Malgré un commerce qui reste assez calme dans le secteur aval, l'activité…

Vente rapide

L'activité commerciale reste soutenue, faute d'offre…

Vente toujours active

La présentation est juste suffisante pour les besoins exprimés.…

Vente active

La présentation est mesurée pour une demande bien…

Vente fluide

L'activité commerciale est convenable pour cette…

Commerce régulier

La présentation est plus modeste pour une…

Cours stables

Le commerce est à l'équilibre avec des…

Marché équilibré

Le commerce est régulier avec des tarifs stables…

Vente régulière, cours reconduits

L'activité commerciale est plus calme, avec une offre un peu plus…

Vente plus calme en laitières

L'activité commerciale est quelque peu favorisée par la modestie de l'offre…

Vente plus régulière

L'animation commerciale est plus convenable, avec un marché à l'équilibre…

Cours reconduits

Le commerce est calme mais les tarifs se stabilisent…

Stabilisation des prix en laitières

Le commerce reste calme dans les bonnes vaches…

Les laitières restent à la baisse

Les transactions sont calmes avec une tendance baissière qui se…

Les abatteurs maintiennent la pression

Le commerce est calme avec des tarifs plus discutés dans les…

Recul de la demande

L'animation commerciale est calme avec une demande mesurée des…

Cours en baisse

L'activité commerciale se durcit avec une offre qui se montre…

L'activité commerciale est beaucoup plus calme avec des commandes de…

Nouvelle baisse en laitières

Baisse en laitières

L'activité commerciale est normale avec…

Commerce plus calme

La présentation est un peu moins importante que la semaine…

Bon commerce

L'activité commerciale est assez soutenue avec une offre…

Le niveau de l'offre est peu abondant et juste suffisant…

Commerce plus fluide

L'activité commerciale est calme mais la…

Vente calme

Les abatteurs ne montrent pas de besoins particuliers avec une…

Les tarifs se maintiennent

Boucherie

Pour rappel, les surfaces de bl&eacute; tendre avaient atteint l&rsquo;an pass&eacute; un plancher jamais atteint depuis plus de 35 ans, pas m&ecirc;me en 1993 lors de la campagne intronisant la nouvelle Pac et la jach&egrave;re. Cons&eacute;quence d&rsquo;un interminable enchainement d&rsquo;al&eacute;as m&eacute;t&eacute;orologiques, la production de bl&eacute; tendre &eacute;tait pass&eacute;e sous les 26 millions de tonnes, du jamais vu depuis 1983, sous l&rsquo;effet d&rsquo;une surface r&eacute;duite &agrave; 4,15Mha, combin&eacute;e &agrave; un rendement moyen de 61,0q/ha. La reprise des emblavements &agrave; l&rsquo;automne 2024, de +10,0% selon Agreste, est donc toute relative. <aside class="read-also">
 &Agrave; voir aussi
 <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/retro-2024-en-juillet-la-pire-moisson-depuis-40-ans" target="_blank" title="">[R&eacute;tro 2024] En juillet, la pire moisson depuis 40 ans</a>
</aside>
Le bl&eacute; tendre couvrirait ainsi 4,57Mha, peu ou prou en phase avec la moyenne quinquennale 2020-2024 (+0,4%). Cependant, &laquo;&nbsp;la saturation en eau des sols dans certains territoires, notamment en Bretagne, en Normandie, en Champagne et Centre-Val de Loire pourrait affecter les rendements futurs ou n&eacute;cessiter de re-semer au printemps&nbsp;&raquo;, met en garde le service statistique du minist&egrave;re de l&rsquo;Agriculture.Les orges d&rsquo;hiver et escourgeons occuperaient de leur c&ocirc;t&eacute; 1,21Mha, en recul&nbsp;de 2,1% sur un an et de 3,5% par rapport &agrave; la moyenne quinquennale.<h2>Le bl&eacute; dur sous les 200.000 ha</h2>La situation du bl&eacute; dur continue en revanche de se d&eacute;grader. Selon les pr&eacute;visions d&rsquo;Agreste, les surfaces &nbsp;diminueraient de 5,7% sur un an, pour atteindre 198.000ha, soit le plus bas niveau depuis 30 ans. Visiblement, <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/le-ble-dur-rattrape-par-des-enjeux-de-souverainete" target="_blank">le Plan de souverainet&eacute; lanc&eacute; au printemps 2024</a> peine encore &agrave; produire ses premiers effets. Le recul touche presque tous les principaux d&eacute;partements producteurs et particuli&egrave;rement ceux de Midi-Pyr&eacute;n&eacute;es (- 21%) ou du Centre-Val de Loire (- 9%). &Agrave; l&rsquo;inverse de la tendance nationale, la superficie emblav&eacute;e augmenterait dans les Pays-de-la-Loire (+ 12%) et en Poitou-Charentes (+9%).<h2>Le colza sous la barre des 1,3 million d&rsquo;ha</h2>La sole de colza d&rsquo;hiver est estim&eacute;e &agrave; 1,27 Mha, en baisse de 4,1% par rapport &agrave; 2024 mais en hausse de 6,2% par rapport &agrave; la moyenne&nbsp;2020-2024. La baisse toucherait plus particuli&egrave;rement les r&eacute;gions d&eacute;j&agrave; concern&eacute;es par le recul de 2024 : les Hauts-de-France (-20%), la Bretagne (- 8%) et les Pays de la Loire (- 5%). A contrario, la sole augmenterait fortement sur un an en Bourgogne (+14%), en Midi-Pyr&eacute;n&eacute;es (+ 10%) et dans une moindre mesure dans le Grand Est (+4%).

La sole de blé tendre rebondit de 10,0% tandis que celle de blé dur fléchit à nouveau pour passer sous les 200.000ha. Le colza repasse sous la barre des 1,3 million d’ha.

Semis d’hiver 2024 : le blé tendre en hausse, le blé dur et le colza en baisse

March&eacute; du Porc Fran&ccedil;ais : perte de 0,5 centime le lundi, stable le jeudi. Alors que le prix moyen avait baiss&eacute; de 0,1 centime lors des quatre derniers march&eacute;s, ce lundi 3 f&eacute;vrier 2025, une baisse de 0,5 centime a &eacute;t&eacute; observ&eacute;e. Bien que cette baisse semble plus importante, il est important de noter qu&rsquo;elle &eacute;tait souhait&eacute;e par l&rsquo;ensemble des acheteurs pr&eacute;sents au march&eacute;. N&eacute;anmoins, bien que l&rsquo;on pouvait s&rsquo;attendre &agrave; une nouvelle baisse, le march&eacute; du jeudi 6 f&eacute;vrier est rest&eacute; stable, les acheteurs semblant en accord avec le prix moyen fix&eacute; lundi. Les variations d&rsquo;ench&egrave;res ont &eacute;t&eacute; faibles et rares, montrant une certaine coh&eacute;rence avec ce prix. Sur la zone UNIPORC, les volumes sont &agrave; nouveau en recul cette semaine, tant par rapport &agrave; la semaine pr&eacute;c&eacute;dente qu&rsquo;&agrave; 2024. Les poids se sont quant &agrave; eux stabilis&eacute;s, refl&eacute;tant un &eacute;quilibre du march&eacute; sur le territoire fran&ccedil;ais.<h2>Europe : une remont&eacute;e des prix au sud du continent, stabilit&eacute; au nord.</h2>Allemagne : La situation du march&eacute; porcin en Allemagne reste tendue, avec un exc&eacute;dent de porcs et une pression persistante pour une baisse des prix. Cependant, les prix se maintiennent, car les abatteurs cherchent &agrave; attirer un certain volume de porcs vers leurs outils. Le nombre d&rsquo;abattages a augment&eacute; la semaine derni&egrave;re, mais les &eacute;volutions restent minimes. Par ailleurs, le march&eacute; des porcelets montre des signes positifs, avec une certaine stabilit&eacute; des prix. L&rsquo;incertitude demeure quant &agrave; l&rsquo;&eacute;volution du march&eacute; dans les semaines &agrave; venir.Espagne : La lecture du march&eacute; reste complexe en Espagne. Avec des poids en baisse indiquant une demande accrue et une offre limit&eacute;e, la hausse des prix s&rsquo;explique naturellement. Cependant, jusqu&rsquo;ici, les poids records avaient retard&eacute; cette remont&eacute;e. L&rsquo;Espagne semble tirer profit des pertes de parts de march&eacute; &agrave; l&rsquo;exportation de l&rsquo;Allemagne, en particulier au sein de l&rsquo;UE. En revanche, cette dynamique n&rsquo;est pas encore significative hors de l&rsquo;Union europ&eacute;enne.Belgique : L'activit&eacute; est en hausse de 8 &agrave; 9 % par rapport &agrave; la m&ecirc;me semaine en 2024. Toutefois, les poids diminuent lentement depuis janvier, avec un rebond de 130 g la semaine derni&egrave;re. Par ailleurs, les acheteurs allemands restent r&eacute;ticents &agrave; l&rsquo;achat de porcs belges.Italie : La reprise reste mod&eacute;r&eacute;e, avec une offre relativement importante qui p&egrave;se sur les prix. Ces derniers ont de nouveau baiss&eacute; de mani&egrave;re significative. Le prix italien, qui &eacute;tait rest&eacute; tr&egrave;s &eacute;lev&eacute; en fin d&rsquo;ann&eacute;e 2024, ne cesse de diminuer. Cette situation avait fortement impact&eacute; l&rsquo;industrie de transformation, qui semble aujourd&rsquo;hui peiner &agrave; relancer une dynamique en 2025.USA : L'am&eacute;lioration des conditions m&eacute;t&eacute;orologiques a permis un rebond des abattages. Malgr&eacute; cela, les prix &eacute;taient rest&eacute;s relativement stables. Cependant, ils ont augment&eacute; deux semaines cons&eacute;cutives et plus nettement la semaine derni&egrave;re.Chine : Apr&egrave;s la F&ecirc;te du Printemps, les prix sont en baisse. L&rsquo;offre augmente avec la reprise des abattages, notamment ceux des grandes entreprises porcines. Toutefois, la demande diminue, la consommation ralentissant apr&egrave;s les festivit&eacute;s et le march&eacute; du gros restant peu actif. Face &agrave; l&rsquo;anticipation d&rsquo;une nouvelle baisse des prix, les &eacute;leveurs sont incit&eacute;s &agrave; vendre rapidement.&nbsp;

Race	Conformation	Sexe	Poids	Prix min	Prix max	Prix moyen	Variation
Charolaises	U	F	>350kg	5,6 €	5,7 €	5,65 €	+0,05 €
Charolaises	R	F	>350kg	5,4 €	5,6 €	5,55 €	+0,05 €

Race	Conformation	Sexe	Poids	Prix min	Prix max	Prix moyen	Variation
Charolaises -10 ans +350 kg	U	F	-10 ans +350 kg	5,6 €	5,7 €	5,65 €	+0,05 €
Charolaises -10 ans +350 kg	R	F	-10 ans +350 kg	5,4 €	5,6 €	5,55 €	+0,05 €
Laitier	O	F	-	4,35 €	4,45 €	4,4 €	+0,05 €
Laitier	P	F	-	3,75 €	4,35 €	4,3 €	+0,05 €
Mixte	O	F	-	4,7 €	4,8 €	4,75 €	+0,05 €
Viande	U	F	-	5,4 €	5,65 €	5,5 €	+0,05 €
Viande	R	F	-	5,1 €	5,4 €	5,2 €	+0,05 €
Viande	O	F	-	4,75 €	5,1 €	4,95 €	+0,10 €

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