Série d'été : nouveaux fourrages

Retrouvez tous les épisodes de notre série de reportages sur les nouveaux fourrages.

Nouveaux fourrages (1/4) : « Le maïs lablab, c’est 500 g de soja en moins par jour et par vache »

A Sere Lanso (Hautes-Pyrénées), Stéphane Cazenavette expérimente pour la deuxième année l’association du maïs et du lablab, une légumineuse tropicale. Malgré un itinéraire encore quelque peu empirique, les bénéfices sont déjà palpables. Lire l'article.

Stéphane Cazenavette exploita avec sa soeur Florence 85 ha d’herbe et 5 ha de maïs lablab
Stéphane Cazenavette exploita avec sa soeur Florence 85 ha d’herbe et 5 ha de maïs lablab

Nouveaux fourrages (2/4) : « La silphie, un bon ensilage d'herbe ou un bon foin »

A Darnieulles (Vosges), Julien Solthys a implanté 4 hectares de silphie, soit environ 1% de sa sole, histoire de jauger la productivité et la valeur alimentaire du fourrage destiné à ses bovins. A défaut, d’autres digesteurs pourront toujours la valoriser. Lire l'article.

Éleveur laitier, Julien Soltys a implanté 4 ha de silphie pour jauger ses vertus alimentaires, tant quantitatives que qualitatives (Crédit photos : R. Lecocq)

Nouveaux fourrages (3/4) : « Le kernza, une céréale pérenne et mixte... enfin peut-être »

Dans l’Isère, Patrice Barrey fait partie du réseau expérimental mis en place à l’échelle nationale par l’Isara pour apprivoiser le kernza, culture pérenne susceptible de produire fourrages et grains au fil des ans. Un travail encore largement exploratoire mais passionnant, qui a reçu le soutien d’un projet Casdar mais aussi de financements européens. Lire l'article.

Deux ans après l’implantation, Patrice Barrey a récolté l’équivalent de 10 q/ha sur sa parcelle d’un peu moins d’un ha
Deux ans après l’implantation, Patrice Barrey a récolté l’équivalent de 10 q/ha sur sa parcelle d’un peu moins d’un ha

Nouveaux fourrages (4/4) : « La betterave fourragère, un retour gagnant »

Éleveur laitier à Chermisey (Vosges), Christophe Andrieux a réintroduit la betterave fourragère dans son assolement, non sans bénéfices quantitatifs et qualitatifs, auxquels s’ajoute la résilience climatique. Également entrepreneur de travaux agricoles, l’éleveur assure l’arrachage d’une centaine d’ha au service d’une quinzaine d’éleveurs des Vosges et de la Meuse. Lire l'article.

Christophe Andrieux cultive entre 5 et 6 ha de betteraves fourragères et en récolte plus de 120 ha pour le compte de ses clients
Christophe Andrieux cultive entre 5 et 6 ha de betteraves fourragères et en récolte plus de 120 ha pour le compte de ses clients