Quelles sont les prévisions pour le mois de novembre ?

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04, Alpes-de-Haute-Provence, Provence-Alpes-Côte d'Azur

Manosque

<p>Depuis plus d’une décennie, Géraud Delorme porte avec ténacité, sans complexe ni concession d’ailleurs, la cause du système de la salers traite, qui, comme bien d’autres, a bien failli disparaître sur l’autel de la spécialisation et de la productivité avant de trouver un nouveau souffle auprès de jeunes éleveurs passionnés. Ce mercredi 17 décembre, l’éleveur de Joursac va passer la main à la présidence de l’association Tradition salers sans regrets et avec une foi intacte dans la pertinence économique de ce <br>système d’élevage qui a traversé les siècles.</p><p><br><strong>Déringardisé...</strong></p><p><br>À l’heure de regarder dans le rétroviseur, quelles sont les avancées qui ont marqué ces <br>14 années à la tête de Tradition salers ?<br>Géraud Delorme : “Quand je suis arrivé en 2011, mon idée était de “déringardiser” le métier et notre système d’élevage. On avait un discours et l’image d’être les derniers survivants d’un système qui avait survécu un peu par miracle, d’être les derniers buronniers... On a mis en place une stratégie de communication à la fois à destination du grand public mais aussi du monde agricole. Auprès du monde agricole en nous appuyant sur le cas type “salers traite” du réseau de références de la Chambre d’agriculture et l’organisation d’un concours laitier salers une année sur deu. Ainsi que via l’édition de supports de communication et d’un stand tenu sur diverses manifestations (National salers, Salon de l’agriculture, salons Slow food à Turin ou à Bras en Italie...). L’objectif étant la fois, de faire connaître les fromages au lait de salers et le système d’élevage traditionnel salers. On a bénéficié d’un gros coup de pouce, totalement imprévu, avec la création par Laurent Galaup d’une page Facebook “Pour la défense de la salers traite” qui a démultiplié notre travail.”</p><p>Quid de la valorisation du lait et des fromages au lait de salers et donc de la rémunération d’un système très exigeant en main d’œuvre ?<br>G. D. : “Dans les années 2000, <br>l’association Tradition salers avait réussi à obtenir dans le décret de 2000 de l’AOP salers une démarcation des produits fermiers au lait de salers avec la mention Tradition salers, tout en accompagnant l’essor de filières comme avec la coopérative de Saint-Bonnet-de-Salers, la coopérative Val’Lait salers dans la vallée de la Cère... Quand je suis arrivé, j’étais convaincu que la filière fermière allait s’effondrer et qu’elle serait remplacée par ces filières collectives en raison de la charge de travail dans les ateliers fermiers. L’histoire m’a donné tort : les filières coopératives se sont effilochées pour plusieurs raisons : dispersion des producteurs, faibles litrages rendant les coûts de collecte et de transformation élevés... </p><p><br><strong>Le maintien affirmé de la production fermière</strong> </p><p><br>A contrario, la production fermière s’est maintenue. En 2006, on comptait 95 producteurs d’AOP salers (toutes races), dont 14 en Tradition salers soit 15 % <br>de l’effectif. En 2025, entre les fabrications AOP et hors AOP, on recense 15 ateliers fermiers qui transforment du lait de salers, et un 16e arrive pour 2026. Il y a donc un bon renouvellement des générations dans la filière fermière. En volumes, on a aussi maintenu le ratio autour de 5 % de Tradition salers au sein de l’AOP.”</p><p>Ce système reste confidentiel en effectif et volumes, est-il néanmoins reconnu par la profession agricole et ses partenaires institutionnels ?<br>G. D. : “La première réunion que j’ai faite à l’Inra en tant que président, c’était sur le programme expérimental de traite de la salers sans veau... ça m’a très vite <br>interpellé(1). Et la position que j’ai toujours défendue depuis, c’est que la salers traite n’était pas là pour faire de la figuration comme le fait la race aubrac pour l’AOP laguiole. Le rameau laitier de la salers a lui toujours existé et je n’étais pas d’accord de le remplacer par quelque chose qui n’amènerait rien ni au consommateur, ni aux éleveurs, ni au produit. Ça a été un fil rouge de ma présidence. <br>Dans les évolutions politiques favorables, il faut aussi souligner la reconnaissance par le Cif(2) du système Tradition salers comme système d’élevage à part. Ça a été une avancée majeure et un travail de terrain très bénéfique a été réalisé pour renforcer encore la mention Tradition salers dans le futur cahier des charges. De même, le Cif a proposé la reconnaissance d’un cantal Tradition, au lait de salers, dans la révision en cours du cahier des charges de l’AOP. On espère que cela va aboutir. Aujourd’hui, on peut se féliciter que le salers trait soit reconnu du grand public, des consommateurs, des éleveurs, des politiques...”</p><p>Et sur le plan génétique, où en est le rameau laitier ?<br>G. D. : “On est sur un niveau génétique plutôt stable qui mérite d’être amélioré. C’est peut-être le volet sur lequel il a été le moins aisé de faire travailler les éleveurs et sur lequel on aurait pu faire mieux. Trouver une ligne médiane qui fédère les éleveurs et les fasse avancer alors qu’il y a plusieurs “écoles” est resté compliqué.”</p><p>Il se parle de génotypage des salers traites... ?<br>G. D. : “C’est un très bon projet mais il ne faut pas se faire d’illusion : on n’aura pas de résultats immédiats. C’est pourquoi il ne faut pas négliger le travail de base, c’est-à-dire sélectionner les meilleurs taureaux améliorateurs, les faire s’accoupler avec les meilleures vaches... Nous avons la chance aujourd’hui que toutes les vaches salers traites soient suivies par le même technicien du Herd-book, ce qui lui permet d’avoir un œil beaucoup plus avisé pour délivrer des conseils.”</p><p><br><strong>Ne lâcher ni sur la qualité ni sur la sélection génétique</strong></p><p><br>Quels sont les enjeux pour demain ?<br>G. D. : “Ne pas se reposer sur nos lauriers, à tous les niveaux. Sur l’AOP Tradition salers, si le produit se vend bien, à un bon prix, s’il est prisé des clients professionnels comme des particuliers, c’est grâce à sa qualité. C’est ça le vecteur de plus-value. Il ne faut surtout pas se laisser aller à une exigence moindre : vendre seulement une image, ça ne marche pas !<br>Idem sur la sélection génétique : bien sûr l’idée n’est pas de transformer la salers en holstein, mais d’avoir des animaux de montagne qui se contentent d’herbe, de foin et d’une complémentation minimale, qui arrivent à faire du lait dans des conditions d’élevage rustiques, avec des systèmes économes en intrants permettant ainsi aux éleveurs de dégager de la marge. Il ne faut pas se laisser aveugler par une sélection basée uniquement sur la morphologie, il faut du potentiel laitier. Les deux axes prioritaires sont bien ceux-là : produire du lait et bien le vendre pour rémunérer la main d’œuvre.”</p><p>Ne craignez-vous pas que le contexte haussier des prix des broutards et de la viande ne détourne les éleveurs ou futurs éleveurs potentiels de salers traites de ce système ?<br>G. D. : “Encore une fois, la question n’est pas le travail mais sa rémunération. Ces prix de la viande plus élevés ne font que renforcer les résultats économiques des élevages salers trait qui bénéficient d’une double source de revenus, le lait et la viande. On oublie aussi souvent de mettre en avant la docilité de nos animaux, habitués tout petits à la proximité de l’éleveur. C’est un argument pour ceux qui vendent des génisses d’élevage en plus de leur valeur maternelle.”</p><p><strong>Salers : la vache tout-terrain</strong></p><p><br>Êtes-vous confiant dans l’avenir de ce système d’élevage ancestral, dans la capacité à s’affirmer dans un contexte à forts enjeux, notamment climatiques et <br>sociétaux ?<br>G. D. : “Oui et il ne faut pas avoir peur d’être dans un système d’élevage différent, alternatif en quelque sorte. Si le système salers trait a traversé toutes les crises et les guerres, c’est parce qu’il est adapté à notre territoire. Il y a 2 000 ans déjà, il se faisait du fromage dans la région, et on peut imaginer que c’était avec des ancêtres de nos salers. C’est un système calqué sur le rythme des saisons, avec du lait produit tout l’été à l’herbe propice à la qualité des fromages ; des vaches taries l’hiver, ce qui laisse une période de repos aux éleveurs. Et tout est bâti sur les spécificités de la salers dont l’instinct maternel est tel qu’elle refuse de donner son lait sans son veau. <br>Même si ce n’est pas une grosse productrice, la salers, par sa rusticité, à un côté 4x4, tout terrain, qui lui permet de s’adapter plus facilement aux pénuries alimentaires en cas de sécheresses. C’est la fameuse vache accordéon...”<br><br>(1) Ces travaux ont conclu que seules 3 % des salers pouvaient potentiellement se passer du veau pour la traite mais <br>avec des durées de lactations bien plus courtes et des performances laitières moindres que celles traites avec leurs veaux. <br>(2) Comité interprofessionnel des fromages cantal et salers AOP.</p>


Système d’élevage ancestral, le salers trait a failli ne pas survivre à la spécialisation. Depuis les années 2000, il a dépoussiéré son image et démontré sa pertinence économique.

Salers traite : un système assumé, reconnu et économiquement rentable

<p>Retrouvez chaque jour, du 1<sup>er</sup> au 25 décembre, notre sélection des nouvelles réjouissantes de l’année 2025.</p><p>Sous la forme d’un calendrier de l’avent, Pleinchamp vous propose une sélection d’initiatives enviables, de portraits inspirants, d’avancées concrètes et de lueurs d’espoirs pour le monde agricole.</p><p>Preuve que même si de nombreux combats restent à mener, certaines nouvelles vont dans le bon sens : celui d’un monde plus durable, plus juste, plus rémunérateur pour les agricultrices et les agriculteurs.</p><h2>1 - <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/le-lait-sur-un-petit-nuage-1-25" target="_blank">Le lait sur un petit nuage</a> </h2> 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/medium/6/9/7/4/8154796-1-fre-FR/78a35833d70a-Couvlaitbis.jpg" alt="Crédit photo : R. Lecocq" height="116" width="200" /></figure>

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<p>Le prix du lait devrait terminer à des niveaux historiquement hauts, porté par la demande intérieure et internationale. Même le lait bio remonte la pente. Mais gare à la décapitalisation rampante, qui participe à la raréfaction de l’offre, non sans risquer de fragiliser les outils de transformation, lait et viande confondus. <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/le-lait-sur-un-petit-nuage-1-25" target="_blank">Lire l’article</a>.</p><h2>2 - <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/la-france-bon-eleve-du-recyclage-des-plastiques-agricoles" target="_blank" title="">La France, bon élève du recyclage des plastiques agricoles</a> </h2> 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/medium/9/3/9/5/8155939-1-fre-FR/1c736cfb0923-Apport_et_controle.jfif" alt="" height="134" width="200" /></figure>

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<p>Forte d’un système organisé et performant pour la collecte et le recyclage des plastiques agricoles, la France vise un taux de recyclage de 80% sur le territoire. <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/la-france-bon-eleve-du-recyclage-des-plastiques-agricoles" target="_blank" title="">Lire l'article.</a></p><h2 class="MsoBodyText" style="text-align:left;">3 - <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/contre-les-adventices-la-bataille-du-rtk-de-l-ia-et-de-la-ferraille" target="_blank" title="">Contre les adventices, la bataille du RTK, de l’IA et de la ferraille</a></h2> 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/medium/1/5/9/8/8158951-1-fre-FR/392f1a459e2e-10-2.jpg" alt="" height="133" width="200" /></figure>

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<p class="MsoBodyText" style="text-align:left;">En plus des bineuses, houes rotatives et autres herses étrilles, la lutte contre les mauvaises herbes s’enrichit de technologies novatrices, permettant de s’affranchir, sinon d’alléger la charge dévolue aux herbicides, toujours moins nombreux. <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/contre-les-adventices-combiner-ferraille-rtk-laser-electricite-ia-et-herbicides" target="_blank">Lire l’article</a>.</p><h2>4 - <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/l-usage-des-produits-cmr-a-baisse-de-50-en-10-ans" target="_blank">L’usage des produits CMR a baissé de 50% en 10 ans</a></h2> 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/medium/2/9/4/0/8160492-1-fre-FR/a77f553f09d7-Couv1.jpg" alt="" height="140" width="200" /></figure>

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<p>Même s’ils n’ont pas mené à une baisse significative des produits phytosanitaires, les plans Ecophyto successifs auront eu le mérite de réduire l’utilisation des produits les plus dangereux pour la santé. <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/l-usage-des-produits-cmr-a-baisse-de-50-en-10-ans">Lire l’article</a>.</p><h2>5 - <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/les-agriculteurs-des-retraites-comme-les-autres" target="_blank">Les agriculteurs, des retraités (bientôt) comme les autres</a></h2> 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/medium/2/6/4/2/8162462-1-fre-FR/f46e0765bb57-spangh1.jpg" alt="" height="148" width="200" /></figure>

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<p>A compter du 1<sup>er</sup> janvier 2026, le calcul de la retraite de base des agriculteurs et des agricultrices sera basé sur les 25 meilleures années et non plus sur l’ensemble de la carrière. Bienvenue au XXI<sup>ème</sup> siècle. <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/les-agriculteurs-des-retraites-comme-les-autres" target="_blank">Lire l’article</a>.</p><h2>6 - <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/en-2025-le-bonus-haies-de-la-pac-a-triple" target="_blank">En 2025, le bonus haies de la PAC a triplé</a></h2> 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/medium/1/8/2/3/8163281-1-fre-FR/029da0037761-haie.jpg" alt="" height="140" width="200" /></figure>

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<p>En augmentant le bonus haies de l’écorégime de 7 à 20 €/ha en 2025, le gouvernement a envoyé un signal fort quant à l’importance des haies et leur rôle clé pour l’agriculture. <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/en-2025-le-bonus-haies-de-la-pac-a-triple" target="_blank">Lire l’article</a>.</p><h2>7 - <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/l-aenotourisme-ou-comment-retrouver-le-sens-premier-du-verbe-trinquer" target="_blank">L’œnotourisme ou comment retrouver le sens premier du verbe « trinquer »</a></h2> 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/medium/7/9/4/3/8163497-1-fre-FR/f06c6be40fa0-Couv2.jpg" alt="" height="150" width="200" /></figure>

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<p>L’œnotourisme, dont la France est championne du monde, réserve encore du potentiel. Cheers ! Salud ! Kanpaï ! Gezondheid ! Podbródek ! Santé ! <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/l-aenotourisme-ou-comment-retrouver-le-sens-premier-du-verbe-trinquer" target="_blank">Lire l’article</a>.</p><h2>8 - <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/de-l-insecte-sterile-au-zero-insecticide" target="_blank">De l’insecte stérile au zéro insecticide ?</a></h2> 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/medium/7/7/8/3/8163877-1-fre-FR/ca9cba5815fb-Couv3.jpg" alt="" height="150" width="200" /></figure>

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<p>Le lâchage de mâles stériles est de nature à réduire significativement les populations de mouches, papillons et coléoptères des vergers, sans risque de résistance et a priori sans effets non intentionnels, mais supposant une mobilisation collective. <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/de-l-insecte-sterile-au-zero-insecticide" target="_blank">Lire l’article</a>.</p><h2>9 - <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/egalim-des-petites-avancees-un-grand-vide-a-combler2" target="_blank" title="">Egalim : des petites avancées, un grand vide à combler</a></h2> 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/medium/9/1/6/5/8165619-1-fre-FR/43796f472513-iStock-2238614339.jpg" alt="" height="150" width="200" /></figure>

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<p>Votées entre 2018 et 2023, les trois lois Egalim ont modifié à la marge le rapport de force entre agriculteurs, industriels et distributeurs. Leur mise en œuvre se poursuit en 2025, en attendant les versions 4, 5 ou 6… <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/egalim-des-petites-avancees-un-grand-vide-a-combler2" target="_blank" title="">Lire l'article. </a></p><h2>10 - <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/l-installation-le-modele-francais-et-le-nerf-de-la-terre" target="_blank">L’installation, le modèle français et le « nerf de la terre »</a></h2> 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/medium/9/3/5/7/8167539-1-fre-FR/8866242ada93-Couv3.jpg" alt="" height="151" width="200" /></figure>

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<p>Les initiatives institutionnelles, privées et citoyennes se multiplient pour faciliter le financement et l’installation de nouveaux chefs d’exploitation et faire perdurer un modèle où le travail et le capital se fondent dans la même femme, le même homme sinon les associés d’un Gaec. <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/l-installation-le-modele-francais-et-le-nerf-de-la-terre" target="_blank">Lire l’article</a>.</p><h2>11 - <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/reconnexion-des-cultures-et-de-l-elevage-les-signes-d-un-fremissement" target="_blank" title="">Reconnexion des cultures et de l’élevage : les signes d’un frémissement</a></h2> 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/medium/1/3/0/8/8168031-1-fre-FR/b082fd99ef98-bovins-vigne.jpg" alt="" height="150" width="200" /></figure>

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<p>Au sein des exploitations, le lien ancestral entre les cultures et l’élevage s’est peu à peu perdu. Mais partout en France, des fermes se remettent en quête de cette connexion porteuse de durabilité. <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/reconnexion-des-cultures-et-de-l-elevage-les-signes-d-un-fremissement" target="_blank" title="">Lire l'article. </a></p><h2>12 - <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/l-attractivite-du-metier-un-probleme-vraiment" target="_blank">L’attractivité du métier, un problème ? Vraiment ?</a></h2> 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/medium/8/2/7/9/8169728-1-fre-FR/eb9e3c1183a2-Couvlycee.jpg" alt="" height="138" width="200" /></figure>

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<p>Pendant que les fermes se vident, les établissements d’enseignement agricoles font le plein, contrecarrant la thèse d’un défaut d’attractivité du secteur et accréditant celle d’entraves à l’accès au statut d’exploitant. En attendant France Services Agriculture. <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/l-attractivite-du-metier-un-probleme-vraiment">Lire l’article</a>.</p><h2>13 - <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/les-agriculteurs-une-profession-engagee-et-solidaire" target="_blank">Les agriculteurs, une profession engagée et solidaire</a></h2> 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/medium/7/0/2/0/8170207-1-fre-FR/317b5c98842b-pompier.jpg" alt="" height="163" width="200" /></figure>

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<p>Fort de leurs engagements professionnels, politiques ou associatifs, les agriculteurs demeurent une profession particulièrement engagée et solidaire. <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/les-agriculteurs-une-profession-engagee-et-solidaire" target="_blank">Lire l’article</a>.</p><h2>14 - <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/les-emissions-de-gaz-a-effet-de-serre-de-l-agriculture-sont-en-baisse" target="_blank">Les émissions de gaz à effet de serre de l’agriculture sont en baisse</a></h2> 
<div class="align-left ez-embed-type-image">
 
 
 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/medium/8/3/9/0/8170938-1-fre-FR/77b7806dee09-Couv2.jpg" alt="" height="144" width="200" /></figure>

</div>
<p>Malgré un rythme en ralentissement, l’agriculture poursuit sa trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre, en lien avec la stratégie nationale bas carbone. <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/les-emissions-de-gaz-a-effet-de-serre-de-l-agriculture-sont-en-baisse" target="_blank">Lire l’article</a>.</p><h2>15 - <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/avant-cette-vacherie-de-dnc-le-prix-de-la-viande-bovine-au-pinacle" target="_blank">Avant cette vacherie de DNC, le prix de la viande au pinacle</a></h2> 
<div class="align-left ez-embed-type-image">
 
 
 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/medium/6/8/6/2/8172686-1-fre-FR/795f736284ca-Couv2.jpg" alt="" height="137" width="200" /></figure>

</div>
<p>Les cotations du jeune bovin U, de la vache R ou encore de la vache O n’ont jamais été aussi élevées alors que le prix de l’aliment est en baisse. Mais la DNC, porteuse d’une lourde menace pour l’export, débouché vital, joue les trouble-fête. <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/avant-cette-vacherie-de-dnc-le-prix-de-la-viande-bovine-au-pinacle" target="_blank">Lire l’article</a>.</p><h2>16 - <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/agriculture-regeneratrice-les-entreprises-mettent-la-main-a-la-pate" target="_blank" title="">Agriculture régénératrice : les entreprises mettent la main à la pâte</a></h2> 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/medium/7/7/0/4/8174077-1-fre-FR/19645b51e571-iStock-2249541857.jpg" alt="" height="133" width="200" /></figure>

</div>
<p>Pour financer la régénération des sols et promouvoir l’agroécologie, les acteurs de l’amont et de l’aval agricole et agroalimentaire sont de plus en plus nombreux à proposer des aides directes aux agriculteurs. <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/agriculture-regeneratrice-les-entreprises-mettent-la-main-a-la-pate" target="_blank" title="">Lire l'article.</a></p><h2>17 - <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/les-vaches-nourrices-ou-comment-connecter-elevage-laitier-et-allaitant" target="_blank">Les vaches nourrices, ou comment connecter élevage laitier et allaitant</a></h2> 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/medium/3/4/0/5/8175043-1-fre-FR/93d9e95cb192-Couv1.jpg" alt="" height="148" width="200" /></figure>

</div>
<p>Encore exploratoire, la technique d’élevage de veaux sous vaches nourrices revêt de nombreux avantages technico-économiques (et quelques contraintes). Elle permet, en outre, de valoriser les veaux laitiers bio en les détournant des centres d’engraissement conventionnel. <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/les-vaches-nourrices-ou-comment-connecter-elevage-laitier-et-allaitant">Lire l’article</a>.</p>


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