacute;ficiaire, c&rsquo;est un minimum de reconnaissance. Jamais je n&rsquo;aurais remont&eacute; des &eacute;l&eacute;ments &agrave; l&rsquo;&eacute;chelle nationale si je n&rsquo;avais pas eu l&rsquo;appui de ce d&eacute;partement &raquo;, confie-t-elle. 
Restent &laquo; pas mal d&rsquo;incertitude sur les &eacute;co-r&eacute;gimes. Une fois de plus la Pac est ax&eacute;e sur l&rsquo;environnement. En 2026, 25 % du premier pilier seront activ&eacute;s que par la partie environnementale. Par cons&eacute;quent, nous devrons adapter nos exploitations sur cette nouvelle donn&eacute;e. Cette Pac entraine &eacute;galement une baisse de 4 % de la surface productive &raquo;, pr&eacute;vient Gilbert Michel. Alors, il promet de rester &laquo; attentif aux &eacute;volutions, pour donner des informations pr&eacute;cises afin que l&rsquo;agriculture manchoise ne soit pas p&eacute;nalis&eacute;e &raquo;, souligne-t-il. &laquo; En &eacute;tant force de proposition, nous avons su &ecirc;tre efficaces et peser dans les positions tenues par la FNSEA et dans les arbitrages du ministre. Le travail de notre r&eacute;seau et la repr&eacute;sentation de notre d&eacute;partement portent ses fruits. Si nous avons su &ecirc;tre efficaces, sachons le rester. Restons vigilants &raquo;, conclut Jean-Michel Hamel sur le sujet pour que la Pac &laquo; b&eacute;n&eacute;ficie aux agriculteurs v&eacute;ritables. &raquo;</div>

<div class="encadre">&nbsp;</div>

<div class="encadre">Loi Egalim : des euros attendus 
La loi Egalim laisse un go&ucirc;t inachev&eacute; pour les adh&eacute;rents de la FDSEA de la Manche. &laquo; Dans nos porte-monnaie, on ne voit rien &raquo;, d&eacute;bute Jean-Hugues Lorault. Dans les fermes, les retours de la version 2 sont attendus. Alors le pr&eacute;sident manchois formule un v&oelig;u, &laquo; celui qu&rsquo;une bonne fois pour toutes, nos alertes soient enfin entendues et qu&rsquo;au travers de la loi Egalim actuellement en discussion, les agriculteurs puissent &ecirc;tre reconnus &agrave; leur juste valeur, c&rsquo;est-&agrave;-dire en euros sonnants et tr&eacute;buchants&nbsp;&raquo;, esp&egrave;re-t-il. &laquo; Vivre de nos produits a toujours &eacute;t&eacute; notre premier combat et le reste encore aujourd&rsquo;hui &raquo;, poursuit-il.</div>

<div class="encadre">&nbsp;</div>

<div class="encadre">La main-d&rsquo;&oelig;uvre : un enjeu principal 
Pour assurer le maintien des exploitations dans le d&eacute;partement, l&rsquo;emploi agricole est primordial. Pourtant, &laquo; des agriculteurs peinent &agrave; recruter &raquo;, note Jean-Hugues Lorault. &laquo; Le facteur humain devient le facteur limitant. Il devient le principal enjeu de survie de nos exploitations et du renouvellement des g&eacute;n&eacute;rations. L&rsquo;emploi salari&eacute; doit &ecirc;tre au c&oelig;ur de nos pr&eacute;occupations &raquo;, compl&egrave;te Jean-Michel Hamel. En moyenne 40 offres ne trouvent pas de candidats.</div>

<div class="encadre">&nbsp;</div>

<div class="encadre">Carottes : 25 dossiers &agrave; l&rsquo;&eacute;tude 
L&rsquo;interdiction brutale de l&rsquo;utilisation du dychloroprop&egrave;ne sur les carottes a &eacute;t&eacute; mal v&eacute;cue chez les producteurs. &laquo; Cette d&eacute;cision unilat&eacute;rale a laiss&eacute; des producteurs dans une impasse&nbsp;&raquo;, d&eacute;nonce Jean-Michel Hamel. L&rsquo;Etat avait promis un million d&rsquo;euros. Or, un seul producteur entrait dans le dispositif. Il a per&ccedil;u 6 000&nbsp;&euro;. &laquo; C&rsquo;est une honte &raquo;, s&rsquo;insurge le pr&eacute;sident. &laquo; Nous sommes d&eacute;termin&eacute;s plus que jamais. Nous avons port&eacute; une proposition concr&egrave;te, avec de nouveaux crit&egrave;res, pour que cette enveloppe promise aux producteurs leur soit justement allou&eacute;e&nbsp;&raquo;, assure-t-il. Au-del&agrave; de cette aide li&eacute;e &agrave; la perte de production, 25 dossiers sont arriv&eacute;s &eacute;ligibles au FMSE. &laquo; Il est temps qu&rsquo;enfin, les producteurs engag&eacute;s dans le plan de lutte contre le n&eacute;matode, qui d&eacute;pensent 2 000 &euro;/ha de semence pour une culture qu&rsquo;ils auront &agrave; d&eacute;truire quelques mois plus tard, puissent &ecirc;tre indemnis&eacute;s &raquo;, mart&egrave;le-t-il.</div>

Les combats de la FDSEA de la Manche portent sur les prix, le revenu, la Pac, l’emploi… Autant de sujets qui ont été évoqués lors du conseil fédéral du 24 août 2021 auquel une centaine de personnes a participé, en présence de Jérôme Despey, secrétaire général national. Ce congrès renoue avec la proximité et marque les 75 ans du syndicat majoritaire.

« Le cœur de la FDSEA, c’est son réseau »

Une premi&egrave;re r&eacute;union de cette d&eacute;clinaison agricole de la French Tech a &eacute;t&eacute; organis&eacute;e le 30 ao&ucirc;t rue de Varenne par le ministre de l'Agriculture Julien Denormandie et le secr&eacute;taire d'Etat charg&eacute; de la Transition num&eacute;rique C&eacute;dric O, en pr&eacute;sence de start-up tourn&eacute;es vers l'agriculture et l'alimentation, d'organismes de financement (Bpifrance) et de diverses parties prenantes (APCA, FNSEA, Inrae).Son but : "initier une dynamique collective" autour de la French AgriTech afin d'acc&eacute;l&eacute;rer l'innovation "au service de la souverainet&eacute; alimentaire" pr&ocirc;n&eacute;e par le pr&eacute;sident Emmanuel Macron. "Nous sommes d&eacute;j&agrave; le leader europ&eacute;en de l'AgriTech. Allons plus loin pour &ecirc;tre un leader international et int&eacute;grer le podium des &eacute;cosyst&egrave;mes au niveau mondial !", expliquent Julien Denormandie et C&eacute;dric O, dans le journal La Tribune.<h2 class="MsoPlainText">Structurer l'&eacute;cosyst&egrave;me de l'AgriTech</h2>La France compte 215 start-up et entreprises r&eacute;f&eacute;renc&eacute;es dans le domaine de l'AgriTech et de la FoodTech. C'est le premier pays de l'Union europ&eacute;enne en terme de lev&eacute;es de fonds pour ces deux domaines et le cinqui&egrave;me au niveau mondial (562 millions d'euros de fonds lev&eacute;s en 2020), selon le minist&egrave;re de l'Agriculture, derri&egrave;re les Etats-Unis, la Chine, l'Inde et le Royaume-Uni.La rue de Varenne rel&egrave;ve que les start-up AgriTech et FoodTech, comme Agriconomie, Ynsect ou Innovafeed, prennent "une place croissante" dans la French Tech, un label de mobilisation et de promotion des &eacute;cosyst&egrave;mes num&eacute;riques fran&ccedil;ais, lanc&eacute; en 2013.Lors de la r&eacute;union, le gouvernement a confi&eacute; &agrave; l'association La Ferme Digitale le soin d'&eacute;tablir avec les autres acteurs "un &eacute;tat des lieux sur les besoins de structuration de l'&eacute;cosyst&egrave;me AgriTech et FoodTech", indique le minist&egrave;re. "Leurs recommandations permettront de poser les jalons d'un futur programme d'accompagnement d&eacute;di&eacute; aux start-up AgriTech et FoodTech en lien avec la Mission French Tech et avec l'appui du minist&egrave;re de l'Agriculture".Le gouvernement a &eacute;galement annonc&eacute; qu'il allait mobiliser 200 millions d'euros pour les start-up, les PME et les ETI (&eacute;tablissements de taille interm&eacute;diaire) des secteurs FoodTech et AgriTech au travers d'appels &agrave; projets pilot&eacute;s dans le cadre du 4&egrave; programme d'investissements d'avenir pour 2021-2025. Deux premiers appels &agrave; projets seront lanc&eacute;s en septembre, sur les th&eacute;matiques "innover pour r&eacute;ussir la transition &eacute;cologique" et "r&eacute;pondre aux besoins alimentaires de demain".

La France consacrera 200 millions d'euros d'investissements sur cinq ans pour des projets innovants dans le domaine de l'AgriTech et de la FoodTech, a annoncé le ministère de l'Agriculture à l'occasion du lancement de la "French AgriTech" à Paris le 30 août.

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