[Guide] Se lancer en agriculture de conservation des sols (ACS)

Au sommaire de ce guide : 

Partie 1 : Aux origines de l’ACS : préserver les sols de l’érosion

Partie 2 : L’ACS : au-delà du non labour, une combinaison de solutions agronomiques indissociables

Partie 3 : Préparer sa transition vers l’ACS

Partie 4 : Connaître son sol pour évaluer son potentiel de départ

Partie 5 : Démarrer sur un sol sain

Partie 6 : Les couverts végétaux : « l’assurance vie » des sols

Partie 7 : Diversification de l’assolement et allongements des rotations : les clés de voûtes de l’ACS

Partie 8 : 3 questions à Michel Schietequatte, directeur de Maschio Gaspardo France

Partie 9 : Grand entretien avec François Mandin, président de l’Apad

L'ACS, un apprentissage vivant

Le sol est au cœur de l’agriculture dont il est le patrimoine vivant le plus précieux. Ce constat peut sembler une évidence agronomique qui appelle au « bon sens paysan ». Pourtant, de nombreux acteurs du monde agricole proposent d’aller plus loin dans l’approche culturale du sol. C’est notamment le cas de l’agriculture de conservation des sols (ACS) qui propose de favoriser les mécanismes naturels du sol pour produire dans une perspective efficiente et durable.

Moins de 2% des exploitations françaises pratiquent actuellement l’ACS et les confusions avec d’autres pratiques culturales lui empruntant certaines techniques sont encore nombreuses. Alors l’ACS… kezako ? Pleinchamp vous propose un guide contenant les éléments clés pour mieux appréhender cette pratique, préparer votre transition et pourquoi pas vous lancer !