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 <figure class="ezimage-field"><img src="https://api.prod.pleinchamp.com/var/site/storage/images/_aliases/gallery/8/1/5/8/4338518-1-fre-FR/1d1ed9b21a0d-ttsjfev2022-png" alt="" height="1246" width="1045" /><figcaption>Prix moyens du tourteau de soja (USD)</figcaption></figure>

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<div style="border:1px solid #84AF4B;margin-top:20px;" style="font-family: Montserrat,sans-serif;"> <table border="0" cellpadding="2" cellspacing="2"> <tr bgcolor="#84AF4B" style="color:white;"> <td colspan="2">Tendance prix</td> </tr> <tr> <td> <img src="https://www.strategie-grains.com/images/pictoStable.png" alt=""/> </td> <td>Prix élevé à court terme tant que les récoltes sud-américaines seront dans l’incertitude</td> </tr> <tr> <td> <img src="https://www.strategie-grains.com/images/pictoBaisse.png" alt=""/> </td> <td>En 2022, baisse limitée…</td></tr></table></div>

La sécheresse et les fortes températures de janvier ont entrainé des pertes de rendement dans le sud du Brésil ; la météo continue d’inquiéter et soutient les prix

Les pertes en Amérique du Sud font grimper les prix du tourteau de soja

Après trois exercices dans le rouge, les céréaliers au bord de la rupture

En 2025, le bonus haies de la PAC a triplé

Les agriculteurs, des retraités (bientôt) comme les autres

<p><strong>Conjoncture –</strong> Des positions européennes qui ont prôné la décapitalisation de l’élevage sur fond de position politique très verdoyante (Green Deal), et des guerres commerciales qui dépassent de très loin le domaine agricole ont initié le déclin de la production dans de nombreux secteurs d’activité. Le mal est fait et le sursaut de clairvoyance que l’on observe depuis quelque temps est tardif. Certes, il faut réveiller les esprits pour sauver ce qui peut l’être et relancer tel ou tel secteur, mais dans une économie mondialisée, la médiatisation de la souveraineté alimentaire sonne creux.</p><p>Quand une économie doit se recroqueviller pour survivre, on bride l’esprit d’entreprise. On peut prendre des mesures pour inciter à une consommation française, ou contraindre certaines institutions ou organismes à le faire. Mais la France a-t-elle encore un pouvoir pour peser ou contraindre les échanges internationaux. Dans la guerre économique à laquelle se livrent les grandes puissances, l’Agriculture dans son ensemble est souvent la variable d’ajustement ou un levier puissant pour déstabiliser la partie adverse. Le jeu des taxes douanières en est l’exemple type. Les producteurs à leur petit niveau ne sont que les spectateurs ou les victimes de décision lointaine. Ils n’en sont pas pour autant absents des débats et des prises de décision, avec des mobilisations fortes qui ont marqué le paysage des politiques agricoles ces dernières décennies. Des victoires, des défaites, des coups dans l’eau au gré de l’actualité toujours en mouvement.</p><p>La dernière en date est un serpent de mer qui menace tout un pan de l’agriculture au profit d’un libre-échange profitable à d’autres secteurs d’activité. Les accords avec le Mercosur, trouveront-ils une issue avant cette fin d’année ? (C’est la même question que l’on se posait l’an dernier à la même époque) Pour le moment, la pression monte du côté des productions concernées que sont les filières bovines, volailles, céréales et sucres, face à un accord annoncé au niveau européen comme imminent.</p><p>C’est dans ces conditions très inconfortable que les éleveurs cherchent à relancer la production. Trouver des bras et leur donner les moyens pour enrayer une décapitalisation qui semble inexorable. La France qui détient toujours le premier cheptel européen a les moyens de concentrer sa production sur le territoire national en dynamisant le secteur de l’engraissement, mais dans un marché de libre-échange nos voisins européens ont également besoin de nos produits, ce qui est actuellement le gage d’une bonne rémunération pour les éleveurs.</p><p>Les problèmes sanitaires sont en revanche beaucoup plus préoccupants. La multiplication des épizooties sur la dernière décennie n’augure rien de bon. Le réchauffement climatique fait remonter des maladies du continent africain ou de zone plus méridionale. La liste est longue avec des maladies plus ou moins frappantes. Les moyens de détection s’affinent à chaque fois avec une épidémiosurveillance très efficace. Le traitement de ces maladies l’est beaucoup moins, car il nécessite des décisions politiques parfois compliquées à prendre, incomprises, voire contestées par certains comme pour la DNC. Quelles que soient les maladies, ce sont les éleveurs qui en supportent les conséquences économiques (malgré certaines indemnisations) ou psychologiques, car il n’est jamais simple de perdre des animaux ou de constater des chutes de production, surtout l’éleveur a fait tout ce qui était en son pouvoir pour éviter le pire (vaccination). Cette année la juste rémunération des produits de l’élevage permet d’adoucir les conséquences économiques, mais qu’en sera-t-il pour demain ?</p><p><a href="https://www.pleinchamp.com/les-cours/betail-vif" target="_blank">Cliquer ici pour retrouver tous vos cours sur le bétail vif </a></p>


Dans un monde où tous les coups sont permis, les guerres commerciales dépassent de très loin le domaine agricole.

Conjoncture bovine. L’agriculture à l’épreuve des guerres commerciales

<h1 style="text-align:center;">liste des animaux en vente :</h1><h1 style="text-align:center;"> <a href="https://www.charolaise.fr/animaux-en-vente/" target="_blank">Cliquez ici</a></h1><h2> </h2><h2>Une réponse directe à l’absence de concours</h2><p style="text-align:justify;">Le Herd Book Charolais a choisi de mettre en place, depuis le début du mois de décembre, une opération entièrement numérique. L’association propose ainsi sur son site une sélection vivante et évolutive de reproducteurs inscrits ou inscriptibles A+, directement mise en ligne par les éleveurs. D’abord forte d’une trentaine de veaux, l’offre s’est étoffée au fil des jours pour atteindre aujourd’hui près de cinquante animaux, et les premiers ont déjà trouvé acquéreur. Cette dynamique illustre à la fois la pertinence de l’initiative et l’attente réelle des acheteurs en cette période particulière.</p><h2>Une sélection de prés de cinquante animaux inscrits ou inscriptibles A+</h2><p style="text-align:justify;">Sur la plateforme en ligne du HBC, chaque reproducteur est présenté avec <strong>une fiche catalogue complète, une photo, ainsi que les coordonnées directes de l’éleveur.</strong> Les experts raciaux du HBC restent disponibles pour orienter les éleveurs dans leurs choix, sécuriser un achat ou évaluer la cohérence d’un pedigree avec les objectifs techniques d’un troupeau. Cette continuité d’accompagnement, habituellement exercée sur les rings des concours, se déploie ici sous une autre forme mais avec la même exigence de conseil.</p><h2 style="text-align:center;">Les reproducteurs sont à découvrir sur le site du HBC : </h2><h2 style="text-align:center;"><strong> <a href="https://www.charolaise.fr/animaux-en-vente/" target="_blank" title="">Consultez la liste des animaux en vente ici</a></strong></h2><p style="text-align:justify;"> </p><p style="text-align:justify;">En temps normal, les concours de reproducteurs constituent le cœur de la mise en marché automnale pour les élevages charolais. Ils permettent aux sélectionneurs de présenter leurs veaux, d’échanger avec les acheteurs, de valoriser leur travail de génétique et de sécuriser une part essentielle de leurs ventes annuelles. L’annulation de ces rendez-vous structurants a profondément désorganisé la saison, privant les éleveurs d'un outil essentiel de valorisation. Les acheteurs peuvent trouver dans cette plateforme une opportunité rare : un large choix de veaux, mis à jour en continu, couvrant une diversité de profils habituellement observable uniquement dans les concours. La période se prête également aux décisions d’investissement, qu’il s’agisse de préparer les prochaines campagnes de reproduction ou d’introduire de nouvelles origines dans un troupeau.</p><figure style="text-align: left;">
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 <figcaption>charolaise</figcaption>
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<h2>Une opération disponible durant tout le mois de décembre </h2><p style="text-align:justify;"><strong>L’opération se poursuivra jusqu’à la fin du mois de décembre, avec de nouveaux animaux susceptibles d’être ajoutés selon les disponibilités des éleveurs.</strong> Elle traduit la volonté du Herd Book Charolais d’assurer, quelles que soient les circonstances, sa mission première : accompagner les éleveurs, valoriser la génétique charolaise et assurer la promotion des animaux.</p><aside class="factbox">
 <h2>BON À SAVOIR</h2>
 <p>un large choix de veaux, mis à jour en continu, couvrant une diversité de profils — vêlage facile, sans cornes, croissance, aptitude mixte — habituellement observable dans les concours.</p>
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Privés de vitrines commerciales après l’annulation des concours, les éleveurs charolais bénéficient d’une initiative inédite portée par le HBC : une sélection en ligne de près de 50 reproducteurs inscrits ou inscriptibles A+, est proposée tout au long du mois de décembre. Une opération destinée à maintenir les échanges, soutenir les ventes et préserver la dynamique génétique de la race dans un contexte hors norme.

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Jeudi 10/02/2022

Les pertes en Amérique du Sud font grimper les prix du tourteau de soja

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Tendance prix
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