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Loire-Atlantique - Le GDS 44 va en faire encore plus pour le sanitaire
Forte de ses succès sur les maladies, réglementées ou non, la section bovine (1) du GDS 44 veut poursuivre et renforcer ses actions. Pour rappel, 82 % des bovins du département cotisent au GDS 44.
Agé désormais de 65 ans, « le GDS 44 ne va pas pour autant prendre sa retraite » a assuré son président, Stéphane Jeanne. L’organisme de défense sanitaire collective, qui était en assemblée générale le 28 février dernier, est même plus vigoureux que jamais et il l’a prouvé en dressant le bilan de ses actions sur la campagne 2017-2018.
Premier motif de satisfaction, les résultats de la lutte contre l’IBR : « On a franchi un palier. L’éradication est en bonne voie » assure le président. Autre bataille sanitaire rondement menée : celle sur la besnoitiose. Apparue brutalement en 2011 sur le département, suite à des introductions d’animaux non contrôlés, cette maladie a fait l’objet de plans d’assainissement rapidement mis en place. La paratuberculose est aussi très surveillée par le GDS 44, ainsi que la BVD, « gros enjeu de demain ».
Plus d'actions au service des adhérents
Enfin, au rayon des bonnes nouvelles, figure aussi le résultat financier de l’organisme : « Cela va nous permettre d’allonger la liste de nos actions, pour accroitre le retour aux éleveurs, tant en financier qu’en pertinence dans le pilotage sanitaire », assure Stéphane Jeanne : prise en charge des dépistages IBR à 100%, embauche d’une étudiante vétérinaire pour une thèse sur la paratuberculose, extension de la zone d’éradication de la BVD… sont quelques-unes de ces « nouvelles actions qui nous confortent et apportent aux éleveurs l’expertise attendue ».
82 % des bovins du département
Durant la campagne 2017-2018, 2558 cheptels bovins étaient adhérents au GDS 44 (plus 37 cheptels ovins/caprins). Cela représente 74 % des cheptels du département et près de 400 000 bovins, soit 82 % des animaux.
Plus d'informations dans le dossier "sanitaire bovin" de votre édition du 8 mars de Loire-Atlantique agricole.
Premier motif de satisfaction, les résultats de la lutte contre l’IBR : « On a franchi un palier. L’éradication est en bonne voie » assure le président. Autre bataille sanitaire rondement menée : celle sur la besnoitiose. Apparue brutalement en 2011 sur le département, suite à des introductions d’animaux non contrôlés, cette maladie a fait l’objet de plans d’assainissement rapidement mis en place. La paratuberculose est aussi très surveillée par le GDS 44, ainsi que la BVD, « gros enjeu de demain ».
Plus d'actions au service des adhérents
Enfin, au rayon des bonnes nouvelles, figure aussi le résultat financier de l’organisme : « Cela va nous permettre d’allonger la liste de nos actions, pour accroitre le retour aux éleveurs, tant en financier qu’en pertinence dans le pilotage sanitaire », assure Stéphane Jeanne : prise en charge des dépistages IBR à 100%, embauche d’une étudiante vétérinaire pour une thèse sur la paratuberculose, extension de la zone d’éradication de la BVD… sont quelques-unes de ces « nouvelles actions qui nous confortent et apportent aux éleveurs l’expertise attendue ».
82 % des bovins du département
Durant la campagne 2017-2018, 2558 cheptels bovins étaient adhérents au GDS 44 (plus 37 cheptels ovins/caprins). Cela représente 74 % des cheptels du département et près de 400 000 bovins, soit 82 % des animaux.
Plus d'informations dans le dossier "sanitaire bovin" de votre édition du 8 mars de Loire-Atlantique agricole.