Quelles sont les prévisions pour août 2025 ?

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Le Grand-Quevilly

Le Salon Tech-Ovin est le rendez-vous incontournable des acteurs du monde ovin. Cette manifestation les 3 et 4 septembre prochains permet de disposer d&rsquo;un site unique de rencontres et d&rsquo;&eacute;changes afin de faire le point sur l&rsquo;&eacute;volution de la fili&egrave;re.Nouveaut&eacute; 2025, le P&ocirc;le Sant&eacute;&hellip;La cr&eacute;ation d&rsquo;un P&ocirc;le Sant&eacute; permet de rassembler les stands des diff&eacute;rents acteurs de la sant&eacute; des moutons (Groupements de D&eacute;fense Sanitaire, Groupement Technique V&eacute;t&eacute;rinaire, Laboratoires d&rsquo;analyses, Capv&eacute;to &hellip;). Son objectif est de favoriser les &eacute;changes avec le public et les autres partenaires de la fili&egrave;re pr&eacute;sents sur ce salon. Avec son espace commun, des focus et des conf&eacute;rences sur la sant&eacute; ovine seront mis en place aupr&egrave;s des &eacute;leveurs et des apprenants.&hellip; avec un stand commun des GDS de Nouvelle-Aquitaine et de GDS FranceNotre stand se veut un lieu d&rsquo;&eacute;coute, de recueil des attentes, d&rsquo;apport d&rsquo;informations et surtout de convivialit&eacute;... Aux c&ocirc;t&eacute;s des salari&eacute;s et des professionnels des diff&eacute;rents GDS (GDS d&eacute;partementaux, F&eacute;d&eacute;ration R&eacute;gionale et GDS France), vous pourrez &eacute;changer avec les &eacute;quipes sur les actualit&eacute;s sanitaires et vos pr&eacute;occupations. Un quiz vous sera propos&eacute; et vous pourrez tester vos connaissances sur les th&eacute;matiques de la sant&eacute; ovine avec de nombreux lots &agrave; gagner. Les gagnants du jeu concours seront tir&eacute;s au sort parmi les bonnes r&eacute;ponses chaque journ&eacute;e. Des mini-conf&eacute;rences sp&eacute;cifiques de 20 min sous les chapiteaux 1 et 2&hellip;Venez vous informer tout au long du salon en assistant aux mini-conf&eacute;rences propos&eacute;es au cours de ces 2 jours avec les diff&eacute;rents intervenants des GDS de Nouvelle-Aquitaine ou de GDS France. Les th&eacute;matiques sont vari&eacute;es avec des points incontournables comme la protection des troupeaux gr&acirc;ce &agrave; la bios&eacute;curit&eacute;, la gestion des introductions en &eacute;levage ou des points plus sp&eacute;cifiques comme la FCO, la border disease ou le logement des animaux.<ul><li>Mercredi 03 septembre &agrave; 9h30&nbsp;&ndash; salle 2 : Comment g&eacute;rer les introductions en &eacute;levage&nbsp;?<ul><li><ul><li><ul><li>Intervenants Elodie Chopin GDS 16 et Marien Bataille GDS 23</li></ul></li></ul></li></ul></li><li>Mercredi 03 septembre &agrave; 11h30&nbsp;&ndash; salle 1 : La border disease, une maladie surveill&eacute;e <ul><li><ul><li><ul><li>Intervenant Elisabeth Sanchez GDS 87</li></ul></li></ul></li></ul></li><li>Mercredi 03 septembre &agrave; 16h00&nbsp;&ndash; salle 2 : FCO&nbsp;: point de situation en France<ul><li><ul><li><ul><li>Intervenant Emmanuel Garin GDS France</li></ul></li></ul></li></ul></li><li>Jeudi 04 septembre &agrave; 12h00 &ndash; salle 2&nbsp;: Prot&eacute;ger son troupeau gr&acirc;ce &agrave; la bios&eacute;curit&eacute;<ul><li><ul><li><ul><li>Intervenant Emmanuel Garin GDS France</li></ul></li></ul></li></ul></li><li>Jeudi 04 septembre &agrave; 15h00&nbsp;&ndash; salle 1 : Un logement adapt&eacute; pour une bonne sant&eacute;<ul><li><ul><li><ul><li>Intervenant Julien Garrot-Poublanc GDS 64</li></ul></li></ul></li></ul></li></ul>&hellip;avec un axe important sur la bios&eacute;curit&eacute;&hellip;Les mesures de bios&eacute;curit&eacute; n&eacute;cessitent d&rsquo;&ecirc;tre adapt&eacute;es &agrave; l&rsquo;&eacute;levage et au contexte &eacute;pid&eacute;miologique. Quelle que soit la production, on retrouve les points principaux&nbsp;: &eacute;viter l&rsquo;introduction d&rsquo;un pathog&egrave;ne par la gestion des mouvements, du voisinage et des intervenants, limiter leur circulation au sein de l&rsquo;&eacute;levage par la mise en &oelig;uvre de mesures d&rsquo;isolement ou de marche en avant, s&rsquo;assurer de ne pas diffuser de pathologies par des mesures sanitaires avant d&eacute;part, que ce soit d&rsquo;animaux, de denr&eacute;es ou d&rsquo;effluents et prendre les pr&eacute;cautions n&eacute;cessaires pour &eacute;viter de se contaminer, par le port de gants, de tenue de travail voire de masque pour les pathologies a&eacute;rosol (fi&egrave;vre Q). Ces mesures simples sont malheureusement souvent n&eacute;glig&eacute;es, ce qui conduit &agrave; des contaminations de troupeaux ou d&rsquo;&eacute;leveurs, avec les impacts sanitaires et &eacute;conomiques qui en d&eacute;coulent.&hellip; compl&eacute;t&eacute;es par des interventions au&nbsp;P&ocirc;le Sant&eacute; Au sein de la zone de r&eacute;union ou de pr&eacute;sentation commune, des cr&eacute;neaux de 20 &agrave; 30 minutes ont &eacute;t&eacute; d&eacute;finis avec des th&eacute;matiques particuli&egrave;res entre les diff&eacute;rents acteurs du P&ocirc;le Sant&eacute; (cf. programme P&ocirc;le Sant&eacute;). Elles se d&eacute;rouleront sur les 2 jours de 9h30 &agrave; 12h et de 14h &agrave; 16h. L&rsquo;objectif de ces moments compl&eacute;mentaires et diff&eacute;rents des mini-conf&eacute;rences est d&rsquo;apporter une information ou de sensibiliser de mani&egrave;re diff&eacute;rente un public d&rsquo;&eacute;leveurs, de v&eacute;t&eacute;rinaires ou d&rsquo;&eacute;tudiants&hellip;La sant&eacute; des troupeaux, les &eacute;leveurs en premi&egrave;re ligneLes &eacute;leveurs ont parfois du mal &agrave; se sentir impliqu&eacute;s dans ces th&eacute;matiques mais elles les concernent pourtant directement. Quelle que soit la production, ils sont en contact quotidien avec leurs animaux. Leur r&ocirc;le est multiple&nbsp;: sentinelles de nouvelles pathologies par la surveillance de leur cheptel, protecteurs de la fili&egrave;re et au final du consommateur par la fourniture de denr&eacute;es et d&rsquo;animaux sains, sans oublier de se prot&eacute;ger d&rsquo;une &eacute;ventuelle zoonose (brucellose, fi&egrave;vre Q, &hellip;). Nos prestations,&nbsp;pour prolonger l&rsquo;action sanitaire des GDSLes GDS et leurs filiales, regroup&eacute;es pour la plupart sous la marque Farago, ont d&eacute;velopp&eacute; des services pour am&eacute;liorer la pr&eacute;vention sanitaire en &eacute;levage, le bien-&ecirc;tre des animaux et faciliter les interventions des &eacute;leveurs. Ces professionnels de la protection de la sant&eacute; et de l&rsquo;environnement interviennent dans la lutte contre les nuisibles (d&eacute;sinfection, d&eacute;ratisation, d&eacute;sinsectisation, d&eacute;taupisation), les soins aux animaux (taille d&rsquo;onglons, rainurage) ou les fournitures aux &eacute;levages (produits d&rsquo;hygi&egrave;ne, cl&ocirc;ture &eacute;lectrique, contention, tubulaire, mat&eacute;riel d&rsquo;&eacute;levage, abreuvement, qualit&eacute; de l&rsquo;eau&hellip;).Venez nous retrouver chapiteau A, au P&ocirc;le Sant&eacute;&nbsp;Votre GDS vous accompagne dans la connaissance des risques sanitaires auxquels votre &eacute;levage est expos&eacute;, des mesures pr&eacute;conis&eacute;es et s&eacute;curise la fili&egrave;re par les garanties apport&eacute;es. Pour la mise en &oelig;uvre pratique des mesures de bios&eacute;curit&eacute;, vous pouvez vous appuyer sur votre filiale Farago. Pour plus de renseignements, venez nous retrouver dans un cadre convivial et &eacute;changer sur notre stand au Salon Tech-Ovin les 3 et 4 septembre 2025 (Chapiteau A, P&ocirc;le Sant&eacute;).Marien BATAILLE &ndash; GDS Creuse &ndash; <a href="http://www.gdscreuse.fr/">www.gdscreuse.fr</a>

Stand GDS : Tous les 2 ans, nous sommes présents à Tech-Ovin, salon national du mouton à Bellac. Les enjeux sanitaires dépassent nos simples filières et nous pourrons échanger sur les thématiques santé.

Salon Tech-Ovin. Le Pôle Santé, un lieu d’échanges et de rencontres

Depuis l&rsquo;arriv&eacute;e de la FCO 8 en 2007 en France, plusieurs maladies vectorielles se succ&egrave;dent sur les ruminants, provoquant des vagues de signes cliniques et de mortalit&eacute;, et entrainant de nouvelles exigences r&eacute;glementaires et aux mouvements.Quelles sont les caract&eacute;ristiques de ces maladies&nbsp;?<ul><li>La Dermatose Nodulaire Contagieuse bovine (DNC) est provoqu&eacute;e par un virus de la famille des Poxvirus. Elle ne touche que les bovin&eacute;s et la transmission se fait principalement par des insectes h&eacute;matophages (stomoxes, taons) m&ecirc;me si une transmission directe est consid&eacute;r&eacute;e comme possible. Le virus reste actif environ 24 h sur les pi&egrave;ces buccales des insectes mais beaucoup plus longtemps dans l&rsquo;environnement ou dans les cro&ucirc;tes des animaux. Les d&eacute;placements de ces insectes restent limit&eacute;s, ce qui explique une progression &laquo;&nbsp;en tache d&rsquo;huile&nbsp;&raquo; autour des foyers avec un risque maximal pour les voisins de p&acirc;ture. L&rsquo;activit&eacute; des stomoxes est essentiellement estivale mais d&eacute;crite &eacute;galement l&rsquo;hiver en b&acirc;timent lors de redoux.</li><li>La Fi&egrave;vre Catarrhale Ovine (FCO) et la Maladie H&eacute;morragique &Eacute;pizootique (MHE) sont provoqu&eacute;es par des virus de la famille des Orbivirus, identifi&eacute;s par leur s&eacute;rotype (36 pour la&nbsp;FCO, 7 pour la MHE). Elles touchent tous les ruminants avec un impact clinique variable. Il n&rsquo;y a pas de transmission directe, ce sont des moucherons piqueurs, les culico&iuml;des femelles, qui diffusent la maladie. Les femelles piquent tous les 3 &agrave; 4 jours et c&rsquo;est &agrave; l&rsquo;occasion de ce repas de sang que se fait la contamination. La survie (une vingtaine de jours en moyenne), l&rsquo;activit&eacute; (principalement du cr&eacute;puscule &agrave; l&rsquo;aube) et la dispersion de ces moucherons piqueurs sont fortement influenc&eacute;es par les variables m&eacute;t&eacute;orologiques telles que la temp&eacute;rature (au-dessus de 15 &deg;C), l&rsquo;humidit&eacute;, la phase lunaire&hellip; Ils se d&eacute;placent de 2 &agrave; 5 km par jour mais beaucoup plus par grand vent ce qui explique la tr&egrave;s large diffusion de ces maladies.</li></ul>Quels sont les signes cliniques observ&eacute;s&nbsp;?<ul><li>Pour la DNC, apr&egrave;s une incubation variable (4 &agrave; 14 jours mais parfois beaucoup plus), le premier sympt&ocirc;me est une forte hyperthermie, avec signes g&eacute;n&eacute;raux (abattement, anorexie) et les l&eacute;sions cutan&eacute;es apparaissent ensuite&nbsp;: h&eacute;rissement des poils, suivi par l&rsquo;apparition de nodules durs, arrondis et indolores, de 0,5 &agrave; 6 cm de diam&egrave;tre, pr&eacute;f&eacute;rentiellement sur la t&ecirc;te (pourtour des yeux et du mufle), le cou, les membres et la mamelle.</li><li>Pour la FCO et la MHE, les sympt&ocirc;mes sont tr&egrave;s semblables quel que soit le virus. Apr&egrave;s 1 semaine d&rsquo;incubation, les premiers signes cliniques apparaissent&nbsp;: hyperthermie, abattement, difficult&eacute;s de locomotion, ulc&eacute;rations dans la bouche avec hypersalivation, difficult&eacute; &agrave; s&rsquo;abreuver, &oelig;d&egrave;me de la face et langue &laquo;&nbsp;bleue&nbsp;&raquo; (FCO chez les ovins), cro&ucirc;tes sur le mufle, jetage et l&eacute;sions sur les trayons (surtout sur les bovins). De nombreux animaux peuvent &ecirc;tre malades et on observe plus de clinique sur les animaux adultes que sur les jeunes. La difficult&eacute; &agrave; boire explique la plupart des mortalit&eacute;s, le drenchage des animaux pouvant s&rsquo;av&eacute;rer n&eacute;cessaire pendant plusieurs jours. La circulation des virus a &eacute;galement un impact majeur sur la reproduction, avec des animaux non gestants, des avortements et les virus de FCO ayant la capacit&eacute; de passer la barri&egrave;re placentaire, cela entraine la naissance de nouveau-n&eacute;s malform&eacute;s (hydrenc&eacute;phalie, micrenc&eacute;phalie&hellip;).</li></ul>Surveillez vos animaux matin et soir et si vous observez des signes cliniques &eacute;vocateurs, contactez votre v&eacute;t&eacute;rinaire sanitaire pour confirmer la suspicion et, le cas &eacute;ch&eacute;ant, faire une d&eacute;claration aupr&egrave;s de la DDETSPP.Pourquoi la l&eacute;gislation est-elle diff&eacute;rente pour ces maladies&nbsp;?Vot&eacute;e en 2016, la Loi Sant&eacute; Animale europ&eacute;enne est entr&eacute;e en application en avril 2021. Pour toutes les esp&egrave;ces, les diff&eacute;rentes maladies pr&eacute;sentes sur le continent ou identifi&eacute;es comme des menaces ext&eacute;rieures ont &eacute;t&eacute; classifi&eacute;es de A &agrave; E en fonction de leur gravit&eacute;, de leur contagiosit&eacute; et de leur impact sur la fili&egrave;re.<ul><li class="Default">La DNC est inscrite sur la liste des maladies de cat&eacute;gorie A (maladie absente de l&rsquo;Union Europ&eacute;enne et &agrave; &eacute;radication imm&eacute;diate), comme la fi&egrave;vre aphteuse par exemple. La gestion d&rsquo;un foyer passe par des mesures sanitaires, avec <a id="_Hlk193645176"></a>des animaux sensibles du foyer, nettoyage, d&eacute;sinfection et d&eacute;sinsectisation complet du site en trois phases successives, mise sous surveillance des cheptels en lien &eacute;pid&eacute;miologique et d&eacute;finition d&rsquo;une zone de protection et d&rsquo;une zone de surveillance.&nbsp;Ces mesures sont compl&eacute;t&eacute;es par des restrictions strictes aux mouvements et la mise en place d&rsquo;une vaccination de la zone r&eacute;gul&eacute;e. &Aacute; ce jour, les foyers sont concentr&eacute;s dans deux d&eacute;partements, Savoie et Haute-Savoie.</li><li>La FCO est classifi&eacute;e C (surveillance et restrictions aux mouvements, &eacute;radication facultative). La France m&eacute;tropolitaine &eacute;tant enti&egrave;rement d&eacute;clar&eacute;e infect&eacute;e de FCO 3, 4 et 8, il n&rsquo;y a plus de mesures de gestion des mouvements sur le territoire national mais des exigences &agrave; l&rsquo;exportation demeurent (vaccination, r&eacute;alisation de tests et/ou d&eacute;sinsectisation des troupeaux).</li><li>La MHE est classifi&eacute;e D (surveillance et restrictions aux mouvements). Historiquement peu connue, son impact clinique avait certainement &eacute;t&eacute; sous-&eacute;valu&eacute; lors de son classement. Une partie de la France n&rsquo;&eacute;tant pas encore en zone r&eacute;gul&eacute;e, les exigences aux mouvements concernent &agrave; la fois cette zone et les exportations.</li></ul>Pour les pays tiers, chacun fixe ses exigences, qui peuvent &eacute;voluer en fonction de la situation sanitaire. Les autorit&eacute;s fran&ccedil;aises n&eacute;gocient en permanence avec nos interlocuteurs pour permettre l&rsquo;exportation de nos animaux et des denr&eacute;es alimentaires.Comment me prot&eacute;ger de ces virus&nbsp;?<ul><li>Peu de mesures ont fait preuve de leur efficacit&eacute; sur les vecteurs. Sur les stomoxes, on peut intervenir en limitant les g&icirc;tes de ponte (paille ou aliments d&eacute;compos&eacute;s, &eacute;coulements de lisiers, proximit&eacute; des tas de fumiers) et l&rsquo;emploi de larvicides semble la mesure la plus int&eacute;ressante. Les insecticides utilis&eacute;s classiquement sur les ruminants ont une efficacit&eacute; limit&eacute;e, &agrave; n&rsquo;utiliser qu&rsquo;en cas de pr&eacute;sence av&eacute;r&eacute;e de la maladie &agrave; proximit&eacute;. Concernant les moyens de transport, la d&eacute;sinsectisation reste fortement recommand&eacute;e.</li><li>Le vaccin pour la DNC est r&eacute;serv&eacute; &agrave; la zone r&eacute;gul&eacute;e. Pour la FCO et la MHE, plusieurs vaccins existent et leur efficacit&eacute; est incontestable. La vaccination reste la mesure la plus efficace &agrave; mettre en &oelig;uvre et, en concertation avec votre v&eacute;t&eacute;rinaire, vous choisirez le vaccin et les valences &agrave; utiliser en fonction du contexte &eacute;pid&eacute;miologique de la zone. Vacciner votre cheptel reproducteur, c&rsquo;est prot&eacute;ger votre outil de travail avec une vaccination qui peut &ecirc;tre faite par l&rsquo;&eacute;leveur.</li><li>Comme pour toute maladie, une bonne conduite d'&eacute;levage (alimentation adapt&eacute;e, application des mesures de bios&eacute;curit&eacute;, gestion raisonn&eacute;e du parasitisme...) permet d&rsquo;avoir une bonne r&eacute;ponse vaccinale et de r&eacute;duire l'impact de la maladie sur le cheptel.</li></ul>D&rsquo;autres virus restent des menaces pour la France&nbsp;: FCO 1 en Espagne, FCO 12 dans le nord de l&rsquo;Europe, fi&egrave;vre aphteuse en Europe centrale, m&ecirc;me si la situation semble sous contr&ocirc;le pour celle-ci. Cela n&eacute;cessite de tous, &eacute;leveurs, op&eacute;rateurs commerciaux, une grande vigilance lors des mouvements. Pour plus de renseignements, vous pouvez consulter votre v&eacute;t&eacute;rinaire, notre site internet ou nous contacter.Comme attendu, on observe une recrudescence des foyers de FCO 3 et 8, y compris en Creuse. Pour la DNC, on compte 76 foyers dans 41 &eacute;levages au 22/08/2025, la vaccination semble commencer &agrave; d&eacute;montrer son efficacit&eacute;. La situation &eacute;volue chaque semaine et d&egrave;s qu&rsquo;un foyer est d&eacute;clar&eacute;, la zone r&eacute;gul&eacute;e peut &ecirc;tre adapt&eacute;e. N&rsquo;h&eacute;sitez pas &agrave; consulter r&eacute;guli&egrave;rement les cartes sur www.gdscreuse.fr.Dr Boris BOUBET &ndash; GDS Creuse &ndash; <a id="_Hlk176441789"></a><a href="http://www.gdscreuse.fr/">www.gdscreuse.fr</a>&nbsp;&nbsp;

DNC – FCO 3 et 8 - MHE : La France continentale est confrontée à ces 4 maladies touchant les ruminants. L’impact clinique est variable suivant les virus et les espèces cibles. Cet article vous propose de faire un état des lieux et de répondre aux questions les plus courantes sur ces pathologies.

Point de situation DNC – FCO - MHE

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