Bonne vente

Les apports sont très modestes et bonne…

Vente fluide

Commerce plus régulier

Offre non représentative

L’activité commerciale reste très fluide…

Vente rapide

Vente active

Peu d’offre

L’activité commerciale est perturbée par la…

Bonne ambiance

Belle vente

Offre réduite

Transactions régulières

La vente est fluide avec une fermeté des cours…

Stabilisation des prix

Les transactions sont rapides avec une…

Commerce actif

Les transactions sont très fluides avec…

Les transactions sont actives avec une…

Maigre

Conjoncture &ndash; Dans un commerce ou l&rsquo;&eacute;volution des prix est assez rapide, l&rsquo;observation des tendances du march&eacute; est primordiale pour les &eacute;leveurs. M&ecirc;me si la concurrence dans les campagnes est forte, il est important de se confronter au march&eacute; pour se situer, dans la valorisation de ces animaux.M&ecirc;me si tout le monde est conscient du probl&egrave;me, le milieu de l&rsquo;&eacute;levage se d&eacute;peuple. La d&eacute;croissance des volumes perdure avec toujours plus de d&eacute;parts que de reprises. Quand les terres sont cultivables, les animaux sont remplac&eacute;s par des cultures et cela est tr&egrave;s souvent irr&eacute;m&eacute;diable. Dans les zones d&rsquo;&eacute;levage pures, les fermes s&rsquo;agrandissent, mais sans progression des cheptels, faute de temps ou de main-d&rsquo;&oelig;uvre. Ces agrandissements participent &agrave; la s&eacute;curisation alimentaire qui est une pr&eacute;occupation forte du monde de l&rsquo;&eacute;levage, avec des changements climatiques aux effets d&eacute;vastateurs. Les jeunes &eacute;leveurs qui s&rsquo;installent ou sont en projet d&rsquo;installation devront prendre en compte ces &eacute;l&eacute;ments, mais le plus gros probl&egrave;me qui se pr&eacute;sente devant eux est souvent la valeur de reprise ou d&rsquo;achat des cheptels. En un an elle a pris 25&nbsp;%, avec des besoins en fonds de roulement qui se sont accrus. Les financeurs sont r&eacute;ticents, m&ecirc;me si &agrave; terme la valorisation des produits &agrave; la vente est plus confortable.Apr&egrave;s deux ann&eacute;es tr&egrave;s cl&eacute;mentes, la s&eacute;cheresse de 2025 aura des cons&eacute;quences sur les niveaux de production de l&rsquo;ann&eacute;e &agrave; venir. L&rsquo;ensemble des pays de l&rsquo;UE sont touch&eacute;s, avec un d&eacute;ficit hydrique tr&egrave;s fort sur les Balkans et le nord-est de l&rsquo;Europe. Les &eacute;leveurs vont manquer de fourrage, ce qui va accentuer la d&eacute;cheptellisation dans les pays concern&eacute;s. La France n&rsquo;est pas mieux lotie, avec des ensilages de ma&iuml;s tr&egrave;s pr&eacute;coce et des rendements faibles notamment dans les cultures non irrigu&eacute;es. Les restrictions d&rsquo;arrosage ont &eacute;galement des cons&eacute;quences sur les surfaces arros&eacute;es. Dans les quinze jours qui arrivent, les &eacute;leveurs vont faire le bilan de leurs stocks, afin de pouvoir prendre des positions strat&eacute;giques. Dans les r&eacute;gions d&rsquo;herbages, l&rsquo;affouragement dans les prairies grill&eacute;es est souvent de mise comme dans le Limousin. Le niveau des prix des aliments est quant &agrave; lui tr&egrave;s convenable au regard de la valorisation des c&eacute;r&eacute;ales et permet une compl&eacute;mentation qui est largement amortie par le prix des broutards. Chacun attend les pr&eacute;cipitations pr&eacute;vues pour les prochains jours, qui vont sauver les prairies qui ne sont pas grill&eacute;es ou faire repartir les autres pour l&rsquo;automne (ce sera plus long). Ces pr&eacute;cipitations seront &eacute;galement les bienvenues pour les implantations des cultures de fin d&rsquo;&eacute;t&eacute;.Dans ce contexte d&eacute;j&agrave; tr&egrave;s pr&eacute;occupant, la production laiti&egrave;re est en net repli. Les effets de ce repli de la production sont tr&egrave;s impactant pour les outils industriels qui ont et ont de plus en plus de mal &agrave; trouver la marchandise n&eacute;cessaire pour couvrir leurs commandes, dans un mixte viande transform&eacute;e/pi&egrave;ces &agrave; d&eacute;couper qui continue d&rsquo;&eacute;voluer vers plus de viande transform&eacute;e. Apr&egrave;s avoir subi une forte progression des prix sur d&eacute;but d&rsquo;ann&eacute;e, les industriels observent depuis deux semaines un manque de vaches pour servir les magasins ou les restaurants scolaires pour la rentr&eacute;e.Cette rentr&eacute;e 2025 se fait sur une dynamique positive en termes de valorisation pour les &eacute;leveurs faute d&rsquo;offre suffisante, quelle que soit la gamme de marchandise. Les ensilages de ma&iuml;s qui ont d&eacute;but&eacute;, contribuent ponctuellement au ralentissement de l&rsquo;offre, alors que les besoins sont forts. La forte progression des prix qui en d&eacute;coule est un &eacute;l&eacute;ment de plus pour retarder les ventes. Cela ne sera pas sans poser de probl&egrave;me dans le secteur de la restauration hors foyer, attach&eacute; au VBF (notamment scolaire) o&ugrave; les budgets restent serr&eacute;s avec des enjeux soci&eacute;taux importants, dans cette p&eacute;riode de rentr&eacute;e politique en forte tension.<a href="https://www.pleinchamp.com/les-cours/betail-vif" target="_blank">Cliquer ici pour retrouver tous vos cours sur le b&eacute;tail vif </a>

Les éleveurs sont très attentifs à l’orientation des prix, au regard d’un marché en ébullition.

Conjoncture : L’observation des tendances des marchés est primordiale

Agneaux &ndash; Les animations commerciales de rentr&eacute;e et le r&eacute;approvisionnement des magasins donnent un peu de tonus aux &eacute;changes. Les acheteurs sont &agrave; la recherche de bons agneaux correctement finis, avec une offre un peu plus &eacute;toff&eacute;e pour cette semaine. &nbsp;Les tarifs se redressent apr&egrave;s des semaines de baisse. &nbsp; 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/reference/8/0/7/5/7825708-1-fre-FR/d5a7d39ddf05-4-agneaux.jpg" alt="" height="301" width="600" /></figure>

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Brebis &ndash; La demande &agrave; l&rsquo;export vers l&rsquo;Italie reste tr&egrave;s pr&eacute;sente, ce qui entra&icirc;ne une bonne tenue des prix dans les brebis lourdes face &agrave; des sorties saisonni&egrave;res mesur&eacute;es. Avis d&rsquo;expert&nbsp;: Agneaux&nbsp;: la demande sera plus soutenue dans les bons agneaux.<a href="https://www.pleinchamp.com/les-cours/betail-vif" target="_blank">Cliquer ici pour retrouver tous vos cours sur le b&eacute;tail vif </a>

Race	Conformation	Sexe	Poids	Prix min	Prix max	Prix moyen	Variation
Blonds d'Aquitaine (4 à 12 mois)	U	M	150-200	- €	- €	6,1 €	+0,00 €
Blonds d'Aquitaine (4 à 12 mois)	U	M	200-250	- €	- €	6,6 €	+0,20 €
Blonds d'Aquitaine (4 à 12 mois)	U	M	250-300	- €	- €	6,65 €	+0,20 €
Blonds d'Aquitaine (4 à 12 mois)	U	M	300-350	- €	- €	6,85 €	+0,40 €
Blonds d'Aquitaine (4 à 12 mois)	R	M	150-200	- €	- €	5 €	+0,00 €
Blonds d'Aquitaine (4 à 12 mois)	R	M	200-250	- €	- €	5,6 €	+0,20 €
Blonds d'Aquitaine (4 à 12 mois)	R	M	250-300	- €	- €	5,6 €	+0,20 €
Blonds d'Aquitaine (4 à 12 mois)	R	M	300-350	- €	- €	5,65 €	+0,20 €
Blonds d'Aquitaine (4 à 12 mois)	U	F	150-200	- €	- €	5,1 €	+0,00 €
Blonds d'Aquitaine (4 à 12 mois)	U	F	200-250	- €	- €	5,4 €	+0,10 €
Blonds d'Aquitaine (4 à 12 mois)	U	F	250-300	- €	- €	5,6 €	+0,10 €
Blonds d'Aquitaine (4 à 12 mois)	R	F	150-200	- €	- €	4,35 €	+0,00 €
Blonds d'Aquitaine (4 à 12 mois)	R	F	200-250	- €	- €	4,8 €	+0,20 €
Blonds d'Aquitaine (4 à 12 mois)	R	F	250-300	- €	- €	5 €	+0,10 €
Limousins	U	M	250-300	- €	- €	6 €	+0,00 €
Limousins	U	M	300-350	- €	- €	5,85 €	+0,00 €
Limousins	U	M	350-400	- €	- €	5,75 €	+0,00 €
Limousins	R	M	250-300	- €	- €	5,5 €	+0,00 €
Limousins	R	M	300-350	- €	- €	5,55 €	+0,00 €
Limousins	R	M	350-400	- €	- €	5,45 €	+0,00 €
Limousins	U	F	200-250	- €	- €	5,1 €	+0,20 €
Limousins	U	F	250-300	- €	- €	5,1 €	+0,00 €
Limousins	U	F	300-350	- €	- €	5,15 €	+0,00 €
Limousins	R	F	200-250	- €	- €	4,65 €	+0,00 €
Limousins	R	F	250-300	- €	- €	5,25 €	+0,20 €
Limousins	R	F	300-350	- €	- €	5,05 €	+0,00 €

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