Témoignage d’éleveurs sur les étapes qu’ils ont suivi pour optimiser leur bâtiment d’élevage.

Les étapes à respecter pour optimiser son bâtiment d’élevage

En 2025, le bonus haies de la PAC a triplé

Les agriculteurs, des retraités (bientôt) comme les autres

Avant cette vacherie de DNC, le prix de la viande bovine au pinacle

<p>En novembre, la recharge est active avec 57% des niveaux en hausse et 30% en baisse, contre respectivement 37% et 42% en octobre, 29% et 54% en septembre. Tel est le constat dressé par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) en date du 1<sup>er</sup> décembre.</p> 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/gallery/0/5/5/3/8173550-1-fre-FR/2e018439bfbe-BRGM1.jpg" alt="Niveau des nappes et tendances évolutives en date du 1er décembre 2025 (Source : BRGM)" height="1610" width="1456" /><figcaption>Niveau des nappes et tendances évolutives en date du 1er décembre 2025 (Source : BRGM)</figcaption></figure>

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<p>L’état des nappes est généralement satisfaisant, de modérément bas à modérément haut, une situation pas très différente de celle d’octobre, avec 43% des points d’observation au-dessus 35% des normales mensuelles, 22% comparables et 35% sont en-dessous. L’état des nappes de la plaine du Roussillon et du massif des Corbières s’améliore lentement mais elles affichent toujours des niveaux bas.</p> 
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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/gallery/3/5/5/3/8173553-1-fre-FR/5f59f96b026b-BRGM2.jpg" alt="Evolution de la situation observée sur les piézomètres entre décembre 2024 et novembre 2025 (Source : BRGM)" height="722" width="1822" /><figcaption>Evolution de la situation observée sur les piézomètres entre décembre 2024 et novembre 2025 (Source : BRGM)</figcaption></figure>

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<p>Durant l’hiver, les tendances et l’évolution des situations dépendront essentiellement de la pluviométrie récente pour les nappes réactives et de la pluviométrie cumulée sur la période de recharge pour les nappes inertielles, rappelle le BRGM. Les tendances et les situations pourraient changer en quelques semaines pour les nappes réactives et lentement pour les nappes inertielles.</p>


Si la situation est moins favorable qu’en novembre 2024, le BRGM indique que l’état des nappes est « généralement satisfaisant », à l’exception de celles du Roussillon.

Nappes : une recharge active en novembre mais inégalement répartie

<p><em>« L’exercice 2024-2025 a été difficile mais il a mis en avant la résilience de notre modèle, qui s'appuie beaucoup sur la diversification et nos filiales principalement</em>. » C’est sur ces mots que Jérôme Calleau, président de la Cavac a débuté la présentation du bilan de l’exercice 2024-2025 qui précède l’assemblée générale de la coopérative qui se tient ce vendredi 12 décembre, aux Sables d’Olonne. Après une année 2024 pluvieuse, la Cavac a dû faire face à des conditions de récolte dégradées et à des baisses de rendement historiques, notamment en blé, avec une baisse de 45 % constatée sur certaines zones.<br>La collecte d’été s’en est trouvée lourdement impactée, tout comme les productions spécialisées, en particulier les semences de maïs et de tournesol, elles aussi « catastrophiques ». Résultat : la collecte totale du groupe accuse un net recul avec 857 000 tonnes, contre près de 1,1 million l’année précédente.</p><p>Les marchés mondiaux n’ont pas aidé, les cours des céréales poursuivant leur baisse. « Un contexte marginal très défavorable », résume Olivier Joreau, directeur générale.</p><h2><strong>Le modèle poly</strong><strong>culture-élevage, moteur de stabilité</strong></h2><p>Le modèle polyculture-élevage, au cœur de l’ADN de la Cavac, a permis d’amortir le choc. « 70 % des adhérents sont en polyculture-élevage, un atout qui se vérifie dans les résultats. », poursuit olivier Joreau.</p><p>Hormis la filière Canard perturbée par l’influenza aviaire, toutes les productions animales affichent de bons résultats.</p><p>Au niveau de l’agriculture biologique, après deux années de repli, la consommation repart nettement dans les réseaux spécialisés, avec +6 % de croissance début 2025 (lire encadré ci-dessous).</p><p>L’ensemble des filières permet au groupe d’afficher un chiffre d’affaires de 1,375 milliard d’euros, quasi stable malgré la baisse des volumes en céréales. « <em>Nous avons honoré tous nos engagements auprès de nos sociétaires.», </em>indique Jérôme Calleau.</p><h2><strong>Les filiales, pilier de la ré</strong><strong>silience</strong></h2><p>Sur cet exercice, les filiales de la Cavac, agroalimentaire, biomatériaux, distribution spécialisée, ont fortement contribué au résultat consolidé.<br>L’usine de biomatériaux de Sainte-Hermine connaît une progression continue malgré la crise du bâtiment. L’ensemble des activités agroalimentaires (porc, volaille, œuf, plats cuisinés) poursuit sa croissance.<br>La branche jardinerie et distribution renforce aussi le périmètre du groupe avec l’acquisition de huit magasins supplémentaires.</p><p>Au total, les compléments de valeur redistribués aux producteurs atteignent : 6,6 M€ d’avances et prêts garantis pour les élevages ; 3,8 M€ via Agriéthique ; 4 M€ sur d’autres filières végétales et 6 M€ sur les productions spécialisées.</p><h2><strong>Une stratégie 2030 structur</strong><strong>ée autour de quatre axes</strong></h2><p>Franck Bluteau, président délégué de la Cavac a présenté la feuille de route à cinq ans, construite autour de quatre priorités : renforcer la diversification qui garantit l’indépendance vis-à-vis des marchés mondiaux ; préserver la résilience du modèle polyculture-élevage, tant au niveau des fermes que de la coopérative ; poursuivre un programme d’investissements structurants, estimé à 70 millions d’euros sur cinq ans (lire encadré ci-dessous) ; et conserver la proximité et l’attractivité, notamment vis-à-vis des jeunes. La Cavac accueille 700 étudiants par an en découverte agricole et accompagne trois installations par semaine.</p><p>Après cet exercice 2024-2025 compliqué, la Cavac sort renforcée par la diversité de ses métiers et la performance de ses filiales. Doté d’un plan d’investissements et d’une feuille de route 2030 clairement définie, ses dirigeants misent sur la résilience du modèle polyculture-élevage pour poursuivre la sécurisation des revenus des adhérents et préparer l’avenir.</p><p>(*) CAVAC : groupe coopératif qui agit dans les domaines de l’agriculture, de l’agroalimentaire et des biomatériaux, en Vendée</p>


Entre météo chaotique, marchés et climats défavorables, la Cavac (*)  tire le bilan d’un exercice 2024-2025 marqué par de fortes disparités entre productions végétales et animales. La coopérative s’appuie sur ses filiales pour maintenir ses équilibres et trace les axes d’investissement pour les cinq années à venir. Le point avec Jérôme Calleau, président de la Cavac, Franck Bluteau, président délégué et Olivier Joreau, directeur général.

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Mardi 25/10/2022

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