L’ambiance commerciale est calme avec une demande…

Cours reconduits

L’activité commerciale reste très calme avec une demande qui ne décolle pas…

Commerce calme

La présentation est limitée mais avec beaucoup…

Trop d’agneaux lourds

La présentation est plus importante, mais avec…

Vente laborieuse dasn les lourds

La présentation est moins importante, mais…

Vente laborieuse

L'offre est stable dans les brebis mais progressent sensiblement dans les agneaux.…

L’offre est étoffée et largement suffisante pour la demande.…

Tarifs difficilement reconduits

L’activité commerciale reste très calme, avec des acheteurs peu nombreux et…

Cours juste reconduits

L’offre est importante et plus hétérogène en qualité. Les conséquences de…

Poursuite de la baisse

La canicule demeure très défavorable à la vente dans…

Commerce toujours très calme

Le coup de chaleur qui se poursuit est très défavorable à la vente dans les…

Demande atone

L’offre est plus abondante dans les agneaux. L’activité commerciale est…

La canicule fait fondre les ventes

Même si les ventes du prochain week-end vont bénéficier de…

Commerce très calme

La consommation est un peu plus régulière en ce début de mois, mais…

Vente calme

Le manque de consommation pèse sur le commerce. L'activité…

Le recul de la consommation est marqué, et impacte sérieusement le commerce.…

Le climat commercial reste pesant

L’équilibre offre/demande tourne à la défaveur des éleveurs. L’offre est…

Nouvelle dégradation des prix

L’offre est un peu plus étoffée, alors que la demande est…

Manque de consommation

L’activité commerciale reste tendue, malgré une présentation toujours très…

Nouvelle baisse

La présentation est modeste, mais elle se montre largement…

Cours en baisse

Passés les approvisionnements pour les fêtes pascales, la…

Vente plus calme

La présentation est importante et à la hauteur des attentes…

Très belle foire de Pâques

Alors que se profilent les fêtes pascales, la faiblesse de l’offre ne…

Vente dynamique

La présentation est modeste mais avec une…

Commerce plus actif

Marché équilibré

Ovins/caprins

Conjoncture &ndash; Apr&egrave;s une p&eacute;riode de rentr&eacute;e qui s&rsquo;est faite sous le signe d&rsquo;un fort manque de marchandise et de tarifs &eacute;lev&eacute;s pour les industriels, le march&eacute; entre dans une zone d&rsquo;instabilit&eacute; politique et sociale. Ces deux &eacute;l&eacute;ments sont peu favorables &agrave; la consommation, alors que l&rsquo;offre en r&eacute;formes laiti&egrave;res devrait s&rsquo;accro&icirc;tre lentement apr&egrave;s les ensilages de ma&iuml;s.En cette p&eacute;riode de rentr&eacute;e et face &agrave; un consommateur qui se dit de plus en plus flexitarien au regard de l&rsquo;accroissement des prix dans les magasins, la communication &agrave; travers des &eacute;missions t&eacute;l&eacute; grand public ou des publicit&eacute;s joue un r&ocirc;le tr&egrave;s important, sans oublier la diffusion sur les r&eacute;seaux sociaux aupr&egrave;s des jeunes g&eacute;n&eacute;rations urbaines qui montrent un attrait grandissant pour les produits transform&eacute;s (steak hach&eacute;&hellip;). Les jeunes g&eacute;n&eacute;rations mangent naturellement moins de viande &agrave; travers des messages distill&eacute;s par les nutritionnistes, mais &eacute;galement par les institutions de plus en plus sous influence des fili&egrave;res v&eacute;g&eacute;tales. Mais force est de constater que le fran&ccedil;ais reste attach&eacute; &agrave; nos traditions culinaires, car la viande qui est moins vendue dans les GMS est consomm&eacute;e dans les restaurants. Cette rentr&eacute;e met de nouveau en &eacute;vidence la volont&eacute; politique de r&eacute;duire l&rsquo;offre de viande rouge aux enfants qui pourront l&rsquo;adorer. Les volumes &eacute;coul&eacute;s vers la restauration scolaire restent n&eacute;anmoins importants, avec de la viande fran&ccedil;aise impos&eacute;e par la loi Egalim, mais surtout par les parents.C&ocirc;t&eacute; production, le monde de l&rsquo;&eacute;levage allaitant profite d&rsquo;un d&eacute;calage important entre l&rsquo;offre et la demande, alors que les industriels couvrent mieux leurs besoins en laiti&egrave;res apr&egrave;s une rentr&eacute;e tr&egrave;s compliqu&eacute;e en termes d&rsquo;approvisionnement. Nos voisins europ&eacute;ens sont dans la m&ecirc;me situation avec des niveaux de prix comparables aux n&ocirc;tres. La valorisation des laiti&egrave;res qui fournissent plus de la moiti&eacute; de la viande, reste au c&oelig;ur des d&eacute;bats, car elles constituent la base pour le prix de la viande hach&eacute;e, avec une part de march&eacute; qui reste autour des 60&nbsp;% de p&eacute;n&eacute;tration pour les viandes rouges transform&eacute;es. Sur ce d&eacute;but de mois, les volumes sont en progression et correspondent mieux &agrave; la demande qui se r&eacute;tracte toujours sur la seconde moiti&eacute; de septembre.Sur les salons d&rsquo;Automne que sont&nbsp;: le Space (14 au 18&nbsp;septembre) et le Sommet de l&rsquo;&eacute;levage (7 au 10&nbsp;octobre), de nombreux &eacute;leveurs passionn&eacute;s seront mobilis&eacute;s pour d&eacute;couvrir les derni&egrave;res avanc&eacute;es technologiques ou plus simplement pour passer un moment de convivialit&eacute;. Ces manifestations sont &eacute;galement le moment pour mettre en avant le savoir-faire d&rsquo;&eacute;leveurs passionn&eacute;s. Les grandes enseignes de la distribution vont une nouvelle fois apporter leur soutien &agrave; nos fili&egrave;res d&rsquo;excellence, mais la flamb&eacute;e des prix de la viande bovine depuis le d&eacute;but d&rsquo;ann&eacute;e sera &eacute;galement un point de discussion. Le march&eacute; peut encore absorber quelques hausses, mais une attention particuli&egrave;re sera &agrave; apporter, pour ne pas d&eacute;passer le point d&rsquo;inflexion (difficile &agrave; estimer) qui d&eacute;tournera le consommateur de viande rouge.Mais dans ce paysage marqu&eacute; par la forte inflation des prix, les pr&eacute;tendants &agrave; l&rsquo;installation se heurtent aux montants financ&eacute;s &agrave; mettre en &oelig;uvre, et &agrave; des banques qui se retrouvent dans des sch&eacute;mas qui n&rsquo;ont pas &eacute;t&eacute; anticip&eacute;s (ou pas dans cette amplitude). Le monde de l&rsquo;&eacute;levage a chang&eacute; d&rsquo;&eacute;chelle de valeurs. Il y a pourtant de nombreux jeunes &eacute;leveurs passionn&eacute;s qui peuplent nos campagnes, pr&ecirc;ts &agrave; prendre la rel&egrave;ve d&rsquo;une profession qui voit plus de d&eacute;parts que d&rsquo;installation. Ils sont les forces vives de demain, avec des attentes certainement diff&eacute;rentes de leurs a&icirc;n&eacute;s en termes de qualit&eacute; de vie. Nos &eacute;leveurs font de tr&egrave;s bons produits qui, s&rsquo;ils sont bien mis en valeur chez des professionnels dignes de ce nom, trouvent une tr&egrave;s bonne r&eacute;ponse aupr&egrave;s des consommateurs. La grande distribution d&eacute;tient de grands leviers d&rsquo;orientation, car si les Fran&ccedil;ais aiment la viande, le recul des marges fait que les lin&eacute;aires laissent la place &agrave; des innovations &agrave; base de prot&eacute;ine v&eacute;g&eacute;tale.

Avec le changement politique et les mouvements sociaux annoncés le marché risque d’entrer dans une zone d’instabilité avec une retenue des achats des ménages.

Conjoncture : Le marché entre dans une zone d’instabilité

Conclu le 6 d&eacute;cembre dernier, <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/le-traite-ue-mercosur-conclu-la-france-toujours-opposee-les-agriculteurs-furibonds" target="_blank">le trait&eacute; de libre-&eacute;change entre l&rsquo;UE et le Mercosur</a> (APEM) a franchi une nouvelle &eacute;tape mercredi avec l&rsquo;officialisation, par la Commission europ&eacute;enne, de sa proposition l&eacute;gislative, ouvrant la voie au au processus de ratification de l&rsquo;accord commercial. La balle est d&eacute;sormais dans le camp du Conseil de l'UE, du Parlement europ&eacute;en et des Parlements nationaux qui doivent chacun ratifier l&rsquo;accord pour qu&rsquo;il entre en vigueur. &laquo;&nbsp;Selon les estimations, l'accord pourrait augmenter les exportations annuelles de l'UE vers le Mercosur jusqu'&agrave; 39 %, soit 49 milliards d'euros,&nbsp;&nbsp;ce qui permettrait de soutenir plus de 440.000 emplois dans toute l'Europe &raquo;,&nbsp;avance la Commission dans un communiqu&eacute;.<aside class="read-also">
 &Agrave; voir aussi
 <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/dossier-ue-mercosur-un-ocean-de-distorsions-de-concurrence-et-de-differentiels-de-competitivite" target="_blank" title="">[Dossier] UE-Mercosur : un oc&eacute;an de distorsions de concurrence et de diff&eacute;rentiels de comp&eacute;titivit&eacute;</a>
</aside>
Dans le m&ecirc;me temps est lanc&eacute; de l'accord global modernis&eacute; UE-Mexique (AMM), avec l&agrave; 70 milliards d'euros de biens et de services dans la balance, en faveur de l&rsquo;UE, et plus de 630.000 emplois induits selon le communique de l&rsquo;ex&eacute;cutif europ&eacute;en.Selon la Commission, l&rsquo;accord APEM r&eacute;duira les droits du Mercosur &laquo;&nbsp;souvent prohibitifs pour les exportations de l'UE&nbsp;&raquo;, y compris sur les principaux produits industriels, tels que les voitures (actuellement 35 %), les machines (14 &agrave; 20 %) et les produits pharmaceutiques (jusqu'&agrave; 14 %).<aside class="read-also">
 &Agrave; voir aussi
 <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/ue-mercosur-et-viande-bovine-entre-dope-et-dupe" target="_blank" title="">UE, Mercosur et viande bovine : entre dope et dupes</a>
</aside>
Mais, &agrave; l&rsquo;en croire, l&rsquo;agriculture ne devrait pas faire office de monnaie d&rsquo;&eacute;change. &laquo;&nbsp;L'accord soutiendra la croissance des exportations de produits agroalimentaires traditionnels de haute qualit&eacute; de l'UE. Elle mettra &eacute;galement fin &agrave; la concurrence d&eacute;loyale des produits du Mercosur qui imitent les produits authentiques de l'UE en prot&eacute;geant 344 indications g&eacute;ographiques de l'UE&nbsp;&raquo;, rassure la Commission<div class="citation">
 "L&#039;accord pr&eacute;voit une protection et compl&egrave;te de toutes les sensibilit&eacute;s de l&#039;UE dans le secteur agricole"
</div>
Pas s&ucirc;r que les producteurs la viande bovine, de volaille, de c&eacute;r&eacute;ales et du sucre aient la m&ecirc;me lecture que la Commission europ&eacute;enne qui pr&eacute;cise que &laquo;&nbsp;l'accord pr&eacute;voit une protection compl&egrave;te de toutes les sensibilit&eacute;s de l'UE dans le secteur agricole&nbsp;&raquo;, limitant les importations agroalimentaires pr&eacute;f&eacute;rentielles en provenance du Mercosur &agrave; &laquo;&nbsp;une fraction de la production de l'UE&nbsp;&raquo;, notamment 1,5% pour la viande bovine et 1,3% pour la volaille&hellip;) et &eacute;tablissant des &laquo;&nbsp;garanties solides prot&eacute;geant les produits europ&eacute;ens sensibles contre toute augmentation pr&eacute;judiciable des importations en provenance du Mercosur&nbsp;&raquo;, autrement dit des mesures de sauvegarde sans en pr&eacute;ciser, &agrave; ce stade, les m&eacute;canismes et le degr&eacute; consentement des pays du Mercosur.<h2>Renforcement des contr&ocirc;les &agrave; l&rsquo;importation</h2>En outre, la Commission renforce &eacute;galement les contr&ocirc;les &agrave; l'importation en augmentant le nombre d'audits et de contr&ocirc;les dans les pays tiers et en renfor&ccedil;ant les contr&ocirc;les sur le terrain.Bruxelles met aussi dans la balance <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/reforme-de-la-pac-du-sabordage-selon-la-fnsea" target="_blank">sa proposition relative &agrave; la Pac post-2027</a>&nbsp;qui pr&eacute;voit &laquo;&nbsp;un budget cantonn&eacute; d'au moins 300 milliards d'euros pour l'aide au revenu, afin de garantir que les agriculteurs de l'UE continuent de b&eacute;n&eacute;ficier de revenus solides et stables&nbsp;&raquo;. La Commission &eacute;voque aussi le rel&egrave;vement de la r&eacute;serve de crise, dot&eacute;e d'une capacit&eacute; totale de 6,3 milliards d'euros, &laquo;&nbsp;ce qui double la r&eacute;serve agricole actuelle. Ce soutien renforc&eacute; contribuera &agrave; prot&eacute;ger nos agriculteurs en p&eacute;riode de perturbations du march&eacute; et d'incertitudes g&eacute;opolitiques croissantes&nbsp;&raquo;.&nbsp;&laquo; Nous exhortons donc le Conseil et les d&eacute;put&eacute;s europ&eacute;ens &agrave; rejeter la proposition de la Commission&nbsp;&raquo;, a r&eacute;agi le Copa-Cogeca, estimant que l&rsquo;accord ne respectait ni les secteurs sensibles, ni les efforts de durabilit&eacute;, ni les normes de production des agriculteurs europ&eacute;ens, pas plus que la confiance des citoyens.&nbsp;<div
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&laquo;&nbsp;Le combat continue&nbsp;&raquo;, a r&eacute;agi sur X la ministre de l&rsquo;Agriculture Annie Genevard, saluant l&rsquo;ajout de clauses de sauvegarde pour les secteurs sensibles, &laquo;&nbsp;un ajout obtenu &agrave; l&rsquo;initiative de la France&nbsp;&raquo;, tout en s&rsquo;interrogeant sur leur op&eacute;rationnalit&eacute;. La ministre de l'Agriculture a &eacute;galement&nbsp;r&eacute;clam&eacute; des mesures miroirs et &laquo;&nbsp;un v&eacute;ritable renforcement des contr&ocirc;les sanitaires et phytosanitaires pour que les produits import&eacute;s respectent nos normes&nbsp;&raquo;.

L’exécutif européen promet un bond en avant de 50% des exportations agroalimentaires de l'UE vers le Mercosur, notamment dans le secteur viticole, et promet des mesures de sauvegarde pour les secteurs sensibles ainsi qu’un renforcement des contrôles à l’importation.

Race	Conformation	Sexe	Poids	Prix min	Prix max	Prix moyen	Variation
-	E	-	> 44 kg	3,35 €	3,8 €	3,55 €	+0,00 €
-	E	-	de 32 à 38 kg	4,15 €	4,3 €	4,25 €	+0,00 €
-	E	-	de 38 à 44 kg	4 €	4,2 €	4,1 €	+0,00 €
-	U	-	> 44 kg	3 €	3,25 €	3,15 €	+0,00 €
-	U	-	de 32 à 38 kg	3,55 €	4,15 €	4,1 €	+0,00 €
-	U	-	de 38 à 44 kg	3,45 €	4,15 €	4 €	+0,00 €
-	R	-	de 38 à 44 kg	3,3 €	3,6 €	3,35 €	+0,00 €

Race	Conformation	Sexe	Poids	Prix min	Prix max	Prix moyen	Variation
-	-	M	(M)	1,2 €	1,25 €	1,25 €	-0,45 €
-	U	F	< 60 kg (F)	1,5 €	1,55 €	1,5 €	+0,00 €
-	U	F	>60 kg (F)	1,5 €	2,15 €	1,55 €	+0,00 €

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Installation et transmission

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