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 <h2>BON &Agrave; SAVOIR</h2>
 https://www.pleinchamp.com/grandes-cultures/actualites/pyrale-du-mais-le-pic-de-vols-bientot-atteint
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Lutte contre la pyrale  Vigilance résistance

Maïs : la pyrale, fiche  conseil 28 n°2


Lutte contre la pyrale Vigilance résistance


Bovins viande – Tassement des prix en réformes laitières

On manque de bras pour les pieds des vaches

Le soja, arme diplomatique de Pékin

Lorsqu&rsquo;un futur exploitant agricole se lance, le choix du statut juridique est une &eacute;tape d&eacute;terminante. Deux options s&rsquo;offrent &agrave; lui : l&rsquo;entreprise individuelle (EI) ou la soci&eacute;t&eacute;. Chacune pr&eacute;sente des avantages et des contraintes qu&rsquo;il convient d&rsquo;&eacute;valuer selon son projet, ses ambitions et sa situation personnelle.Opter pour l&rsquo;entreprise individuelle, c&rsquo;est choisir la simplicit&eacute;. L&rsquo;installation se fait en son nom propre, avec une seule formalit&eacute; d&eacute;clarative : l&rsquo;enregistrement sur le Guichet unique. L&rsquo;exploitant&nbsp;est propri&eacute;taire du capital d&rsquo;exploitation, qu&rsquo;il s&rsquo;agisse du mat&eacute;riel, des stocks, du cheptel ou des b&acirc;timents. Ce statut a &eacute;t&eacute; renforc&eacute; par la loi, qui distingue d&eacute;sormais les patrimoines personnel et professionnel, offrant th&eacute;oriquement une meilleure protection, notamment vis-&agrave;-vis des cr&eacute;anciers. Afin de garantir l&rsquo;efficacit&eacute; de la dualit&eacute; des patrimoines, il convient d&rsquo;&ecirc;tre vigilant quant aux garanties souscrites aupr&egrave;s de ces derniers.<h2>La soci&eacute;t&eacute; agricole : une solution pour s&rsquo;associer et se prot&eacute;ger</h2>&Agrave; l&rsquo;inverse, s&rsquo;installer en soci&eacute;t&eacute; implique davantage de d&eacute;marches. En amont de la formalit&eacute; sur le Guichet Unique, permettant d&rsquo;immatriculer la soci&eacute;t&eacute; au RCS (Registre du Commerce et des&nbsp;Soci&eacute;t&eacute;s), il faut r&eacute;diger des statuts et divers documents juridiques.&nbsp;La soci&eacute;t&eacute; devient propri&eacute;taire du capital d&rsquo;exploitation, ce qui permet de dissocier clairement les patrimoines. Cette dissociation limite les risques personnels, m&ecirc;me si la responsabilit&eacute; des associ&eacute;s peut &ecirc;tre engag&eacute;e dans certains cas, notamment en cas de cautionnement.<aside class="factbox">
 <h2>BON &Agrave; SAVOIR</h2>
 Cette forme est indispensable pour une installation &agrave; plusieurs.
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<h2>Patrimoine, responsabilit&eacute; : bien mesurer les risques</h2> Le choix du statut d&eacute;pend donc de la nature du projet, du nombre de personnes impliqu&eacute;es, du niveau de protection souhait&eacute; et de la strat&eacute;gie &agrave; long terme. Il est essentiel d&rsquo;&ecirc;tre inform&eacute;, de se faire accompagner par des conseillers sp&eacute;cialis&eacute;s et de prendre le temps de r&eacute;fl&eacute;chir aux implications juridiques, fiscales, sociales et patrimoniales de chaque option.<aside class="factbox">
 <h2>BON &Agrave; SAVOIR</h2>
 L&rsquo;entreprise individuelle s&eacute;duit par sa simplicit&eacute;, mais elle peut exposer le patrimoine personnel. La soci&eacute;t&eacute;, plus complexe &agrave; cr&eacute;er, offre une meilleure protection et permet une installation &agrave; plusieurs. Le choix du statut doit &ecirc;tre m&ucirc;rement r&eacute;fl&eacute;chi, en tenant compte du projet, des risques et des perspectives d&rsquo;&eacute;volution.
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Choisir entre entreprise individuelle ou société est crucial pour tout nouvel exploitant agricole. Décryptage.

Choisir son statut agricole : entreprise individuelle ou société ?

<h2>Fonds de garantie Feader : un coup de pouce &agrave; l'installation en agriculture</h2>Le dispositif avait &eacute;t&eacute; lanc&eacute; par la&nbsp;R&eacute;gion Auvergne-Rh&ocirc;ne-Alpes, il y a un an tout juste lors du&nbsp;Sommet de l'&Eacute;levage. Pour faire un point d'&eacute;tape sur le&nbsp;fonds de garantie Feader, tous les partenaires de l&rsquo;installation en agriculture&nbsp;(op&eacute;rateurs bancaires (Cr&eacute;dit Agricole,&nbsp;Banque populaire,&nbsp;Cr&eacute;dit mutuel),&nbsp;Chambre d&rsquo;agriculture de l&rsquo;Allier,&nbsp;Cerfrance Terre d&rsquo;Allier,&nbsp;Jeunes Agriculteurs de l&rsquo;Allier,&nbsp;FNSEA de l&rsquo;Allier&nbsp;ainsi que la&nbsp;FRSEA Auvergne-Rh&ocirc;ne-Alpes, se sont r&eacute;unis, lundi 27&nbsp;octobre, au Breuil, dans l'Allier, sur l'exploitation de Pierre et Ludivine Lot.<h2>Fonds de garantie : le t&eacute;moignage de Ludivine et Pierre Lot, agriculteurs dans l'Allier</h2>Install&eacute;s en&nbsp;Gaec&nbsp;depuis un an, sur une exploitation de 160&nbsp;hectares, dont 20 hectares de cultures, avec un investissement dans l&rsquo;achat de b&eacute;tail, notamment 30 vaches pr&ecirc;tes &agrave; v&ecirc;ler, les deux exploitants ont r&eacute;investi dans leur activit&eacute; en r&eacute;orientant une partie de leur tr&eacute;sorerie.&nbsp;<blockquote>Ils ont &eacute;galement souscrit &agrave; un&nbsp;emprunt&nbsp;pour l&rsquo;acquisition d'une m&eacute;langeuse, un &eacute;quipement essentiel qui, selon Ludivine, &laquo;&thinsp;a consid&eacute;rablement am&eacute;lior&eacute; le&nbsp;confort de travail&nbsp;et permis un gain de temps pr&eacute;cieux, surtout avec leurs deux jeunes enfants en bas &acirc;ge&thinsp;&raquo;. La&nbsp;qualit&eacute; de vie&nbsp;et la gestion du temps sont en effet des aspects cruciaux de leur quotidien.</blockquote><h2>Investir plus sereinement en agriculture gr&acirc;ce au fonds de garantie</h2>L&rsquo;installation de Ludivine aux c&ocirc;t&eacute;s de son conjoint a &eacute;t&eacute; facilit&eacute;e par le&nbsp;fonds de garantie FEADER.&nbsp;Cet outil mis en place par la&nbsp;R&eacute;gion Auvergne-Rh&ocirc;ne-Alpes&nbsp;et l'Europe&nbsp;permet de garantir les&nbsp;pr&ecirc;ts d'installation&nbsp;gratuitement &agrave; hauteur de 80&thinsp;%. Gr&acirc;ce &agrave; ce dernier, le couple a pu financer la construction de deux b&acirc;timents d&eacute;di&eacute;s pour moiti&eacute; &agrave; l&rsquo;&eacute;levage et au stockage, aid&eacute;s aussi par le&nbsp;FEADER, mais &eacute;galement pour l&rsquo;achat de mat&eacute;riels. Le couple a b&eacute;n&eacute;fici&eacute; d'une&nbsp;dotation jeune agriculteur&nbsp;(DJA) de 52&thinsp;000&nbsp;euros.&nbsp;<blockquote>&laquo;&thinsp;Le syst&egrave;me est avantageux car il permet de b&eacute;n&eacute;ficier de taux d'int&eacute;r&ecirc;t r&eacute;duit, diminue les garanties exig&eacute;es et au final a facilit&eacute; notre investissement&thinsp;&raquo;, t&eacute;moigne&nbsp;Ludivine Lot.</blockquote><h2>En quoi le fonds de garantie constitue un effet levier pour l'installation en agriculture ?</h2>&laquo;&thinsp;&Agrave; ce jour, 120 millions d'euros ont &eacute;t&eacute; allou&eacute;s &agrave; la&nbsp;r&eacute;gion Auvergne-Rh&ocirc;ne-Alpes, avec un retour sur investissement attendu de 1&nbsp;euro pour 27&nbsp;euros d'investissement.Autrement dit, pour 1&nbsp;euro&nbsp;de garantie correspondant &agrave; 12,50&nbsp;euros&nbsp;de pr&ecirc;t, cela repr&eacute;sente 27&nbsp;euros&nbsp;d'investissement, ce fonds de garantie &agrave; un effet de levier multipli&eacute; par dix en moyenne&thinsp;&raquo;, explique&nbsp;Emmanuel Ferrand,&nbsp;conseiller r&eacute;gional en charge des fonds europ&eacute;ens.Par ailleurs, c'est d&eacute;j&agrave; 586 dossiers qui ont &eacute;t&eacute; engag&eacute;s au niveau r&eacute;gional pour un volume financier de 80 millions d'euros par les trois banques s&eacute;lectionn&eacute;es pour mettre en &oelig;uvre ce fonds.Il s'adresse &agrave; l'installation des agriculteurs, &agrave; accompagner leur comp&eacute;titivit&eacute;, &agrave; passer les caps difficiles types sanitaires ou climatiques. Il est &eacute;galement ouvert aux installations dans le&nbsp;secteur du bois et de la for&ecirc;t.<h2>Fonds r&eacute;gional de garantie pour&#8239;l&rsquo;agriculture&thinsp;: mode d'emploi</h2><ul><li>Le Fonds r&eacute;gional de garantie pour l&rsquo;agriculture de la R&eacute;gion Auvergne-Rh&ocirc;ne-Alpes est un instrument financier&nbsp;mis en &oelig;uvre par la R&eacute;gion, avec le soutien de l&rsquo;Europe, pour garantir gratuitement des pr&ecirc;ts contract&eacute;s par les agriculteurs et les op&eacute;rateurs forestiers.</li><li>Ce fonds de 40&nbsp;millions d&rsquo;euros, financ&eacute; en partie par le Fonds europ&eacute;en agricole pour le d&eacute;veloppement rural (FEADER), va permettre aux banques partenaires de g&eacute;n&eacute;rer un portefeuille de pr&ecirc;ts global qui pourra s&rsquo;&eacute;lever jusqu&rsquo;&agrave; 370&nbsp;millions d&rsquo;euros.</li><li>Jusqu'en juin&nbsp;2028, il pr&eacute;voit des&nbsp;taux pr&eacute;f&eacute;rentiels, des conditions et exigences bancaires all&eacute;g&eacute;es, des financements de projets pour de nouvelles entreprises ou de projets jug&eacute;s risqu&eacute;s.</li></ul>

Ludivine Lot s'est installée aux côtés de son conjoint, Pierre, au Breuil, dans l'Allier, grâce notamment au fonds de garantie Feader, mis en place il y a un an par le Conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes. Le couple a témoigné de son expérience en présence des élus, le 27 octobre dernier.

Gestion de l'exploitation

Installation et transmission

Transitions

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Mardi 02/07/2019

Maïs : la pyrale, fiche conseil 28 n°2

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