Veaux – Les tarifs progressent dans toutes les catégories de veaux.
Veaux d’engraissement et d’élevage – La situation est marquée par le creux des vêlages et une demande inassouvie pour la production française (sortie de novembre), mais également de l’export. Les gros veaux Prim’Holsteins, Abondances ou Montbéliards destinés à l’export restent activement recherchés avec des niveaux de prix toujours très élevés.
L’animation commerciale est assez fluide sur les marchés avec des tarifs qui restent soutenus dans les veaux laitiers, malgré la réticence des intégrateurs. Le déficit de l’offre bénéficie également aux croisés laitiers, Blanc bleus ou jaunes de moyenne conformation avec une demande qui est renforcée par les mises en place de JB sur la France comme en Espagne.
L’animation commerciale est favorisée par la faiblesse de l’offre dans les bons veaux viandés. Le commerce est régulier dans les Limousins avec des tarifs qui restent très attractifs.
Veaux de boucherie – Si les volumes mis sur le marché par les intégrateurs sont maîtrisés, le recul de la demande sur juin plus marqué. Les abatteurs maintiennent la pression sur les prix sur le marché français, même si ces derniers restent très confortables. Les tarifs se stabilisent aux Pays-Bas.
Avis d’expert :
Veaux : L’offre resrea largement insuffisante pour la demande avec des cours fermes en toutes catégories.
Veaux de boucherie : La Pentecôte est souvent le moment d’inflexion de la consommation avec l’arrivée des premières chaleurs.