"Il faut une PAC ambitieuse ?", a interrog&eacute; le leader centriste, par&nbsp;ailleurs t&ecirc;te d'une liste UDI ind&eacute;pendante aux Europ&eacute;ennes, en r&eacute;f&eacute;rence aux&nbsp;propos d'Emmanuel Macron qui avait appel&eacute; samedi &agrave; une politique agricole&nbsp;commune "r&eacute;invent&eacute;e".&nbsp;"Mais comment ? Avec quel argent ?", a poursuivi Jean-Christophe Lagarde.&nbsp;"Moi, j'ai une solution : c'est le ch&egrave;que britannique. Avec le Brexit, on&nbsp;prend le ch&egrave;que britannique et on s'en sert pour la PAC", a-t-il propos&eacute; en&nbsp;avan&ccedil;ant par ailleurs que "le milieu (agricole) est le plus europ&eacute;en de&nbsp;France"."S'il y a &agrave; la fois une cat&eacute;gorie de Fran&ccedil;ais &agrave; qui on ne peut plus faire&nbsp;croire que sortir de l'Europe serait une solution, c'est (les agriculteurs)",&nbsp;a t-il poursuivi. "Ils veulent tous une Europe plus forte, plus ambitieuse,&nbsp;plus juste. Il n'y a pas une interprofession agricoles qui ne dit pas : +On a&nbsp;besoin d'une Europe qui se renforce+."&nbsp;Pourfendeur de l'"agro-bashing", ou la critique r&eacute;p&eacute;t&eacute;e contre la&nbsp;profession pour ses suppos&eacute;s manquements environnementaux, le patron de l'UDI&nbsp;a en outre lou&eacute; "une profession en pointe sur la transformation", "pleinement&nbsp;consciente de l'attente du public sur la qualit&eacute; et la transformation pour la&nbsp;pr&eacute;servation de l'environnement", mais "il faut que ce soit &eacute;conomiquement&nbsp;tenable"&nbsp;"Et l'on ne peut pas continuer dans un syst&egrave;me o&ugrave; l'on fixe des normes aux&nbsp;agriculteurs europ&eacute;ens et avoir des produits import&eacute;s qui ne respectent pas&nbsp;ces m&ecirc;mes normes", a encore fait valoir le pr&eacute;sident de l'UDI."La majorit&eacute; des exigences des agriculteurs s'adressent en r&eacute;alit&eacute; &agrave; la&nbsp;France", et non &agrave; l'Union europ&eacute;enne, a encore consid&eacute;r&eacute; M. Lagarde. Il a&nbsp;d&eacute;plor&eacute; "la complexit&eacute; administrative" qui a abouti selon lui &agrave; ce que les&nbsp;agriculteurs "consomment le moins les aides europ&eacute;ennes", ainsi que le&nbsp;"surtransposition" des r&egrave;gles europ&eacute;ennes dans la l&eacute;gislation fran&ccedil;aise, en&nbsp;prenant l'exemple du glyphosate.&nbsp;"Sinon, les agriculteurs fran&ccedil;ais auront 30% de rendements en moins, leurs&nbsp;produits seront alors vendus 30% plus chers, d&egrave;s lors les consommateurs&nbsp;ach&egrave;teront des produits &eacute;trangers: r&eacute;sultat, on continuera &agrave; manger du&nbsp;glyphosate et on va tuer nos agriculteurs. C'est stupide."


Le président de l'UDI, Jean-Christophe Lagarde, a souhaité mercredi "que l'argent du Brexit vienne renforcer" la politique agricole commune (PAC), lors d'une visite au Salon de l'agriculture à Paris.


Jean-Christophe Lagarde appelle à ce que "l'argent du Brexit" serve à la PAC

Le portage foncier initi&eacute; en 2017, et propos&eacute; par&nbsp;La Safer &Icirc;le-de-France, et le Cr&eacute;dit Agricole dans plusieurs r&eacute;gions, se d&eacute;ploie sur notre territoire francilien. Les Caisses R&eacute;gionales franciliennes du&nbsp;Cr&eacute;dit Agricole d'Ile-de-France et Cr&eacute;dit Agricole Brie Picardie, ont ainsi sign&eacute; une nouvelle convention avec la Safer &Icirc;le-de-France dont l'objectif est de permettre aux jeunes agriculteurs qui veulent s'installer durablement d'acheter des terres agricoles (foncier non b&acirc;ti) en minorant leur endettement d&egrave;s le d&eacute;part. C'est donc un v&eacute;ritable coup de pouce qui leur est propos&eacute; dans la bonne r&eacute;ussite de leur projet et le d&eacute;veloppement futur de leur exploitation agricole. Cette initiative au niveau r&eacute;gional permet aux jeunes agriculteurs franciliens d'avoir un acc&egrave;s facilit&eacute; &agrave; un financement jusqu'&agrave; 200 000 euros par porteur de projet sur 5 ans (renouvelable une fois). Le pr&ecirc;t du Cr&eacute;dit Agricole est accord&eacute; &agrave; la Safer &Icirc;le-de-France qui passe ensuite une convention d'occupation pr&eacute;caire des terres avec l'agriculteur. A l'issue de la p&eacute;riode de portage, l'agriculteur concern&eacute; fera donc l'acquisition du foncier au prix de la cession initiale. Pour rappel, le Cr&eacute;dit Agricole d'Ile-de-France a accompagn&eacute; au travers de son partenariat avec les Jeunes Agriculteurs plus de 77% des nouveaux agriculteurs franciliens dans leur projet d'installation au cours des 5 derni&egrave;res ann&eacute;es." A travers cette convention, le Cr&eacute;dit Agricole d'Ile-de-France r&eacute;affirme son attachement &agrave; ses valeurs fondamentales tout en faisant &agrave; nouveau preuve d'innovation pour simplifier le quotidien de nos agriculteurs. "&nbsp;Etienne de Magnitot, Pr&eacute;sident du Cr&eacute;dit Agricole d'Ile-de-France."Nous sommes heureux et fiers de proposer, en association avec la SAFER une solution qui r&eacute;pond pleinement aux enjeux que rel&egrave;vent les Jeunes Agriculteurs d'aujourd'hui. "&nbsp;Philippe de Waal, Pr&eacute;sident du Cr&eacute;dit Agricole Brie-Picardie.


La Safer Île-de-France, le Crédit Agricole d'Ile-de-France et le Crédit Agricole Brie Picardie signent ce jour un nouveau partenariat dédié pour faciliter l'accession à la propriété de terres agricoles par les jeunes agriculteurs franciliens.


Foncier : la Safer et le Crédit Agricole signent ce mercredi un nouveau partenariat 

&laquo;&nbsp;Nous agriculteurs, nous avons des difficult&eacute;s &agrave; aller voir nos parcelles r&eacute;guli&egrave;rement et pourtant c'est la base de notre m&eacute;tier&nbsp;&raquo;. Voici le constat fait par Charles-Edouard Lhopiteau agriculteur depuis 2011 sur une exploitation c&eacute;r&eacute;ali&egrave;re en Eure et Loir (28) et initiateur du projet.. Pour y rem&eacute;dier, le c&eacute;r&eacute;alier a con&ccedil;u Agricommunity, une appli mobile qui permet aux agriculteurs et aux conseillers de partager les observations (maladies, insectes) dans les parcelles. Objectif&nbsp;: &ecirc;tre plus r&eacute;actifs dans sa prise de d&eacute;cision pour lutter contre les nuisibles des cultures et diminuer ainsi l'utilisation des produits phytosanitaires.<h2>Conseil s&eacute;par&eacute; de la vente</h2>Lors de ses tours de plaine, l'agriculteur renseigne en trois &eacute;tapes ses observations puis les partage avec l'ensemble de la communaut&eacute;. Un utilisateur &agrave; proximit&eacute; sera automatiquement notifi&eacute; et aura acc&egrave;s aux d&eacute;tails de l'observation. Afin d'apporter des solutions aux probl&eacute;matiques de la s&eacute;paration des activit&eacute;s de ventes et de conseil, Agricommunity propose aux organismes de conseil (coop&eacute;ratives, n&eacute;goces, ...) une version premium de l'application qui leur permet de partager uniquement avec leurs agriculteurs clients. L'application permettra &eacute;galement &agrave; leurs agriculteurs d'avoir acc&egrave;s &agrave; un conseil personnalis&eacute; en fonction de leurs probl&eacute;matiques pendant tout le cycle des cultures. Apr&egrave;s six mois de fonctionnement, Agricommunity compte 650 observateurs (80% agriculteurs, 20% conseillers) sur la France. L'application est en t&eacute;l&eacute;chargement gratuit sur les stores Android et I-Phone.


Créée par un agriculteur, l’application permet de notifier à ses voisins, membres de la communauté, la présence de maladies ou insectes dans une parcelle. Une version premium réservée aux coops et négoces permet de partager l’info avec leurs adhérents et clients.


Agricommunity, l’observation collaborative et partagée des cultures

Pour ce rendez-vous annuel, les administrateurs et les &eacute;quipes de GDS Creuse et Farago Creuse vous invitent &agrave; venir les rencontrer.<h2>GDS Creuse avec la MSA pour &eacute;changer sur la th&eacute;matique &laquo;&nbsp;One Health, une seule sant&eacute;&nbsp;&ndash; Homme/Animaux&nbsp;&raquo; avec les maladies transmises par les tiques</h2>Pour cette &eacute;dition 2019, GDS Creuse s'associe avec la MSA pour vous proposer d'&eacute;changer sur la th&eacute;matique &laquo;&nbsp;One Health, une seule sant&eacute;&nbsp;&ndash; Homme/Animaux&nbsp;&raquo; avec les maladies transmises par les tiques. La MSA vous proposera des informations ax&eacute;es sur la pr&eacute;vention de la transmission de la maladie de Lyme &agrave; l'homme (documentations, explications sur l'utilisation de tire-tique...). Les pr&eacute;sentations de GDS Creuse porteront sur des pathologies transmises par les tiques aux ruminants avec les diff&eacute;rentes familles de tiques, leur cycle et environnement. Un point sera fait sur des maladies du sang (piroplasmose, anaplasmose...) et des maladies abortives (fi&egrave;vre Q, ehrlichiose...) avec les plans d'action, de pr&eacute;vention et d'aides correspondants de notre bo&icirc;te &agrave; outils.<h2>Un focus BVD et plus globalement, la &laquo;&nbsp;bo&icirc;te &agrave; outils GDS Creuse&nbsp;&raquo; pour vous accompagner...</h2>Un focus BVD sera &eacute;galement mis en avant avec le plan d'&eacute;radication national et sa mise en place progressive en Creuse. Nous adaptons notre action et continuerons &agrave; l'actualiser en fonction des &eacute;volutions de vos cheptels, de leur environnement et de vos besoins, tout en conservant les bases fondamentales de la lutte sanitaire collective, indispensables pour sa r&eacute;ussite. Notre &laquo;&nbsp;bo&icirc;te &agrave; outils GDS Creuse&nbsp;&raquo; vous sera pr&eacute;sent&eacute;e. Cela participe au renforcement de notre coop&eacute;ration pour un troupeau sain, s&ucirc;r et rentable.<h2>... venez r&eacute;cup&eacute;rer votre carnet de suivi d'&eacute;levage...</h2>2019, c'est aussi la mise &agrave; disposition du nouveau carnet de suivi d'&eacute;levage. Ce document au format de poche, vous permettra d'enregistrer vos v&ecirc;lages, le suivi de la reproduction de votre cheptel et les interventions sur vos animaux (carnet sanitaire). Suite &agrave; de nombreuses demandes, cet outil a &eacute;t&eacute; &eacute;labor&eacute; pour vous accompagner dans le suivi sanitaire de votre troupeau. N'h&eacute;sitez pas &agrave; le demander. Il est disponible &agrave; GDS Creuse et chez votre v&eacute;t&eacute;rinaire.<h2>... et rencontrer les partenaires pr&eacute;sents</h2>Pour nous accompagner, seront pr&eacute;sents le lyc&eacute;e agricole d'Ahun et les Jeunes Agriculteurs creusois avec une pr&eacute;sentation de leurs actions et projets pour cette nouvelle ann&eacute;e. Le GDS Apicole sera aussi &agrave; nos c&ocirc;t&eacute;s pour vous exposer leurs activit&eacute;s.<h2>Farago Creuse pour une facilitation des missions sanitaires de GDS Creuse...</h2>Au cours des ann&eacute;es, pour faciliter nos missions sanitaires et &agrave; votre demande, avec Farago Creuse, nous vous avons propos&eacute; des services&nbsp;: parage, &eacute;cornage, d&eacute;sinfection, d&eacute;sinsectisation dont la destruction de nids de gu&ecirc;pes et frelons, d&eacute;ratisation, lutte contre les taupes. Parall&egrave;lement &agrave; l'&eacute;volution de vos besoins, Farago Creuse a adapt&eacute; et d&eacute;velopp&eacute; son panel de services et produits et a &eacute;largi sa client&egrave;le au-del&agrave; de l'&eacute;levage aux entreprises, collectivit&eacute;s et particuliers. La hausse continue de fr&eacute;quentation du magasin t&eacute;moigne de votre fid&eacute;lit&eacute; et nous permet de nous adapter &agrave; vos besoins et de faire &eacute;voluer r&eacute;guli&egrave;rement nos gammes de produits.<h2>... avec son village des fournisseurs</h2>Certains de nos fournisseurs (cf. illustration) seront pr&eacute;sents pour vous &eacute;clairer sur les diff&eacute;rents outils et techniques. Notre but est de vous proposer de nouvelles m&eacute;thodes avec des outils adapt&eacute;s &agrave; vos besoins et de b&eacute;n&eacute;ficier des conseils des diff&eacute;rents professionnels pr&eacute;sents. Des pr&eacute;sentations auront lieu toute la journ&eacute;e avec les incontournables cages de contention, l&egrave;ve-t&ecirc;tes au cornadis, kit panels... mais aussi avec des gammes nouvelles comme les nettoyeurs haute pression, aspirateurs professionnels ou encore filets brise-vent et portes automatiques... De plus, comme chaque ann&eacute;e, venez profitez des 7 % de remise sur l'ensemble du magasin.<h2>Pour une meilleure connaissance de GDS Creuse et de Farago Creuse, venez &agrave; notre journ&eacute;e portes ouvertes</h2>Pour mieux conna&icirc;tre GDS Creuse, nos missions et nos outils, Farago Creuse, nos services et nos produits, afin que cette journ&eacute;e soit pleinement un lieu de rencontre et d'&eacute;changes dans la convivialit&eacute;, nous vous invitons &agrave; venir nous rencontrer le samedi 09 mars 2019. Les administrateurs et les &eacute;quipes de GDS Creuse et Farago Creuse seront heureux de vous recevoir.<aside class="factbox">
 <h2>BON &Agrave; SAVOIR</h2>
 Dans l&#039;espace GDS Creuse, un coin convivial sera disponible pour vous accueillir et pouvoir &eacute;changer avec vos administrateurs et d&eacute;l&eacute;gu&eacute;s cantonaux pr&eacute;sents. Vous y trouverez la documentation relative &agrave; la &laquo;&nbsp;bo&icirc;te &agrave; outils&nbsp;&raquo; GDS Creuse.Tout au long de la journ&eacute;e, une tombola et un cadeau &agrave; chaque participant&nbsp;!Un ticket de tombola vous sera remis d&egrave;s votre arriv&eacute;e sur notre site qui vous permettra de participer au tirage au sort qui se d&eacute;roulera &agrave; 17h00. Des lots de valeur sont &agrave; gagner. Lors du d&eacute;p&ocirc;t de votre ticket dans l&#039;urne situ&eacute;e dans l&#039;espace GDS Creuse, un cadeau vous sera offert. En marge de cette animation, des jeux seront propos&eacute;s aux enfants pr&eacute;sents.Caf&eacute;, lait et viennoiseries puis grillades et raclette avec les associations &laquo;&nbsp;D&#039;la couilla d&#039;mautou&nbsp;&raquo; de St Vaury, &laquo;&nbsp;JA23&nbsp;&raquo; et &laquo;&nbsp;Montlait&nbsp;&raquo;Pour &eacute;toffer la d&eacute;gustation de produits locaux, de nouveaux partenaires se joignent &agrave; nous. L&#039;animation de la d&eacute;gustation sera r&eacute;alis&eacute;e par les associations &laquo;&nbsp;D&#039;la couilla d&#039;mautou&nbsp;&raquo; de St Vaury et &laquo;&nbsp;JA23&nbsp;&raquo;. A partir de 9h00, caf&eacute;, jus d&#039;orange, raclette et lait &laquo;&nbsp;Montlait&nbsp;&raquo; et viennoiseries vous seront propos&eacute;s puis d&eacute;gustation de &laquo;&nbsp;couilles de mouton&nbsp;&raquo; de grillades (steak de b&oelig;uf et gigot d&#039;agneau) sur toute la journ&eacute;e.
</aside>


Journée portes ouvertes =&gt; Nous vous attendons ce samedi 09 mars dans nos locaux situés 26 rue Alexandre Guillon à Guéret. Venez nombreux.


9èmes portes ouvertes de GDS Creuse et Farago Creuse

<ul>
	<li>Mouton Vend&eacute;en&nbsp;/&nbsp;Concours viande jeunes b&eacute;liers 11 &agrave; 14 mois (41M1L)</li>
</ul>
3e place 
Gaec Heas fr&egrave;res

<ul>
	<li>Mouton Vend&eacute;en&nbsp;/&nbsp;Concours laine jeunes b&eacute;liers 11 &agrave; 14 mois (41M1LL)</li>
</ul>
2e&nbsp;place 
Gaec Heas fr&egrave;res

<ul>
	<li>Mouton Vend&eacute;en&nbsp;/&nbsp;Concours viande b&eacute;liers plus de 3 ans (41M5L)</li>
</ul>
1re et 2e&nbsp;place 
Gaec Heas fr&egrave;res

<ul>
	<li>Mouton Vend&eacute;en&nbsp;/&nbsp;Concours laine b&eacute;liers plus de 3 ans (41M5LL)</li>
</ul>
2e&nbsp;place 
Gaec Heas fr&egrave;res

<ul>
	<li>Mouton Vend&eacute;en&nbsp;/&nbsp;Concours viande b&eacute;liers plus de 4 ans (41M6L)</li>
</ul>
1re place 
EARL du gros rocher

<ul>
	<li>Mouton Vend&eacute;en&nbsp;/&nbsp;Concours laine b&eacute;liers plus de 4 ans (41M6LL)</li>
</ul>
1re place 
EARL du gros rocher

<ul>
	<li>Mouton Vend&eacute;en&nbsp;/&nbsp;Concours viande antenais 2 &agrave; 3 ans (41M4L)</li>
</ul>
1re place 
Gaec Heas fr&egrave;res

<ul>
	<li>Mouton Vend&eacute;en&nbsp;/&nbsp;Concours laine antenais 2 &agrave; 3 ans (41M4LL)</li>
</ul>
1re, 2e et 3e place 
Gaec Heas fr&egrave;res

<ul>
	<li>Mouton Vend&eacute;en&nbsp;/&nbsp;Prix de championnat viande b&eacute;liers adultes (41PCM)</li>
</ul>
1re place 
Gaec Heas fr&egrave;res 
 
&nbsp;[NEW_PARAGRAPHE]Les produits[TITRE_TEXTE]<ul>
	<li>Cidres de Bretagne IGP&nbsp;/&nbsp;Cidre de Bretagne IGP brut</li>
</ul>
M&eacute;daille d'or 
ETS Guillet fr&egrave;res SA

<ul>
	<li>Cidres fermiers&nbsp;/&nbsp;Cidre fermier doux</li>
</ul>
M&eacute;daille d'or 
EARL Ferme Saint Charles

<ul>
	<li>&nbsp;Jus de fruits artisanaux ou industriels&nbsp;/&nbsp;Jus de pommes</li>
</ul>
M&eacute;daille d'or 
Ferme fuiti&egrave;re de la Hauti&egrave;re 
 
 
&nbsp;[TEXTE_PHOTO]

Le Gaec Heas frères remporte le prix de championnat viande béliers adultes.

Concours général agricole - Résultats des concours de mardi

<blockquote class="twitter-tweet" data-lang="fr"><a href="https://twitter.com/hashtag/SIA2019?src=hash&amp;ref_src=twsrc%5Etfw">#SIA2019</a> : <a href="https://twitter.com/NicolasGirod3?ref_src=twsrc%5Etfw">@NicolasGirod3</a> lors de l'action de la <a href="https://twitter.com/ConfPaysanne?ref_src=twsrc%5Etfw">@ConfPaysanne</a> contre <a href="https://twitter.com/hashtag/l?src=hash&amp;ref_src=twsrc%5Etfw">#l</a>'accaparement du <a href="https://twitter.com/hashtag/foncier?src=hash&amp;ref_src=twsrc%5Etfw">#foncier</a>. <a href="https://t.co/pD6Hbbzy2F">pic.twitter.com/pD6Hbbzy2F</a>&mdash; Conf' Paysanne (@ConfPaysanne) <a href="https://twitter.com/ConfPaysanne/status/1100452067154583552?ref_src=twsrc%5Etfw">26 f&eacute;vrier 2019</a></blockquote>
<script async src="https://platform.twitter.com/widgets.js" charset="utf-8"></script>
"Aujourd'hui, il y a une concurrence entre la production d'&eacute;nergie et la&nbsp;terre agricole", s'est indign&eacute; Laurent Pinatel, porte-parole de la&nbsp;Conf&eacute;d&eacute;ration paysanne, d&eacute;non&ccedil;ant sur le stand d'Enedis, filiale d'EDF,&nbsp;l'achat par l'op&eacute;rateur de 336 hectares &agrave; c&ocirc;t&eacute; de la centrale nucl&eacute;aire du&nbsp;Bugey (Ain).&nbsp;&nbsp; Derri&egrave;re une banderole "EDF-Safer-Etat, La terre aux paysans", les membres&nbsp;de la "Conf'" ont d&eacute;vers&eacute; du terreau sur le stand d'Enedis, scandant "Le&nbsp;pouvoir aux paysans". "Aujourd'hui, il n'est plus possible d'artificialiser les terres", a clam&eacute;&nbsp;C&eacute;cile Muret, en charge des questions li&eacute;es au foncier &agrave; la Conf&eacute;d&eacute;ration&nbsp;paysanne, craignant pour la "souverainet&eacute; alimentaire" de la France. Selon elle, "3.000 hectares vont &ecirc;tre artificialis&eacute;s autour des centrales&nbsp;nucl&eacute;aires". Les manifestants ont provoqu&eacute; le d&eacute;part du stand du ministre de la&nbsp;Transition &eacute;cologique, Fran&ccedil;ois de Rugy, ont-ils indiqu&eacute; &agrave; l'AFP. "On a pr&eacute;vu cette action fonci&egrave;re il y a pas mal de temps", a expliqu&eacute;&nbsp;Laurent Pinatel, appelant de ses voeux une loi fonci&egrave;re. Un chantier &eacute;voqu&eacute;&nbsp;par Emmanuel Macron, lors de son discours inaugural du Salon, samedi.&nbsp;&nbsp;<h2>Explications</h2>Le pr&eacute;sident a promis "des mesures fortes pour faciliter l'acc&egrave;s au foncier&nbsp;pour les jeunes agriculteurs", dans le cadre "d'une loi fonci&egrave;re &agrave; venir".&nbsp;&nbsp; "Une grande partie de l'accaparement des terres vient de la production&nbsp;d'&eacute;nergie", a estim&eacute; M. Pinatel, &eacute;voquant, outre la centrale du Bugey, la&nbsp;production de panneaux photovolta&iuml;ques, ou le centre d'enfouissement de&nbsp;d&eacute;chets nucl&eacute;aires de Bure (Meuse).&nbsp;"Ils se sont tromp&eacute;s de stand, nous on raccorde", a d&eacute;clar&eacute; Pierre Guelman,&nbsp;directeur des affaires publiques d'Enedis, qui ne souhaitait pas s'exprimer&nbsp;sur le fond.&nbsp;&nbsp;Les manifestants, brandissant les drapeaux jaunes du syndicat, ont ensuite&nbsp;pris la direction du stand de la f&eacute;d&eacute;ration nationale des Safer (soci&eacute;t&eacute;s&nbsp;d'am&eacute;nagement foncier), afin d'obtenir quelques explications sur ces ventes de&nbsp;terrains aux op&eacute;rateurs &eacute;nerg&eacute;tiques.&nbsp;"L'Etat a exig&eacute; d'EDF la suppression de certains de ses r&eacute;acteurs", a&nbsp;expliqu&eacute; Muriel Gozal, directrice g&eacute;n&eacute;rale de la f&eacute;d&eacute;ration des Safer,&nbsp;&eacute;voquant des chantiers de d&eacute;mant&egrave;lement. Pour le Bugey, "nous r&eacute;alisons des &eacute;tudes, nous n'avons pas r&eacute;troc&eacute;d&eacute; le&nbsp;moindre hectare dans ce cadre l&agrave;. Il n'y a aucune opacit&eacute;, il n'y a aucune&nbsp;extension du site", a-t-elle affirm&eacute;.


Plusieurs dizaines d'adhérents de la Confédération paysanne ont manifesté contre l'artificialisation des terres agricoles, ciblant en particulier le secteur de l'énergie, mardi dans les allées du Salon de l'Agriculture.


SIA : La Confédération paysanne contre l'artificialisation des terres


Le réchauffement climatique impacte déjà le territoire français, avec des conséquences potentiellement fortes sur la ressource en eau et les cultures dans les années à venir. Explications avec Olivier Deudon, responsable base de données météo chez ARVALIS.


Climat 2050 : quels impacts sur la ressource en eau ?


Pas une semaine sans qu’une start-up n’éclose et ne propose le monitoring des cultures et des troupeaux, l’achat des intrants à bon compte, l’appréhension de la volatilité des prix, l’échange de connaissances, de machines et de parcelles.L’agriculture numérique est aujourd’hui réalité mais le cloud, le nuage, il est encore un peu nébuleux. Comment s’y retrouver ? Par quoi faut-il commencer ? Faut-il s’inquiéter du risque de mainmise des données par les géants du net ? Le big data va-t-il casser le modèle d’agriculture familiale ? Et puis, la donnée,  est-ce que c’est donné ?Pour se décomplexer autant que pour tenter de "décomplexifier" le phénomène, nous irons à la rencontre de 365FarmNet, une plateforme logicielle qui se veut universelle.En attendant, si vous avez besoin d’un assistant, demandez Fernand.


La Quotidienne du Sima : de la donnée, donnée à tous ?

"Le march&eacute; des produits laitiers s'est assaini au cours des derniers mois,&nbsp;les exc&eacute;dents de poudre de lait &eacute;cr&eacute;m&eacute; au sein de l'union europ&eacute;enne ont&nbsp;pratiquement disparu, tandis que la production laiti&egrave;re en Europe diminue&nbsp;r&eacute;guli&egrave;rement depuis le mois d'ao&ucirc;t", rel&egrave;ve Benoit Rouyer, &eacute;conomiste au&nbsp;Cniel (interprofession laiti&egrave;re fran&ccedil;aise) dans une note. La fili&egrave;re laiti&egrave;re fran&ccedil;aise revient de loin. En 2015, la fin des quotas&nbsp;laitiers europ&eacute;ens et la hausse de la production font s'effondrer les cours&nbsp;mondiaux du lait, et les &eacute;leveurs sont dans la rue. En 2016, ils ne&nbsp;manifestent plus, mais ce n'est pas pour autant un bon signe selon les&nbsp;connaisseurs du secteur: c'est qu'ils n'en ont plus les moyens.Des "laits &eacute;quitables" qui garantissent une juste r&eacute;mun&eacute;ration aux&nbsp;producteurs sont alors lanc&eacute;s et connaissent des succ&egrave;s populaires comme la&nbsp;marque "C'est qui le patron ?" ou "Les &eacute;leveurs vous disent Merci", un projet&nbsp;&eacute;labor&eacute; entre Intermarch&eacute; et un peu moins de 200 &eacute;leveurs partenaires de la&nbsp;Laiterie Saint-P&egrave;re d'Agromousquetaires, qui en un an a permis de vendre pr&egrave;s&nbsp;de 20 millions de litres de lait.<h2>Mieux r&eacute;mun&eacute;rer</h2>En 2017, lors d'un discours &agrave; Rungis Emmanuel Macron s'engage &agrave; lutter&nbsp;contre les effets de la guerre des prix entre distributeurs qui plonge l'amont&nbsp;de la fili&egrave;re, en particulier les producteurs, dans la d&eacute;prime. Les ateliers des Etats g&eacute;n&eacute;raux durent des mois, et accouchent d'une loi&nbsp;promulgu&eacute;e en octobre 2018, &agrave; temps pour s'appliquer aux n&eacute;gociations&nbsp;commerciales entre l'industrie agroalimentaire et la grande distribution.&nbsp;Depuis, les accords se sont multipli&eacute;s entre la grande distribution et les&nbsp;industriels laitiers, ou les coop&eacute;ratives, dans le but d&eacute;clar&eacute; de mieux&nbsp;r&eacute;mun&eacute;rer les &eacute;leveurs: Lactalis signe avec Carrefour et Super U, Danone avec&nbsp;Leclerc et Sodiaal avec Lidl... Intermarch&eacute; signe &eacute;galement un contrat tripartite avec les fromageries Bel&nbsp;et l'association des producteurs de lait Bel Ouest (APBO). "Avec la loi alimentation, on peut d&eacute;gager quelques centimes&nbsp;suppl&eacute;mentaires sur le coca qui permettent d'aider les producteurs", explique&nbsp;Thierry Cotillard, le pr&eacute;sident d'Intermarch&eacute;.&nbsp;&nbsp; Ces accords semblent accr&eacute;diter le fait que les n&eacute;gociations se passent&nbsp;bien pour le lait et le ministre de l'Agriculture cite m&ecirc;me la fili&egrave;re en&nbsp;exemple.<h2>"Engranger des euros"</h2>"Il y a toujours des parts de communication l&agrave; dedans mais on voit qu'on&nbsp;arrive &agrave; engranger des euros quand on signe des contrats avec les&nbsp;distributeurs, donc c'est plut&ocirc;t une bonne chose. C'est bien qu'on communique&nbsp;l&agrave; dessus parce que &ccedil;a a un effet d'entra&icirc;nement global", explique &agrave; l'AFP&nbsp;Olivier Gaffet, vice-pr&eacute;sident de Sodiaal. La f&eacute;d&eacute;ration des producteurs laitiers (FNPL) souligne pour sa part le&nbsp;manque de transparence de ces accords. "On ne sait ni sur quelles bases, ni sur quels volumes portent ces&nbsp;accords", indique Marie-Th&eacute;r&egrave;se Bonneau, vice-pr&eacute;sidente de la FNPL, lors du&nbsp;salon de l'agriculture.&nbsp;&nbsp;De plus, ils ne concernent que les marques, alors que 60% de la production&nbsp;des &eacute;leveurs pour la France va vers les premiers prix et les marques de&nbsp;distributeurs, selon elle.&nbsp;&nbsp; Coop de France lait souligne &eacute;galement "la meilleure valorisation d'une&nbsp;partie du lait constat&eacute;e dans les premi&egrave;res signatures avec la distribution"&nbsp;qui constitue une "premi&egrave;re &eacute;tape", mais "doit se confirmer et s'inscrire dans&nbsp;la dur&eacute;e". Car si la production venait &agrave; monter de nouveau et les prix &agrave; baisser, les&nbsp;accords seraient-ils reconduits ?&nbsp;&nbsp;Pour Lucien Bourgeois, &eacute;conomiste et membre de l'acad&eacute;mie d'agriculture,&nbsp;"cette ann&eacute;e les distributeurs sont d'autant plus sages que ce n'est pas&nbsp;possible de trouver ailleurs la marchandise". Car, avec la canicule, l'ann&eacute;e 2018 se termine au m&ecirc;me niveau qu'en 2017,&nbsp;et la situation est identique en Allemagne. Les distributeurs ont donc int&eacute;r&ecirc;t&nbsp;&agrave; assurer leur approvisionnement en France. "La s&eacute;cheresse de l'&eacute;t&eacute; 2018 a probablement &eacute;vit&eacute; une nouvelle crise grave&nbsp;dans le secteur laitier", assure-t-il.


Des cours en hausse, des stocks de poudre de lait disparus et des contrats avec les distributeurs: l'élevage laitier retrouve des couleurs début 2019 et les professionnels espèrent que cette embellie sera durable.


L'embellie va-t-elle durer pour les éleveurs laitiers ?

Il s'agit d'un avis de la Cour de justice de l'Union europ&eacute;enne (CJUE) sur&nbsp;le litige port&eacute; devant les tribunaux fran&ccedil;ais par l'association Oeuvre&nbsp;d'assistance aux b&ecirc;tes d'abattoir (OABA). Le jugement final sera rendu par la&nbsp;Cour d'appel administrative de Versailles (France), qui avait sollicit&eacute; la&nbsp;CJUE.&nbsp;Les juges europ&eacute;ens rel&egrave;vent que la l&eacute;gislation communautaire sur&nbsp;l'&eacute;tiquetage des produits biologiques met en avant la "volont&eacute; d'assurer un&nbsp;niveau de bien-&ecirc;tre animal dans le cadre de ce mode de production", explique&nbsp;la Cour dans un communiqu&eacute; de presse.D'un c&ocirc;t&eacute;, ils rappellent que "des &eacute;tudes scientifiques ont &eacute;tabli que&nbsp;l'&eacute;tourdissement constitue la technique qui porte le moins atteinte au&nbsp;bien-&ecirc;tre animal au moment de l'abattage". De l'autre, ils soulignent que l'abattage rituel sans &eacute;tourdissement&nbsp;pr&eacute;alable, autoris&eacute; dans l'UE &agrave; titre d&eacute;rogatoire afin d'assurer la libert&eacute; de&nbsp;religion, "ne permet pas de r&eacute;duire au minimum les souffrances de l'animal".&nbsp;&nbsp; Par cons&eacute;quent, la Cour estime que l'apposition du logo bio dans ce cadre&nbsp;n'est pas autoris&eacute; par la r&eacute;glementation europ&eacute;enne. Selon des chiffres de l'interprofession des viandes Interbev, en 2016 la&nbsp;fili&egrave;re rituelle repr&eacute;sentait en France 14% de l'abattage des bovins et 22% de&nbsp;celui des ovins.


La justice européenne a estimé mardi que lelabel de production biologique européen ne peut pas être appliqué à desviandes issues de l'abattage rituel sans étourdissement préalable, au motifque cette méthode ne respecte pas les "normes les plus élevées de bien-êtreanimal".


Vos résultats de recherche

Tous les résultats (16734)

Les actualités (16697)

L'agenda (18)

Les outils (5)

Les guides (14)