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Épinay-sur-Orge

<h2>Un dispositif pour soutenir les fili&egrave;res 100 % BIO</h2><p>FOREBio &oelig;uvre depuis plusieurs ann&eacute;es &agrave; la structuration et au d&eacute;veloppement des fili&egrave;res 100 % biologiques. En partenariat avec <strong>FEVE</strong>, une fonci&egrave;re solidaire qui finance l&rsquo;installation de nouveaux agriculteurs via un mod&egrave;le de <strong>location avec option d&rsquo;achat</strong>, cette initiative vise &agrave; <strong>connecter les agriculteurs souhaitant transmettre leur ferme avec de futurs repreneurs</strong> porteurs de projets coh&eacute;rents avec leurs valeurs.</p><p>L&rsquo;objectif : permettre des transmissions r&eacute;ussies et durables, tout en <strong>s&eacute;curisant le financement de la reprise</strong> gr&acirc;ce &agrave; des outils innovants.</p><h2>Une d&eacute;marche simple et sans frais pour les c&eacute;dants</h2><p>L&rsquo;Appel &agrave; C&eacute;dants s&rsquo;adresse &agrave; tous les <strong>exploitants engag&eacute;s en agriculture biologique</strong> qui envisagent de transmettre leur ferme dans les mois ou les ann&eacute;es &agrave; venir.<br>La d&eacute;marche est volontairement simple et sans engagement :</p><ol><li><strong>Remplir un court formulaire en ligne</strong> sur la page d&eacute;di&eacute;e</li><li><strong>&Eacute;tude du dossier par l&rsquo;&eacute;quipe FEVE</strong>, qui analyse les caract&eacute;ristiques de la ferme et son ad&eacute;quation avec les projets de reprise accompagn&eacute;s</li><li><strong>Retour personnalis&eacute;</strong> si la ferme correspond aux crit&egrave;res de la fonci&egrave;re</li></ol><p>Aucun frais n&rsquo;est demand&eacute; aux c&eacute;dants : l&rsquo;objectif est de <strong>favoriser le passage de relais</strong> dans les meilleures conditions possibles, tout en maintenant la vocation biologique de la ferme.</p><p>&#128073; <a href="https://page.feve.co/appel-cedants-forebio">D&eacute;poser un dossier sur la page de l&rsquo;Appel &agrave; C&eacute;dants</a></p><h2>Plus de 40 fermes d&eacute;j&agrave; transmises gr&acirc;ce &agrave; FEVE</h2><p>Depuis sa cr&eacute;ation, FEVE a d&eacute;j&agrave; contribu&eacute; &agrave; la <strong>reprise de plus de 40 fermes en France</strong>, gr&acirc;ce &agrave; un mod&egrave;le de financement citoyen unique.<br>Les fermes acquises par la fonci&egrave;re sont <strong>mises en location aupr&egrave;s des nouveaux install&eacute;s</strong>, qui ont ensuite la possibilit&eacute; d&rsquo;en devenir propri&eacute;taires. Ce syst&egrave;me permet de <strong>r&eacute;duire l&rsquo;endettement au d&eacute;marrage</strong> et de rendre la transmission plus accessible, tout en garantissant la continuit&eacute; de pratiques agricoles respectueuses de l&rsquo;environnement.</p>


Alors que de nombreux agriculteurs biologiques approchent de la retraite, la question de la transmission des fermes BIO devient un enjeu majeur pour la pérennité des filières.
Pour répondre à ce défi, FOREBio (Fédération des Organisations Économiques en Réseaux de la BIO) et FEVE (Fermes En ViE) unissent leurs forces à travers un Appel à Cédants visant à faciliter la reprise des exploitations et à maintenir une agriculture biologique dynamique sur les territoires.

Appel à cédants : préparer la transmission des fermes 100 % BIO

<h2>Budget global&nbsp;: stable &agrave; 8,5 milliards d&rsquo;euros</h2><p>En France m&eacute;tropolitaine, 8,5 milliards d&rsquo;euros ont &eacute;t&eacute; vers&eacute;s au titre des principales aides de la Pac en 2023, soit le m&ecirc;me montant total qu&rsquo;en 2022. Les aides vers&eacute;es au titre du 1<sup>er</sup> pilier (aide de base, aide redistributive redistributif, aide compl&eacute;mentaire JA, &eacute;cor&eacute;gime, aides animales et v&eacute;g&eacute;tales) s&rsquo;&eacute;l&egrave;vent &agrave; 6,6 milliards d&rsquo;euros, dont 5,6 milliards d&rsquo;euros d&rsquo;aides d&eacute;coupl&eacute;es, et celles du 2<sup>&egrave;me</sup> pilier (ICHN, assurance r&eacute;colte, AB, MAEC) &agrave; pr&egrave;s de 1,9 milliard d&rsquo;euros.</p>        
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        <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/gallery/2/0/3/9/8109302-1-fre-FR/649cb67153e0-Capture-d-e-cran-2025-10-26-a-17.59.20.png" alt="Montant total des aides de la PAac en 2022 et 2023, par type d&rsquo;aides (Source : Agreste)" height="850" width="1504" /><figcaption>Montant total des aides de la Pac en 2022 et 2023, par type d&rsquo;aides (Source : Agreste)</figcaption></figure>

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<h2>Montant moyen par exploitation&nbsp;: 31.600 euros en 2023 contre 31.100 euros en 2022</h2><p>Parmi les exploitations b&eacute;n&eacute;ficiant d&rsquo;au moins une aide de la Pac en 2022 et en 2023, le montant des aides touch&eacute;es est proche pour ces deux ann&eacute;es : 31.100 euros par exploitation en 2022 contre 31.600 euros en 2023, soit +1 %. 20% des exploitants per&ccedil;oivent 50% du montant total des aides. 57% des b&eacute;n&eacute;ficiaires en&nbsp;2023 per&ccedil;oivent plus de 20.000 euros d&rsquo;aides et 5% plus de 100.000 euros.</p><p>Pour les aides directes au revenu (aide de base, aide redistributive et compl&eacute;ment jeune agriculteur), 26%&nbsp;des b&eacute;n&eacute;ficiaires de la Pac touchent plus de 20.000 euros. Cette proportion est plus &eacute;lev&eacute;e en grandes cultures, bovins-lait et bovins mixtes. Dans toutes les fili&egrave;res, toucher plus de 100.000 euros pour ces aides directes au revenu est tr&egrave;s rare (au plus 0,2%).</p>        
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        <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/gallery/5/0/3/9/8109305-1-fre-FR/2de0d4640706-Capture-d-e-cran-2025-10-26-a-18.04.19.png" alt="Part des exploitations ayant connu une baisse, une stabilit&eacute; ou une hausse des aides per&ccedil;ues, selon les orientations de production (Otex), pour les b&eacute;n&eacute;ficiaires de la Pac en 2022 et en 2023 (Source : Agreste)" height="926" width="1604" /><figcaption>Part des exploitations ayant connu une baisse, une stabilit&eacute; ou une hausse des aides per&ccedil;ues, selon les orientations de production (Otex), pour les b&eacute;n&eacute;ficiaires de la Pac en 2022 et en 2023 (Source : Agreste)</figcaption></figure>

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<h2>Les perdants et les gagnants de la r&eacute;forme</h2><p>Entre 2022 et 2023, le montant total d&rsquo;aides per&ccedil;ues est rest&eacute; stable (moins de 5 % d&rsquo;&eacute;volution) pour 40 %&nbsp;des exploitations b&eacute;n&eacute;ficiaires de la Pac ces deux ann&eacute;es. Il a baiss&eacute; pour 27 % d&rsquo;entre elles et a augment&eacute;&nbsp;pour 34 %. Cette baisse des aides a concern&eacute; 36% des &eacute;levages de bovins viande et 32% des exploitations en&nbsp;grandes cultures. &Agrave; l&rsquo;inverse, parmi les b&eacute;n&eacute;ficiaires de la Pac en 2022 et 2023, la grande majorit&eacute; des&nbsp;exploitations en viticulture (71%) et en mara&icirc;chage-horticulture (54 %) ont connu une hausse significative de leur montant d&rsquo;aide. Mais pour ces deux orientations, la part d&rsquo;exploitations b&eacute;n&eacute;ficiaires de la Pac est beaucoup plus faible que pour les autres.</p><h2>Aides d&eacute;coupl&eacute;es&nbsp;: 5,6 milliards d&rsquo;euros, -1,4%</h2><p>Le montant des aides d&eacute;coupl&eacute;es passe de 5,7 &agrave; 5,6 milliards d&rsquo;euros (-1,4%). L&rsquo;aide de base au revenu (ex-paiement de base) passe de 2,9 milliards d&rsquo;euros en 2022 &agrave; 3,1 milliards d&rsquo;euros en 2023 et repr&eacute;sente 46% des versements du 1<sup>er</sup> pilier contre 44% l&rsquo;ann&eacute;e pr&eacute;c&eacute;dente. L&rsquo;&eacute;cor&eacute;gime capte 25% des aides du 1<sup>er</sup> pilier contre 30% pour l&rsquo;ex-paiement vert, soit 1,8 milliard d&rsquo;euros en 2023 contre 2 milliards d&rsquo;euros pour le paiement vert en 2022. Avec 130 millions d&rsquo;euros en 2023 contre 76 millions d&rsquo;euros en 2022, l&rsquo;aide compl&eacute;mentaire au revenu des jeunes agriculteurs, d&eacute;sormais forfaitaire, passe de 1% &agrave; 2% du budget du 1<sup>er</sup> pilier. Le nombre de b&eacute;n&eacute;ficiaires a augment&eacute; 8%, pour un montant moyen par exploitation de 4600 euros contre 3000 euros en 2022.&nbsp;L&rsquo;aide redistributive repr&eacute;sente 670 millions d&rsquo;euros des versements du 1<sup>er</sup> pilier en 2023 contre 674 millions d&rsquo;euros en 2022 pour l&rsquo;ex-paiement redistributif.</p>        
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        <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/gallery/8/0/3/9/8109308-1-fre-FR/2c929751c365-Capture-d-e-cran-2025-10-26-a-18.04.06.png" alt="Montant moyen des aides du premier pilier par b&eacute;n&eacute;ficiaire de la Pac, selon la taille des exploitations (Source : Agreste)" height="916" width="1542" /><figcaption>Montant moyen des aides du premier pilier par b&eacute;n&eacute;ficiaire de la Pac, selon la taille des exploitations (Source : Agreste)</figcaption></figure>

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<h2>Aides coupl&eacute;es&nbsp;animales : 6200 euros en 2023 contre 6800 euros en 2022</h2><p>La r&eacute;forme de 2023 met fin aux aides aux femelles allaitantes et aux bovins laiti&egrave;res au profit d&rsquo;une aide aux bovins m&acirc;les et femelles destin&eacute;e &agrave; soutenir l&rsquo;engraissement et &agrave; lutter contre la d&eacute;prise des &eacute;levages laitiers dans certains territoires. R&eacute;sultat&nbsp;: les paiements d&eacute;di&eacute;s aux aides bovines en 2023 (690 millions d&rsquo;euros, y compris l&rsquo;aide aux veaux sous la m&egrave;re) sont l&eacute;g&egrave;rement plus faibles que ceux d&eacute;di&eacute;s aux aides bovines en 2022 (728 millions d&rsquo;euros. Rapport&eacute;es au nombre de b&eacute;n&eacute;ficiaires, les aides bovines s&rsquo;&eacute;l&egrave;vent en moyenne &agrave; 6200 euros en 2023 contre 6800 euros en 2022. Toutes aides animales confondues, l&rsquo;enveloppe baisse de 5% &agrave; 810 millions d&rsquo;euros.</p><h2>Aides coupl&eacute;es&nbsp;v&eacute;g&eacute;tales : 1940 euros en 2023 contre 2120 euros en 2022</h2><p>En 2023, les aides coupl&eacute;es v&eacute;g&eacute;tales augmentent de 18%, passant de 160 millions d&rsquo;euros &agrave; 189 millions&nbsp;d&rsquo;euros. Mais le montant moyen par b&eacute;n&eacute;ficiaire passe de 2120 euros &agrave; 1 940 euros sous l&rsquo;effet de l&rsquo;augmentation du nombre de b&eacute;n&eacute;ficiaires&nbsp;: 97.400 contre 75.400 en 2022. Des montants unitaires d&rsquo;aide ont notamment baiss&eacute; sur certaines c&eacute;r&eacute;ales (houblon, riz, bl&eacute; dur par exemple) ou fruits (prunes pour la transformation par exemple). A l&rsquo;inverse, dans la programmation 2023-2027, les aides aux l&eacute;gumineuses &agrave; graines, les l&eacute;gumes secs (lentilles, pois chiches&hellip;) sont d&eacute;sormais &eacute;ligibles, et des montants ont &eacute;t&eacute; uniformis&eacute;s entre diff&eacute;rentes cultures. Une aide au petit mara&icirc;chage a &eacute;t&eacute; cr&eacute;&eacute;e, pour un montant pay&eacute; de 6,0 millions d&rsquo;euros, dont b&eacute;n&eacute;ficient 2500 exploitations, soit 2390 euros en moyenne par b&eacute;n&eacute;ficiaire.</p>        
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        <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/gallery/1/1/3/9/8109311-1-fre-FR/9079e2756507-Capture-d-e-cran-2025-10-26-a-18.03.47.png" alt="Voie d&rsquo;acc&egrave;s &agrave; l&rsquo;&eacute;cor&eacute;gime en 2023 selon les fili&egrave;res de production (Otex), et part des exploitations b&eacute;n&eacute;ficiaires ayant re&ccedil;u le bonus haie (Source : Agreste)" height="840" width="1578" /><figcaption>Voie d&rsquo;acc&egrave;s &agrave; l&rsquo;&eacute;cor&eacute;gime en 2023 selon les fili&egrave;res de production (Otex), et part des exploitations b&eacute;n&eacute;ficiaires ayant re&ccedil;u le bonus haie (Source : Agreste)</figcaption></figure>

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<h2>Ecor&eacute;gime&nbsp;versus paiement vert : moins de b&eacute;n&eacute;ficiaires, montant unitaire similaire</h2><p>L&rsquo;&eacute;cor&eacute;gime capte 25% des aides du 1<sup>er</sup> pilier contre 30% pour l&rsquo;ex-paiement vert, soit 1,8 milliard d&rsquo;euros en 2023 contre 2 milliards d&rsquo;euros en 2022. La part de b&eacute;n&eacute;ficiaires passe de 95% &agrave; 91% mais le montant moyen reste stable&nbsp;: 6910 euros par exploitation en 2022 contre 6960 euros en 2023. Le montant moyen est plus important pour les exploitations sp&eacute;cialis&eacute;es en viticulture (+37%) et les &eacute;levages ovins et caprins (+26%). Les exploitations sp&eacute;cialis&eacute;es en &eacute;levage de granivores, bovins lait, bovins mixtes et polyculture et/ou poly&eacute;levage sont en revanche perdantes avec la r&eacute;forme.</p><h2>Petites exploitations&nbsp;: 6500 euros en 2023 contre 5300 euros en 2022</h2><p>Pour les plus petites exploitations (moins de 52 ha), les aides du 1<sup>er</sup> pilier vers&eacute;es sont pass&eacute;es&nbsp;de 5300 euros par exploitation b&eacute;n&eacute;ficiaire de la Pac en 2022 &agrave; 6500 euros en 2023, soit une hausse de 23%</p><p>Avec la sortie de la PAac de tr&egrave;s petites exploitations ne r&eacute;pondant pas au crit&egrave;re d&rsquo;agriculteur actif introduit en&nbsp;2023, ces exploitations de moins de 52 ha sont en moyenne un peu plus grandes en 2023 (23,7 ha) qu&rsquo;en 2022 (20,4 ha), ce qui contribue &agrave; la hausse du montant moyen d&rsquo;aides per&ccedil;ues et qui concerne l&rsquo;aide&nbsp;de base (+400 euros en moyenne), l&rsquo;aide redistributive (+250 euros), l&rsquo;aide compl&eacute;mentaire aux</p><p>jeunes agriculteurs (+350 euros), les aides coupl&eacute;es v&eacute;g&eacute;tales (+100 euros).&nbsp;Ramen&eacute;es &agrave; la surface cultiv&eacute;e, les aides du 1<sup>er</sup> pilier sont pass&eacute;es pour les petites exploitations de 260 &euro;/ha en moyenne en 2022 &agrave; 276 &euro;/ ha (+6%). Pour les plus grandes (200 ha ou plus), elles sont pass&eacute;es de 216 &euro;/ha &agrave; 211&euro;/ha (-2%).</p><h2>Bio&nbsp;: l&rsquo;&eacute;cor&eacute;gime compense la perte de l&rsquo;aide au maintien</h2><p>La Pac 2023-2027 marque la disparition de l&rsquo;aide au maintien de l&rsquo;agriculture biologique (2<sup>&egrave;me</sup> pilier) et intronise un &eacute;cor&eacute;gime sp&eacute;cifique &agrave; l&rsquo;AB. Au final, le second, d&rsquo;un montant moyen de 830 euros, compense quasiment la premi&egrave;re, d&rsquo;un montant de 870 euros en 2022. Le total des aides de la Pac per&ccedil;ues par les agriculteurs bio&nbsp;augmente de 6% par b&eacute;n&eacute;ficiaire sous l&rsquo;effet de la hausse du paiement de base et de l&rsquo;aide &agrave; l&rsquo;assurance r&eacute;colte, et dans une moindre mesure celle des aides v&eacute;g&eacute;tales, du paiement compl&eacute;mentaire jeune agriculteur&nbsp;et des MAEC. De fortes disparit&eacute;s existent l&agrave; aussi selon les exploitations. Au total, un quart des exploitations&nbsp;en bio b&eacute;n&eacute;ficiant de la Pac en 2022 et en 2023 (champ constant) ont vu leurs aides baisser avec la nouvelle&nbsp;programmation de la Pac, un cinqui&egrave;me ont un montant stable (&agrave; plus ou moins 5 %) et un peu plus de&nbsp;la moiti&eacute; ont per&ccedil;u des montants plus &eacute;lev&eacute;s en 2023 qu&rsquo;en 2022.</p>


A l’heure où la Commission européenne commence à poser les jalons de la Pac 2028-2034, porteuse d’une nouvelle architecture, pour ne pas dire fracture, budgétaire et réglementaire, le service statistique du ministère de l’Agriculture a comparé l’incidence de la dernière réforme, en comparant les années 2022 et 2023. Synthèse.

La Pac de 2023 : ce que sa mise en œuvre a changé… ou pas

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