Claas enrichit la liste des options de plusieurs s&eacute;ries de presses, &agrave; commencer par les mod&egrave;les &agrave; balles parall&eacute;l&eacute;pip&eacute;diques et plus pr&eacute;cis&eacute;ment les Quandrant 4200, 5200 et 5300. Celles-ci pourront &ecirc;tre &eacute;quip&eacute;es d'un p&egrave;se-balles situ&eacute; dans la rampe d&eacute;pose-balles, capable de peser instantan&eacute;ment les balles en transit jusqu'&agrave; une vitesse de 20 km/h, avec une pr&eacute;cision de plus ou moins 5 kg. Associ&eacute; aux syst&egrave;mes &eacute;lectroniques embarqu&eacute;s le p&egrave;se-balles g&eacute;n&eacute;rera de nombreuses donn&eacute;es telles que les poids cumul&eacute;s par chantier ou par parcelle, la cartographie des rendements ou encore les points de d&eacute;p&ocirc;t, sans oublier le taux d'humidit&eacute; de chacune. Toujours en option, les Quadrant peuvent recevoir 7 phares &agrave; Led ciblant notamment le timon, le volant d'inertie, l'ameneur ou encore la sortie du canal de pressage.<h2>Un ameneur sur la Rollant 620</h2>La s&eacute;rie Rollant 620 s'enrichit de son c&ocirc;t&eacute; d'un nouveau mod&egrave;le dot&eacute; d'un syst&egrave;me d'ameneur. Il cible les exploitations disposant de leur propre mat&eacute;riel pressant du foin sec ou de la paille s&egrave;che sur des surfaces irr&eacute;guli&egrave;res ou pentues. L'ameneur a pour fonction de tirer en continu la mati&egrave;re collect&eacute;e par le pick-up (1,85 m) pour la pousser activement dans la chambre de pressage (1,50 m de diam&egrave;tre). La puissance de traction reste contenue (&agrave; partir de 80 ch), l'architecture du timon permettant de d&eacute;gager totalement la vue sur le pick-up. En cabine, le terminal Claas Operator supervise tous les param&egrave;tres&nbsp;: pression, liage (filet ou ficelle), ouverture de porte, positionnement de la rampe (relev&eacute;e/abaiss&eacute;e), comptage...&nbsp;<h2>Liage par film pour la Rollant 400 Uniwrap</h2>La Rollant 400 Uniwrap (enrubanneuse) offre quant &agrave; elle le choix entre liage filet ou liage par film. Ce dernier est cr&eacute;dit&eacute; de plusieurs avantages&nbsp;: r&eacute;duction du volume d'oxyg&egrave;ne dans les balles, recouvrement des ar&ecirc;tes, limitation du nombre de couches de films d'enrubannage et enfin simplification du recyclage, du fait de la pr&eacute;sence de seul film et de l'absence de filet. Le cours au filet reste n&eacute;anmoins possible moyennant le chargement de rouleaux dans la rampe lat&eacute;rale rabattable et la reprogrammation des param&egrave;tres au niveau du terminal. Claas propose des consommables pour presses tels que le film de liage Coatex (rouleaux de 2&nbsp;000&nbsp;m, largeur de 1,40&nbsp;m, &eacute;paisseur de 17&nbsp;&micro;m). Les Rollant400 Uniwrap produisent des balles d'un diam&egrave;tre de 1,25 m &agrave; 1,35&nbsp;m pour une largeur de 1,20&nbsp;m.


Le constructeur dote les Quadrant d’un pèse-balles et de phares à Led. La Rollant 620 hérite d’un ameneur. Les Rollant 400 Uniwrap peuvent être indifféremment liées par filet ou par film.


De nouvelles options pour les presses Claas

L'ex&eacute;cutif europ&eacute;en "craint que la concentration" ait des r&eacute;percussions&nbsp;n&eacute;gatives sur les march&eacute;s "des pesticides, des semences et des caract&egrave;res&nbsp;agronomiques", c'est-&agrave;-dire les caract&eacute;ristiques d'une plante. Le projet d'acquisition de Monsanto par Bayer pour 66 milliards de dollars&nbsp;(56 milliards d'euros), annonc&eacute; en septembre 2016, "entra&icirc;nerait la cr&eacute;ation&nbsp;de la plus importante entreprise int&eacute;gr&eacute;e du monde dans les secteurs des&nbsp;pesticides et des semences", souligne la Commission. "En outre, l'op&eacute;ration aurait lieu dans des branches d'activit&eacute;s d&eacute;j&agrave;&nbsp;concentr&eacute;es au niveau mondial", ajoute-t-elle.&nbsp;&nbsp;La Commission&nbsp;&nbsp;dispose d&eacute;sormais de 90 jours ouvrables, soit jusqu'au 8&nbsp;janvier 2018, pour arr&ecirc;ter une d&eacute;cision. L'op&eacute;ration "sera tr&egrave;s b&eacute;n&eacute;fique pour les agriculteurs et les&nbsp;consommateurs", a r&eacute;agi Bayer, qui s'engage dans un communiqu&eacute; &agrave; "continuer &agrave;&nbsp;travailler de mani&egrave;re &eacute;troite et constructive" avec Bruxelles. La Commission a d&eacute;j&agrave; autoris&eacute; deux m&eacute;ga-fusions dans l'agrochimie depuis le&nbsp;d&eacute;but de l'ann&eacute;e, &agrave; chaque fois sous conditions.&nbsp;&nbsp;Fin mars, Bruxelles avait autoris&eacute; la fusion des g&eacute;ants am&eacute;ricains Dow et&nbsp;DuPont, qui doit donner naissance dans les prochains jours &agrave; DowDuPont, un&nbsp;mastodonte pesant 130 milliards de dollars en Bourse. Dix jours plus tard, elle validait le rachat du suisse Syngenta par le&nbsp;g&eacute;ant chinois ChemChina pour 43 milliards de dollars (40 milliards d'euros &agrave;&nbsp;l'&eacute;poque, 36,5 milliards d'euros au cours actuel), la plus grosse acquisition&nbsp;jamais lanc&eacute;e par un groupe chinois &agrave; l'&eacute;tranger. Les nouvelles entit&eacute;s se sont engag&eacute;es aupr&egrave;s de l'UE &agrave; revendre certaines&nbsp;de leurs activit&eacute;s afin de garantir la concurrence sur le march&eacute; europ&eacute;en.<h2>'Entreprise monstre'</h2>Cette vague de concentration dans l'agrochimie, pouss&eacute;e notamment par la&nbsp;baisse des marges des groupes de ce secteur, avec des prix agricoles qui&nbsp;restent bas, suscite de nombreuses inqui&eacute;tudes parmi les d&eacute;fenseurs de&nbsp;l'environnement. Le mouvement citoyen international Avaaz avait appel&eacute; fin juillet la&nbsp;commissaire europ&eacute;enne &agrave; la Concurrence Margrethe Vestager &agrave; bloquer le rachat&nbsp;de Monsanto par Bayer. "Il n'est pas n&eacute;cessaire de beaucoup enqu&ecirc;ter. Une entreprise monstre qui&nbsp;contr&ocirc;le notre nourriture est une mauvaise id&eacute;e pour les agriculteurs et pour&nbsp;les citoyens partout dans le monde", a r&eacute;agi mardi Nick Flynn, directeur&nbsp;juridique de cette ONG, dans un communiqu&eacute;.&nbsp;&nbsp;"Les craintes soulev&eacute;es" par les ONG "rel&egrave;vent des r&egrave;gles nationales et&nbsp;europ&eacute;ennes de la s&eacute;curit&eacute; alimentaire, des consommateurs, de l'environnement&nbsp;et du climat", r&eacute;pond la Commission, dont le r&ocirc;le consiste "uniquement" &agrave;&nbsp;appr&eacute;cier les concentrations "sous l'angle de la concurrence". Dans le d&eacute;tail, Bruxelles souligne notamment que l'herbicide controvers&eacute;&nbsp;"glyphosate" de Monsanto, commercialis&eacute; sous la marque "Roundup", est l'un des&nbsp;plus vendus en Europe et que Bayer commercialise actuellement "l'un de ses&nbsp;rares substituts".&nbsp;"La Commission approfondira son enqu&ecirc;te pour d&eacute;terminer si l'acc&egrave;s des&nbsp;concurrents aux distributeurs et aux agriculteurs est susceptible de devenir&nbsp;plus difficile dans le cas o&ugrave; Bayer et Monsanto viendraient &agrave; grouper ou &agrave;&nbsp;lier leurs ventes de pesticides et de semences", &eacute;crit-elle.Bayer a enregistr&eacute; en 2016 un b&eacute;n&eacute;fice net part du groupe de 4,5 milliards&nbsp;d'euros, pour un chiffre d'affaires de 46,8 milliards d'euros. Il annonc&eacute; fin juillet tabler sur un chiffre d'affaires de "plus de 49&nbsp;milliards d'euros" pour l'ann&eacute;e en cours. Quant &agrave; Monsanto, son b&eacute;n&eacute;fice sur l'exercice d&eacute;cal&eacute; 2015/2016 s'&eacute;l&egrave;ve &agrave;&nbsp;1,34 milliard de dollars (850 millions d'euros), pour un chiffre d'affaires de&nbsp;13,5 milliards de dollars (11,5 milliards d'euros).


Bruxelles a ouvert mardi une enquête approfondie sur le rachat du spécialiste américain des semences OGM Monsanto par le géant allemand de l'agrochimie Bayer, craignant que l'opération ne réduise la concurrence sur un marché déjà très concentré.


Concurrence : enquête approfondie de l'UE sur le rachat de Monsanto par Bayer

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 <h2>BON &Agrave; SAVOIR</h2>
 Grand d&eacute;bat du 31 ao&ucirc;t &agrave; 11 heuresDes sites web proposent aujourd&#039;hui la mise &agrave; disposition de mat&eacute;riels entre agriculteurs, l&#039;&eacute;change de parcelles ou l&#039;apport de conseils. Les start-ups bousculent les habitudes des acteurs du secteur agricole. En quelques clics et de chez soi, chacun acc&egrave;de &agrave; une offre nouvelle de location de machines, de conseils personnalis&eacute;s ou de produits annonc&eacute;s &agrave; prix discount. Dans ce contexte, comment se fera demain le partage du mat&eacute;riel entre agriculteurs voisins ? Quels bouleversements pour la coop&eacute;ration et pour les organisations comme les Cuma ? Quelles opportunit&eacute;s saisir ?D&eacute;bat anim&eacute; par Pauline BOURDOIS Entraid. Avec notamment la participation de Laurent BERNEDE, agriculteur et co-fondateur du site WeFarmUp.
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Comme à son habitude, le Salon aux champs accueille son université d'été pour débattre des évolutions de l’agriculture et des exploitations. Les 30 et 31 août prochain, au sein du salon national des cuma, l’université aux champs vous propose 15 forums sur 2 jours. Où débattront agriculteurs, responsables agricoles, experts et chercheurs.


Le Salon aux champs fait son université d'été

"Des pluies sont tomb&eacute;es ce week-end dans l'Iowa avant de se d&eacute;placer dans&nbsp;l'Illinois et plus &agrave; l'est", a remarqu&eacute; Steve Georgy de la maison de courtage&nbsp;Allendale. Et il est pr&eacute;vu &agrave; moyen terme de nouvelles pr&eacute;cipitations et des&nbsp;temp&eacute;ratures inf&eacute;rieures aux moyennes saisonni&egrave;res. Ces conditions m&eacute;t&eacute;orologiques qui &eacute;loignent le risque de s&eacute;cheresse sont&nbsp;de bon augure au moment o&ugrave; s'approche la moisson du ma&iuml;s et o&ugrave; le soja est en&nbsp;pleine phase de maturation. Est d&eacute;sormais attendue la diffusion apr&egrave;s la cl&ocirc;ture lundi du rapport&nbsp;hebdomadaire du minist&egrave;re am&eacute;ricain de l'Agriculture (USDA) sur la qualit&eacute; des&nbsp;cultures. Plusieurs tourn&eacute;es d'observation des champs de ma&iuml;s et de soja organis&eacute;es&nbsp;par des soci&eacute;t&eacute;s priv&eacute;es sont aussi pr&eacute;vues cette semaine et les acteurs du&nbsp;march&eacute; seront attentifs &agrave; toute information sur les rendements observ&eacute;s. <h2>Rendements</h2>Les participants &agrave; ces tourn&eacute;es "devraient voir des conditions tr&egrave;s&nbsp;variables d'une zone &agrave; l'autre tout au long de leur p&eacute;riple et on devrait&nbsp;avoir des estimations globales &agrave; la fin de la semaine", a indiqu&eacute; Jack&nbsp;Scoville de Price Futures Group. "Beaucoup pensent qu'en raison de la disparit&eacute; des rendements, l'USDA devra&nbsp;r&eacute;viser &agrave; la baisse dans son prochain rapport son estimation de production" du&nbsp;ma&iuml;s et du soja, a-t-il ajout&eacute;. Alors que les r&eacute;coltes s'annoncent abondantes un peu partout dans le monde,&nbsp;les prix du bl&eacute; poursuivaient de leur c&ocirc;t&eacute; leur repli "en l'absence&nbsp;d'informations fra&icirc;ches pouvant apporter un peu de soutien", ont estim&eacute; les&nbsp;analystes de CHS Hedging. Le boisseau de ma&iuml;s (environ 25 kg) pour livraison en d&eacute;cembre, le contrat&nbsp;le plus actif, a termin&eacute; &agrave; 3,6300 dollars contre 3,6575 dollars &agrave; la&nbsp;pr&eacute;c&eacute;dente cl&ocirc;ture. Le boisseau de bl&eacute; pour d&eacute;cembre, contrat le plus &eacute;chang&eacute;, a cl&ocirc;tur&eacute; 4,3700&nbsp;dollars contre 4,4250 dollars vendredi. Le boisseau de soja pour novembre, l&agrave; encore le plus actif, a fini &agrave; 9,3625&nbsp;dollars contre 9,3775 dollars.


Les cours du maïs, du blé et du soja ont reculé lundi à Chicago avec l'arrivée de nouvelles précipitations favorables aux cultures et laissant espérer des rendements plus importants.


Chicago: maïs, blé et soja baissent face aux rendements de bonne tenue

Chez Massey Ferguson, la gamme de moissonneuses-batteuses Activa S compte quatre machines &agrave; 5 ou 6 secoueurs d'une puissance maxi de 243 ch ou 306 ch (Agco Power Tier 4F) pour une capacit&eacute; de tr&eacute;mie de 8600 l, avec ou sans MCS (Multicrop Separator). Le nombre de versions s'enrichit un peu plus avec la possibilit&eacute; d'opter pour la correction de d&eacute;vers ParaLevel. Ce dernier repose sur un syst&egrave;me de liaison par parall&eacute;logramme avec contr&ocirc;le de niveau par pendule &eacute;lectronique. Au fur et &agrave; mesure que la machine &eacute;volue sur un terrain de plus en plus pentu, la stabilit&eacute; augmente car la liaison &agrave; parall&eacute;logramme a pour effet d'&eacute;largir la largeur de la voie.<h2>15 &agrave; 20 %</h2>Le ParaLevel offre une correction jusqu'&agrave; 20 % en pr&eacute;sence d'un essieu arri&egrave;re 4 roues motrices et jusqu'&agrave; 15 % en deux roues motrices. Il autorise l'adoption de pneus larges tels que des 800/65R32 (&lt; 3,5 m sur route) sur le mod&egrave;le MF 73 MCS PL (243 ch). Les deux mod&egrave;les MF Activa ParaLevel sont &eacute;quip&eacute;s du terminal TechTouch 2 assurant le contr&ocirc;le des principales fonctions de la machine et les r&eacute;glages automatiques pour 15 cultures diff&eacute;rentes. Les machines peuvent recevoir la table de coupe MF PowerFlow &agrave; tapis rotatifs sinon la table de coupe classique FreeFlow.<aside class="factbox">
 <h2>BON &Agrave; SAVOIR</h2>
 La nouvelle gamme de cueilleurs &agrave; ma&iuml;s CornFlow, con&ccedil;ue avec Capello, compte au total huit mod&egrave;les &agrave; six et huit rangs, fixes et repliables, avec des espaces entre rangs de 70 ou 75 cm, sp&eacute;cialement con&ccedil;us pour une utilisation avec les moissonneuses-batteuses MF Activa, MF Activa S, MF Beta et MF Centora. Parmi les &eacute;l&eacute;ments caract&eacute;ristiques, on peut noter l&#039;attache soud&eacute;e d&eacute;di&eacute;e au plastron de convoyeur des machines, la pr&eacute;sence de palettes de vis d&#039;alimentation de s&eacute;rie et des diviseurs rotatifs lat&eacute;raux &agrave; entra&icirc;nement hydraulique, le r&eacute;glage hydraulique de l&#039;&eacute;cartement des plaques (s&eacute;rie) ou encore des capots de becs en technopolym&egrave;re. Parmi les options figurent un broyeur de tiges, assurant une coupe en biseau pour acc&eacute;l&eacute;rer la d&eacute;composition tout en &eacute;vitant le ph&eacute;nom&egrave;ne de pincement des soies par des socs &agrave; disques, ainsi qu&#039;un &eacute;craseur de tige.
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Le système compense des pentes allant jusqu'à 15 à 20 % avec essieu arrière 2/4 roues motrices. Il est proposé sur la 5 secoueurs de 243 ch et la 6 secoueurs de 306 ch.


La correction de dévers ParaLevel sur les Activa S de Massey Ferguson

Vers 13H00 (11H00 GMT) sur Euronext, la tonne de bl&eacute; reculait de 75&nbsp;centimes d'euro, tant sur l'&eacute;ch&eacute;ance rapproch&eacute;e de septembre &agrave; 155 euros, que&nbsp;sur celle de d&eacute;cembre &agrave; 161,25 euros, dans un volume d'&eacute;changes tr&egrave;s faible de&nbsp;moins de 6.700 lots. Le volume de r&eacute;coltes sur la mer Noire, et particuli&egrave;rement en Russie,&nbsp;pousse les prix &agrave; se replier &agrave; nouveau dans cette r&eacute;gion, impliquant ainsi un&nbsp;r&eacute;ajustement des prix europ&eacute;ens, notait le cabinet Agritel. Un analyste soulignait le "gigantisme de la r&eacute;colte russe" et faisait &eacute;tat&nbsp;de rumeurs de march&eacute; toujours plus affolantes pour les op&eacute;rateurs, le seuil&nbsp;des 80 millions de tonnes commen&ccedil;ant &agrave; &eacute;merger comme hypoth&egrave;se. Le march&eacute; du ma&iuml;s &eacute;tait lui compl&egrave;tement atone, dans l'attente de remont&eacute;es&nbsp;des exploitations am&eacute;ricaines, qui doivent tomber cette semaine, alors qu'un&nbsp;grand "crop tour" (tour des cultures) doit avoir lieu aux Etats-Unis et&nbsp;renseigner sur les rendements de cette culture. La tonne de ma&iuml;s reculait de 50 centimes sur novembre &agrave; 160,25 euros et&nbsp;&eacute;tait inchang&eacute;e sur janvier &agrave; 164 euros, dans un volume d'&eacute;changes de moins de&nbsp;50 lots.


Les prix du blé continuaient de se replier lundi, à la mi-journée, en raison de l'inquiétude persistante des opérateurs concernant la production mondiale et notamment celle en provenance des pays de la mer Noire, la Russie en tête.


Le blé toujours en berne, plombé par la mer Noire

M. Pinatel a renouvel&eacute; son refus d'une "agriculture (...) de fermes-usines&nbsp;qui sont en train de bousiller notre alimentation et la sant&eacute; des gens".&nbsp;&nbsp; Interrog&eacute; sur la fraude au fipronil, le porte-parole a d&eacute;nonc&eacute; "un jeu des&nbsp;industriels assez opaque". &nbsp;"Est-ce que ce sont les industriels qui ont tard&eacute; &agrave; &eacute;tablir o&ugrave; &eacute;taient&nbsp;pass&eacute;s les produits ou est-ce que c'est le gouvernement qui a tard&eacute; &agrave; sortir&nbsp;la liste?", s'est-il interrog&eacute;. "Nous on penche plut&ocirc;t quand m&ecirc;me sur le fait que les industriels n'ont pas&nbsp;jou&eacute; le jeu", a-t-il poursuivi, jugeant qu'il "aurait fallu (...) que le&nbsp;gouvernement fasse preuve de beaucoup plus de fermet&eacute; et exige de&nbsp;l'agro-alimentaire des r&eacute;sultats et une tra&ccedil;abilit&eacute; beaucoup plus rapide". Plus g&eacute;n&eacute;ralement, "on s'aper&ccedil;oit que tous les scandales sanitaires, tous&nbsp;les scandales de fraude, de tromperie au niveau de l'alimentation (...) c'est&nbsp;l'agro-alimentaire qui les cr&eacute;e et qui les entretient", a affirm&eacute; M. Pinatel. &nbsp;<h2>Pr&eacute;datrice</h2>La Conf&eacute;d&eacute;ration paysanne pour sa part d&eacute;fend un projet "bas&eacute; sur la&nbsp;reconnaissance du travail" et "la juste r&eacute;mun&eacute;ration" des agriculteurs, a dit&nbsp;son porte-parole, revendiquant un poids de 20% aux &eacute;lections professionnelles&nbsp;du secteur agricole. Selon M. Pinatel, "on voit tr&egrave;s bien qu'il y a un type d'agriculture qui&nbsp;est pr&eacute;datrice", "l'agriculture industrielle (qui) a une capacit&eacute; de captation&nbsp;des primes (subventions, ndlr) au niveau europ&eacute;en" et qui "a les moyens de&nbsp;bouffer toute la petite agriculture".&nbsp;Il a d&eacute;nonc&eacute; les "fermes-usines qui sont en train de bousiller notre&nbsp;alimentation et la sant&eacute; des gens, des paysans en premier lieu, et qui sont en&nbsp;train de faire dispara&icirc;tre tout un tas de paysans". <h2>Trente ans</h2>La Conf&eacute;d&eacute;ration paysanne, qui f&ecirc;te ce week-end ses 30 ans, demande une loi&nbsp;pr&eacute;voyant la fixation d'un revenu pour les paysans en fonction de leurs co&ucirc;ts&nbsp;de production, a-t-il rappel&eacute;. "Il faut d&eacute;terminer un prix en-dessous duquel l'agriculteur ne peut pas&nbsp;vivre, et apr&egrave;s il faut que la grande distribution, la grande transformation&nbsp;accepte de partager le g&acirc;teau", a-t-il lanc&eacute;. La Conf&eacute;d&eacute;ration paysanne f&ecirc;tait ce week-end son 30&egrave; anniversaire dans le&nbsp;village charentais d'Alloue, pr&egrave;s de Confolens. Son histoire a &eacute;t&eacute; jalonn&eacute;e&nbsp;d'&eacute;pisodes comme le d&eacute;montage d'un restaurant McDonald &agrave; Millau en ao&ucirc;t 1999&nbsp;sous l'&eacute;gide de son porte-parole de l'&eacute;poque, Jos&eacute; Bov&eacute;, ou d'arrachages de&nbsp;plants de ma&iuml;s transg&eacute;nique dans les ann&eacute;es 2000.


La Confédération paysanne considère que les industriels de l'agro-alimentaire "n'ont pas joué le jeu" dans l'affaire des oeufs contaminés au fipronil et que le gouvernement aurait dû montrer "beaucoup plus de fermeté", a déclaré dimanche sur France Inter, son porte-parole Laurent Pinatel.


Fipronil: les industriels "n'ont pas joué le jeu" (Confédération paysanne)

Le constructeur pr&eacute;sente des nouveaut&eacute;s et &eacute;volutions de gamme dans le domaine du sous-solage, portant sur deux mat&eacute;riels en particulier, &agrave; commencer par le Subevo. Celui-ci aligne une rang&eacute;e de dents incurv&eacute;es de 900 mm de hauteur et de 30 mm d'&eacute;paisseur, r&eacute;servant un d&eacute;gagement important. Le ch&acirc;ssis droit monopoutre limite le porte-&agrave; faux et se pr&ecirc;te &agrave; une combinaison arri&egrave;re avec un outil port&eacute; ou semi port&eacute; (relevage arri&egrave;re hydraulique). L'appareil a pour effet de briser la semelle de labour, de favoriser la croissance des racines et d'am&eacute;liorer le drainage des eaux de pluie. Parmi les options figurent des s&eacute;curit&eacute;s non-stop hydrauliques et diff&eacute;rentes roues de jauge.<h2>Ameublisseur Tineplow</h2>L'ameublisseur Tineplow est quant &agrave; lui sp&eacute;cialement con&ccedil;u pour r&eacute;aliser un travail complet en un seul passage. Sa conception compacte avec deux rang&eacute;es de dents incurv&eacute;e de 650 mm ou 900 mm permet de travailler par soul&egrave;vement afin de fissurer le sol sans le d&eacute;structurer, le tout combin&eacute; &agrave; une action vibratoire des dents. A l'arri&egrave;re, un double rouleau ondul&eacute; et une herse &agrave; peignes viennent compl&eacute;ter ces effets afin de hacher et mixer les r&eacute;sidus dans toutes les conditions avant de laisser une surface nivel&eacute;e. Le Tineplow est propos&eacute; en 5 largeurs de travail comprises entre 3 m et 6 m.


Le Subevo à châssis repliable est proposé en 4 m, 5 m et 6 m. Le Tineplow aligne deux rangées de dents proposées en deux dimensions.


Subevo et Tineplow, les nouveaux sous-soleurs de Quivogne

L'animal tu&eacute; le 15 ao&ucirc;t est un jeune adulte femelle de 25 kilos et celui&nbsp;abattu les 17 ao&ucirc;t un jeune adulte m&acirc;le de 35 kilos, pr&eacute;cise la pr&eacute;fecture de&nbsp;Savoie dans un communiqu&eacute;. Les cadavres ont &eacute;t&eacute; pris en charge par les agents de l'Office national de&nbsp;la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) et d&eacute;pos&eacute;s jeudi au laboratoire&nbsp;d&eacute;partemental d'analyses v&eacute;t&eacute;rinaires de la Savoie afin d'y r&eacute;aliser les&nbsp;pr&eacute;l&egrave;vements n&eacute;cessaires. Les op&eacute;rations ont &eacute;t&eacute; mises en oeuvre par les lieutenants de louveterie&nbsp;intervenant sur ces deux secteurs, avec le concours de chasseurs habilit&eacute;s,&nbsp;sous le contr&ocirc;le technique de l'ONCFS. Ces abattages font suite &agrave; la d&eacute;livrance d'autorisations "de tirs de&nbsp;d&eacute;fense renforc&eacute;e" &agrave; des &eacute;leveurs victimes d'attaques r&eacute;currentes sur leurs&nbsp;troupeaux. Les animaux abattus seront d&eacute;compt&eacute;s du quota &eacute;tabli par l'arr&ecirc;t&eacute; du 18&nbsp;juillet 2017 fixant &agrave; 40 le nombre maximum de loups dont la destruction pourra&nbsp;&ecirc;tre autoris&eacute;e sur le territoire fran&ccedil;ais pour la p&eacute;riode allant du 1er&nbsp;juillet 2017 au 30 juin 2018.


Deux loups ont été abattus en Savoie, mardi à Valloire et jeudi à La Léchère, dans le cadre des opérations autorisées en cas d'attaques de troupeaux, a annoncé vendredi la préfecture de ce département.


Deux loups abattus en Savoie après des attaques de troupeaux

L'application Lely Meteor fait partie d'une approche globale de la sant&eacute; des pattes. Le concept Meteor est d&eacute;velopp&eacute; pour les &eacute;leveurs laitiers poss&eacute;dant un robot de traite Lely Astronaut. L'application permet aux pareurs et aux &eacute;leveurs d'enregistrer, pour chaque patte, le type de maladie, son emplacement et son degr&eacute; de s&eacute;v&eacute;rit&eacute;. Ils peuvent indiquer le type de soin qui a &eacute;t&eacute; r&eacute;alis&eacute;, par exemple, un bandage ou la pose de talonnettes, et si n&eacute;cessaire, programmer un rappel pour le suivi. En outre, il est possible de g&eacute;n&eacute;rer un rapport sur la sant&eacute; des pattes en un seul clic. Ce rapport offre une vue globale de l'&eacute;volution de la sant&eacute; des pattes dans l'&eacute;levage. Il fournit &eacute;galement un r&eacute;capitulatif clair des interventions du pareur. L'application Lely Meteor est disponible gratuitement pour iPad via l'App Store.&nbsp;


L’application Meteor fonctionne en association avec le robot de traite Astronaut. Elle est disponible gratuitement pour iPad via l'App Store. 


Une application Lely pour évaluer et suivre la santé des pattes

L'Agence f&eacute;d&eacute;rale pour la s&eacute;curit&eacute; de la cha&icirc;ne alimentaire (Afsca) a pu&nbsp;analyser ces derniers jours des "&eacute;chantillons historiques" d'un fabricant&nbsp;belge de produits d'oeufs, a expliqu&eacute; son administrateur d&eacute;l&eacute;gu&eacute; Herman&nbsp;Diricks. Sur les 14 &eacute;chantillons que l'entreprise avait conserv&eacute;s pour le mois de&nbsp;septembre 2016, un &eacute;chantillon pr&eacute;sentait "de l&eacute;g&egrave;res traces de fipronil",&nbsp;a-t-il ajout&eacute;. Le taux constat&eacute; est inf&eacute;rieur &agrave; 0,005 mg par kilo d'oeufs, qui correspond&nbsp;selon la r&eacute;glementation europ&eacute;enne &agrave; une pr&eacute;sence r&eacute;siduelle de la substance,&nbsp;pr&eacute;cise un document de l'agence.&nbsp;Aucune pr&eacute;sence de cet insecticide interdit dans la cha&icirc;ne alimentaire n'a&nbsp;en revanche &eacute;t&eacute; d&eacute;tect&eacute;e dans les &eacute;chantillons d'oeufs datant de la p&eacute;riode&nbsp;d'octobre &agrave; d&eacute;cembre 2016 conserv&eacute;s par le fabricant d'ovoproduits, qui se&nbsp;fournissait aupr&egrave;s d'&eacute;levages de plusieurs pays. &nbsp;Mais cette substance "mod&eacute;r&eacute;ment toxique" quand elle est consomm&eacute;e en&nbsp;grandes quantit&eacute;s, selon l'Organisation mondiale de la sant&eacute; (OMS), semble&nbsp;pr&eacute;sente plus fr&eacute;quemment &agrave; partir de janvier 2017. "De janvier &agrave; mai 2017, nous avons pu retrouver des traces de fipronil dans&nbsp;10 de 35 &eacute;chantillons. Tous ces taux se situent en-dessous du seuil" pr&eacute;vu par&nbsp;la r&eacute;glementation europ&eacute;enne, a expliqu&eacute; M. Diricks. <h2>Tests</h2>Une crise sanitaire a &eacute;clat&eacute; d&eacute;but ao&ucirc;t autour de la contamination de&nbsp;dizaines de millions d'oeufs, qui provient de la d&eacute;sinfection d'&eacute;levages de&nbsp;poules pondeuses en Belgique, aux Pays-Bas, en Allemagne et en France par un&nbsp;produit contenant du fipronil, un antiparasitaire strictement interdit dans la&nbsp;cha&icirc;ne alimentaire. Elle touche d&eacute;sormais 18 pays d'Europe, mais aussi Hong Kong et le Liban. Plusieurs entreprises belges ou n&eacute;erlandaises sont dans le collimateur de&nbsp;la justice pour avoir commercialis&eacute; ou appliqu&eacute; ce produit pr&eacute;sent&eacute; comme&nbsp;"naturel", le DEGA-16, dans les &eacute;levages. Le ministre belge de l'Agriculture, Denis Ducarme, a pour sa part assur&eacute;&nbsp;que la Belgique avait r&eacute;ussi &agrave; circonscrire le probl&egrave;me. A l'exception de 21 exploitations encore bloqu&eacute;es, "toute la fili&egrave;re de&nbsp;production d'oeufs en Belgique est d&eacute;sormais test&eacute;e et garantie sans&nbsp;fipronil", a affirm&eacute; le ministre. "Nous sortons progressivement de la crise du fipronil", a-t-il ajout&eacute;. Des dizaines de millions d'oeufs provenant des poulaillers contamin&eacute;s ont&nbsp;d&eacute;j&agrave; &eacute;t&eacute; d&eacute;truits en Belgique et aux Pays-Bas, o&ugrave; quelque 150 &eacute;levages ont &eacute;t&eacute;&nbsp;bloqu&eacute;s. L'industrie alimentaire craignant une p&eacute;nurie, les prix des oeufs fix&eacute;s&nbsp;chaque mercredi &agrave; la cri&eacute;e en Belgique ont augment&eacute; de 2,5% cette semaine,&nbsp;apr&egrave;s une hausse de 6% la semaine derni&egrave;re.


Les autorités belges ont découvert un échantillon d'oeufs contenant des traces de fipronil remontant à septembre 2016, a annoncé jeudi le patron de l'Agence de sécurité alimentaire belge devant le Parlement.


Belgique: des oeufs contenant des traces de fipronil en septembre 2016

Depuis la r&eacute;v&eacute;lation de la contamination de millions d'&oelig;ufs au fipronil, les producteurs fran&ccedil;ais semblent pr&eacute;serv&eacute;s du scandale, contrairement &agrave; leurs homologues n&eacute;erlandais. En effet, l'insecticide incrimin&eacute; ne dispose pas d'autorisation de mise sur le march&eacute; en France. &laquo;&nbsp;C'est pourquoi nous nous permettons de dire qu'aucun &eacute;leveur fran&ccedil;ais n'utilise ce produit&nbsp;&raquo;, insiste Philippe Juven, producteur d'&oelig;ufs dans la Dr&ocirc;me et pr&eacute;sident du Comit&eacute; national pour la promotion de l'&oelig;uf (CNPO). &laquo;&nbsp;En France, sur le plan sanitaire, on est irr&eacute;prochable&nbsp;&raquo;,&nbsp;r&eacute;sume ainsi&nbsp;<a href="https://wiki.tripleperformance.fr/wiki/Horticulture_-_Plante_%C3%A0_parfum_aromatique_et_m%C3%A9dicinales">Christiane Lambert</a>, pr&eacute;sidente de la FNSEA.&nbsp;Seul un &eacute;leveur du Pas de Calais s'est d&eacute;clar&eacute; spontan&eacute;ment aupr&egrave;s des autorit&eacute;s&nbsp;: &laquo;&nbsp;une d&eacute;sinsectisation de son &eacute;levage a &eacute;t&eacute; r&eacute;alis&eacute;e par une entreprise belge&nbsp;&raquo;, pr&eacute;cise Philippe Juven.&nbsp;&nbsp;<h2>Des &eacute;leveurs &laquo;&nbsp;agac&eacute;s&nbsp;&raquo;</h2>Pour autant, l'inqui&eacute;tude pr&eacute;vaut au sein des producteurs fran&ccedil;ais, qui ont tous en m&eacute;moire la crise de la vache folle et ses r&eacute;percussions &eacute;conomiques. &laquo;&nbsp;Les &eacute;leveurs sont fortement agac&eacute;s par cette affaire et cette m&eacute;diatisation &agrave; outrance&nbsp;&raquo;, indique le pr&eacute;sident du CNPO. Cette vaste fraude pourrait avoir un impact n&eacute;gatif sur les ventes d'oeufs si le doute venait &agrave; s'installer au sein des consommateurs.&laquo;&nbsp;D&egrave;s que nous aurons les premi&egrave;res tendances de consommation, nous agirons en cons&eacute;quence&nbsp;&raquo;,&nbsp;souligne Philippe Juven. De premiers indicateurs permettront d'y voir plus clair en septembre. Dans l'imm&eacute;diat,&nbsp;&laquo;&nbsp;nous devons faire notre travail aupr&egrave;s des m&eacute;dias pour dire ce qu'il en est dans cette affaire, il faut que le consommateur ait confiance&nbsp;&raquo;, souligne le responsable professionnel.Ce dernier regrette n&eacute;anmoins que les Pays-Bas aient &laquo;&nbsp;tard&eacute;&nbsp;&raquo; &agrave; communiquer l'information, afin que les entreprises fran&ccedil;aises ayant import&eacute; des oeufs ou des produits &agrave; base d'oeufs susceptibles de contenir du fipronil&nbsp;puissent r&eacute;agir rapidement.<h2>Une opportunit&eacute; pour les &oelig;ufs fran&ccedil;ais&nbsp;?</h2>Philippe Juven voit dans ce scandale une&nbsp;&laquo;&nbsp;une le&ccedil;on&nbsp;&raquo; &agrave; retenir&nbsp;: &laquo; en France, nous sommes autosuffisants et nous avons une tra&ccedil;abilit&eacute;. Nous pouvons r&eacute;agir rapidement en cas de probl&egrave;me sanitaire. Voil&agrave; pourquoi il ne faut pas abandonner la production nationale en allant nous approvisionner aux Pays-Bas&nbsp;&raquo;. &nbsp;Au final, ce scandale pourrait-il permettre aux producteurs d'&oelig;ufs fran&ccedil;ais de se d&eacute;marquer positivement&nbsp;? &laquo;&nbsp;C'est &agrave; la fili&egrave;re d'&ecirc;tre capable d'expliquer aux consommateurs qu'ils ont toutes les raisons de garder confiance &raquo;, r&eacute;pond Philippe Juven. Ce dernier d&eacute;fend d'ailleurs tous les types d'&eacute;levage, notamment les syst&egrave;mes industriels. &laquo;&nbsp;J'entends des gens qui font l'amalgame entre ce scandale et certains modes d'&eacute;levage. Il ne faut pas s'adonner &agrave; ce genre de critiques qui nous feraient perdre nos parts de march&eacute; et seraient d&eacute;mobilisatrices. Il existe une production globale avec diff&eacute;rents modes d'&eacute;levage car la demande est multiple&nbsp;&raquo;.&nbsp;


Rencontre avec Philippe Juven, président du Comité national pour la promotion de l'œuf (CNPO). Ce producteur d’œufs se bat depuis que l'affaire a éclaté pour garder la confiance du consommateur. 


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