Solifer 2017 - Collecte annuelle des ferrailles

Veaux :  Le marché se tend sérieusement dans les petits veaux

Projet de budget 2026 : plusieurs mesures pour les agriculteurs, suppression d'avantages sur les biocarburants

L'homme qui murmurait à l'oreille des Border Collie

Depuis plusieurs ann&eacute;es, BASF propose avec la plateforme digitale de Xarvio Field Manager un outil d&rsquo;aide &agrave; la gestion de la fertilisation et de la protection des cultures. Il s&rsquo;appuie sur des donn&eacute;es p&eacute;do-climatiques et culturales renseign&eacute;es par l&rsquo;agriculteur, sur diff&eacute;rentes informations collect&eacute;es par l&rsquo;application mobile Xarvio (identification d&rsquo;adventices, reconnaissance de maladies, statut azot&eacute; de la culture...) auxquelles s&rsquo;ajoutent l&rsquo;int&eacute;gration d&rsquo;informations externes telles que des images satellitaires et des donn&eacute;es m&eacute;t&eacute;o. Le tout alimente diff&eacute;rents outils de mod&eacute;lisation aptes &agrave; d&eacute;livrer des pr&eacute;conisations cibl&eacute;es et personnalis&eacute;es.<h2>Raisin de table et de cuve</h2>La firme vient d&rsquo;annoncer la d&eacute;clinaison de l&rsquo;OAD &agrave; la vigne, destin&eacute;e &agrave; la production de raisin de cuve et de raisin de table, incluant plus de 120 c&eacute;pages. L&rsquo;outil donne acc&egrave;s &agrave; des mod&egrave;les &eacute;prouv&eacute;s de pr&eacute;vision des stades ph&eacute;nologiques de la vigne, des risques li&eacute;s aux ravageurs, aux maladies, et aux stress thermiques. Elle propose &eacute;galement des modules de pilotage pour la fertilisation et l'irrigation du vignoble. Objectifs&nbsp;: ancrer davantage le vignoble dans l&rsquo;&egrave;re de la pr&eacute;cision et de la durabilit&eacute;.S&rsquo;agissant de la protection &agrave; l&rsquo;&eacute;gard des maladies et ravageurs, Xarvio Field Manager Vigne s&rsquo;appuie sur des mod&egrave;les agronomiques m&eacute;canistes et non statistiques, pour produire ses recommandations. Ces mod&egrave;les se concentrent sur le d&eacute;veloppement du processus (par exemple, le cycle de vie d&rsquo;un pathog&egrave;ne ou d&rsquo;un ravageur) et en pr&eacute;disent l&rsquo;&eacute;volution en fonction de variables externes qui l&rsquo;influencent (environnement, ph&eacute;nologie des cultures, caract&eacute;ristiques du sol&hellip;). BASF estime que les mod&egrave;les m&eacute;canistes sont beaucoup plus pr&eacute;cis et robustes face au changement climatique que les mod&egrave;les statistiques qui se basent sur un historique de donn&eacute;es pour produire leurs recommandations.Xarvio Field Manager Vigne est disponible sur ordinateur, tablette ou smartphone. La souscription au service se fait directement aupr&egrave;s des distributeurs r&eacute;f&eacute;renc&eacute;s. Il sera disponible dans de nombreuses r&eacute;gions viticoles d&egrave;s la campagne 2025-2026.

Outre l’appréhension des risques liés aux ravageurs, aux maladies, et aux stress thermiques, la solution numérique inclut des modules de pilotage de la fertilisation et de l'irrigation du vignoble, au service de la précision et de la durabilité.

BASF décline au vignoble son OAD xarvio Field Manager

&laquo;&nbsp;Au moment o&ugrave; les &eacute;leveurs bovins lait et viande retrouvaient du souffle, on ne peut pas de nouveau les &eacute;trangler ! Non au blocage commercial !&nbsp;&raquo;. Tel est le cri lanc&eacute; par les FNSEA les JA, et leurs associations bovines. Le 17 octobre, &agrave; l&rsquo;issue d&rsquo;un Comit&eacute; national d&rsquo;orientation de la politique sanitaire animale et v&eacute;g&eacute;tale (CNOPSAV), le minist&egrave;re de l&rsquo;Agriculture a d&eacute;cid&eacute; <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/dnc-le-ministere-active-un-frein-d-urgence-apres-6-nouveaux-cas-en-quelques-jours" target="_blank">d&rsquo;interdire la sortie de tout bovin du territoire national jusqu&rsquo;au 4 novembre inclus</a>. Une d&eacute;cision motiv&eacute;e par &laquo;&nbsp;la d&eacute;gradation de la situation sanitaire&nbsp;&raquo; par la menace d&rsquo;une clause de sauvagarde que le Commission europ&eacute;enne pourrait prendre &agrave; l&rsquo;encontre de la France. &nbsp;&laquo;&nbsp;Des alternatives &eacute;taient possibles, en n&eacute;gociant avec les autres Etats membres l&rsquo;acceptation d&rsquo;&eacute;changes d&rsquo;animaux vaccin&eacute;s et par la mise en place d&rsquo;un contr&ocirc;le v&eacute;t&eacute;rinaire sur tous les animaux &agrave; l&rsquo;exportation&nbsp;&raquo;, jugent la FNB, le FNPL, la FNSEA et les JA, qui d&eacute;noncent par ailleurs une d&eacute;cision &laquo; unilat&eacute;rale, sans vote des membres du CNOPSAV et sans concertation pr&eacute;alable&nbsp;&raquo;.<h2>Des brebis galeuses</h2>Les syndicats ne se contentent pas de taper sur l&rsquo;Etat. Ils fustigent &eacute;galement de &laquo;&nbsp;l&rsquo;irresponsabilit&eacute; de certains [&eacute;leveurs], qu&rsquo;on ne saurait m&ecirc;me pas qualifier de professionnels&nbsp;&raquo;. Selon le minist&egrave;re de l&rsquo;Agriculture, <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/dnc-trois-foyers-dans-les-pyrenees-orientales" target="_blank">l&rsquo;irruption de 6 foyers de DNC entre 11 et le 15 octobre</a>, &agrave; des distances cons&eacute;quentes des foyers exitants et des zones r&eacute;glement&eacute;es alors en vigueur, est le fait de mouvements d&rsquo;animaux &laquo;&nbsp;illicites&nbsp;&raquo;. &laquo;&nbsp;Le non-respect des r&egrave;gles relatives aux mouvements des bovins est la source de l&rsquo;extension de la maladie en France et du retard intol&eacute;rable, pour tous, de la sortie de crise&nbsp;&raquo;, a fustig&eacute; la ministre de l&rsquo;Agriculture Annie Genevard, annon&ccedil;ant un renforcement des contr&ocirc;les routiers et brandissant les sanctions auxquelles s&rsquo;exposent les contrevenants.<h2>R&eacute;union des acteurs</h2>La ministre re&ccedil;oit ce lundi tous les acteurs &eacute;conomiques pour &eacute;voquer les incidences de l&rsquo;arr&ecirc;t temporaire des exportations, promettant de veiller &agrave; ce que &laquo;&nbsp;le march&eacute; et les prix ne soient pas ind&ucirc;ment affect&eacute;s&nbsp;&raquo;. &laquo;&nbsp;L'Etat ne peut pas nous laisser seuls face au march&eacute;&nbsp;&raquo; pr&eacute;viennent les &eacute;leveurs.En 2024, l&rsquo;exportation de bovins vifs a g&eacute;n&eacute;r&eacute; <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/a-4-9-milliards-d-euros-en-2024-l-excedent-agroalimentaire-chute-de-24-6" target="_blank">un exc&eacute;dent commercial de 1,7 milliard d&rsquo;euros</a>.

FNB, FNPL, FNSEA, JA estiment que des alternatives étaient possibles à la décision prise par le ministère de suspendre jusqu’au 4 novembre les exportations de bovins, suite à la dégradation de la situation sanitaire, imputée à des « mouvements illicites d’animaux ».

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