L’oscillation se poursuit sur les cours du pétrole WTI, partagée entre tensions géopolitiques et éléments fondamentaux peu porteurs. L’annonce, très attendue, de la décision de l’OPEP+…

Incertitudes politiques 

Le marché du pétrole fut animé par les événements géopolitiques la semaine dernière après les négociations de cessez-le-feu au Moyen-Orient. Suite à l’annonce, le cours du pétrole perd plus de -2 $/b sur l’échéance rapprochée du WTI pour s’afficher de nouveau sous les 70 $/b en début de semaine à 68 $/b. Également du…

Incertitudes géopolitiques 

Après une hausse de presque +6.5 % sur l’échéance rapprochée du WTI la semaine passée, les opérateurs se concentrent de nouveau sur les risques d’excès d’offres lundi, faisant chuter le pétrole sous les 70 $/b.…

Soutien à court terme dans un contexte de tensions géopolitiques 

Le cours du pétrole continue d’évoluer dans un contexte baissier, entre hausse du dollar et morosité économique en Chine. Malgré les tensions croissantes entre la Russie et…

Malgré la tension géopolitique, le pétrole évolue dans un contexte baissier. 

Les cours du pétrole débute une nouvelle fois la semaine dans un contexte peu porteur, en perdant -3$/b à 68$/b sur l’échéance rapprochée du WTI, soit au plus bas depuis fin…

La réélection de Trump pèse sur les prix 

Le pétrole continue d’évoluer dans un climat très sensible, entre tensions géopolitiques, et décision de la part de l’OPEP+ concernant la remise sur le marché de volumes. Ainsi, face aux éléments de pression sur l’or…

Les marchés sont animés 

Le marché du pétrole continue d’osciller au gré des évènements géopolitiques en mer Rouge. La réponse d’Israël sur l’Iran attendue par le marché depuis plus de deux semaines, impliquant une prime de risque sur le…

Sans la prime de risque guerre, les cours du pétrole reprennent le chemin de la baisse 

Nouvelle semaine de volatilité pour le pétrole qui continue d’être influencé par la situation au Moyen-Orient. Entre tentative de négociations de cessez le feu et attente de riposte de l’Israël, les…

La situation au Moyen-Orient reste le principal facteur d'influence

Les cours du pétrole restent majoritairement influencés à court terme par la tension qui règne au Moyen-Orient. La crainte concernant la riposte de…

Les risques géopolitiques à court terme compensent des fondamentaux lourds

Les récents évènement au Moyen-Orient continuent d’être le principal facteur d’influence de l’or Noir. En effet, après les attaques de l’Iran sur Israël la semaine dernière, le marché craint désormais…

Retour de la prime de risque géopolitique

Après deux semaines de gains, le pétrole inverse la tendance, en retrouvant les plus bas de mi-septembre à 67 $/b sur le WTI. Il faut dire que le flux de nouvelles sur le marché a nettement pesé sur le moral…

Recul du pétrole après deux semaines de hausse 

Seconde semaine de hausse consécutive pour le pétrole, qui après avoir touché les plus bas à 65 $/b sur l’échéance rapprochée du WTI, gagne près de +6 $/b depuis le 9 septembre. <br />
Plusieurs éléments…

Le rebond se poursuit 

Le cours du pétrole retrouve enfin des couleurs après une chute de -7 €/t depuis le début du mois de septembre sur le WTI. Les craintes concernant un déséquilibre…

Rebond sur la résistance des 70 $/b du WTI

La chute de -9 $/b sur l’échéance rapprochée du pétrole WTI depuis deux semaines semble, depuis deux jours, ralentir. Il faut dire que la semaine passée fut marquée par des nouvelles…

Chute du pétrole 

Le marché du pétrole est marqué par une grande volatilité, dans un contexte de tension croissance en mer Rouge. Après l’annonce la semaine dernière de l’arrêt de production de la…

Entre tensions géopolitiques et morosité économique 

Le marché du pétrole reste partagé. D’un côté, la demande est sous le feu des projecteurs, au moment où les doutes augmentent quant à l’augmentation de celle-ci en Chine. En effet, l’empire du Milieu représente près des deux tiers de la…

Tensions ravivées au Moyen-Orient

Les négociations de cessez-le-feu à Gaza ont repris, après que le secrétaire d'État américain, M. Blinken, a rencontré hier le premier ministre israélien, M. Netanyahou. Si cette discussion ouvre la porte à un apaisement des tensions…

Craintes sur la hausse de la consommation mondiale

La récente chute des prix du pétrole est une réaction excessive aux chiffres de l'emploi US plus faibles que prévus, selon un délégué de l'OPEP+. C’est également l’opinion de l’EIA (U.S. Energy Information…

Les tensions géopolitiques reviennent au premier plan

Les prix du pétrole sont tombés à leur plus bas niveau depuis avril sur le WTI à New York, après la publication de données sur la faiblesse des économies américaine et chinoise. Si elles font craindre une baisse de la…

La panique boursière accélère le repli du pétrole

La baisse se poursuit sur le cours du pétrole WTI , affichant ainsi une chute de plus de -7,5% depuis début juillet. La morosité de l’économie chinoise reste…

Pression sur les cours du pétrole 

Le cours du pétrole est de retour sur son plus bas niveau depuis un mois, alimenté par des opérateurs davantage inquiets de l’abondance de l’offre, que du regain de tensions…

Retour du pétrole sur un plus bas depuis un mois

Après une semaine qui a vu se succéder risques climatiques et rebond de demande, les cours du pétrole marquent une pause à 81$/b sur l’échéance rapprochée du WTI. Le passage de l’ouragan Beryl…

Marché hésitant après une récente hausse 

La situation demeure incertaine au Moyen-Orient, les pourparlers pour un cessez-le-feu à Gaza étant toujours en cours. Les opérateurs craignent que même en cas d’accord, les attaques des Houthis sur les navires…

Demande estivale US sous surveillance

Le marché du pétrole continue son rallye, porté par la tension géopolitique en mer Rouge. Les rebelles houthis du Yémen ont en…

Poursuite du soutien du pétrole

Fioul

<p>Les derniers chiffres du secteur avicole fran&ccedil;ais r&eacute;v&egrave;lent une dynamique positive pour l'ann&eacute;e 2024. En octobre, les abattages de volailles de chair ont connu une hausse de 5,5% par rapport &agrave; l'ann&eacute;e pr&eacute;c&eacute;dente, selon Agreste, le service statique du minist&egrave;re de l&rsquo;Agriculture. Cette croissance est principalement port&eacute;e par la fili&egrave;re poulet, qui enregistre une augmentation de 5,4% des abattages par rapport &agrave; 2023 et une hausse de 3,4% par rapport &agrave; la moyenne des cinq derni&egrave;res ann&eacute;es.</p><p>Emp&ecirc;tr&eacute;e dans <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/influenza-aviaire-le-risque-eleve-les-volailles-confinees2" target="_blank" title="">les crises sanitaires</a>, la fili&egrave;re du foie gras montre des signes encourageants de reprise. A l&rsquo;approche de No&euml;l, les abattages de canards gras ont bondi de 22,6% en octobre 2024. Compar&eacute; &agrave; la moyenne 2019-2023, ils sont en hausse de 10%.</p><h2>Dindes et canards &agrave; la peine</h2><p>En revanche, les abattages de dindes et de canards &agrave; r&ocirc;tir se replient (respectivement -8,6% et -10,7%) et ce, pour le troisi&egrave;me mois cons&eacute;cutif. Compar&eacute;s &agrave; la moyenne 2019-2023, ils sont en net recul (respectivement -20,4% et -18,7%).</p><p>En octobre, le prix &agrave; la production des volailles reste l&eacute;g&egrave;rement au-dessus du niveau moyen des quatre derni&egrave;res ann&eacute;es (+1,9%).</p><p>Le prix de l&rsquo;aliment pour volailles reste sup&eacute;rieur au prix moyen de la p&eacute;riode 2020-2023 (+2,7%) et inf&eacute;rieur &agrave; celui de septembre 2023 (-4,6%).</p><h2>Consommation en hausse</h2><p>La consommation de viandes de volaille a connu une forte augmentation, avec une hausse de pr&egrave;s de 10% sur un an en septembre 2024. Cette tendance concerne toutes les esp&egrave;ces, avec des augmentations notables pour le poulet (+9,2%), la dinde (+6,6%), le canard (+19,1%) et la pintade (+32,1%)</p><aside class="read-also">
    <p class="typography menu-link dark ">&Agrave; voir aussi</p>
    <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/poulet-les-francais-veulent-du-francais-meme-plus-cher" target="_blank">Poulet : les Fran&ccedil;ais veulent du Fran&ccedil;ais, m&ecirc;me plus cher</a>
</aside>
<h2>Production d'&oelig;ufs en progression</h2><p>Le secteur des &oelig;ufs n'est pas en reste, avec une augmentation de la production de 1,6% sur un an en novembre 2024. Cette croissance est principalement due aux productions issues des poules &eacute;lev&eacute;es au sol et en plein air. Le prix &agrave; la production reste &eacute;lev&eacute;&nbsp;: en octobre, il d&eacute;passe de 17,8% le prix moyen 2020-2023 et de 2,4% celui de l&rsquo;an pass&eacute;.</p><h2>D&eacute;ficit commercial</h2><p>Le solde du commerce ext&eacute;rieur de la France en mati&egrave;re de volaille reste n&eacute;gatif, avec des importations toujours sup&eacute;rieures aux exportations. Les importations de viandes de volaille ont augment&eacute; de 2,1% sur un an tandis que les exportations se contractent de 4,1%. Au final, le d&eacute;ficit ext&eacute;rieur de viandes de volaille se creuse : -39,1 milliers de tonnes &eacute;quivalent carcasse (tec) contre -36,1 milliers de tec en septembre 2023. Au cours des cinq derni&egrave;res ann&eacute;es, les importations de viande de volaille ont augment&eacute; de 13%.</p><aside class="factbox">
    <h2>BON &Agrave; SAVOIR</h2>
    <p>En septembre 2024, les abattages de volaille en France repr&eacute;sentaient 147 milliers de tonnes &eacute;quivalent carcasse (tec), les importations 75 milliers de tec et les exportations 36 milliers de tec.</p>
</aside>



En octobre 2024, les abattages de volailles augmentent de 5,5% sur un an, essentiellement portés par le poulet. A l’approche des fêtes de Noël, les abattages de canards gras sont à la hausse tandis que ceux de dindes et de canards à rôtir reculent pour le troisième mois consécutif.

Volaille : la production et la consommation française reprennent des couleurs

Le brésil bat tous les records de surfaces emblavées, de production et d'exportation (tourteaux compris). Par conséquent, le prix du colza et du tournesol risque encore de baisser, y compris pour les tourteaux. Une bonne nouvelle pour les éleveurs, une mauvaise pour les céréaliers français.

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