Bovins maigres – Les broutards d’herbe restent recherchés.
Bovins d’embouche et d’élevage – L’activité commerciale bénéficie d’une offre saisonnière moins abondante, tandis que les gros engraisseurs ont toujours des besoins de rotation. La valorisation du maigre est toujours calquée sur celle de la viande, avec des tarifs qui restent élevés, quelle que soit la gamme de marchandise.
Broutards – Le commerce est concentré sur le début de semaine avec le férié de l’Ascension. Les sorties saisonnières tendent à se renforcer avec des volumes en progression dans les taurillons herbés. Ces gammes de marchandise sont privilégiées par les engraisseurs, ce qui contribue à maintenir une bonne activité commerciale sur les cadrans et dans les campagnes. Dans les plus légers, le marché se porte bien avec des tarifs toujours aussi attractifs pour les bons broutards Charolais, Limousins, Blonds d’Aquitaine ou croisés, qu’ils soient destinés à l’export, à la repousse ou à l’engraissement sur la France. La vente se déroule normalement avec des tarifs fermes pour les animaux de qualité moyenne.
En ce qui concerne les femelles, la vente est régulière avec des tarifs stables pour les bonnes femelles Charolaises, Limousines, Blondes d’Aquitaine ou croisées. Les femelles légères ou de moyenne conformation profitent de la fermeté du marché.
Avis d’expert :
Bovins maigres +18 mois : Le commerce restera animé par le manque de marchandise.
Broutards : Les volumes seront un peu plus étoffés, pour une demande toujours très présente. Le commerce restera fluide avec des tarifs qui vont se maintenir sans difficulté.