Quelles sont les prévisions pour août 2025 ?

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Fleury-les-Aubrais

Un rendement estim&eacute; entre 40 et 45 q/ha avec des pointes &agrave; 60 &agrave; 70 q/ha dans certaines r&eacute;gions, avec et en prime, la quasi-absence de <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/le-pois-proteagineux-victime-collaterale-des-aleas-meteo-et-sanitaires" target="_blank">contre-performances comme l&rsquo;esp&egrave;ce peut parfois en r&eacute;server</a>, allant jusqu&rsquo;&agrave; l&rsquo;impossibilit&eacute; de r&eacute;colter. Tels sont les premiers r&eacute;sultats &laquo;&nbsp;tr&egrave;s positifs&nbsp;&raquo; de la campagne 2024-2025 pour le pois prot&eacute;agineux, selon Terres Inovia. &laquo;&nbsp;Cette campagne est riche d&rsquo;enseignements et confirme que le pois d&rsquo;hiver exprime toutes ses performances d&egrave;s lors que la pression maladies est faible ou bien ma&icirc;tris&eacute;e tout comme une forme de r&eacute;silience&nbsp;&raquo;, se r&eacute;jouit l&rsquo;Institut technique qui sur le plan de la protection, milite depuis des ann&eacute;es pour des intervention pr&eacute;coces.M&ecirc;me strat&eacute;gie d&rsquo;anticipation s&rsquo;agissant du pois de printemps, mais &agrave; l&rsquo;encontre du semis. &laquo;&nbsp;La date de semis s&rsquo;illustre une nouvelle fois comme un levier performant pour &eacute;viter les stress climatiques : rendements de 40 &agrave; 55 q/ha pour les semis pr&eacute;coces contre 20 &agrave; 30 q/ha pour les semis tardifs, qui ne concernaient qu&rsquo;une minorit&eacute; des surfaces, indique Terres Inovia. Avec des d&eacute;bouch&eacute;s prometteurs et en pleine croissance, la production pourra &ecirc;tre valoris&eacute;e sur notre territoire tant en alimentation animale qu&rsquo;humaine&nbsp;&raquo;.<h2>Qualit&eacute; et marges au rendez-vous</h2>M&ecirc;me s&rsquo;il est encore un peu t&ocirc;t pour d&eacute;livrer un jugement d&eacute;finitif, la qualit&eacute; des pois d&rsquo;hiver et de printemps semble &ecirc;tre au niveau des standards attendus pour le march&eacute; de l&rsquo;alimentation animale avec notamment des teneurs en prot&eacute;ines correctes.En ce qui concerne la comp&eacute;titivit&eacute; de la culture, les marges obtenues en pois sont comparables &agrave; celles du bl&eacute; tendre, avec les prix, rendements et charges de la campagne 2024/2025. De plus, l'effet pr&eacute;c&eacute;dent du pois, par rapport &agrave; un pr&eacute;c&eacute;dent bl&eacute;, repr&eacute;sente un gain de marge brute de 140 &agrave; 200 &euro;/ha sur le bl&eacute; suivant gr&acirc;ce notamment aux &eacute;conomies d&rsquo;azote. Seul b&eacute;mol&nbsp;: la surface implant&eacute;e, pass&eacute;e sous les 100.000 ha (98.000 selon Agreste), ce &agrave; ce quoi l&rsquo;interprofession ne se r&eacute;signe pas. &laquo;&nbsp;Tout agriculteur le sait : les ann&eacute;es se suivent mais ne se ressemblent pas. Les d&eacute;fis sont de taille pour la culture de prot&eacute;agineux mais cette campagne le montre : c&rsquo;est possible, les rendements peuvent &ecirc;tre au rendez-vous et ces cultures peuvent redevenir de vraies opportunit&eacute;s dans nos assolements&nbsp;&raquo;.En ce qui concerne la f&eacute;verole, Terres Inovia fait part d&rsquo;un rendement moyen compris entre 30 et 35 q/ha, similaire &agrave; 2024, mais avec des surfaces en hausse (120.000ha).<h2>Cap Prot&eacute;ines+ en action</h2>Par leurs atouts environnementaux et les enjeux de souverainet&eacute; prot&eacute;ique dont ils sont porteurs, le pois prot&eacute;agineux et la f&eacute;verole focalisent toute l&rsquo;attention du programme de recherche Cap Prot&eacute;ines+ qui,&nbsp; sur la p&eacute;riode 2024-2027, mobilise de gros moyen humains et financiers pour s&eacute;curiser les itin&eacute;raires techniques, aux c&ocirc;t&eacute;s du renforcement d&rsquo;actions de structuration de fili&egrave;re, du pilotage d&rsquo;un observatoire interprofessionnel annuel des prix pay&eacute;s aux producteurs, de la cr&eacute;ation de normes de qualit&eacute; ou bien encore de la mise en place des projets de d&eacute;monstrateurs territoriaux de production et de valorisation du pois.

Avec un rendement moyen compris entre 40 et 45q/ha, le pois protéagineux fait jeu égal avec le blé tendre en terme de marge brute, sans compter l'effet précédent réservant entre 140 à 200 €/ha de bénéfice au blé suivant. Le rendement moyen de la féverole oscille entre 30 et 35 q/ha.

Moisson 2025 : les protéagineux retrouvent des couleurs

Pour la derni&egrave;re &eacute;tape de sa tourn&eacute;e r&eacute;gionale &laquo;&nbsp;&Eacute;nergie solaire&nbsp;: faisons le tour de la question&nbsp;!&nbsp;&raquo;, Solewa(1) a organis&eacute; fin juin &agrave; La Bruffi&egrave;re une matin&eacute;e pour aller &agrave; la rencontre des porteurs de projets dans la production d&rsquo;&eacute;nergie solaire et de l&rsquo;utilisation des mobilit&eacute;s &eacute;lectriques en exploitations agricoles. Une trentaine d&rsquo;agriculteurs ont &eacute;t&eacute; convi&eacute;s &agrave; cette matin&eacute;e au sein de la Cuma La Croisi&egrave;re, o&ugrave; quelques stands de partenaires les accueillaient pour leur pr&eacute;senter des solutions. Alexandre Charron, directeur des relations clients de Solewa, explique que &laquo;&nbsp;le contexte du march&eacute; du solaire agricole a &eacute;volu&eacute; depuis ces derni&egrave;res ann&eacute;es. En plus r&eacute;cemment encore depuis mars&nbsp;2024, avec un changement de r&eacute;glementation, avec un octroi n&eacute;cessaire d&lsquo;une caution par exemple, pour s&eacute;curiser les projets ou la baisse du tarif d&rsquo;achat&nbsp;&raquo;. Ce qui pose des questions sur la rentabilit&eacute; des chantiers en cours ou &agrave; venir&hellip; Parmi les solutions qui se d&eacute;veloppent, Alexandre Charron a notamment cit&eacute; les nouveaux partenariats entre diverses entreprises pour la production d&rsquo;&eacute;nergie solaire et son autoconsommation collective, avec l&rsquo;exemple d&rsquo;une r&eacute;cente r&eacute;alisation conclue entre &laquo;&nbsp;douze entreprises partenaires, de Saint-Hilaire-de-Loulay, inscrites dans la boucle&nbsp;&raquo;, en lien avec la collectivit&eacute; Terres de Montaigu. Porte-v&eacute;lo et porte-quad vend&eacute;ens Parmi les jeunes entreprises pr&eacute;sentes &agrave; La Bruffi&egrave;re, la soci&eacute;t&eacute; vend&eacute;enne Tract&rsquo;Moi(2) et son fondateur, Clovis Richard, a expliqu&eacute; aux visiteurs en quoi consistaient ses supports de v&eacute;hicules pour tracteurs (voir photo). &laquo;&nbsp;Install&eacute;s &agrave; l&rsquo;avant du tracteur, ces supports permettent &agrave; un agriculteur de transporter un v&eacute;lo ou une trottinette (avec le TM2) ou un quad (avec le TM4), afin de le rendre autonome dans ses d&eacute;placements quotidiens&nbsp;: c&rsquo;est le concept du &laquo;&nbsp;deux v&eacute;hicules en un&nbsp;&raquo;&nbsp;!&nbsp;&raquo; Clovis Richard est, en outre, aussi &agrave; la t&ecirc;te de la soci&eacute;t&eacute; Agricycles, qui propose trois mod&egrave;les de v&eacute;los &eacute;lectriques tout-terrain ou agricoles, particuli&egrave;rement robustes et autonomes (90&nbsp;km, en six&nbsp;heures de charge). Quant &agrave; Xavier Thouraud, fondateur de la marque Asgard(3) et cr&eacute;ateur du premier quad &eacute;lectrique utilitaire fran&ccedil;ais (le T3B), a fait tester son prototype dit l&rsquo;&Eacute;claireur. Ce mod&egrave;le dispose de nombreux atouts, &agrave; c&ocirc;t&eacute; de son syst&egrave;me de cl&eacute; antivol&nbsp;: autonomie de 150&nbsp;km&nbsp;; temps de charge r&eacute;duit (cinq &agrave; six heures)&nbsp;; pneus increvables (Michelin)&nbsp;; treuil &eacute;lectrique et boule de tractage&nbsp;; entretien limit&eacute;&hellip; &Eacute;taient aussi pr&eacute;sents les repr&eacute;sentants d&rsquo;Isagri qui pr&eacute;sentaient les possibilit&eacute;s de leur application m&eacute;t&eacute;o M&eacute;t&eacute;us et ceux d&rsquo;Evoltigo (du groupe Wewise) avec leurs bornes de recharge pour exploitation agricole.&nbsp;1&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; Sp&eacute;cialiste du photovolta&iuml;que agricole dans le grand Ouest, et membre fondateur du groupe national Wewise, qui &oelig;uvre pour la &laquo;&nbsp;d&eacute;carbonation positive&nbsp;&raquo;.2 &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; Site internet&nbsp;: &lt;https://tractmoi.com/&gt; .3&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; Site Internet&nbsp;: www.asgard-motors.fr &lt;http://www.asgard-motors.fr&gt; .

Jeudi 26 juin, Solewa organisait une journée portes ouvertes à la Cuma La Croisière, à La Bruffière, un de ses clients équipés de panneaux photovoltaïques depuis près de dix ans.

Solewa rencontre des porteurs de projets solaires et électriques

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