Loire-Atlantique. IED, MTD, BREF, kesako ?
La directive IED est une directive européenne relative aux émissions industrielles, qui s'applique aussi en agriculture. Une réunion d'information est proposée à Nantes, le 14 novembre prochain.
La directive IED concerne les installations classées qui détiennent plus de 2000 places de porcs charcutiers ou plus de 750 places de truies ou plus de 40 000 volailles. Attention : elle ne comptabilise pas les animaux de la même manière que la réglementation sur les installations classées, qui compte en « équivalents » animaux. L'IED compte en animaux présents.
L'une des règles de cette directive est que les élevages concernés doivent mettre en œuvre « les meilleures techniques disponibles » (MTD), qui sont listées dans un document appelé le « BREF élevage ». Tous les éleveurs de volailles ou de porcs concernés par la Directive IED sont invités à venir s'informer à la chambre d'agriculture le mardi 14 novembre à 14h30.
La réunion d'information sera animée par la chambre régionale et la Dreal (inspection des Installations classées). Elle portera notamment sur la mise en œuvre des Meilleures techniques disponibles, et sur le dossier de réexamen que tous les éleveurs concernés devront réaliser d'ici deux ans.
Les éleveurs pourront rencontrer les inspecteurs de l'environnement de la Direction départementale de la protection des populations qui seront en charge de l'instruction des dossiers et des bureaux d'étude.
L'une des règles de cette directive est que les élevages concernés doivent mettre en œuvre « les meilleures techniques disponibles » (MTD), qui sont listées dans un document appelé le « BREF élevage ». Tous les éleveurs de volailles ou de porcs concernés par la Directive IED sont invités à venir s'informer à la chambre d'agriculture le mardi 14 novembre à 14h30.
La réunion d'information sera animée par la chambre régionale et la Dreal (inspection des Installations classées). Elle portera notamment sur la mise en œuvre des Meilleures techniques disponibles, et sur le dossier de réexamen que tous les éleveurs concernés devront réaliser d'ici deux ans.
Les éleveurs pourront rencontrer les inspecteurs de l'environnement de la Direction départementale de la protection des populations qui seront en charge de l'instruction des dossiers et des bureaux d'étude.