Bovins maigres – Le commerce est soutenu à l’export.

Bovins d’embouche et d’élevage – Les volumes sont insuffisants pour couvrir la demande des engraisseurs spécialisés, qui ont fourni de gros volumes aux abattoirs pour cette rentrée. Ces derniers sont à l’achat pour leurs besoins de rotations. Le commerce est fluide dans les bonnes femelles d’embouche avec du poids et du gabarit. Les engraisseurs se rabattent sur le bétail ordinaire dont les tarifs se raffermissent. Seul, le bétail léger et sans potentiel est pénalisé.

Broutards – L’animation commerciale de cette rentrée est assez bonne, car les volumes dans les animaux conformes pour être exportés ne sont pas très étoffés. L’ensemble de nos clients ont des besoins, avec une demande qui se renforce avec l’ouverture du marché algérien.  Les transactions sont fluides avec des tarifs qui retrouvent des niveaux tarifaires attractifs après les baisses de cet été dans les broutards ou les taurillons Charolais ou Limousins. La demande intérieure se montre également plus soutenue avec des engraisseurs qui vont pouvoir bénéficier d’une bonne récolte de maïs. Dans les femelles, la modestie de l’offre reste favorable aux échanges avec des tarifs qui demeurent soutenus pour les Limousines et les Charolaises de plus de 300kg. La situation est inchangée dans le second choix avec des tarifs stables.

Avis d’expert :

Bovins maigres +18 mois : La demande restera soutenue dans les bonnes femelles d’embouche.   

Broutards : Le niveau de l’offre restera juste suffisant pour satisfaire la demande.

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