<h1>Les ins&eacute;minateurs <a href="https://www.connexyon.fr/" title="">Connexyon Coop</a> vous invitent &agrave; leur <strong>matin&eacute;e g&eacute;n&eacute;tique charolaise</strong>.</h1><h3>Rendez-vous :&nbsp;Ferme du Lyc&eacute;e Agricole de&nbsp;Qu&eacute;tigny &agrave; TART-LE-BAS (21110)<strong>.</strong></h3><p>La p&eacute;riode des v&ecirc;lages d&eacute;bute tout juste : venez pr&eacute;voir la g&eacute;n&eacute;tique et la reproduction de votre prochaine campagne !</p><p><strong>Confirmer votre pr&eacute;sence avant le 27/11/25&nbsp;aupr&egrave;s de votre ins&eacute;minateur J&eacute;r&eacute;my SERRUROT au 06 22 42 79 07</strong></p><p>&nbsp;</p>        
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        <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/gallery/5/2/9/9/8129925-1-fre-FR/cf1ee52f8ae7-MG-Connexyon_021225_QUETIGNY.jpg" alt="Connexyon Coop" height="2480" width="3508" /></figure>

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Matinée génétique charolaise Connexyon Coop au Lycée de Quétigny (21)

<p>Une robe blanche, au reflet gris argenté, des cornes longues, une bosse sur ses épaules, une peau très lâche au niveau de son cou (que l’on appelle fanon), de grandes oreilles pendantes et un mufle noir : tels les traits de Biguine, la vache égérie du Salon de l’agriculture 2026, programmé du 21 février au 1<sup>er</sup> mars 2026 à Paris.</p><p>Pour ce qui est de son caractère, Biguine a affirmé le sien dès ses premiers pas : alors que sa mère restait en retrait, la nouvelle-née est allée instinctivement à la rencontre d’André Prosper, « <em>Elle s’est avancée vers moi, on aurait dit qu’elle faisait des pointes, </em>se remémore son éleveur. <em>D’où son nom Biguine</em> ».</p><p>C’était en 2019, sur la commune de Trinité à l’Est de la Martinique où André Prosper conduit un troupeau de 300 bovins. Quatre d’entre eux, en plus de Biguine, seront du voyage à Paris. « <em>C’est la première fois qu’une race ultramarine est mise à l’honneur au Salon international de l’agriculture </em>» déclare Jérôme Despey, président du Ceneca et du SIA.</p><p>Au sein de l’exploitation agricole du Galion, André Prosper œuvre au développement de la race depuis 40 ans, au service d’une production locale, structurée et performante de viande bovine.</p><h2>Une vache capable de rattraper une croissance ralentie</h2><p>Race d'origine indienne, fruit du croisement de zébus, la Brahman est arrivée en Martinique en provenance des Etats-Unis dans les années 1950. Elle compte aujourd'hui quelque 45.000 bovins. Reconnaissable à ses grandes oreilles pendantes, à la peau lâche de son cou et à sa bosse sur les épaules, la Brahman est une vache rustique, adaptée aux chaleurs tropicales. Sa robe est blanche, grise, rouge ou noire. Elle peut être nourrie exclusivement à l'herbe. Elle est « <em>capable de rattraper une croissance ralentie par une période de carême (sécheresse) </em>», selon le site de l'Union des éleveurs de bovins Brahman (UEBB) de Martinique.</p><div class="citation">
 <span>"C’est une race passionnante, qui fait pleinement partie du patrimoine agricole français"</span>
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<p>La Brahman commence à se reproduire plus tard que les races européennes, mais peut produire plus longtemps, jusqu'à 15 ans, contre 10 pour la moyenne des vaches métropolitaines. « <em>C’est une race passionnante, qui fait pleinement partie du patrimoine agricole français,</em> s’enorgueillit André Prosper. <em>Je suis fier, avec Biguine de la faire découvrir dans l’Hexagone, grâce au Salon international de l’agriculture 2026</em> ».</p>


La vache de 6 ans, originaire de Martinique, sera accompagnée de quatre animaux pour porter les couleurs d’une race toute en résilience, peu sensible aux tiques et maladies et parfaitement adaptée à la chaleur et au climat humide. La première race ultramarine mise à l’honneur au SIA.

Biguine, la vache Brahman égérie du Salon de l’agriculture 2026

<p>« <em>Une inflexion historique</em> » : c’est ainsi que Phyteis, l’organisation représentative des fabricants de produits phytosanitaires en France, qualifie l’année phytosanitaire 2024. « <em>Alors que, jusqu’ici, les ventes de substances actives conventionnelles et celles utilisables en agriculture biologique suivaient des dynamiques similaires, 2024 marque une rupture</em>, indique Phyteis dans un communiqué. <em>Pour la première fois, leurs trajectoires divergent. Les ventes en volumes de substances actives conventionnelles reculent de 5%, tandis que celles des produits utilisables en agriculture biologique progressent de 23% par rapport à 2023 </em>».</p><aside class="read-also">
 <p class="typography menu-link dark ">À voir aussi</p>
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<p>Toutes substances confondues, les volumes de substances actives commercialisés en 2024 s’établissent à 50.000 tonnes, «<em> un plancher historique</em> », relèvent les fabricants qui indiquent que les objectifs d’Ecophyto sont quasiment atteints : entre 2008 et 2024 s’agissant des produits conventionnels, avec une baisse de -44% contre -12% pour les produits utilisables en agriculture biologique. Au global, la baisse atteint -36%.</p><h2>Stratégies combinatoires</h2><p>Selon Phyteis, la trajectoire de baisse s’explique par la montée en puissance des solutions combinatoires associant, outre les produits conventionnels et biosolutions, l’agronomie, les biotechs et le digital. Et de citer les Outils d’agronomie digitale (OAD) combinant données météorologiques, historiques de culture, analyses de sols et modèles de prévision, permettent aux agriculteurs de piloter leurs interventions de manière plus fine et plus efficace et in fine de réduire l’empreinte des pratiques agricoles sur l’environnement, de sécuriser les rendements et de renforcer la résilience des systèmes agricoles face aux aléas climatiques. « <em>Un travail de fond sur le transfert des savoirs liés aux bonnes pratiques agricoles et à l’usage du modèle combinatoire au niveau du terrain devrait être encore accentué par l’ensemble des acteurs du marché</em> » préconisent les fabricants.</p><h2>« Libérer l’innovation pour accélérer la transition »</h2><p>Afin de poursuivre la transformation et la montée en puissance des solutions combinatoires, Phyteis en appelle aux pouvoirs publics et à « une réglementation agile, prédictive et évolutive, capable d’intégrer les meilleures innovations scientifiques et technologiques au service de la durabilité agricole ». Phyteis réclame notamment une fluidification des procédures (reconnaissance mutuelle, renouvellement des substances, fixation des limites maximales de résidus…), l’adoption au niveau européen d’une définition harmonisée des produits de biocontrôle capable de prendre en compte les produits actuels mais également les solutions de demain, la mise en place d’une évaluation des risques proportionnée, prédictible et adaptée aux propriétés des produits, notamment ceux issus du biocontrôle. Les fabricants demandent également à réinstaurer la possibilité d’autorisations provisoires de vente, prévue par le règlement (CE) n°1107/2009, pour accélérer la mise sur le marché des innovations. Ils souhaitent aussi que soit revue la conception des documents guides d’évaluation des risques, afin qu’ils soient testés en conditions pratiques avant leur adoption et accompagnés d’une période transitoire « <strong><em>réaliste</em></strong> » de mise en œuvre. « <em>Bâtir une agriculture française à la fois durable, compétitive et souveraine est un travail collectif</em>, déclare Yves Picquet, président de Phyteis. I<em>l nécessite un cadre réglementaire qui soutienne la coopération et l’innovation plutôt que de les freiner. C’est cette ambition partagée que nous portons chaque jour avec nos adhérents</em> ».</p>


Les volumes de vente de produits conventionnels ont baissé de 5% tandis que ceux de produits Utilisables en agriculture biologique (UAB) ont augmenté de 23%. Les fabricants prônent une massification des stratégies combinatoires dans les cours de ferme et attendent des pouvoirs publics qu’ils « libèrent » l’innovation pour accélérer la transition.

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Matinée génétique charolaise Connexyon Coop au Lycée de Quétigny (21)

Les inséminateurs Connexyon Coop vous invitent à leur matinée génétique charolaise.

Rendez-vous : Ferme du Lycée Agricole de Quétigny à TART-LE-BAS (21110).

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