Les 10 articles qu'il ne fallait pas manquer en 2021

2021, c’était une année à maïs. C’était aussi l’année de la finalisation de la future Pac 2023-2027, l’année de la mise en service du premier abattoir mobile pour bovins, l’année de la flambée des cours des matières premières et du risque de pénurie des engrais azotés. Voici les dix articles qu’il ne fallait pas manquer cette année.

1 - L’abattage à la ferme, un petit pas de côté pour l’animal et pour l’humanité

Éleveuse en Côte-d’Or, Émilie Jeannin a mis en service le premier abattoir mobile à la ferme pour bovins. Un pas de côté qui change un peu la vie de quelques bêtes et de quelques hommes, éleveurs, abatteurs et consommateurs. Lire l'article.

L’éleveur accompagne sa bête jusque dans les derniers instants de sa vie (Crédit photos : R. Lecocq)

2 - Léa et Damien : ingénieurs, entrepreneurs, agriculteurs

Tous deux ingénieurs agricoles, Léa et Damien viennent de s'installer sur une exploitation laitière après avoir connu une vie professionnelle déjà bien riche. Pour eux, l'installation est l'occasion de développer des projets de diversification. Ils n'hésitent pas à se donner les moyens de leurs ambitions. Lire l'article.

Damien et Léa se donnent environ 5 ans pour mener à bien leur projet de production, transformation et magasin de produits fermiers. Ils pensent rester agriculteurs au moins une quinzaine d'années, mais ne se sentent pas prisonniers de ce métier. (Photo Catherine Perrot)

3 - Azote sur blé : pas à tout prix

Dans les Hauts-de-France, Arvalis s’appuie sur les essais de courbe de réponse à l’azote pour déterminer la dose d’engrais optimale en fonction des prix de l’azote et du blé. Lire l'article.

La flambée du prix de l’azote amène à repenser les pratiques de fertilisation, en termes de dose et de fractionnement (Crédit photo : R. Lecocq)

4 - « Des récoltes comme ça, j'en fais une tous les dix ans »

En 2021, avec les belles récoltes de maïs ensilage, les éleveurs devraient avoir une occasion de constituer des stocks fourragers de qualité. Une aubaine au vu du prix des aliments qui va être élevé. Reportage sur l'ensilage au Gaec de la Bellerie, à Nort-sur-Erdre (44). Lire l'article.

Le jour de l'ensilage de maïs est l'un des jours les plus importants de l'année pour de nombreux éleveurs laitiers. (Photo Catherine Perrot)

5 - Pac 2023-2027 : les arbitrages du ministère de l’Agriculture

Décryptage et explications du ministre de l'Agriculture Julien Denormandie sur les arbitrages du Programme stratégique national (PSN), la déclinaison française de la Politique agricole commune. Lire l'article.

Afin de ne déstabiliser ni les systèmes ni les territoires, les aides évolueront dans une fourchette comprise entre -4% et +4%, avec de la progressivité (Crédit photo : R. Lecocq)

6 - « En 20 ans de semis direct, j’ai peut-être créé 1 millimètre de sol »

Dans le Gers, Christian Abadie s’est lancé dans le semis direct pour contrer la sensibilité des boulbènes à l’érosion. En dépit de résultats tangibles, l’agriculteur se garde de tout triomphalisme, trop conscient d’être sous la gouverne d’un climat toujours plus insaisissable et d’un herbicide toujours incontournable. Lire l'article.

Christian Abadie exploite avec son frère Éric 107 ha de boulbènes à Estampes dans le Gers (Crédit photos : R. Lecocq)

7 - Pâturage : bienvenue dans l’ère des clôtures virtuelles

Dans les Yvelines, le Gaec de Brandelles teste avec la chambre d’agriculture le système de colliers connectés NoFence, qui permet de créer des clôtures virtuelles et de gérer plus facilement le pâturage tournant. Lire l'article.

La limite virtuelle de la parcelle s'arrête le long de la route (photo : A. Magnard).

8 - Faim d’azote et fin de croissance pour les grandes cultures bio ?

Les restrictions d’usage d’effluents industriels sont porteuses de menaces pour la fertilité des sols et la compétitivité de la filière Agriculture biologique. Les études d’impact du nouveau règlement bio se font attendre. Lire l'article.

L’exclusion des effluents d’élevages industriels aura des conséquences très fortes sur les disponibilités en engrais amendements organiques (Crédit photo : Buchet)

9 - L’asphalte plutôt que le béton pour rénover la stabulation

Pour rénover un béton lisse dans une stabulation, l’asphalte est une solution non-glissante intéressante. Si son coût de pose est important, les avantages en termes de confort des animaux et de nettoyage le sont aussi. Lire l'article.

L’asphalte se pose à la main, d’où son coût plus important que le béton. Ici les salariés de l’entreprise Smac en plein travail aux Trinottières. © Smac

10 - Et le tracteur de l’année 2022 est...

Sponsorisé par BKT, le concours « tractor of the year » a pour jury une vingtaine de journalistes européens spécialisés. Pas de photo, on vous laisse découvrir le gagnant ! Lire l'article.