Comme chaque ann&eacute;e, l'association SEGRAFO organise des portes ouvertes dans des&nbsp;exploitations &eacute;quip&eacute;es de s&eacute;choirs en grange 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/gallery/5/6/7/3/6373765-1-fre-FR/97acedebf64e-segrafo-seul-png" alt="" height="125" width="275" /></figure>

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Rendez-vous le jeudi 20 novembre - EARL Guignard Lamy (85)Programme- Pr&eacute;sentation de l&rsquo;exploitation et du s&eacute;choir - T&eacute;moignages d&rsquo;&eacute;leveurs - Intervention d&rsquo;un partenaire technique - Visite du s&eacute;choir, d&eacute;monstration de la griffe, temps d&rsquo;&eacute;changes&hellip;Caract&eacute;ristiques de la ferme&nbsp;- S&eacute;choir en grange de 2023 d&rsquo;une capacit&eacute; de 200 tonnes de MS, ind&eacute;pendant du b&acirc;timent d&rsquo;&eacute;levage - Capteur solaire avec r&eacute;cup&eacute;ration de chaleur sous couverture bac acier - 300 ch&egrave;vres laiti&egrave;res.Horaires&nbsp;: de 14h &agrave; 16hEntr&eacute;e libre et gratuite.Retrouvez-nous&nbsp;lors de ces&nbsp;Jeudis&nbsp;du&nbsp;foin&nbsp;pour une pr&eacute;sentation de l'&eacute;levage, ses performances technico-&eacute;conomiques, le co&ucirc;t du s&eacute;choir ou encore son fonctionnement.&nbsp;Prochain&nbsp;rendez-vous :<a href="https://www.pleinchamp.com/evenement/portes-ouvertes-jeudi-du-foin-gaec-au-fil-de-lo-61" target="_blank" title="">Le jeudi 27 novembre, &nbsp;GAEC au Fil de Lo </a>(61130&nbsp; Saint-Germain-de-la-Coudre)

[Portes ouvertes] Jeudi du foin - EARL Guignard Lamy (85)

Quantifier et caract&eacute;riser les exploitations pratiquantes, &eacute;tablir des r&eacute;f&eacute;rences technico-&eacute;conomiques par type de sol, territoire et orientation de production, cr&eacute;er un observatoire fran&ccedil;ais de l&rsquo;agriculture de conservation des sols (ACS), d&eacute;velopper fortement la formation initiale et continue sur les sols et les pratiques de conservation &agrave; l'intention des agriculteurs, des techniciens et des conseillers, s&eacute;curiser financi&egrave;rement la phase critique de transition de l&rsquo;agriculture conventionnelle vers l&rsquo;ACS ou encore d&eacute;clencher une prise de conscience dans toutes les strates du monde agricole de l'int&eacute;r&ecirc;t des pratiques de l'agriculture de conservation pour chaque exploitant comme pour la collectivit&eacute;&nbsp;: telles sont les principales recommandations d&rsquo;un rapport du Conseil g&eacute;n&eacute;ral de l&rsquo;agriculture de l&rsquo;alimentation et des espaces ruraux (CGAAER), commandit&eacute; par le minist&egrave;re de l&rsquo;Agriculture, lequel souhaitait identifier les freins &agrave; son d&eacute;veloppement.<aside class="read-also">
 &Agrave; voir aussi
 <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/label-bas-carbone-l-apad-engage-215-fermes-et-307-521-credits-carbone" target="_blank" title="">Label bas-carbone : l&rsquo;Apad engage 215 fermes et 307 521 cr&eacute;dits carbone</a>
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Pr&egrave;s de 100 ans apr&egrave;s l&rsquo;&eacute;mergence du concept, n&eacute; &agrave; la suite des temp&ecirc;tes de poussi&egrave;re (Dust bowl) &eacute;rodant presque irr&eacute;versiblement les sols de plusieurs Etats am&eacute;ricains, l&rsquo;ACS peine &agrave; trouver sa place dans les assolements, en France et plus largement en Europe alors qu&rsquo;elle pointe &agrave; 34% des pratiques en Am&eacute;rique du Nord, 69% en Am&eacute;rique du sud et 74% en Australie et Nouvelle Z&eacute;lande. Selon le rapport, l&rsquo;ACS concernerait entre 2 et 4% des terres arables hexagonales (et 5,2% en Europe) mais les donn&eacute;es s&rsquo;av&egrave;rent particuli&egrave;rement lacunaires.<div class="citation">
 "La mission n&#039;a pas identifi&eacute; d&#039;inconv&eacute;nients dont l&#039;ACS p&acirc;tirait par rapport &agrave; l&#039;agriculture conventionnelle"
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En revanche, il y a un point sur lequel le rapport ne formule aucune attente&nbsp;: c&rsquo;est celle de la preuve des b&eacute;n&eacute;fices de l&rsquo;ACS, pratique jug&eacute;e &laquo;&nbsp;sans inconv&eacute;nient&nbsp;&raquo; par rapport au syst&egrave;me conventionnel. Et de citer, &laquo;&nbsp;lorsqu&rsquo;elle est bien ma&icirc;tris&eacute;e&nbsp;&raquo;, la diminution du temps de travail, maintien des rendements, l&rsquo;am&eacute;lioration globale des revenus, am&eacute;nit&eacute;s environnementales positives (&eacute;rosion, infiltration de l'eau, biodiversit&eacute;, mati&egrave;re organique) et des atouts pour l'adaptation aux effets du changement climatique. &laquo;&nbsp;De plus, l'ACS reconnecte l'agriculteur &agrave; certains volets de son m&eacute;tier, l'agronomie notamment, et lui redonne des marges de man&oelig;uvre en termes d'autonomie de d&eacute;cision&nbsp;&raquo;.<aside class="read-also">
 &Agrave; voir aussi
 <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/agri-2050-la-communaute-d-agriculteurs-du-shift-project-au-service-de-la-transition-agroecologique" target="_blank" title="">Agri 2050, la communaut&eacute; d&rsquo;agriculteurs du Shift Project au service de la transition agro&eacute;cologique</a>
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Pour rappel, selon la d&eacute;finition de la FAO, l&rsquo;ACS repose sur la couverture permanente du sol, qui consiste &agrave; maintenir le sol couvert toute l'ann&eacute;e au moyen de r&eacute;sidus de culture ou de couverts v&eacute;g&eacute;taux, l'absence de travail du sol, qui consiste &agrave; limiter au maximum les perturbations du sol, notamment en pratiquant des semis directs et enfin la rotation des cultures, qui consiste &agrave; diversifier les cultures pour am&eacute;liorer la sant&eacute; des&nbsp;sols et r&eacute;duire les risques de maladies et de ravageurs, la rotation/association devant impliquer au moins trois esp&egrave;ces de cultures diff&eacute;rentes.<div class="citation">
 "L&#039;ACS est d&#039;abord et avant tout une affaire d&#039;agriculteurs et de techniciens"
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Le rapport souligne que &laquo;&nbsp;l'ACS est d'abord et avant tout une affaire d'agriculteurs et de techniciens, souvent pionniers sur leurs territoires&nbsp;&raquo;, qui cherchent &agrave; &laquo;&nbsp;am&eacute;liorer la gestion des sols, &agrave; les pr&eacute;server, &agrave; comprendre leur fonctionnement complexe, &agrave; cr&eacute;er les conditions pour que le vivant s'y d&eacute;veloppe et joue son r&ocirc;le de r&eacute;gulateur naturel&nbsp;&raquo;.<aside class="read-also">
 &Agrave; voir aussi
 <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/guide-se-lancer-en-agriculture-de-conservation-des-sols-acs" target="_blank" title="">[Guide] Se lancer en agriculture de conservation des sols (ACS)</a>
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En France, l&rsquo;ACS est promue par l&rsquo;Association pour la promotion d'une agriculture durable (APAD), qui pr&ocirc;ne une ACS rigoureuse telle que d&eacute;finie par la FAO et par le r&eacute;seau&nbsp;Biodiversit&eacute; agriculture sols environnement (BASE), plus ancien, et qui revendique une ACS moins absolue en ce qui concerne le non travail du sol, mais tr&egrave;s soucieuse en mati&egrave;re de choix et d'implantation des cultures et couverts.<h2>Une emprise socio-culturelle du labour...</h2>Selon le rapport, les freins &agrave; l&rsquo;adoption de l&rsquo;ACS rel&egrave;vent davantage du champ socio-culturel que des pr&eacute;rogatives &eacute;conomiques, &laquo;&nbsp;m&ecirc;me s'il existe un risque li&eacute; &agrave; la phase de transition&nbsp;&raquo;. Le rapport recommande ainsi au minist&egrave;re d&rsquo;&eacute;tudier, &laquo;&nbsp;de mani&egrave;re approfondie&nbsp;&raquo;, la mise en &oelig;uvre d&rsquo;un m&eacute;canisme de couverture du &laquo;&nbsp;risque transition&nbsp;&raquo;. Non, ce qui bloque, c&rsquo;est le labour, ou plus exactement la charge culturelle autant que culturale du labour. &laquo;&nbsp;Le labour est un pilier historiquement fondamental du travail des agriculteurs, celui qui est per&ccedil;u comme permettant de mettre les terres en valeur, de pr&eacute;parer les sols &agrave; l'accueil des&nbsp;cultures, de produire. Ne pas labourer para&icirc;t quasi inconcevable&nbsp;&raquo;, lit-on dans le rapport. &laquo;&nbsp;Le renoncement au travail du sol peut &ecirc;tre per&ccedil;u comme une remise en cause de ce qu'ont pratiqu&eacute; les anciens depuis des g&eacute;n&eacute;rations, une invalidation de leurs choix, de leur mani&egrave;re de mener une exploitation, de leurs convictions agronomiques&nbsp;&raquo;. A l&rsquo;inverse, &laquo;&nbsp;une terre non labour&eacute;e, qui comporte des r&eacute;sidus de culture ou des repousses, est vue par beaucoup comme mal entretenue, voire n&eacute;glig&eacute;e, proche de la jach&egrave;re ; l'agriculteur qui l'exploite est per&ccedil;u comme d&eacute;laissant ses parcelles, ayant perdu le sens du travail bien fait&nbsp;&raquo;.<h2>&hellip; &agrave; retourner</h2>Pour d&eacute;jouer les freins socio-culturels, le rapport formule cinq pr&eacute;conisations&nbsp;:- ne pas condamner ce qui a &eacute;t&eacute; fait jusque-l&agrave;, mais expliquer que ces pratiques ont correspondu aux connaissances disponibles et aux contraintes du moment, qu'elles ont r&eacute;pondu aux besoins de la population pour s'alimenter et &agrave; ceux du pays pour pr&eacute;server sa souverainet&eacute; alimentaire- favoriser la prise de conscience par tous les agriculteurs du fait que le sol fait partie de leur patrimoine, au m&ecirc;me titre que les b&acirc;timents, le mat&eacute;riel ou le cheptel, et qu'il est de leur int&eacute;r&ecirc;t de le pr&eacute;server, de le respecter, de l'am&eacute;liorer- souligner que cette prise de conscience devrait conduire &agrave; une &eacute;volution des modalit&eacute;s de conduite des cultures, visant &agrave; moins bouleverser le sol, &agrave; mieux le nourrir, &agrave; favoriser son fonctionnement en tant que socle du vivant sur l'exploitation et fournisseur de nombreux services &agrave; l'agriculteur- inscrire l'&eacute;volution des pratiques vers l'ACS dans un continuum de progr&egrave;s qui am&eacute;liore la situation de l'agriculteur tant du point de vue de son capital sol que de celui de ses performances &eacute;conomiques et environnementales- insister sur le fait que chaque agriculteur peut trouver de profondes satisfactions en r&eacute;investissant son m&eacute;tier et en reconqu&eacute;rant son autonomie de d&eacute;cision.<div class="citation">
 "C&#039;est lorsque le sol a &eacute;t&eacute; ainsi pr&eacute;par&eacute; que la r&eacute;duction du travail du sol peut &ecirc;tre abord&eacute;e"
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Selon le rapport, il ne s'agit pas de chercher &agrave; imposer l'ACS comme une &laquo;&nbsp;solution d&eacute;finitive &agrave; tous les maux du sol, ni de la pr&eacute;senter comme un tout &agrave; prendre ou &agrave; laisser. Il ne s'agit pas d'interdire tout travail du sol ni de culpabiliser celui qui travaille le sol quand il en a besoin. L'ACS doit &ecirc;tre pr&eacute;sent&eacute;e comme un &nbsp;cheminement adaptable &agrave; la situation de chacun, &agrave; ses objectifs, ses contraintes, son rythme, ses possibilit&eacute;s, ses contraintes &raquo;, les techniques culturales simplifi&eacute;es (TCS) constituant une bonne voie pour ce cheminement. Le rapport estime que la phase transitoire doit porter sur la pratique des couverts, sur la diversification des cultures et l'allongement des rotations. &laquo;&nbsp;C'est lorsque le sol a &eacute;t&eacute; ainsi pr&eacute;par&eacute; que la r&eacute;duction du travail du sol peut &ecirc;tre abord&eacute;e&nbsp;&raquo;, conclut le rapport.

De l’estimation de sa représentativité, à la création de références technico-économiques, en passant par la formation et l’accompagnement des agriculteurs et de leurs conseillers, beaucoup reste à faire pour sortir de la confidentialité l’ACS, pratique porteuse de durabilité et de souveraineté. En commençant par s’attaquer aux freins sociaux-culturels, selon un rapport ministériel.

Agriculture de conservation des sols : retourner la charge culturale et culturelle du labour

L&rsquo;an pass&eacute;, le groupe de r&eacute;flexion The Shift Project, cr&eacute;&eacute; et pr&eacute;sid&eacute; par Jean-Marc Jancovici et vou&eacute; &agrave; &eacute;clairer et &agrave; influencer le d&eacute;bat sur les d&eacute;fis climat-&eacute;nergie, avait lanc&eacute; une <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/decarbonation-des-chiffres-qui-bousculent-les-prejuges-sur-les-agriculteurs" target="_blank">Grande consultation des agriculteurs</a>. Objectif&nbsp;: leur&nbsp;donner la parole pour comprendre leurs pr&eacute;occupations, leurs appr&eacute;hensions et leurs attentes. 7800 avaient r&eacute;pondu &agrave; l&rsquo;appel.<aside class="read-also">
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 <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/tereos-recompense-les-pratiques-bas-carbone-et-regeneratrices-de-ses-adherents" target="_blank" title="">Tereos r&eacute;compense les pratiques bas carbone et r&eacute;g&eacute;n&eacute;ratrices de ses adh&eacute;rents</a>
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Principaux enseignements ? Plus de 80% des r&eacute;pondants souhaitent adopter, ou affirment avoir d&eacute;j&agrave; adopt&eacute;, des pratiques agronomiques durables tandis que 7% seulement d&eacute;claraient ne pas souhaiter s&rsquo;engager ou acc&eacute;l&eacute;rer la transition environnementale de leur ferme. 86% r&eacute;clamaient des objectifs clairs et stables au niveau national, 77% souhaitaient une mise en &oelig;uvre d&eacute;centralis&eacute;e qui permette de prendre en compte les sp&eacute;cificit&eacute;s r&eacute;gionales. La consultation avait par ailleurs mis en exergue le verrou financier de la transition, cit&eacute; par 81% des r&eacute;pondants et exigeant en retour une r&eacute;mun&eacute;ration pour les services environnementaux rendus et la s&eacute;curisation de leurs d&eacute;bouch&eacute;s et de leurs prix face &agrave; une concurrence moins-disante pour ne pas dire d&eacute;loyale.<h2>Partager, d&eacute;battre, se rencontrer</h2>Un an plus tard, The Shift Project et Les Shifters lancent &laquo;&nbsp;Agri 2050&nbsp;&raquo;. Mat&eacute;rialis&eacute; par une communaut&eacute; Whatsapp d&eacute;di&eacute;e, le r&eacute;seau vise &agrave; &laquo;&nbsp;offrir un espace aux agricultrices et agriculteurs pour partager, d&eacute;battre et se rencontrer, indique The Shift Project dans un communiqu&eacute;. Sans concurrencer les r&eacute;seaux existants, cette plateforme vise &agrave; rassembler les agriculteurs de tous bords pour f&eacute;d&eacute;rer autour de la transition agricole, et r&eacute;fl&eacute;chir depuis le terrain &agrave; la mani&egrave;re de la mettre en &oelig;uvre concr&egrave;tement. L&rsquo;objectif de cet espace de dialogue entre professionnels est de faire &eacute;merger des consensus, apaiser et d&eacute;polariser le d&eacute;bat sur la transition du secteur, sans entrer dans les conflits id&eacute;ologiques, syndicaux ou partisans&nbsp;&raquo;.<aside class="read-also">
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 <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/face-aux-bioagresseurs-la-reponse-sera-combinatoire-partenariale-et-territoriale" target="_blank" title="">Face aux bioagresseurs, la r&eacute;ponse sera combinatoire, partenariale et territoriale</a>
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The Shift Project et Les Shifters joueront un r&ocirc;le de mod&eacute;ration et faciliteront le lancement de la communaut&eacute;. Si &agrave; court terme le r&eacute;seau s&rsquo;attachera &agrave; cr&eacute;er du collectif et f&eacute;d&eacute;rer les agriculteurs autour des enjeux li&eacute;s &agrave; la transition agro&eacute;cologique, il vise &agrave; long terme &agrave; porter ces pr&eacute;occupations dans le d&eacute;bat public par la voix d&rsquo;agriculteurs. Le lancement officiel d&rsquo;Agri 2050 aura lieu le 29 novembre prochain &agrave; la Ferme d&rsquo;Orsigny (Essonne), en pr&eacute;sence de&nbsp;Jean-Marc Jancovici.

Après la Grande consultation des agriculteurs, The Shift Project et Les Shifters lancent Agri 2050, un réseau d’agriculteurs, apartisan et asyndical, pour débattre sereinement des enjeux liés à la transition agroécologique.

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[Portes ouvertes] Jeudi du foin - EARL Guignard Lamy (85)

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